• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 3
  • 3
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Détermination de l'origine géographique des graines et fruits du Karité et du Physalis par l’utilisation d’empreintes génétiques. Étude de la communauté microbienne par PCR/DGGE. Analyse des activités biologiques d'extraits de fruits / Determination of geographical origin of Physalis and Shea tree fruits by genetic fingerprintes. Study of microbial community by PCR/DGGE. Analysis of biological activities of extracts of fruit

Sheikha, Ali El 13 December 2010 (has links)
Les échanges commerciaux s'intensifient et s'étendent à l'ensemble de la planète. Le consommateur est exigeant et sensible à la qualité et à l'origine des produits alimentaires qu'il achète. Devant la difficulté de mettre en place des systèmes documentaires dans les pays d'Afrique sub-saharienne, des nouvelles stratégies de traçabilité émergent. Parmi les nouveaux moyens de tracer les produits d'origine végétale, l'idée de créer un « code barre biologique » basé sur l'analyse des ADN de microorganismes présents sur les fruits est une piste intéressante. Cette thèse est l'objet d'étude d'un WP dirigé par D. Montet obtenu dans le cadre du projet Inco Innovkar géré par JM Bouvet de l'UR 39. Cette méthode repose sur l'hypothèse que la microflore commensale du fruit de karité est spécifique entre autre d'une zone géographique de production. L'écologie des bactéries, levures et moisissures seront étudiées par le thésard sur le karité et le Physalis, une plante à fruit de la même zone géographique à fort potentiel commercial. L'analyse biochimique des fruits ainsi que l'activité antimicrobienne de certaines molécules sera étudiée (physaline). / Trade intensified and spread to the entire planet. The consumer is demanding and sensitive to the quality and origin of food products they buy. Given the difficulty of setting up documentation systems in countries in sub-Saharan Africa, new strategies are emerging traceability. Among the new means of tracing products of plant origin, the idea of creating a "biological bar code" based on the analysis of DNA of microorganisms on fruit is an interesting idea. This thesis is the subject of a study conducted by D. Montet WP obtained under the Inco project managed by JM Bouvet Innovkar of UR 39. This method assumes that the commensally microflora of the fruit of Shea is among other a specific geographical area of production. The ecology of bacteria, yeasts and molds will be reviewed by the PhD student on Shea butter and Physalis, a plant with fruit of the same geographical area with high commercial potential. Biochemical analysis of fruit and antimic robial activity of certain molecules will be studied (physaline).
2

Soil and Mold Influences on Fe and Zn Concentrations of Sorghum Grain in Mali, West Africa

Verbree, Cheryl 2012 August 1900 (has links)
Iron (Fe) and zinc (Zn) deficiencies affect an estimated 3 billion people worldwide and are linked with cognitive and physical impairments, maternal and child mortality rates, and decreased adult work activity. To combat this "hidden" hunger, plant breeders in Mali are working to increase sorghum grain Fe and Zn concentrations. The objective of this study was to investigate soil and mold influences that affect Fe and Zn uptake and accumulation in sorghum grain. In southern Mali, soils from participatory sorghum variety trials and areas of different parent material and proximity to Shea (Vitellaria paradoxa) trees were analyzed for diethylenetriaminepentaacetic acid (DTPA)-extractable Zn and related soil properties, and sorghum grain was analyzed for Zn concentration. An inoculation trial was also performed at College Station, TX to determine if sorghum grain infected by the mold Curvularia lunata significantly increased grain Fe concentrations. DTPA-extractable Zn concentration was highly variable with high concentrations found in soils under Shea tree canopies with high pH and organic carbon and derived from mafic, high Zn-content parent material. However, these high concentrations did not significantly affect grain Zn concentrations in sorghum grown outside of the canopy. Groundnut grown underneath the canopy is likely to be affected and warrants further investigation. In many cases, soil DTPA-extractable Zn concentrations were at deficient levels, thus hampering its correlation to sorghum grain Zn concentration and potentially limiting the expression of genetic Zn biofortification. Knowledge of soil DTPA-extractable Zn concentrations or basic soil properties such as pH, organic carbon, and soil parent material may aid in the location of suitable available Zn fields and overall biofortification efforts. Grain Fe concentration was not significantly related to Curvularia lunata percent recovery or grain mold rating, but instead showed a relatively high variance by panicle, digestion batch, and grain subsample. Additional work is needed to address these sources of Fe variation so as to determine better if mold affects grain Fe concentrations.
3

Biologie de la reproduction, phylogéographie et diversité de l'arbre à beurre Pentadesma butyracea Sabine, Clusiaceae: implications pour sa conservation au Bénin / Reproductive biology, phylogeography and diversity of the butter tree Pentadesma butyracea Sabine, Clusiaceae: implications for its conservation in Benin

Ewedje, Eben-Ezer 18 September 2012 (has links)
Pentadesma butyracea Sabine est l’une des quatre espèces du genre Pentadesma endémique de l’Afrique. Elle est distribuée de la Sierra Léone au Gabon dans deux grands types d’habitats :les forêts denses humides discontinues du domaine guinéo-congolais (Haute- et Basse-Guinée) et le domaine soudanien du couloir sec du Dahomey (assimilé à une barrière à l’échange de gènes et d’espèces entre les deux blocs guinéo-congolais). Dans ce dernier, l’espèce se retrouve dans des galeries forestières et occupe une place capitale dans le développement socio-économique des communautés locales en raison des multiples biens et services que procurent ses produits (alimentation, médecine et pharmacopée traditionnelle, etc.). Cependant, des pressions d’origines multiples, telles que le ramassage des graines pour fabriquer du beurre, la fragmentation de l’habitat et sa destruction en faveur du maraîchage, les pratiques culturales inadaptées, les incendies, font peser de lourdes menaces sur l’espèce.<p>Le but de ce travail est d’acquérir les connaissances requises pour la conservation et la gestion durable des ressources génétiques de l’espèce. Trois objectifs ont été définis :(i) étudier la phylogéographie de l’espèce, (ii) étudier sa variabilité morphologique et génétique au Bénin et (iii) caractériser sa biologie de reproduction. En amont de ces travaux, nous avons développé onze marqueurs microsatellites nucléaires chez P. butyracea (chapitre 2). Ils ont été utilisés pour l’étude de la phylogéographie et la diversité génétique de P. butyracea (chapitres 3 et 5), ainsi que pour étudier la dépression de consanguinité et les paramètres de son système de reproduction (chapitre 7).<p>La caractérisation de la répartition spatiale des lignées génétiques de régions intergéniques de l’ADN chloroplastique et de l’ADN ribosomal (ITS) a détecté deux lignées génétiques allopatriques entre le Haut et le Bas-Guinéen, indiquant une forte différenciation génétique et un signal phylogéographique. L’analyse des microsatellites détecte trois pools géniques correspondant aux trois régions étudiées (Haute Guinée, Dahomey Gap et Basse Guinée). La diversité génétique est faible dans le Dahomey Gap, modérée dans le Haut-Guinéen et élevée dans le Bas-Guinéen. Ces résultats indiquent une séparation très ancienne des populations d’Afrique centrale et d’Afrique de l’ouest, alors que celles du Dahomey Gap pourraient résulter des forêts denses humides de l’Afrique de l’ouest lors de la période Holocène humide africaine. Dans ce couloir sec, les populations ont subi une forte dérive génétique, potentiellement due à des évènements de fondation. Au Bénin, deux groupes éco-morphologiques ont été détectés suivant un gradient nord-sud, contrastant avec deux pools géniques présentant une distribution est-ouest. <p>P. butyracea est une espèce auto-compatible majoritairement allogame. La corrélation de paternité est plus élevée aux niveaux intra-fruit vs. inter-fruits, et au sein d’une population de petite taille vs. de grande taille. Les principaux pollinisateurs au Bénin sont deux oiseaux (Cyanomitra verticalis, Cinnyris coccinigastrus) et trois abeilles (Apis mellifera, Meliponula togoensis, Hypotrigona sp.). La productivité totale en fruits augmente en fonction de l’âge de l’arbre et varie en fonction de l’année, atteignant un pic pour les arbres ayant un diamètre de 60-80 cm. Les graines sont récalcitrantes et ont une teneur en eau de 42.5 ± 2.9 %. <p>L’analyse des paramètres de reproduction et de diversité génétique, associés aux facteurs écogéographiques, nous a permis de proposer un échantillon de neuf populations représentatives de la diversité à l’échelle du Bénin, dans la perspective d’une conservation in situ. Le succès de celle-ci dépendra des efforts conjugués des communautés locales, de la recherche forestière et de la définition d’un cadre législatif par le politique pour la protection des habitats. La conservation ex situ est envisagée sous forme d’un verger rassemblant diverses origines, présentant l’intérêt supplémentaire de permettre d’étudier les contributions de la diversité génétique et de la plasticité phénotypique à la variation phénotypique. / Pentadesma butyracea Sabine is one of the four species of the endemic genus Pentadesma in Africa. The species is distributed from Sierra Leone to Gabon in two major types of habitats: the discontinuous and dense Guineo-Congolian rainforests (Upper and Lower Guinea) and the Sudanian domain of the dry corridor of Dahomey (considered as a barrier to the exchange of genes and species between Upper and Lower Guinea). In the latter, the species is found in gallery forests and plays a vital role in the socio-economic livelihood of local communities due to the various resources and services that provide its products (food, medicine and traditional, etc.). However, pressure from many sources including the collection of seeds to make butter, habitat fragmentation and its destruction for market gardening, inadequate agricultural practices, fires, are serious threats to the species.<p>The aim of this work was to acquire appropriate knowledge for the conservation and sustainable management of genetic resources of the species. Three objectives were defined (i) study the phylogeography of the species; (ii) evaluate its morphological and genetic variability in Benin; and (iii) characterize its reproductive biology. In a preliminary work, eleven nuclear microsatellite markers of P. butyracea were developed (Chapter 2). They were used for the study of phylogeography and genetic diversity of P. butyracea (chapters 3 and 5), and to study the inbreeding depression and parameters of its breeding system (Chapter 7).<p>The characterization of the genetic lineages and their spatial distribution using intergenic regions from chloroplast DNA and ribosomal DNA (ITS) region detected two allopatric genetic lineages between Upper and Lower Guinea, indicating a high genetic differentiation and a phylogeographic signal. Microsatellite markers allowed us to detect three genepools matching with the three studied regions (Upper Guinea, Dahomey-Gap and Lower Guinea). Genetic diversity was low in the Dahomey Gap, moderate in Upper Guinea and high in Lower Guinea. These results indicate an ancient separation of populations from Central and West Africa, while those from Dahomey Gap could originate West African rainforests (Upper Guinea) during the African humid Holocene period. In this dry corridor, populations experienced high genetic drift, possibly due to founding events. In Benin, two eco-morphological groups were detected following a north-south gradient, contrasting with two gene pools presenting an east-west distribution.<p>Pentadesma butyracea is a self-compatible, mainly allogamous species. The correlation of paternity was higher within-fruit vs. among-fruits, and in population of small size vs. large size. The main pollinators in Benin are two birds (Cyanomitra verticalis, Cinnyris coccinigastrus) and three bees (Apis mellifera, Meliponula togoensis, Hypotrigona sp.). Total productivity in fruit increases with tree age and varies yearly, reaching a peak for trees of 60-80 cm of diameter class. Seeds are recalcitrant (i.e. they cannot be conserved at low temperature), having a water content of 42.5 ± 2.9% at maturity.<p>The analysis of reproduction and genetics parameters, associated with eco-geographic factors, enabled us to select nine populations representative of the diversity in Benin, from the perspective of in situ conservation. The success of the latter will depend on combined efforts of local communities, forest research and an adequate legislative framework for the protection of habitats. Ex situ conservation is envisaged as an orchard assembling various origins, and would have the additional advantage of allowing to study the contribution of genetic diversity and phenotypic plasticity to phenotypic variation. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.0732 seconds