Spelling suggestions: "subject:"rosset"" "subject:"gosset""
1 |
François-Marie Rosset, 1743-1824 : un peintre et sculpteur franc-comtois /Pierre, Marie-Liesse. January 1997 (has links)
DEA--Histoire de l'art moderne, 1997. / Bibliogr. p. 140-174.
|
2 |
L'immoralisme et l'incroyance de Clément RossetVézina, Suzy 11 1900 (has links) (PDF)
Cet essai sera consacré à l'immoralisme et à l'incroyance de Clément Rosset. Pour ce faire nous devrons, en premier lieu, traiter du tragique. Le tragique est un moment marquant de l'existence qui nous révèle l'inanité des valeurs morales vers lesquelles nous croyons devoir nous tourner. En effet, que nous propose la morale? Une objection au monde tel qu'il est. Elle nous apprend qu'il est un mal et une souffrance qui ne doivent pas être: c'est en cela qu'elle refuse le tragique. L'homme moral a besoin de fondements et de certitudes qui lui expliquent le monde et lui permettent d'agir. Il a surtout la prétention, à travers la pensée humaniste, de devoir parler au nom de tous, ce qui est éminemment suspect aux yeux de Rosset. Dans ce passage de l'individuel à l'universel, il n'y a qu'un pas à franchir pour voir naître un surcroît d'enthousiasme moral, enthousiasme qui peut se révéler passablement meurtrier... Il existe donc un lien entre la morale et l'idéalisme politique qui réside, avant tout, dans notre préférence pour ce qui n'existe pas et la prétention d'un réel plus vrai, soit un double du réel existant, que nous devons construire. C'est dans la croyance d'une possible saisie du réel, c'est-à-dire la possibilité de l'expliquer par la raison et l'espérance de le modifier radicalement, que se dessine le lien entre la morale et l'idéologie.
______________________________________________________________________________
MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Clément Rosset, tragique, morale, réel/double, croyance, idéologie.
|
3 |
La transgression dans l'histoire tragique du XVIe siècleCordell, Claire Jane 27 January 2009 (has links)
D.Litt. et Phil. / Critics have identified the formulaic nature of the histoire tragique, a genre which seems to rely on a simple sequence of events. A law, whether natural, divine or human, will be broken by a transgressor and the resulting imbalance must be rectified by punishment of the crime. We have limited our field of study to collections of stories that their authors describe as “histoires”, a term revived in the mid-sixteenth century, which suggests that the tales have universal truth and serve as exempla. The term histoire tragique may however be a misnoma as comic and tragic tales are sometimes juxtaposed by sixteenth-century authors. This study examines the stories in four collections of histoire tragique from the sixteenth century: Discours des Champs faëz (Claude de Taillemont, 1553), Le Printemps d’Yver (Jacques Yver, 1572), Nouvelles Histoires tant tragiques que comiques (Vérité Habanc, 1585) and Nouvelles Histoires Tragiques (Bénigne Poissenot, 1586). A collection from the seventeenth century, Les Histoires mémorables et tragiques de ce temps (François de Rosset, 1619) provides a useful point of comparison for its sixteenth century counterparts. We look at three kinds of transgression: firstly those outside the stories themselves (transgressions of genre conventions or transgressions on the part of the author); secondly, transgressions within the stories themselves (the degree to which the author has observed the codes of conduct and social hierarchies); thirdly, transgressions at the level of the plot (how the characters behave, whether or not a crime is punished). This third category of transgression is further divided into the following categories: dissimulation, violence, sexual crimes and treason. In addition, we note the type of weapon used to commit a crime and the nature of the punishment, if any, that follows. We analyse the stories according to the nature of the offender. Crimes are committed by a variety of characters, “Barbarians” from North Africa and the Middle East, a servant, a family member or trusted friend. Crimes are also committed as a result of tension between aristocrat and peasant, or between catholic and protestant. Finally, we examine the stories of François de Rosset in the light of the discoveries made in the preceding chapters. The sixteenth century authors we have examined seek to instruct the reader and to arouse pity for the victims of crimes. Rosset, who excludes comic tales from his collection, seeks rather to arouse fear at the strength of human passions and the inevitable punishment for the crimes those passions inspire. The sequence of law/transgression/punishment is not always strictly adhered to by the authors of the sixteenth-century collections and where punishment does not occur, the sequence may be modified to law/transgression/redemption. The juxtaposition of comic and tragic tales varies the mood within a collection, but a happy ending to a story does not necessarily mean the absence of tragedy. If a crime goes unpunished then the judicial imbalance remains. Thus, tragic vision does not lie solely in the death of the main characters, but in the uncertainty of a world where a criminal may escape punishment.
|
4 |
Nietzsche e Rosset: alegria, impulso ? cria??oCampos J?nior, Lindoaldo Vieira 17 January 2013 (has links)
Made available in DSpace on 2014-12-17T15:12:17Z (GMT). No. of bitstreams: 1
LindoaldoVCJ_DISSERT.pdf: 935129 bytes, checksum: 892685360e73ca4c0295e975a3be47be (MD5)
Previous issue date: 2013-01-17 / Understood in a project of transvaluation of values, the joy is one of the central themes of the
thought of Friedrich Nietzsche and Cl?ment Rosset. Opposed to the dogmatic philosophy
that moralize and robs your strength to think of it as "happiness", evaluated, in short, a target
linked to virtue and rationality these thinkers propose a perspective that makes the joy of
point to an instance extraterrestrial and back to the earth, to the body. In this vein, beyond the
oppositions of values constitutive of metaphysics dogmatic, the joy and suffering are
conceived as elements that are not mutually exclusive, they are complementary as foundations
of a gaia(ta) science, based in laughter and friendship. Contents of a tragic wisdom that leads
to an unconditional fidelity to the real (expressed in formulas of amor fati Nietzsche and
unrestricted approval of existence Rosset), the joy is then interview as vital impulse, the
force majeure, the strength plastic encourages artistic creation: the joy of children playing / Compreendida em um projeto de transvalora??o dos valores, a alegria ? um dos temas
centrais do pensamento de Friedrich Nietzsche e Cl?ment Rosset. Contrapondo-se ? filosofia
dogm?tica que a moraliza e a despoja de sua for?a ao pens?-la como felicidade , avaliada,
em suma, como meta vinculada ? virtude e ? racionalidade , estes pensadores prop?em uma
perspectiva em que a alegria deixa de apontar para uma inst?ncia ultramundana e volta-se
para a terra, para o corpo. Nesta senda, para al?m das oposi??es de valores constitutivas da
metaf?sica dogm?tica, a alegria e o sofrimento s?o concebidos como elementos que n?o se
excluem, antes se complementam como fundamentos de uma ci?ncia gaia(ta),
consubstanciada no riso e na amizade. ?ndice de uma sabedoria tr?gica que remete a uma
incondicional fidelidade ao real (expressa nas f?rmulas do amor fati Nietzsche e da
aprova??o irrestrita da exist?ncia Rosset), a alegria ? ent?o entrevista como impulso vital, a
for?a maior, a for?a pl?stica que incita ? cria??o art?stica: a alegria de crian?a brincando
|
5 |
Un atelier jurassien au temps des Lumières, les Rosset : sculpteurs, ivoiriers et peintres comtois à Saint-Claude dans le Jura au XVIII siècle / A Jurassic workshop of the Enlightenment, Rosset : sculptors, sculptors of ivory, painters of Franche-Comté in the Jura in XVIIIth centuryPierre, Marie-Liesse 28 October 2013 (has links)
Le sujet traite de l'originalité de l'atelier de sculpture des Rosset de Saint-Claude dans le Jura (France) actif du XVIe au XIXe siècle. Original par sa production familiale d'objets d'art en ivoire et en marbre qui connut une diffusion européenne grâce aux portraits de Voltaire. Sculpteurs d'intérieur et «en petit», engagés dans le débat des Lumières, les Rosset sont aussi des statuaires comtois renommés et des peintres locaux. Le sujet est centré sur le XVIIIe siècle autour de l'œuvre de Joseph Rosset (1706-1786) âme de l'atelier, créateur de modèles réputés et que ses cinq fils, tous artistes, produiront en série avec lui et, après sa mort de manière indépendante, adaptant leur œuvre à l'évolution des goûts : Jean François alias Joseph Rosset (1734-1783) orfèvre, Jean-Joseph-Nicolas Rosset (1737-1809) prêtre et peintre, Jacques-Joseph Rosset (1741-1826), François-Marie Rosset (1743-1824) peintre voyageur en Turquie d'Asie et sculpteur et Claude-Antoine Rosset (1749-1818) peintre et sculpteur. Le volume I (265 pages). Le premier chapitre retrace l'histoire de l'atelier présent à Saint-Claude depuis le XVIe siècle, analyse le contexte du travail et la position sociale bourgeoise de la famille de Joseph Rosset au XVIIIe siècle. Le chapitre deux présente de manière critique la biographie de Joseph Rosset, dégage les caractères de son œuvre à tête de Janus, le sacré et le profane, à l'image de ses convictions, de sa foi religieuse catholique et de ses idées politiques libérales, qui met son art au service des Lumières. Enfin, un troisième chapitre, analyse l'œuvre de ses fils dans la continuité politique de l'idéal de leur père ; ils participent en citoyens à la mise en œuvre des réformes libérales de la Révolution. Le volume II (587 pages) présente le catalogue raisonné de l'œuvre de Joseph Rosset (1706-1786), tome 1, les œuvres religieuses, tome 2, l'œuvre en ivoire de l'atelier Rosset et, tome 3 l'œuvre profane en marbre. Le volume III (491 pages) est le catalogue raisonné de l'œuvre sculpté et peint de ses fils : tome 1, l'œuvre graphique et sculpté de Jacques Rosset (1741-1826) ; tome 2, l'œuvre peint et sculpté de François Rosset (1743-1824) ; tome 3 l'œuvre sculptée d'Antoine Rosset (1749 - 1818). / The subject treats originality of the workshop of sculpture of Rosset of Saint-Claude in the Jura (France) active from the XVIth until the XIX th century. Original by its family production works of art in ivory and marble which knews an European diffusion thanks to the portraits of Voltaire. Sculptors of interior and "into small", engaged in the debate of the Enlightenment, the Rosset are also famous sculptors of Franche-Comté and local painters. The subject is centered over the XVIIIth century around the work of Joseph Rosset (1706-1786) heart of the workshop, creator of famous models, whose five sons, ail artists, will produce in séries with him, and in an independent way after his death, adapting their work to the évolution of the tastes : Jean François, alias Joseph Rosset (1734-1783) goldsmith, Jean-Joseph-Nicolas Rosset (1737-1809) priest and painter, Jacques-Joseph Rosset (1741-1826), François-Marie Rosset (1743-1824) traveller painter of Turkey in Asia and sculptor, and Claude-Antoine Rosset (1749-1818) painter and sculptor. Book I. The first section relates the history of the workshop présent in Saint-Claude since the XVIth century, analyses the contex of work and the middle class social position of Rosset's family during the XVIIIth century. The second section shows in a critical way Joseph Rosset's biography, which brings out the characteristics of his Janus headed work, the sacral and the profane, picture of his believes, his catholic faith and his libéral political ideas and offers his art to the service of the Enlightenment. And then, in a third section analyses the works of his sons, in the political continuity of their father's ideals. They take part as citizen in the enforcement of the Révolution's libéral reforms. Book II introduces the reasoned catalogue of Joseph Rosset's work (1706-1786), section 1, the sacred work, section 2, the ivory work of the Rosset's Workshop and the third section the profane marble work. Book III is a reasoned catalogue of the sculpted work of his sons : section 1, the work of Jacques Rosset (1741-1826) ; section 2, the painted and sculpted work of François Rosset (1743-1824) ; section 3, the sculpted work of Antoine Rosset (1749-1818).
|
6 |
Terrorisme épistémologiqueBreton, Roxanne January 2008 (has links) (PDF)
Comment faire voir avec l'absence? Comment dire dans le silence? Pari toujours déjà perdu, représenter l'irreprésentable s'articule comme la gageure éponyme qu'entend remporter la philosophie tragique. La parole, ne serait-ce que pour invoquer l'injonction du silence, est toujours en excès et compromet invariablement les visées d'une telle philosophie. Si elle s'autorise une seule entreprise, la philosophie tragique en fera celle d'un combat contre le langage, le destituant partout où elle le fait naître. Contradiction performative s'il en est, le projet philosophique de quérir la présence de l'absence à travers un langage qui sait se taire annonce d'emblée le caractère transgressif d'une démarche que ne peut endiguer aucune des limites du discours constructif. L'objet de cette recherche ne portera donc pas sur le tragique lui-même, duquel nous reconnaissons ne pouvoir rien connaître, mais plutôt sur les procédés que déploie la philosophie pour y accéder. Comment cependant juger de la réussite des auteurs à l'aune d'une cible que nous ne pouvons définir? Comment apprécier le moyen si ce n'est en regard de la fin? Cette fin, ce savoir tragique, qui n'en est précisément pas un, ne nous laisse rien connaître de lui, si ce n'est ce rien qui se fait pour nous barème. Prétendre à ce qui n'appartient plus à la connaissance, à rien, forge ainsi la mesure des méthodes d'une philosophie appliquée à construire en moins, à se faire terroriste épistémologique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Philosophie tragique, Dionysos, Apollon, Friedrich Nietzsche, Clément Rosset, Gilles Deleuze, Maurice Blanchot.
|
7 |
Éthique et morale chez quatre philosophes français contemporains : importance actuelle accordée à deux instances normativesMoore, Jean-François, January 2004 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2004. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
|
8 |
Du mécontentement de Cioran et de ce petit rien dérisoire qu'est l'existenceOuellette, Régis. 07 November 2024 (has links)
« Le mécontentement de Cioran », ainsi s'intitule le commentaire de l'oeuvre de Cioran que Clément Rosset propose dans son livre La force majeure. Quel en est l'enjeu? Rosset vise-t-il à inclure Cioran dans la tradition de la philosophie tragique à laquelle il s'associe ou à l'en exclure?
|
9 |
Un atelier jurassien au temps des Lumières, les Rosset : sculpteurs, ivoiriers et peintres comtois à Saint-Claude dans le Jura au XVIII sièclePierre, Marie-liesse 28 October 2013 (has links) (PDF)
Le sujet traite de l'originalité de l'atelier de sculpture des Rosset de Saint-Claude dans le Jura (France) actif du XVIe au XIXe siècle. Original par sa production familiale d'objets d'art en ivoire et en marbre qui connut une diffusion européenne grâce aux portraits de Voltaire. Sculpteurs d'intérieur et "en petit", engagés dans le débat des Lumières, les Rosset sont aussi des statuaires comtois renommés et des peintres locaux. Le sujet est centré sur le XVIIIe siècle autour de l'œuvre de Joseph Rosset (1706-1786) âme de l'atelier, créateur de modèles réputés et que ses cinq fils, tous artistes, produiront en série avec lui et, après sa mort de manière indépendante, adaptant leur œuvre à l'évolution des goûts : Jean François alias Joseph Rosset (1734-1783) orfèvre, Jean-Joseph-Nicolas Rosset (1737-1809) prêtre et peintre, Jacques-Joseph Rosset (1741-1826), François-Marie Rosset (1743-1824) peintre voyageur en Turquie d'Asie et sculpteur et Claude-Antoine Rosset (1749-1818) peintre et sculpteur. Le volume I (265 pages). Le premier chapitre retrace l'histoire de l'atelier présent à Saint-Claude depuis le XVIe siècle, analyse le contexte du travail et la position sociale bourgeoise de la famille de Joseph Rosset au XVIIIe siècle. Le chapitre deux présente de manière critique la biographie de Joseph Rosset, dégage les caractères de son œuvre à tête de Janus, le sacré et le profane, à l'image de ses convictions, de sa foi religieuse catholique et de ses idées politiques libérales, qui met son art au service des Lumières. Enfin, un troisième chapitre, analyse l'œuvre de ses fils dans la continuité politique de l'idéal de leur père ; ils participent en citoyens à la mise en œuvre des réformes libérales de la Révolution. Le volume II (587 pages) présente le catalogue raisonné de l'œuvre de Joseph Rosset (1706-1786), tome 1, les œuvres religieuses, tome 2, l'œuvre en ivoire de l'atelier Rosset et, tome 3 l'œuvre profane en marbre. Le volume III (491 pages) est le catalogue raisonné de l'œuvre sculpté et peint de ses fils : tome 1, l'œuvre graphique et sculpté de Jacques Rosset (1741-1826) ; tome 2, l'œuvre peint et sculpté de François Rosset (1743-1824) ; tome 3 l'œuvre sculptée d'Antoine Rosset (1749 - 1818).
|
10 |
L’idiotie du réel : de Clément Rosset à Hong SangsooAlbert, Christine 08 1900 (has links)
Nous nous intéresserons dans ce présent mémoire à l’« idiotie » du réel à partir de deux œuvres, celle du philosophe français Clément Rosset et celle du cinéaste sud-coréen, Hong Sangsoo. Nous poserons comme hypothèse que ces deux auteurs, à travers leurs théorie du réel, qu’elle soit philosophique ou esthétique, arrivent à un constat commun : le réel est « idiot », non pas au sens d’imbécile, mais en son sens premier c’est-à-dire « singulier, sans reflets ni doubles » (Rosset). Pour vérifier cette hypothèse nous procéderons d’abord par la construction d’un cadre théorique réalisé à partir de la définition rossetienne du réel. Ce cadre nous permettra de problématiser à la fois l’utilisation du zoom, la construction narrative, ainsi que les jeux temporels propres aux films de Hong, et ce, à partir de trois films du cinéaste : « Le pouvoir de la province de Kangwon » (1998), « Night and Day » (2007) et « Matins calmes à Séoul » (2011). Enfin il sera question, dans la dernière partie de ce mémoire, d’observer quelles peuvent être les conséquences engendrées par le fait de reconnaître ou non l’idiotie de toute réalité, à la fois dans des termes philosophiques mais également au plan de la prise d’images photographiques ou cinématographiques. / In this master’s thesis we will focus on the idiocy of reality in the work of two authors: Clément Rosset, a French philosopher, and Hong Sangsoo, a South-Korean filmmaker. As a hypothesis we will defend that both Rosset and Hong, through their theory of reality, come to the same conclusion: the reality is “idiot”, not in the sense of stupid, but in its primary meaning, in other words “singular, without any glare or double” (Rosset). To verify this assumption we will first build a theoretical framework based on Clément Rosset’s definition of the “réel”. This theoretical framework will allow us to problematize the use of the zoom, the narrative construction and the temporal games present in three Hong Sangsoo movies that we will analyze: “The Power of Kangwon Province” (1998), “Night and Day” (2007), “The Day He Arrived” (2011). Finally, in the last chapter we will discuss and observe what may be the consequences of recognizing or not the idiocy of any reality, in philosophical terms and for cinematographic creation.
|
Page generated in 0.0382 seconds