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Geschichten vom Tod : Tod und Sterben in Deutschschweizer und oberdeutschen Selbstzeugnissen des 16. und 17. Jahrhunderts /

Leutert, Sebastian, January 1900 (has links)
Dissertation--Universität Basel, 2002. / Bibliogr. p. 357-378, et bibliogr des sources.
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Politiques de la mort : tirées du concours de l'Institut : germinal an VIII-vendémiaire an IX /

Hintermeyer, Pascal. January 1981 (has links)
Texte remanié de la 1. / En appendice, texte du mémoire soumis par A. Gouan. Bibliogr. p. 181-182. Thèse soutenue sous le titre : "La Lutte pour la mort"
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Letzte Ratschläge : der Tod als Problem für Soziologie, Ratgeberliteratur und Expertenwissen /

Brüggen, Susanne. January 2005 (has links)
Dissertation--Sozialwissenschaftlichen Fakultät--München--Ludwig-Maximilians Universität, 2004. / Bibliogr. p. 247-257.
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Le tabou de la mort, facteur de rejet des personnes âgées

Mathieu, Dominique. Sagne, Jean-Claude January 1988 (has links)
Thèse de 3e cycle : Psychologie : Lyon 2 : 1988. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. p. [471]-484.
5

Muerte e ideología en la Asturias del siglo XIX /

Vaquero Iglesias, Julio Antonio, January 1991 (has links)
Tesis--Universidad de Oviedo, 1990.
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Piété baroque et déchristianisation en Provence au XVIIIe siècle : [les attitudes devant le mort en Provence au XVIIIe siècle] /

Vovelle, Michel, January 1997 (has links)
Texte abrégé de: Th. doct.--Lettres--Lyon, 1971. / CTHS = Comité des travaux historiques et scientifiques. Bibliogr. p. 325-348.
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Pleurer les morts, gueuler la mort : disposer des défunts "indigents" / Crying and shouting : the disposal of "indigents"

Guffanti, Lucas 07 December 2016 (has links)
Cette thèse revient sur les moyens de la prise en charge publique et par les associations de défunts dits ‘indigents’. Si la littérature sur ce sujet insistait grandement sur la catégorie des personnes de la rue et sur les idées de délaissement et de sacrifice, ce travail met en avant les différentes facettes, parfois conflictuelles, de l’intérêt public porté à ces morts. Cette recherche est principalement l’aboutissement d’une ethnographie menée auprès de l’association parisienne du Collectif les Morts de la Rue. Cette association dénonce depuis 2001 les conditions de vie et de morts des personnes de la rue et s’occupe, depuis 2003, des cérémonies funéraires pour tous les corps non-réclamés de la ville de Paris. L’enquête revient sur les motivations des deux groupes de bénévoles coexistant au sein de la même association, l’un se concentrant sur l’activisme en faveur des personnes de la rue (‘gueuler’) et l’autre sur les rituels des défunts non-réclamés, quelle que soit leur origine sociale (‘pleurer’). Ces deux groupes créent des communautés symboliques de morts et de vivants à travers des cérémonies, émotions et rituels. L’insistance du groupe des fondateurs sur l’activisme en faveur des vivants de la rue est parfois en contradiction avec l’implication plus générale de certains bénévoles pour tous les défunts non-réclamés. La thèse revient sur leur cohabitation au sein de la même association et montre comment des références communes à la fraternité humaine et à l’universalité de la mort ne suffisent pas à couvrir des motifs d’engagements divergents. / This research analyzes what happens to the deceased labeled as ‘paupers’ and managed through non-governmental organizations and public means in France. Where previous literature on the subject emphasized social categories such as homeless people and theories of sacrifice, this work puts forward conflicting public interests given to the dead labeled as ‘paupers’. This recearch draws mostly on ethnographic fieldwork with the Collectif Les Morts de la Rue, a parisian organization denouncing the life and death conditions of homeless people since 2001, and in charge of the funeral ceremony of any unclaimed body since 2003. The investigation shows how two groups of volunteers with two different primary interests developed over time. The first group is mainly concerned with political activism in favor of people living and dying on the streets. The second group focuses more on non-political rituals for all unclaimed bodies, regardless of their social status. The two groups coexist with mutual references to the dead and to humanity after death. Through rituals and public ceremonies using emotions, they create symbolic communities gathering both the living and dead. The strong emphasis of the first group on inequality and socio-economic structure is sometimes at odds with the more general emphasis of the second group on the universal bond between human beings, showing how shared references to death and humanity are not enough to cover diverging motivations inside the same organisation.
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Le portrait du défunt dans les cimetières lorrains de 1804 à nos jours / The portrait of the deceased in the Lorraine cemeteries from 1804 to the present day

Bolle-Anotta, Françoise 06 November 2017 (has links)
Dès la loi impériale du 23 Prairial an XII (12 juin1804) qui impose l’obligation d’inhumation pour tous au cimetière, la sculpture se met au service du portrait du défunt, dans cet espace si particulier qui tient à la fois du cadre privé et du cadre public. Héritier d’une tradition jusqu’alors réservée aux nobles et au roi, le portrait funéraire s’affiche dans une iconographie qui oscille entre symbolique et réalisme des traits physiques; le militaire est honoré comme héros tandis que le curé est vénéré par les paroissiens. S’inscrivant dans la mode de la statuomanie galopante des années 1880, les cimetières lorrains rejoignent la volonté publique d’honorer ses Grands Hommes, à une époque où la « Petite Patrie », la Lorraine, rencontre la « Grande Patrie », la France, où des artistes connus et parfois moins connus mettent leur savoir-faire et leur notoriété au service de portraits de notables. Le portrait funéraire connaît alors son âge d’or. Alors que le cimetière moderne se construit peu à peu grâce à son organisation parcellaire, les familles éprouvent très rapidement le besoin impérieux de matérialiser, sur ces concessions familiales, le souvenir des traits de leur défunt et le portrait sculpté leur en offre la possibilité et le voilà qui quitte l’intimité des salons pour être installé soit sur la stèle de la tombe familiale. C’est ainsi que l’époux éploré se souvient du visage de sa chère épouse, que des parents effondrés peuvent se consoler d’avoir perdu un petit ange en lui substituant un autre visage, plutôt idéalisé, ou mieux la figure d’un autre ange, plus solide car en marbre et plus protecteur. Peu à peu, le cimetière se pare d’un peuple de statues que viennent compléter quelques motifs professionnels, rares toutefois. La personnalisation de la tombe reste toutefois très discrète, la douleur contenue. La sculpture funéraire, et le portrait en particulier, se mettent au service de l’expression de sentiments filiaux ou conjugaux, réservés jusqu’alors à l’intimité, mais traduisent un élitisme que la législation du 23 prairial an XII ne souhaitait pas. Pendant la période 1880-1930, les commanditaires des portraits funéraires bénéficient d’une offre élargie de produits notamment grâce à l’essor de la photographie et au procédé de vitrification. Sans concurrencer le portrait sculpté porté principalement par le médaillon de bronze et la ronde-bosse, le vitrail photographique permet de promouvoir le souvenir du défunt dans un écrin luxueux, où, pour la première fois, la présence de la couleur fait animer ces visages et les rend presque vivants. Mais, c’est un luxe que peu de familles peuvent s’offrir. Alors, le médaillon photographique sur plaque émaillée, plus modeste, permet à une clientèle moins fortunée d’accéder au portrait funéraire au cimetière. Après 1930, alors que chapelle et vitrail disparaissent des allées du cimetière, le médaillon peut définitivement prendre place sur les sépultures. Très vite, c’est un succès assuré qui ne se dément pas, aujourd’hui encore. La période de 1940 à nos jours est de loin la plus riche en portraits funéraires et ce grâce à des techniques bien maîtrisées, celle de la photographie sur médaillon de porcelaine et celle de la gravure mécanique ou artistique, grâce également à de nouveaux supports que sont les plaques funéraires, les urnes, les vases. Et il n’est pas rare qu’une famille ait recours à des techniques différentes pour chacun de ses défunts. La façon de présenter le défunt a également évolué ; le modèle de studio photographique cède la place à un modèle présenté « au naturel », c’est-à-dire issu de l’album photographique familial et de nouveaux symboles montrent le défunt sous des aspects plus personnels. Désormais, le portrait funéraire du défunt au cimetière n’est plus seulement un visage mais c’est aussi un sportif, un chasseur, un motard, un professionnel, un amoureux des bêtes, un amateur de pétanque / From the imperial law of 23 Prairial year XII (June 12, 1804) which imposes the burial obligation for all in the cemetery, the sculpture puts itself at the service of the portrait of the deceased, in this very special space which is at the same time of the private frame and the public setting. Heir to a tradition hitherto booked with noble and to the king, the funerary portrait is displayed in an iconography which oscillates between symbolic system and realism of the physical features; the soldier is honored as hero while the priest is venerated by the parishioners. Falling under the fashion of the “statuomanie galopante” years 1880, the Lorraine cemeteries join the public will to honour its Great men, at one time when the “Small Fatherland”, Lorraine, meets the “Great Fatherland”, France, where known artists and sometimes less known put their know-how and their notoriety at the service of portraits the notable ones. The funerary portrait knows its golden age then. Whereas the modern cemetery is built little by little thanks to its compartmental organization, the families test the imperative need very quickly to materialize, on these family concessions, the memory of the features of their late and the carved portrait give of it them the opportunity and here it is which leaves the intimacy of the living rooms to be installed either on the family stele of the tomb. Thus the tearful husband remembers the face his dear wife, that ploughed up parents can comfort themselves to have lost a little angel in him substituent another face, rather idealized, or best the figure of another angel, more solid because out of marble and more protective. Little by little, the cemetery is avoided of people of statues which some professional reasons come to supplement, rare however. The personalization of the tomb remains however very discrete, the pain contained. The funerary sculpture, and the portrait in particular, are put at the service of the expression of subsidiary or marital feelings, hitherto booked with the intimacy, but translate an elitism which the legislation 23 Prairial An XII did not wish. For the period 1880-1930, the silent partners of the funerary portraits profit from a widened offer of products in particular thanks to rise of the photography and with the process of vitrification. Without competing with the carved portrait carried mainly by the bronze medallion and the sculpture in the round, the photographic stained glass makes it possible to promote the memory of late in a luxurious house, where, for the first time, the presence of the color makes animate these faces and makes them almost alive. But, it is a luxury which few families can offer. Then, the photographic medallion on enamelled plate, more modest, makes it possible to less fortunate customers to reach the funerary portrait with the cemetery. After 1930, whereas vault and stained glass disappear from the alleys of the cemetery, the medallion can definitively take seat on the burials. Very quickly, these is a assured success which is not contradicted, still today. The period of 1940 to our days is by far richest in funerary portraits and this thanks to techniques controlled well, that of photography on porcelain medallion and that of mechanical or artistic engraving, grace also to new supports which are the funerary plates, the ballot boxes, vases. And it is not rare that a family resorts to different techniques for each one of her late. The way of presenting the late one also evolved; the photographic model of studio gives way to a model presented “to the naturalness”, i.e. resulting from the family photographic album and new symbols show the late one under more personal aspects. From now on, the funerary portrait of late with the cemetery is not only any more one face but it is also a sportsman, a hunter, a motorcyclist, a professional, in love with the animals, an amateur of game of bowls.

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