My project is an examination of the concept of authenticity, as it is problematized in the works of Philip K. Dick; specifically, in his Hugo Award-winning The Man in the High Castle (1962) and in his best-selling novel Do Androids Dream of Electric Sheep? (1968). Dick believes that authenticity is essential for human existence, but finds the concept problematized by technologies which make possible increasingly perfect reproductions and replications, as well as by the effect these technologies have on the human subject. Furthermore, these technologies are linked to the economic mode of advanced consumerism.<p>Taking my lead from Fredric Jameson and the contributors to the journal Science-Fiction Studies, I view Dick's work as a form of cultural criticism, and an engagement with postmodernism. In this light, the problem of authenticity in Dick's work is revealed as symptomatic of his criticism of mass, consumer culture. My thesis therefore becomes an examination of Dick's relationship to postmodernism, with a special focus on how that relationship affects his dealings with the idea of authenticity.

Ce court roman de science-fiction met en contexte une île isolée, au coeur d'un monde inondé où se rencontrent des personnages issus d'univers différents. Dans ses cavernes naturelles habitent des autochtones, d'anciens montagnards devenus marins. Ces derniers sont dirigés par un idéaliste exilé de l'ancien monde. Avec eux, il tente de réaliser une société utopique. L'île est séparée en deux par un lac au bout duquel se trouve une tour aux origines obscures où vivent deux reclus du village, un fou et un délinquant. L'équilibre entre ces deux mondes est rompu lorsque débarque sur l'île une alchimiste généticienne en quête du Grand Oeuvre et prête à tout pour atteindre son but. Aidée de son équipage et de technologies futuristes, elle prend d'assaut la tour et y établit son trône. Chaque partie est racontée à partir du point de vue d'un des personnages principaux. Ce roman expérimente la multiplication des voix -qui est soutenue par un jeu de caractères où les italiques jouent un rôle majeur. La réflexion qui suit se penche sur la question de l'extraordinaire (ce qui est hors de l'ordre normal des choses de notre monde) dans la science-fiction. En analysant ce qui est propre à ce genre, cet essai vise à comprendre les avenues qu'offre l'extraordinaire à l'écrivain. L'hypothèse étant que les constructions d'univers fantaisistes de la science-fiction remettent en perspective des réalités sociales et en permettent une réinterprétation. Ce genre offre à l'auteur la possibilité de critiquer la société à partir des constituants de ses univers fictifs parce que l'effet de distanciation créé par l'utilisation de l'ailleurs est porteur d'une vision du monde. Ainsi derrière la trame narrative se cache une intention idéologique que le lecteur ne voit pas nécessairement, puisque l'emphase mise sur les actions des personnages la voile. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Science-fiction, Extraordinaire, Engagement, Ailleurs, Utopie, Étrangeté.

La première partie de ce mémoire se constitue d'un recueil de nouvelles présentant une alternance entre la science-fiction et la fiction mimétique. Les textes qui composent le recueil présentent des variations sur l'absence, autant du côté réaliste que science-fictionnel. À travers ces modulations sur la solitude, c'est l'essence même de l'individu qui est interrogée, autant par rapport à lui-même qu'en fonction du regard de l'autre. La coprésence de la science-fiction et de la fiction réaliste au sein du recueil permet de souligner ce questionnement en multipliant les points de vue littéraires et les possibilités métaphoriques. Cette cohabitation permet également d'explorer le dialogue possible entre les deux hypogenres ainsi que l'effet de tension qui en résulte. La deuxième partie cherche à définir la science-fiction par rapport à la fiction mimétique dans le contexte d'une démarche d'écriture. Il est pris comme hypothèse de départ que les deux types de fictions utilisent des référents différents : la fiction réaliste se rapporte directement à l'environnement de l'auteur, tandis que la science-fiction se développe autour d'une série de novum, de divergences, de déformations, d'extrapolations par rapport aux connaissances liées à la réalité sociale ou scientifique. L'appareil réflexif se divise en deux chapitres : il est question, dans un premier temps, d'étudier les conséquences de ces divergences dans la façon de représenter la réalité dans le cadre d'une activité créatrice. Le deuxième chapitre aborde aussi la question des genres, mais selon les angles de la limite, de la frontière et du territoire, dans le but de déterminer comment ces concepts peuvent s'appliquer à une démarche oscillant entre deux régimes de fiction. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : solitude, absence, individu, science-fiction, réel.

My project is an examination of the concept of authenticity, as it is problematized in the works of Philip K. Dick; specifically, in his Hugo Award-winning The Man in the High Castle (1962) and in his best-selling novel Do Androids Dream of Electric Sheep? (1968). Dick believes that authenticity is essential for human existence, but finds the concept problematized by technologies which make possible increasingly perfect reproductions and replications, as well as by the effect these technologies have on the human subject. Furthermore, these technologies are linked to the economic mode of advanced consumerism.<p>Taking my lead from Fredric Jameson and the contributors to the journal Science-Fiction Studies, I view Dick's work as a form of cultural criticism, and an engagement with postmodernism. In this light, the problem of authenticity in Dick's work is revealed as symptomatic of his criticism of mass, consumer culture. My thesis therefore becomes an examination of Dick's relationship to postmodernism, with a special focus on how that relationship affects his dealings with the idea of authenticity.

I denna uppsats har en audiovisuell analys gjorts på de inledande minuterna till filmen 9 med ett stort fokus på ljudet. Syftet med uppsatsen var att beskriva och skapa en ökad förståelse för ljudets funktioner i filmen samt se på hur ljudet påverkade filmupplevelsen. Förhoppningen med detta var också att bidra till en bättre förståelse av filmljud och ljuddesign i helhet och vad det bidrar till berättarfunktionen i film. I uppsatsen granskades först ljud och bild för sig och slogs sedan ihop till sin helhet och analyserades utifrån en teoribildning av franska författaren Michel Chion.Ljudets viktigaste funktioner i filmen 9 var att ge en trovärdighet och äkthet, att beskriva föremål och speciellt huvudkaraktärens fysiska attribut samt att ge en respons på det som sker i bild. Vidare fyller ljudet funktioner som att beskriva rum och miljö som ger åskådaren en tydlig känsla för omgivningen filmen. Filmljudet hjälper även till att leda åskådarens uppmärksamhet och beskriva föremål eller personers innebörd. Den kanske absolut viktigaste funktion som ljudet har är att ge åskådaren en djupare förståelse för handlingen.

Dissertation--Fachbereich Philosophie und Geisteswissenschaften--Berlin--Freie Universität, 2006. / Bibliogr. p. 208-220.

Thesis : Martin-Luther-Univ., Halle-Wittenberg, Halle, Deutschland, 2007. / Includes bibliographical references.

The following report describes the pre-production, production and post-production of the film The Gliders of Arco-do-Santi, by tracking how diverse elements of the story changed from the original story concept into the finished film. / text

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This dissertation argues that in industrial society technology is not merely an immaterial, abstract set of machines but instead has a rhetoric all its own. This rhetoric of technology consists of myriad elements, ranging from cultural conversations about machines and the engineering principles from which they're derived to class relationships naturalized by industrial structures.In the United States, the rhetoric of technology focuses on individuals, creating cults of personality that embody an otherwise abstract entity. This dissertation asserts that these cults focus on specific components of the process of technological development, represented as inventors, engineers, and hackers.The bulk of the dissertation explores the creation and continuation of these cults in American popular culture. Specifically, it examines how these representations are used in the science fiction pulp magazines, published from 1926-1949. Each cult has a period of ascendancy followed by a lessened importance in the rhetoric of technology, and these ebbs and flows are thoroughly represented in the pulps.Each of these cults has its own chapter, with Chapter 1 focusing on the history and definition of the term 'rhetoric of technology' and Chapter 5 examining ways to teach the rhetoric of technology in the college classroom. Chapter 2 focuses on inventors; Chapter 3 examines engineers; and Chapter 4 traces the beginnings of hackers.