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Counter-terrorism and the suppression of political pluralism : an examination of the anti-terrorism proclamation of Ethiopia

Bekele, Melhik A. 10 October 1900 (has links)
In the wake of the 11 September 2001 attacks in the United States (U.S.), many states, responding to United Nations (UN) Security Council Resolutions, began to adopt an increased array of counter-terrorism measures.The Security Council had not in the beginning pre-empted the risk of counter-terrorism measures violating counter-terrorism human rights as it failed to immediately refer to states‟ duty to respect human rights in their responses to terrorism. It was only in 2003, in Resolution 1456, that the Security Council stated such duty by providing that „states must ensure that any measures taken to combat terrorism must comply with all their obligations under international law, in particular international human rights, refugee and humanitarian law". / Thesis (LLM (Human Rights and Democratisation in Africa)) -- University of Pretoria, 2010. / Dissertation submitted to the Faculty of Law University of Pretoria, in partial fulfilment of the requirements for the degree Masters of Law (LLM in Human Rights and Democratisation in Africa). Prepared under the supervision of Prof. Nii A. Kotey, Faculty of Law, University of Ghana. Ghana. 2010. / http://www.chr.up.ac.za/ / Centre for Human Rights / LLM
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L'interprétation et le contrôle de la légalité des résolutions du Conseil de sécurité

Saihi, Majouba 04 1900 (has links)
"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures En vue de l'obtention du grade de Maître en droit (L.L.M)" / L'interprétation est un domaine du droit très complexe, dont l'intérêt est de définir ou de déterminer le sens et la portée des règles de droit en vigueur. L'interprétation va ainsi clarifier un texte juridique. Là où l'obscur réside, l'interprétation, telle une lanterne, vient éclaircir l'acte juridique. L'interprète aura alors recours à une argumentation pour convaincre son auditoire. Certains États interpréteront de manière extensive les textes juridiques. Ce phénomène se constate notamment au moment de l'interprétation des résolutions du Conseil de sécurité. Face au pouvoir discrétionnaire des États, la mise en place d'un régime juridique donné éviterait toutes interprétations abusives. La première partie de cette étude aura pour objet d'étudier les différentes règles en matière d'interprétation, telles précisées dans la Convention de Vienne sur le droit des traités de 1969. La deuxième partie sera consacrée d'une part à un historique des résolutions du Conseil de sécurité et d'autre part à l'application des règles d'interprétation à deux études de cas. L'historique retracera l'évolution des résolutions avec comme césure la fin de la Guerre Froide. Ensuite, nous verrons à travers deux exemples, comment les États peuvent interpréter de manière extensive, voir abusive les résolutions du Conseil de sécurité. Ces études de cas nous conduiront à étudier la pertinence de l'argumentaire utilisé par les États pour justifier leur interprétation. Ceci aura pour intérêt de montrer le rôle stratégique du phénomène interprétatif pour la mise en oeuvre des intérêts étatiques. Cela permettra d'ouvrir une réflexion sur le contrôle de la légalité des résolutions du Conseil de sécurité, ce dernier devenant nécessaire face à la liberté dont jouie le Conseil. Ce contrôle permettrait d'une part de rétablir un équilibre organique au sein du système onusien, et il permettrait d'autre part de redorer le blason du Conseil de sécurité en lui conférant une certaine légitimité. / Interpretation is a very complex dimension of law whose relevance lies in defining or determining the meaning and the scope of the legal mIes. In this respect, interpretation elucidates a judicial text. Where obscurity lies, interpretation -like a lantem- brings light to the judicial act. The interpreter will thus resort to argumentation in order to convince the « interpretative community ». Sorne States will not hesitate to interpret judicial texts in a broad manner. This phenomenon can better be observed in the interpretation of Security Council resolutions. Faced with the discretionary powers of States, the creation of a judicial framework would bring to an end most instances of abusive interpretations. Part 1 studies the several mIes in of interpretation as established by the 1969 Vienna Convention on the Rights of Treaties. Part II will focus on both the history of the Security Council resolutions of and the application of the interpretation mIes of the Vienna Convention in light of two cases. The historical overview will retrieve the evolution of the resolutions until the end of the Cold War. Following this, we will see through the examples of the Kosovo and Iraq conflicts, how broadly, and even abusively, States can interpret Security Council resolutions. The two case studies will lead us to an analysis of the pertinence of the argumentation used by the States to justify their interpretation. This will show the strategie role that the interpretative phenomena play in the carrying out of State interests. It will lead to a reflection on the control of the legality of Security Council resolutions, a control necessary considering the liberty that the Council currently enjoys. On the one hand, this control would allow to reestablish an organic equilibrium within the UN. On the other hand, it would enhance the Security Council's image by conferring on it a certain legitimacy.
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L'interprétation et le contrôle de la légalité des résolutions du Conseil de sécurité

Saihi, Majouba 04 1900 (has links)
L'interprétation est un domaine du droit très complexe, dont l'intérêt est de définir ou de déterminer le sens et la portée des règles de droit en vigueur. L'interprétation va ainsi clarifier un texte juridique. Là où l'obscur réside, l'interprétation, telle une lanterne, vient éclaircir l'acte juridique. L'interprète aura alors recours à une argumentation pour convaincre son auditoire. Certains États interpréteront de manière extensive les textes juridiques. Ce phénomène se constate notamment au moment de l'interprétation des résolutions du Conseil de sécurité. Face au pouvoir discrétionnaire des États, la mise en place d'un régime juridique donné éviterait toutes interprétations abusives. La première partie de cette étude aura pour objet d'étudier les différentes règles en matière d'interprétation, telles précisées dans la Convention de Vienne sur le droit des traités de 1969. La deuxième partie sera consacrée d'une part à un historique des résolutions du Conseil de sécurité et d'autre part à l'application des règles d'interprétation à deux études de cas. L'historique retracera l'évolution des résolutions avec comme césure la fin de la Guerre Froide. Ensuite, nous verrons à travers deux exemples, comment les États peuvent interpréter de manière extensive, voir abusive les résolutions du Conseil de sécurité. Ces études de cas nous conduiront à étudier la pertinence de l'argumentaire utilisé par les États pour justifier leur interprétation. Ceci aura pour intérêt de montrer le rôle stratégique du phénomène interprétatif pour la mise en oeuvre des intérêts étatiques. Cela permettra d'ouvrir une réflexion sur le contrôle de la légalité des résolutions du Conseil de sécurité, ce dernier devenant nécessaire face à la liberté dont jouie le Conseil. Ce contrôle permettrait d'une part de rétablir un équilibre organique au sein du système onusien, et il permettrait d'autre part de redorer le blason du Conseil de sécurité en lui conférant une certaine légitimité. / Interpretation is a very complex dimension of law whose relevance lies in defining or determining the meaning and the scope of the legal mIes. In this respect, interpretation elucidates a judicial text. Where obscurity lies, interpretation -like a lantem- brings light to the judicial act. The interpreter will thus resort to argumentation in order to convince the « interpretative community ». Sorne States will not hesitate to interpret judicial texts in a broad manner. This phenomenon can better be observed in the interpretation of Security Council resolutions. Faced with the discretionary powers of States, the creation of a judicial framework would bring to an end most instances of abusive interpretations. Part 1 studies the several mIes in of interpretation as established by the 1969 Vienna Convention on the Rights of Treaties. Part II will focus on both the history of the Security Council resolutions of and the application of the interpretation mIes of the Vienna Convention in light of two cases. The historical overview will retrieve the evolution of the resolutions until the end of the Cold War. Following this, we will see through the examples of the Kosovo and Iraq conflicts, how broadly, and even abusively, States can interpret Security Council resolutions. The two case studies will lead us to an analysis of the pertinence of the argumentation used by the States to justify their interpretation. This will show the strategie role that the interpretative phenomena play in the carrying out of State interests. It will lead to a reflection on the control of the legality of Security Council resolutions, a control necessary considering the liberty that the Council currently enjoys. On the one hand, this control would allow to reestablish an organic equilibrium within the UN. On the other hand, it would enhance the Security Council's image by conferring on it a certain legitimacy. / "Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures En vue de l'obtention du grade de Maître en droit (L.L.M)"
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United Nations Security Council Resolutions in Africa : the conundrum of state and human insecurity in Libya.

Ekwealor, Chinedu Thomas. January 2013 (has links)
Both interventionist and anti-interventionist scholars have advanced the view that the 2011 Libyan conflict probes the need to establish an international organisation to settle disputes between nations with a view to maintaining international peace and security. Ironically, 67 years after the founding of the United Nations, post-colonial African states remain deeply troubled and affected by conflicts that are often exacerbated by United Nations Security Council (UNSC) Resolutions. The 2011 Libyan conflict was not a war for democracy; rather, it represented and demonstrated clearly the asymmetrical relations between Africa and Europe. This study therefore, is anchored on the thesis that the Western Countries—especially Britain and France—within the UNSC ignore the values that are embodied in the Treaty of Westphalia which established state sovereignty. Some Permanent five (P5) members of the UN were typically insensitive to Libya’s sovereignty and to the creed of democracy and this inevitably undermined the national security of the state in favour of the ‘Responsibility to Protect’ clause. The outsourcing of the UNSC’s mission, among other things, in Libya to ensure ‘international peace and security’ to the North Atlantic Treaty Organisation (NATO) was a critical reason for the loss of human lives and values in the 2011 Libyan pogrom. The introduction of a no-fly zone over Libya and the use of Responsibility to Protect (R2P) contained in UNSC Resolution 1973 clearly stoked the conflict in Libya in order to further the political and pecuniary interests of some of the P5 members. The involvement of NATO and the attendant bombing campaign in Libya served to undermine the militarily weak continent of Africa in its effort to broker peace under the umbrella of the African Union (AU). In order to secure these political and economic interests, the NATO jet bombers declared war against a sovereign UN member state and openly participated in the eventual overthrow and death of the Libyan leader, Muammar Gaddafi. In essence, this study underscores that the use of Responsibility to Protect in Libya was orchestrated at the highest level of international politics to justify external interference and ultimately, to secure regime change in Libya. The net effect of the outcome of the 2011 Libyan conflict is the post-war imperial control of Libya’s natural resources facilitated by the National Transition Committee established by these imperial forces. The extent of the damage caused by the UN-backed NATO intervention in Libya is also the result of the collective failure of the African Union to assert itself in the Libyan situation. / Thesis (M.A.)-University of KwaZulu-Natal, Pietermaritzburg, 2013.

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