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Variation phonologique régionale en interaction conversationnelle / Mental representations of regional phonological variation in conversational interaction

Aubanel, Vincent 21 January 2011 (has links)
C'est dans l'interaction sociale, lieu d'occurrence premier du langage parlé (Local, 2003) que la parole est apprise, qu'elle est produite quotidiennement et qu'elle évolue. De nouvelles approches interdisciplinaires de l'étude de la parole, notamment la sociophonétique ou les récents développements de l'interaction conversationnelle, ouvrent de nouvelles perspectives dans la modélisation du traitement de la parole. Une question centrale à cette entreprise est la caractérisation des représentations mentales associées aux sons de la parole. Pour traiter cette question, nous utilisons l'approche exemplariste du traitement de la parole, qui propose que les sons de la parole sont mémorisés en incorporant des informations contextuelles détaillées. Nous présentons une nouvelle tâche interactionnelle, GMUP (pour "Group ’em up"), destinée à recueillir les réalisations de matériel phonologique finement contrôlé produit par deux interactants dans un cadre expérimental écologiquement valide. Les variables phonologiques décrivent les différences existant entre deux variétés de français parlé, le français standard et le français méridional. Des outils de reconnaissance automatique de la parole ont été développés pour évaluer la convergence phonétique, observable de l'évolution des représentations mentales, à deux niveaux de granularité : au niveau catégoriel de la variable phonologique et au niveau plus fin, subphonémique. L’emploi de mesures acoustiques détaillées à grande échelle permet de caractériser finement les différences inter-individuelles dans l'évolution de la forme des réalisations acoustiques associées aux représentations mentales en interaction conversationnelle. / It is in social interaction, the primary site of the occurrence of spoken language (Local, 2003) that speech is learned, that it is produced everyday and that it evolves. New interdisciplinary approaches to the study of speech, particularly in sociophonetics and in recent developments in conversational interaction, open new avenues for modeling speech processing. A central question in this enterprise relates to the caracterization of the mental representations of speech sounds. We address this question using the exemplarist approach of speech processing, which proposes that speech sounds are stored in memory along with detailed contextual information. We present a new interactional task, GMUP (which stands for "Group ’em up"), designed to collect realizations of highly-controlled phonological material produced by two interactants in an ecologically valid experimental setting. The phonological variables describe differences between two varieties of spoken French, Northern French and Southern French. Automatic speech recognition tools were developed to evaluate phonetic convergence, an observable of the evolution of the mental representations of speech, at two levels of granularity: at the categorical level of the phonological variable and at a more fine-grained, subphonemic level. The use of large-scale detailed acoustic measures allows us to finely caracterize interindividual differences in the evolution of the acoustic realizations associated with the mental representations of speech in conversational interaction.
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Ebira English in Nigerian Supersystems: Inventory and Variation

Isiaka, Adeiza Lasisi 23 May 2017 (has links)
Die vorliegende Arbeit mit dem Titel „Ebíra English in Nigerian Supersystems: Inventory and Variation“ befasst sich mit einer kleinen Varietät des Nigerianischen Englisch, die für eine Untersuchung aus zwei Gründen besonders geeignet erscheint: Einerseits bin ich selbst Mitglied dieser Volksgruppe, was mir einen besonderen Zugang zu guten, aktuellen und vor allem natürlichen Sprachdaten ermöglicht. Diese sind für eine soziophonetische Untersuchung mit den Konzepten und modernen Methoden der Variationslinguistik von besonderer Bedeutung. Andererseits ist die vorliegende Arbeit keine weitere Studie über die großen Systeme des nigerianischen Englisch oder über die beiden größten und bereits relativ gut untersuchten Systeme des Yoruba-Englisch im Südwesten des Landes oder des Hausa-Englisch im Norden, sondern über eine relative kleine Gruppe dazwischen, die historisch zunächst von den Yoruba und später immer mehr von den Hausa-Sprechern beeinflusst wurde und nach wie vor beeinflusst ist. Diese empirische soziophonetische Studie stellt zwei Forschungsfragen: FF1) Welches Vokalinventar besitzt Ebíra Englisch? Diese Frage ergibt sich aus den widersprüchlichen Ergebnissen vorheriger Untersuchungen (zu Nigerianischen, Yoruba- bzw. Hausa-Englisch) und soll hier erstmals in einer Analyse von digitalen Aufnahmen von 28 jüngeren und älteren Männern und Frauen (16 bzw. 12) aus den Jahren 2014-2016 untersucht werden. Diese Aufnahmen wurden im Rahmen von soziolinguistischen Interviews gemacht, die die bekannten Sprachstile (nach Labov) umfassen: Wortliste, Lesepassage (die bewährte Kurzgeschichte The Boy who Cried Wolf mit jeweils 90 vorkommenden englischen Vokalen) und Konversation. Diese Frage ist auch vor dem Hintergrund des Einflusses der beiden nahen Hauptvarietäten Yoruba- und Hausa-Englisch interessant (FF1b). Auf der Grundlage von fast 15.000 extrahierten Vokalen erfolgte jeweils nach der sorgfältigen Aussortierung unbrauchbarer oder unvollständiger Daten eine quantitative Untersuchung mit Hilfe des Analyseinstruments PRAAT, mit dem sich die Vokalqualität in Form von Formanten messen und darstellen lässt. Die Untersuchung umfasste die bekannten Monophthongkontraste (nach Wells` lexical sets) FLEECE & KIT, FOOT & GOOSE (+ USE ), LOT & THOUGHT & STRUT , TRAP & BATH & lettER , sowie NURSE , und die relativen Diphthonge FACE , GOAT und CURE. FF2) Welche sprachlichen und sozialen Variablen können die Variation dieses Ebíra Englisch Vokalsystems erklären? Neben den bekannten sozialen Variablen Alter (bzw. Altersgruppe), Geschlecht, Mehrsprachigkeit und Bildung wurden v.a. die sprachlichen Variablen Vokaldauer, phonetische Umgebung der Vokale und Sprachstil untersucht. Interessanterweise war für eine so detaillierte Analyse der Variation die zunächst recht groß wirkende Anzahl der extrahierten Vokale nicht in jedem Fall groß genug oder nicht gut genug verteilt.
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La consonne /R/ comme indice de la variation lectale : cas du français en contact avec le créole guadeloupéen / /R/ consonant as indication of lectal variation : case of French language in contact with Guadeloupean Creole

Akpossan, Johanne 20 January 2015 (has links)
Cette thèse a pour objectif de définir l’apport de la phonétique expérimentale dans l’identification d’une variété lectale, en prenant pour exemple les langues parlées en Guadeloupe. En Guadeloupe, deux langues cohabitent : le français et le créole. Mais, dans les faits, il y a une diversité de variétés de français d’une part, et de créole d’autre part. Chacune de ces variétés va de l’acrolecte au basilecte en passant par le mésolecte : il y a donc un continuum français et un continuum créole. La situation sociolinguistique de la Guadeloupe peut être ainsi représentée par un double continuum.Ces différentes variétés de français peuvent-elles se distinguer par des caractéristiques (1) acoustiques, (2) phonétiques, (3) phonologiques et (4) perceptives de la consonne /R/? La durée du contact avec le créole, a t-elle une influence sur la variété de français parlée par un locuteur ?Nos résultats montrent que plus la variété de français est basilectale, (1) plus la diffusion de l’énergie spectrale du /R/ est faible avec un taux de bruit réduit et une hauteur moyenne des fréquences basse ; (2) plus la variante fricatisée du /R/ est rare et plus la variante approximante est fréquente ; (3) plus le taux d’élision du /R/ en coda de syllabe augmente ainsi que le taux de réalisation de /R/ en tant que [w] en contexte labial; (4) plus la variété est perçue comme ayant un faible degré d’accent français. Généralement, plus la durée du contact entre le français et le créole est longue, plus cette variété est basilectale.Si les caractéristiques de la consonne /R/ permettent de discriminer la variété acrolectale de la variété basilectale (variétés extrêmes), il apparait plus difficile d’établir une liste d’indices (ou « lectomètres ») qui permettraient d’identifier les variétés se trouvant dans la zone intermédiaire : le mésolecte est doté d’une certaine imprévisibilité. / The goal of this thesis is to determine the contribution of experimental phonetics in the identification of a lectal variety, in taking for example languages spoken in Guadeloupe. In Guadeloupe, two languages coexist : French and Creole. But in fact, there is a diversity of varieties of French on the one hand, and of Creole on the other hand. Each of these varieties goes from acrolect to basilect through mesolect : so there are a French continuum and a Creole continuum. Thus, the sociolinguistic situation of Guadeloupe can be represented by a double continuum.These different varieties of French can they be distinguished by (1) acoustic, (2) phonetic, (3) phonological (4) and perceptual characteristics of /R/ consonant? Does the contact duration with Creole have an influence on the variety of French spoken by a speaker?Our results show that the more basilectal the variety of French is, (1) the lower spectral diffusion of /R/ energy is, with a reduced rate noise and a low frequency mean; (2) the more infrequent /R/ constrictive variants are and the more common /R/ approximant variants are ; (3) the greater rates of /R/ elision in coda of syllable and /R/ realization as [w] in labial context increase ;(4) and the more the variety is perceived as having a low degree of French accent. Usually, the longer duration of the contact between French and Creole is, the more basilectal the variety of French is.If characteristics of /R/ consonant can distinguish acrolect and basilect (extreme varieties), it’s not so easy to establish a list of indications (or « lectomètres ») in order to identify varieties in the intermediate zone: mesolect has a certain unpredictability.
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La consonne /R/ comme indice de la variation lectale : cas du français en contact avec le créole guadeloupéen / /R/ consonant as indication of lectal variation : case of French language in contact with Guadeloupean Creole

Akpossan, Johanne 20 January 2015 (has links)
Cette thèse a pour objectif de définir l’apport de la phonétique expérimentale dans l’identification d’une variété lectale, en prenant pour exemple les langues parlées en Guadeloupe. En Guadeloupe, deux langues cohabitent : le français et le créole. Mais, dans les faits, il y a une diversité de variétés de français d’une part, et de créole d’autre part. Chacune de ces variétés va de l’acrolecte au basilecte en passant par le mésolecte : il y a donc un continuum français et un continuum créole. La situation sociolinguistique de la Guadeloupe peut être ainsi représentée par un double continuum.Ces différentes variétés de français peuvent-elles se distinguer par des caractéristiques (1) acoustiques, (2) phonétiques, (3) phonologiques et (4) perceptives de la consonne /R/? La durée du contact avec le créole, a t-elle une influence sur la variété de français parlée par un locuteur ?Nos résultats montrent que plus la variété de français est basilectale, (1) plus la diffusion de l’énergie spectrale du /R/ est faible avec un taux de bruit réduit et une hauteur moyenne des fréquences basse ; (2) plus la variante fricatisée du /R/ est rare et plus la variante approximante est fréquente ; (3) plus le taux d’élision du /R/ en coda de syllabe augmente ainsi que le taux de réalisation de /R/ en tant que [w] en contexte labial; (4) plus la variété est perçue comme ayant un faible degré d’accent français. Généralement, plus la durée du contact entre le français et le créole est longue, plus cette variété est basilectale.Si les caractéristiques de la consonne /R/ permettent de discriminer la variété acrolectale de la variété basilectale (variétés extrêmes), il apparait plus difficile d’établir une liste d’indices (ou « lectomètres ») qui permettraient d’identifier les variétés se trouvant dans la zone intermédiaire : le mésolecte est doté d’une certaine imprévisibilité. / The goal of this thesis is to determine the contribution of experimental phonetics in the identification of a lectal variety, in taking for example languages spoken in Guadeloupe. In Guadeloupe, two languages coexist : French and Creole. But in fact, there is a diversity of varieties of French on the one hand, and of Creole on the other hand. Each of these varieties goes from acrolect to basilect through mesolect : so there are a French continuum and a Creole continuum. Thus, the sociolinguistic situation of Guadeloupe can be represented by a double continuum.These different varieties of French can they be distinguished by (1) acoustic, (2) phonetic, (3) phonological (4) and perceptual characteristics of /R/ consonant? Does the contact duration with Creole have an influence on the variety of French spoken by a speaker?Our results show that the more basilectal the variety of French is, (1) the lower spectral diffusion of /R/ energy is, with a reduced rate noise and a low frequency mean; (2) the more infrequent /R/ constrictive variants are and the more common /R/ approximant variants are ; (3) the greater rates of /R/ elision in coda of syllable and /R/ realization as [w] in labial context increase ;(4) and the more the variety is perceived as having a low degree of French accent. Usually, the longer duration of the contact between French and Creole is, the more basilectal the variety of French is.If characteristics of /R/ consonant can distinguish acrolect and basilect (extreme varieties), it’s not so easy to establish a list of indications (or « lectomètres ») in order to identify varieties in the intermediate zone: mesolect has a certain unpredictability.
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Mainland Canadian English in Newfoundland

Hofmann, Matthias 06 July 2015 (has links) (PDF)
The variety of middle-class speakers in St. John’s conforms to some degree to mainland Canadian-English pronunciation norms, but in complex and distinctive ways (Clarke, 1985, 1991, 2010; D’Arcy, 2005; Hollett, 2006). One as yet unresolved question is whether speakers of this variety participate in the Canadian Shift (cf. Clarke, 2012; Chambers, 2012), a chain shift of the lax front vowels that has been confirmed for many different regions of Canada (e.g. Roeder and Gardner, 2013, for Thunder Bay and Toronto, Sadlier-Brown and Tamminga, 2008, for Halifax and Vancouver). While acoustic phonetic analyses of St. John’s English are rare, some claims have been made that urban St. John’s speakers do not participate in the shift, based on two or six speakers (Labov, Ash & Boberg, 2006; Boberg 2010). Other researchers with larger data sets suggest that younger St. John’s speakers participate in mainland Canadians innovations to different degrees than mainlanders (e.g. Hollett, 2006). The Canadian Shift has not been uniformly defined, but agreement exists that with the low-back merger in place, BATH/TRAP retracts and consequently DRESS lowers. Clarke et al. (1995), unlike Labov et al. (2006), assert that KIT is subsequently lowered. Boberg (2005, 2010), however, emphasizes retraction of KIT and DRESS and suggests unrelated parallel shifts instead. In this PhD thesis, I demonstrate the presence of the Canadian Shift in St. John’s, NL, conforming to Clarke et al.’s (1995) original proposal. In my stratified randomly-sampled data (approx. 10,000 vowels, 34 interviewees, stratified as to age, gender, socioeconomic status, and “local-ness”), results from Euclidean distance measures, correlation coefficients, and linear, as well as logistic, mixed-effects regression show that (1) young St. John’s speakers clearly participate in the shift; and that (2) age has the strongest and a linear effect. Continuous modeling of age yields even more significant results for participation in a classic chain shift (6% decrease in lowering per added year). My findings also confirm that the change seems to have entered the system via formal styles (cf. Clarke, 1991, 2010, for TRAP in St. John’s). Traditionally, the linguistic homogeneity on a phonetic level of the Canadian middle class has been explained by Canada’s settlement and migration patterns of the North American Loyalists from Ontario to the west (cf. Chambers, 2009). Newfoundland’s settlement is distinct, in that the British and the Irish were the only two relevant sources. If settlement were the only crucial reason for a shared pronunciation of Canada’s middle class from Vancouver to St. John’s, the Canadian Shift should be absent in the latter region. I suggest three reasons for middle-class St. John’s’ participation in the Canadian Shift: 1) Newfoundland’s 300-year-old rural-urban divide as a result of its isolation, through which British/Irish features are attributed to rural und lower social class speakers; 2) the development of the oil industry since the 1990’s, through which social networks changed according to the perception of social distance/closeness; and 3) the importance of the linguistic marketplace, which is high in St. John’s due to 1) and 2).
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La consonne /R/ comme indice de la variation lectale : cas du français en contact avec le créole guadeloupéen / /R/ consonant as indication of lectal variation : case of French language in contact with Guadeloupean Creole

Akpossan, Johanne 20 January 2015 (has links)
Cette thèse a pour objectif de définir l’apport de la phonétique expérimentale dans l’identification d’une variété lectale, en prenant pour exemple les langues parlées en Guadeloupe. En Guadeloupe, deux langues cohabitent : le français et le créole. Mais, dans les faits, il y a une diversité de variétés de français d’une part, et de créole d’autre part. Chacune de ces variétés va de l’acrolecte au basilecte en passant par le mésolecte : il y a donc un continuum français et un continuum créole. La situation sociolinguistique de la Guadeloupe peut être ainsi représentée par un double continuum.Ces différentes variétés de français peuvent-elles se distinguer par des caractéristiques (1) acoustiques, (2) phonétiques, (3) phonologiques et (4) perceptives de la consonne /R/? La durée du contact avec le créole, a t-elle une influence sur la variété de français parlée par un locuteur ?Nos résultats montrent que plus la variété de français est basilectale, (1) plus la diffusion de l’énergie spectrale du /R/ est faible avec un taux de bruit réduit et une hauteur moyenne des fréquences basse ; (2) plus la variante fricatisée du /R/ est rare et plus la variante approximante est fréquente ; (3) plus le taux d’élision du /R/ en coda de syllabe augmente ainsi que le taux de réalisation de /R/ en tant que [w] en contexte labial; (4) plus la variété est perçue comme ayant un faible degré d’accent français. Généralement, plus la durée du contact entre le français et le créole est longue, plus cette variété est basilectale.Si les caractéristiques de la consonne /R/ permettent de discriminer la variété acrolectale de la variété basilectale (variétés extrêmes), il apparait plus difficile d’établir une liste d’indices (ou « lectomètres ») qui permettraient d’identifier les variétés se trouvant dans la zone intermédiaire : le mésolecte est doté d’une certaine imprévisibilité. / The goal of this thesis is to determine the contribution of experimental phonetics in the identification of a lectal variety, in taking for example languages spoken in Guadeloupe. In Guadeloupe, two languages coexist : French and Creole. But in fact, there is a diversity of varieties of French on the one hand, and of Creole on the other hand. Each of these varieties goes from acrolect to basilect through mesolect : so there are a French continuum and a Creole continuum. Thus, the sociolinguistic situation of Guadeloupe can be represented by a double continuum.These different varieties of French can they be distinguished by (1) acoustic, (2) phonetic, (3) phonological (4) and perceptual characteristics of /R/ consonant? Does the contact duration with Creole have an influence on the variety of French spoken by a speaker?Our results show that the more basilectal the variety of French is, (1) the lower spectral diffusion of /R/ energy is, with a reduced rate noise and a low frequency mean; (2) the more infrequent /R/ constrictive variants are and the more common /R/ approximant variants are ; (3) the greater rates of /R/ elision in coda of syllable and /R/ realization as [w] in labial context increase ;(4) and the more the variety is perceived as having a low degree of French accent. Usually, the longer duration of the contact between French and Creole is, the more basilectal the variety of French is.If characteristics of /R/ consonant can distinguish acrolect and basilect (extreme varieties), it’s not so easy to establish a list of indications (or « lectomètres ») in order to identify varieties in the intermediate zone: mesolect has a certain unpredictability.
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Mainland Canadian English in Newfoundland: The Canadian Shift in Urban Middle-Class St. John’s

Hofmann, Matthias 05 February 2015 (has links)
The variety of middle-class speakers in St. John’s conforms to some degree to mainland Canadian-English pronunciation norms, but in complex and distinctive ways (Clarke, 1985, 1991, 2010; D’Arcy, 2005; Hollett, 2006). One as yet unresolved question is whether speakers of this variety participate in the Canadian Shift (cf. Clarke, 2012; Chambers, 2012), a chain shift of the lax front vowels that has been confirmed for many different regions of Canada (e.g. Roeder and Gardner, 2013, for Thunder Bay and Toronto, Sadlier-Brown and Tamminga, 2008, for Halifax and Vancouver). While acoustic phonetic analyses of St. John’s English are rare, some claims have been made that urban St. John’s speakers do not participate in the shift, based on two or six speakers (Labov, Ash & Boberg, 2006; Boberg 2010). Other researchers with larger data sets suggest that younger St. John’s speakers participate in mainland Canadians innovations to different degrees than mainlanders (e.g. Hollett, 2006). The Canadian Shift has not been uniformly defined, but agreement exists that with the low-back merger in place, BATH/TRAP retracts and consequently DRESS lowers. Clarke et al. (1995), unlike Labov et al. (2006), assert that KIT is subsequently lowered. Boberg (2005, 2010), however, emphasizes retraction of KIT and DRESS and suggests unrelated parallel shifts instead. In this PhD thesis, I demonstrate the presence of the Canadian Shift in St. John’s, NL, conforming to Clarke et al.’s (1995) original proposal. In my stratified randomly-sampled data (approx. 10,000 vowels, 34 interviewees, stratified as to age, gender, socioeconomic status, and “local-ness”), results from Euclidean distance measures, correlation coefficients, and linear, as well as logistic, mixed-effects regression show that (1) young St. John’s speakers clearly participate in the shift; and that (2) age has the strongest and a linear effect. Continuous modeling of age yields even more significant results for participation in a classic chain shift (6% decrease in lowering per added year). My findings also confirm that the change seems to have entered the system via formal styles (cf. Clarke, 1991, 2010, for TRAP in St. John’s). Traditionally, the linguistic homogeneity on a phonetic level of the Canadian middle class has been explained by Canada’s settlement and migration patterns of the North American Loyalists from Ontario to the west (cf. Chambers, 2009). Newfoundland’s settlement is distinct, in that the British and the Irish were the only two relevant sources. If settlement were the only crucial reason for a shared pronunciation of Canada’s middle class from Vancouver to St. John’s, the Canadian Shift should be absent in the latter region. I suggest three reasons for middle-class St. John’s’ participation in the Canadian Shift: 1) Newfoundland’s 300-year-old rural-urban divide as a result of its isolation, through which British/Irish features are attributed to rural und lower social class speakers; 2) the development of the oil industry since the 1990’s, through which social networks changed according to the perception of social distance/closeness; and 3) the importance of the linguistic marketplace, which is high in St. John’s due to 1) and 2).:List of Tables viii List of Figures x 0 Prologue – Variationist Sociolinguistics 1 1 Introduction 27 2 English-speaking Canada and its Vowel Shifts 31 3 Newfoundland and its Englishes 77 4 Data and Methodology 107 5 Analysis and Discussion 243 6 Conclusion 363 Bibliography 375 Appendices 409 A Interview Questionnaire 409 B Normality Tests per Speaker and Age Group 423 C Vowel Plot of Median Formant Values 433 D Results for the Assumptions of T-tests 435 E Results from Decision Trees and Optimal Binning 439 F Results from Regression Analyses 449 G Résumé 457 H Deutsche Zusammenfassung der Dissertation 461 I Eidestattliche Erklärung zur Eigenständigkeit 469

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