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Entre imagens e sobrevivências: notas sobre Noite e neblina e Shoah

LESSA FILHO, Ricardo Fernando Ferreira 26 February 2016 (has links)
Submitted by Pedro Barros (pedro.silvabarros@ufpe.br) on 2018-08-03T19:10:54Z No. of bitstreams: 2 license_rdf: 811 bytes, checksum: e39d27027a6cc9cb039ad269a5db8e34 (MD5) DISSERTAÇÃO Ricardo Fernando Lessa Filho.pdf: 2799610 bytes, checksum: 5044257a15045216f2a4817ab09a102a (MD5) / Approved for entry into archive by Alice Araujo (alice.caraujo@ufpe.br) on 2018-08-09T18:03:29Z (GMT) No. of bitstreams: 2 license_rdf: 811 bytes, checksum: e39d27027a6cc9cb039ad269a5db8e34 (MD5) DISSERTAÇÃO Ricardo Fernando Lessa Filho.pdf: 2799610 bytes, checksum: 5044257a15045216f2a4817ab09a102a (MD5) / Made available in DSpace on 2018-08-09T18:03:29Z (GMT). No. of bitstreams: 2 license_rdf: 811 bytes, checksum: e39d27027a6cc9cb039ad269a5db8e34 (MD5) DISSERTAÇÃO Ricardo Fernando Lessa Filho.pdf: 2799610 bytes, checksum: 5044257a15045216f2a4817ab09a102a (MD5) Previous issue date: 2016-02-26 / FACEPE / Esse projeto objetiva analisar a partir de imagens que sobreviveram ao genocídio perpetrado pelo nazismo o que resistiu da vida humana e deste modo resgatar de tais imagens sua ardência, sua clemência mais íntima e dolorida. Ver mais verdadeiramente as imagens de Noite e neblina e Shoah é resgatar uma história dos vencidos, é dar uma fisionomia possível à memória do horror nazista. Em ambos os filmes as imagens possuem um traço de resistência à destruição, e por justamente resistir à aniquilação absoluta as imagens de Noite e neblina e Shoah ardem ao tocar o real e deste modo parecem queimar quem as vê – porque sua sobrevivência exige que as olhemos, que a interpretemos de outro modo, de forma mais verdadeira. Nossa hipótese é a de que na indivisível fortaleza à desaparição essas imagens (arquivos, sobreviventes, ardentes) permitem uma possibilidade de exercer a memória dos vencidos - seus rastros outrora imperceptíveis, esquecidos. Nosso objetivo consiste, portanto, em investigar os rastros que os corpos dessas imagens inscrevem na história do século XX – século em que a imagem do homem já não pôde mais ser dissociada de uma câmara de gás. / This paper establishes an analyses based on images that survived of the genocide perpetrated by Nazism and what left of the human life and thereby rescue such images its blazing, its clemency most intimate and painful. See more truly the images of Night and fog and Shoah is rescue a history of the vanquished, it is to give a possible physiognomy to the memory of Nazi horror. In both films the images have a trace of resistance to destruction, and rightly resist the absolute annihilation, the images of Night and Fog and Shoah flames to touch the real and thus seem to burn their viewers - because its survival requires that we look, we interpret it otherwise, in the more truly form. Our hypothesis is that the undivided fortress to the disappearance of these images (archives, survivors, blazing) allow a possibility of exercising the memory of the vanquished - their traces whilom forgotten. Our goal is therefore to investigate the remains of the bodies of these images inscribes in the history of the twentieth century - the century in which the image of man is henceforth inseparable from that of the gas chamber.
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La culpabilité des survivants de la Shoah proposition théologique en vue d'un chemin de libération intérieure et de pardon

Holzl, Yolande January 2010 (has links)
Un lourd silence, entourant la Shoah, a trop longtemps nourri chez les survivants et leurs descendants la honte et la culpabilité d'être juifs. Des intervenants, psychologues et autres, ont réussi à libérer leur parole ; en effet, le partage des expériences et des émotions a permis aux survivants de jeter un regard nouveau sur leur judaïté et de retrouver leur fierté intérieure. Leur plus grande souffrance a été le silence du Dieu de l'Alliance, ressenti comme un abandon. À cet égard, Hans Jonas et Élie Wiesel témoignent de cette foi ébranlée. À leur suite, nous avançons le chemin du pardon comme expérience libératrice de la culpabilité et du talion. En notre qualité de théologienne et de fille de survivant, cette voie du dépassement de soi et de sens de responsabilité nous est apparue pleine d'ouverture et de promesse. Elle permet de quitter le ressentiment, de cheminer vers la vie avec Dieu et les autres et de retrouver la paix et la liberté intérieure.
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L'historien, la parole des gens et l'écriture de l'histoire. L'exemple d'un fonds de témoignages audiovisuels de survivants des camps nazis.

Wallenborn, Hélène 23 September 2004 (has links)
Cette étude analyse le contexte d’élaboration et le contenu d’un corpus de témoignages de rescapés des camps nazis composé de récits de résistants et de Juifs enregistrés dans les années 1990 par la Fondation Auschwitz de Bruxelles, dont un des buts est de prévenir la résurgence de toute forme de fascisme. Plutôt que d’expliquer l’émergence de ce type d’archives par un retour du traumatisme après son refoulement, ou par la filiation avec la mémoire juive, cette question est élucidée d’une part par la mise en relation avec certaines inquiétudes qui secouent la discipline historienne depuis une trentaine d’années et d’autre part, par un état de la question du traitement de ce qu’on peut appeler “la parole des gens” dans différentes disciplines des sciences humaines : l’histoire, la linguistique, la sociologie, ou la psychanalyse. La première partie explique l’engouement pour les archives de la parole, et particulièrement pour les témoignages de la Shoah des années 1990 par trois larges perspectives liées entre elles : les changements de la conception de la temporalité, l’un survenu à la fin du XVIIIe siècle, l’autre, autour des années 1980; la deuxième, la manière dont les historiens ont pensé leur rôle social et ont noué des relations avec la société civile depuis les débuts du métier d’historien; et la troisième comment, depuis cette même époque, ils ont justifié pouvoir atteindre leur intention de reconstruction vraie du passé. En fait, cette partie expose les débats entre historiens et société civile qui se cristallisent autour de la notion de témoignage. La seconde partie est une manière de prendre position dans ces débats. Dans cette partie, les témoignages sont considérés comme des sources. Elle montre que l’on a souvent réfléchi aux sources comme devant à elles seules faire la vérité du récit historique et discute des différentes caractéristiques des sources orales par la mise en oeuvre d’autres domaines du savoir que l’histoire, à savoir la psychanalyse, la sociologie, la linguistique, l’anthropologie à l’aune du fonds enregistré par la Fondation Auschwitz. Après avoir écarté la notion d’oralité comme centrale, discuté de différents systèmes de mémoire individuelle (Bergson , Freud, et Edelman), et celui de la mémoire collective de Halbwachs, de celle de témoignage, il est montré que ce qui définit le contenu de ces témoignages, de ces récits, est la volonté de dire qui l’on est, c’est-à-dire la construction de l’identité, définie comme ce par quoi les gens se sentent déterminés. Parce que livrer son témoignage, raconter sa vie a un effet sur le témoin, celui de construire un récit de vie par lequel il dit qui il est, -acte de langage grâce auquel il construit son identité-, cet acte est utilisé parfois comme outil émancipateur. Dans les années 1970-1980, l’histoire orale s’intéresse aux acteurs du bas de l’échelle sociale; mais après la fin de la lecture du monde en termes de classes, la fin des marxismes, le témoignage devient un outil de reconstruction de l’identité pour les victimes, et les campagnes d’enregistrement de la “parole des gens” font toujours l’objet d’un enjeu social, qui souvent prime sur la construction d’un véritable objet de recherche. Et les protagonistes d’enregistrements de prendre position, de manière pas toujours explicite, sur le rôle social de l’historien et de poser la question de ce qui garantit l’objectivité du récit de l’historien jusqu’à remettre en cause sa capacité d’atteindre son intention de reconstruction vraie du passé. Il s’agit alors de prendre en compte l’idéologie de la mémoire au nom de laquelle les témoins sont conviés à parler (dans un but émancipateur, ou encore pour empêcher le retour du fascisme, dans le cadre d’une pédagogie de la Shoah, par exemple), mais aussi la tension entre la vérité du témoin et la vérité de l’historien (au nom de quel principe supérieur l’historien aurait-il le droit de trahir les propos du témoin, alors que lui-même proposerait un récit toujours soumis à réélaboration?). Cette remise en cause du métier d’historien amène certains à revendiquer l’équivalence de statut entre le témoin et l’historien, jugé de toute façon incapable de dire le vrai sur le passé. Par l’affirmation “j’y étais”, le témoin s’institue trace de l’événement et demande à être cru sur parole, alors qu’un récit demande toujours vérification. Et plus encore. En disant “j’y étais”, le témoin veut amener l’auditeur à l’action parce qu’il se pense vecteur du sens à donner à l’avenir depuis la mise en place d’un nouveau rapport au temps, conçu comme un éternel passé, qui a entraîné notamment la nécessité de gérer les passés dans nos sociétés contemporaines. Cette étude peut donc se lire à deux niveaux. Le premier consiste en la mise à jour de nouveaux liens entre sciences humaines et société civile depuis sa redéfinition, qui débute dans les années 1970. Le second propose une grille d’analyse, pour faire la critique de ce type particulier de sources que sont les témoignages, qui doit prendre en compte l’importance sociale de la connaissance du passé pour les protagonistes d’enregistrements, ainsi que leur position par rapport à la possibilité d’atteindre l’objectivité en histoire. La structure interne des témoignages s’organise en trois registres de discours, qui sont fonction de l’identité du témoin. A une époque où la notion d’identité semble être devenue une notion indépassable, poser la question de la source orale, du témoignage conduit à se demander comment les sciences humaines pensent le monde, avec quels outils d’analyse et comment elles y participent. Avec cette conscience que l’outil est déterminé par l’histoire-même des sciences humaines, la mise en dialogue de la littérature théorique issue de différentes disciplines, des questions qu’elle pose au métier d’historien et l’analyse d’un fonds particulier d’archives orales par la citation d’extraits, ce travail porte l’espoir de contribuer à clore certains débats au profit de meilleures recherches empiriques. En effet, les témoignages constituent un outil essentiel pour saisir l’histoire des institutions, des organisations dans lesquelles les relations humaines sont fondamentales, mais aussi pour faire l’histoire des mentalités en comprenant comment et par quoi, des gens pensent, à un moment donné, que leur identité est déterminée. Au-delà de la place du témoin dans nos sociétés contemporaines, cette étude pose la question, qui n’est pas neuve, de la place du passé dans celles-ci et de la légitimité d’y chercher un sens pour nos actions politiques, dont la pédagogie de la Shoah apparaît comme paradigmatique.
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Das jüdische Zentralmuseum der SS in Prag : Gegnerforschung und Völkermord im Nationalsozialismus /

Potthast, Jan Björn. January 2002 (has links)
Texte abrégé et remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--München--Ludwig-Maximilian-Universität, 2001. Titre de soutenance : Forschung, Vernichtung und die Endlösung der Erinnerung : der Prager Jüdische Zentralmuseum ... / Bibliogr. p. 472-498. Index.
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Der Streit um das "Denkmal für die ermordeten Juden Europas" in Berlin (1988-1999) /

Stagvinski, Hans-Georg. January 1900 (has links)
Diss.--Berlin--Freie Universität, 2001. / Bibliogr. 327-357.
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Die Bedeutung des Barbie-Prozesses für die französische Vergangenheitsbewältigung /

Urselmann, Karin. January 2000 (has links)
Diss.--Universität Augsburg, 1999. / Bibliogr. p. 275-294.
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Anthropology as memory : Elias Canetti's and Franz Baermann Steiner's responses to the Shoah /

Mack, Michael. January 2001 (has links)
Diss.--Philos.--Oxford--University of Oxford. / Bibliogr. p. 205-226. Index.
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Der Eichmann-Prozess in der deutschen Presse /

Krause, Peter, January 1900 (has links)
Texte abrégé de: Dissertation--Otto-Suhr-Institut--Freie Universitat Berlin, 1999. / Bibliogr. p. 304-316.
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Die Verfolgung und Vernichtung der Juden im Reichsgau Wartheland 1939-1945 /

Alberti, Michael, January 2006 (has links)
Texte abrégé et remanié de: Dissertation--Universität Freiburg im Breisgau, 2001. Titre de soutenance : Die Anfänge und die Durchführung der "Endlösung" : die Verfolgung und Vernichtung der Juden im Reichsgau Wartheland 1939-1945. / Résumé en anglais et en polonais. Bibliogr. p. 531-553.
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La récupération identitaire dans « Le ciel de Bay City » de Mavrikakis et « Le livre d’Emma » d’Agnant

LORD, CATHERINE 24 April 2012 (has links)
Ce mémoire explore l’identité fragmentée dont souffrent les héroïnes dans Le ciel de Bay City, de Catherine Mavrikakis, et dans Le livre d’Emma, de Marie-Célie Agnant et établit que cette fragmentation prend source dans un legs traumatique, soit la Shoah et l’esclavagisme transatlantique. Dans la famille ou la collectivité des héroïnes, et durant des générations, ces traumatismes ont été passés sous silence ou n’ont pas été intégrés au discours dominant. Par conséquent, l’histoire éclipsée hante le présent des protagonistes. Ce mémoire explore les différents bris dans la filiation symbolique. En tenant compte de théories féministes, postcoloniales et psychanalytiques, il s’intéresse aux façons dont les héroïnes composent avec ce passé inscrit dans l’horreur, entre autres à l’utilisation du corps ainsi qu’à la récupération de ce passé. Nous examinons l’utilisation du passé dans la reconstruction identitaire et déterminons si les héroïnes parviennent à surmonter les horreurs qu’elles ont découvertes. Nous estimons que malgré ce passé difficile, la découverte de celui-ci s’avère essentielle pour leur construction identitaire, car une fois que leur passé est recouvré, les protagonistes sont en mesure de le léguer à leur progéniture. Nous tenons compte du rôle de la transmission dans la réinsertion de leur filiation symbolique, car ce processus narratif produit une certaine catharsis : nous démontrons qu’en se racontant, les héroïnes parviennent à renouer leur filiation ascendante à leur descendance, se réinscrivant ainsi dans une logique historique. Finalement, nous mesurons l’impact mitigeant qu’exerce cette récupération identitaire sur la génération suivante. / Thesis (Master, French) -- Queen's University, 2012-04-23 17:11:59.783

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