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An intelligence advantage, collective security benefits gained by Canada through the sharing of military intelligence with the United States of AmericaSkaarup, H. A. January 1997 (has links) (PDF)
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Voix de guerre : le renseignement au sein de l'armée française lors de la guerre de Sept Ans en Amérique du NordGagné, Joseph 06 March 2024 (has links)
La partie coloniale de la guerre de Sept Ans commence en 1754 et prend fin officiellement en 1763. Alors que la guerre avance, il devient évident que le rapport de force entre les troupes de la France et celles de la Grande-Bretagne est inégal. Se trouvant dans la position faible, l’état-major français doit donc pallier ce déséquilibre par tous les moyens possibles. Parmi ceux-ci, l’administration coloniale s’appuie sur le renseignement militaire afin de se mettre au courant des plans de l’adversaire et afin de maintenir la cohésion de sa propre armée éparpillée sur le territoire. Jusqu’à quel degré peut-on accorder une utilité à ces « voix de guerre » en Amérique sous le Régime français? Abordée thématiquement, cette thèse examine la création et la cueillette d’informations, leur dissimulation et leur extirpation de l’adversaire, les réseaux de communication par lesquels elles circulent, sont disséminées et acheminées dans la hiérarchie de l’armée française et enfin, les entraves à leur interprétation. En somme, tous les moyens sont bons—parfois même de véritables élans de désespoir—pour surmonter les défis d’une infrastructure fragile afin de maintenir les communications et la cohésion interne. Malgré ses nombreuses failles et faiblesses, le renseignement a permis à l’armée française de mener sa défense sur une plus longue durée, démontrant également encore une fois que l’état-major a fait ce qu’il a pu avec ce qu’il avait à sa disposition. / The colonial portion of the Seven Years’ War began in 1754 and officially ended in 1763. As the war progressed, it became evident that the balance of available troops between the armies of France and Great Britain was uneven. Being in the weaker position, the head of the French army therefore had to make up for this imbalance by all possible means. Among these, the colonial administration relied on military intelligence to uncover the opponent’s plans and to maintain the internal cohesion of its own army scattered over the territory. To what extent were these “voices of war” of use in America under the French Regime? Applying a thematic approach, this thesis examines the creation and gathering of various informations of use to military intelligence, their concealment and their extirpation from the adversary, the communication networks through which they circulated, were disseminated, and were dispatched throughout the hierarchy of the French army, and finally, the obstacles to their interpretation. In short, any and all means were necessary—sometimes representing nothing less than true leaps of faith—to overcome the intrinsic challenges of an already fragile infrastructure in order to maintain communications and an internal cohesion. Despite their many flaws and weaknesses, these logistics of military intelligence were used to bridge the power gap between French and British forces by enabling the French army to maintain its defensive position over a longer period of time, demonstrating once more that the head of the army did what it could with what it had at its disposal.
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La coordination de la politique canadienne de renseignement dans le cadre de relations de coopération institutionnaliséesBarsalou, Mathieu January 2008 (has links) (PDF)
La politique canadienne de renseignement est un des aspects les moins connus de la sécurité nationale. Nous proposons dans ce mémoire d'observer le phénomène de sa coordination avec celle des alliés du Canada à deux moments et dans deux domaines précis: lors de la création de la capacité moderne du Canada en matière de renseignement électromagnétique (1939-1950), et lors de la création du Centre Intégré d'Évaluation des Menaces en 2004. Nous procéderons à l'observation de la coordination de la politique canadienne par le biais d'une recherche historique de la contribution des alliés du Canada dans le premier cas et par une approche plus comparative dans le second. Ceci nous permettra de souligner les similarités croissantes qui peuvent être trouvées entre les politiques du Canada, du Royaume-Uni et des États-Unis. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Renseignement, Politique de sécurité, Canada, États-Unis, Royaume-Uni, Services de renseignement.
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L'« observateur » officieux : John Franklin Carter et son réseau du renseignement au service du président Roosevelt de 1941 à 1945Durand , Mathieu January 2010 (has links) (PDF)
Ce que nous nommons ici le réseau Carter fut un service secret de renseignements financé à l'aide des fonds d'urgence présidentiels, fonds octroyés en vertu du Military Appropriation Act, qui mena de nombreuses opérations sans aucun statut officiel pour le compte personnel du président Roosevelt de 1941 à 1945. À la tête de ce réseau figurait un dénommé John Franklin Carter, un éditorialiste libéral travaillant aussi à titre de romancier et rédacteur de discours. Jusqu'à ce jour, il n'existe aucun ouvrage de synthèse consacré au réseau Carter alors que certaines de ses assignations les plus importantes ont fait l'objet d'études spécifiques. À l'aide des monographies existantes sur le sujet et de sources, dont l'essentiel est constitué de mémorandums de Carter à l'intention du Président, notre recherche propose un bilan et une évaluation des principales assignations de l'agence Carter, ainsi qu'un examen de l'évolution organisationnelle de ladite agence. L'observation des divers champs d'activités du réseau nous amènera aussi à traiter d'assignations peu ou non étudiées. En procédant ainsi, nous montrerons que le réseau Carter fut utile à Roosevelt puisqu'il constituait un canal d'informations supplémentaires permettant à ce dernier de bénéficier d'un service capable de contourner son propre système de renseignement, d'épier et d'évaluer les services de renseignement concurrents ou toute autre personne ou organisation suspecte aux yeux du Président, de fournir des analyses politiques et du renseignement tant étranger que domestique, et finalement d'être une organisation capable de mener secrètement des projets spéciaux. Selon nous, grâce aux services du réseau Carter, Roosevelt bénéficiait d'un outil qui, sans être le plus important parmi ceux à sa disposition, était unique en son genre et comportait des fonctionnalités multiples. En somme, nous soutenons que malgré des lacunes évidentes, le réseau Carter contribua tout de même à l'effort de guerre et aida à l'instauration d'un système de renseignement plus efficace. De fait, nous soutiendrons que le réseau Carter fut utile, sans toutefois être important. Cela étant, une meilleure connaissance du réseau Carter permettra de mieux connaître la pensée du président Roosevelt et d'enrichir la connaissance au sujet de l'évolution du renseignement américain à un moment où celui-ci était en pleine métamorphose. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : John Franklin Carter, Franklin Delano Roosevelt, Agences américaines du renseignement, États-Unis, Deuxième Guerre mondiale.
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Bitter harvest, a case study of Allied operational intelligence for Operation Spring Normandy, July 25, 1944O'Keefe, David R. January 1997 (has links) (PDF)
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Winning trench warfare, battlefield intelligence in the Canadian Corps, 1914-1918Jenkins, Danny R. January 1999 (has links) (PDF)
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L'imputabilité des services de renseignement au Canada : le Service canadien du renseignement de sécurité et le Centre de la sécurité des télécommunicationsBreton, Julie 11 April 2018 (has links)
Ce mémoire analyse l'imputabilité du Service canadien de renseignement de sécurité et du Centre de la sécurité des télécommunications selon le modèle développé par les chercheurs Hans Born et Ian Leigh. Ce modèle comporte quatre niveaux d'analyse : le contrôle exercé au sein du service de renseignement, le rôle de l'exécutif dans le contrôle des services de renseignement, le rôle du Parlement dans la révision des services de renseignement et le rôle des entités indépendantes d'examen. Pour chacun de ces niveaux d'analyse, on retrouve un certain nombre d'indicateurs selon lesquels le niveau d'imputabilité du Service canadien du renseignement de sécurité et du Centre de la sécurité des télécommunications est analysé.
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La perception de la menace nucléaire soviétique par l'Office of Reports & Estimates, 1946-1950 : pourquoi ont-ils raté la bombe?Demers, Marc 11 April 2018 (has links)
En 1950, la Central Intelligence Agency (CIA) fut le théâtre d'une profonde réorganisation, trois années seulement après son implantation. L'origine de cette tourmente s'appelait Joe-1, la première bombe atomique soviétique. La victime qui paya le prix pour ce manque d'efficacité fut l’Office of Reports and Estimates (ORE). Responsable d'estimer - entre autres - l'avancement de l'Union soviétique en matière d'armement nucléaire, l'ORE fut rapidement démantelé et condamné sans réserve par la communauté américaine du renseignement. Pourtant, l'ORE était un des fleurons des services secrets américains par la qualité de son personnel issu des grandes universités et des prestigieuses académies militaires. Que s'est-il passé? Où l'ORE a-t-il commis une faute? Que savait-il exactement sur le programme atomique soviétique? Quelle était sa perception de la menace stratégique soviétique? Pour répondre à ces questions, il nous faut retourner aux sources et analyser les estimations d'intérêt national (NIE) que l'ORE produisait à un rythme quasi industriel. C'est alors que nous verrons que l'ORE a péché par excès de confiance; par triomphalisme. Pour l'ORE, nul ne pouvait surpasser les Etats-Unis dans sa marche vers le progrès, il se trompa. / When the CIA's Office of Reports and Estimates (ORE) was dismantled in 1950; many were eager - in the U.S. Intelligence Community - to condemn its performance without reservation. Although many reasons were cited for reorganizing the CIA'S analytical structure, the failure to accurately predict the explosion of Joe-1, the first Soviet atomic bomb in 1949 was the foremost point. But ORE was the brainchild of highly trained militaries and recognized scholars. It was one of the «state of the art» agencies of the American secret services. What went wrong? What exactly did ORE say about the Soviet atomic energy program9 What evidence was available, and how did ORE make use of this material9 What was ORE's perception of the Soviet nuclear threat9 To answer those questions, we must go back in time, back to the roots of this dilemma that lies in the national interest estimates (NIE), which ORE produced at an industrial rate. It is then that we will see ORE's own mistake, its excessive confidence in the American way of life: its triumphalism. Because for ORE, nothing can surpass America in any domain, time will tell differently. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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