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Soledad Acosta de Samper: mulher, histÃria e naÃÃo (1853-1881)

Juan Pablo Calle Orozco 19 November 2017 (has links)
nÃo hà / Esta pesquisa tem como intuito reconstruir as ideias, o pensamentoe a trajetÃria intelectual daescritora colombiana Soledad Acosta de Samper (1833-1913). AtravÃs da anÃlise dos textos publicados e escritos pela autora narevistaLa Mujer,quefundou e dirigiu entre 1879 e 1881,doseu DiÃrio Ãntimo,que escreveu entre 1853 e 1855, e das suas primeiras contribuiÃÃesnos jornais Biblioteca de SeÃoritase El Mosaico, este trabalho pretende descobrira visÃo que tinha Acosta de Samper sobre o papel da mulher no estabelecimento da naÃÃocolombianae na configuraÃÃo das repÃblicas na AmÃrica HispÃnica. Baseadana noÃÃo de sistema literÃrio, proposta por Antonio Candido, e na teoria geral dos campos de Pierre Bourdieu, esta pesquisa tambÃm explica o contexto social e cultural em quecircularam as ideiasda autora.Nesse sentido, aabordagem do trabalho està orientada pela micro-histÃria, pois busca avaliar o indivÃduo em suas redes de relaÃÃes com outros indivÃduos. / Esta investigaciÃn tiene como objetivo reconstruir las ideas, el pensamiento y la trayectoria intelectual de la escritora colombiana Soledad Acosta de Samper (1833-1913). A partir del anÃlisis de los textos publicados por la autora en la revista La Mujer, que fundà y dirigià entre 1879 y 1881, de su Diario Ãntimo, que escribià entre 1853 y 1855, y de sus primeras contribuciones en los periÃdicos Biblioteca de SeÃoritas y El Mosaico, este trabajo pretende descubrir la visiÃn que tenÃa Acosta de Samper sobre el papel de la mujer en el establecimiento de la naciÃn colombiana y en la configuraciÃn de las repÃblicas en AmÃrica HispÃnica. Con base en la nociÃn de sistema literario, propuesta por Antonio Candido, y en la teorÃa general de los campos de Pierre Bourdieu, esta investigaciÃn tambiÃn explica el contexto social y cultural en el que circularon las ideas de la autora. En ese sentido, el abordaje del trabajo està orientado por la microhistoria, pues se busca evaluar al individuo en sus redes de relaciones con otros individuos.
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Genre et société à Lima pendant la seconde moitié du XIXe siècle : analyse de l'oeuvre de Mercedes Cabello de Carbonera (1842-1909) / Gender and society in Lima during the second half of the 19th century : analysis of Mercedes Cabello’s works (1842- 1909)

Cárdenas Moreno, Mónica 02 October 2013 (has links)
Pendant la seconde moitié du XIXe siècle, Lima était une ville en train de se moderniser grâce à la richesse du guano. Dans les années 1870 émerge un groupe de femmes de lettres qui s'appuient sur la presse et les institutions littéraires. Elles trouvent des espaces ouverts à leur expression artistique et à leurs idées comme les Veladas Literarias. Après la Guerre du Pacifique (1879-1883), après l'occupation de la ville de Lima par l'armée chilienne, quelques intellectuels ont évolué vers une écriture plus critique de la société. Mercedes Cabello de Carbonera (1842-1909) est la première romancière au Pérou avec une production très importante. Elle construit ses romans à partir d'un regard sociologique sur la condition de la femme, car elle croit que de cela dépend la transformation morale de la société, et par conséquent le progrès.Nous développons notre recherche en trois parties. Dans la première, nous nous occupons du contexte politique, social et culturel et de l'éducation en particulier des femmes de lettres comme Cabello. Dans la deuxième partie, nous analysons les articles et les six romans de Cabello divisés en trois périodes (les romans traditionnels, les romans de la réécriture et les romans de la transgression) ; finalement, dans la dernière partie, nous établissons une comparaison avec d'autres femmes de lettres de l'époque : Soledad Acosta, Colombienne, et Emilia Pardo Bazán, pour distinguer la singularité du réalisme péruvien, et la représentation de la femme, par rapport à la production littéraire d'autres pays hispanophones. / During the second half of the 19th century, Lima was a city in the process of modernization thanks to the wealth proved from the exploitation of the guano. In this context, in the 1870's, emerges a group of women of letters, supported by the press and the principal literary institutions. They find receptive spaces to their ideas and artistic expressions as the Veladas Literarias. Nevertheless, after the War of the Pacific (1879-1883) and especially after the occupation of Lima city by the Chilean army, some intellectuals changed their literary proposal toward one more critical of the society. Among them, one of the most prolific and important was Mercedes Cabello de Carbonera (1842-1909). She constructed her novels with a sociological concern to the condition of women because she believes that they are responsible for the moral transformation of the society and, therefore, its own progress.This dissertation is structured in three parts. The first deals with the political, social and cultural context in which the women of Lima were formed, especially the women of letters such as Cabello. The second part will examine six novels and several articles by the author. With this purpose we have subdivided her work in three parts (traditional novels, novels of the rewriting and novels of the transgression). Finally, we have made a comparison with two contemporaneous female writers of the same period, Soledad Acosta de Samper (Colombian novel) and Emilia Pardo Bazán (Spanish novel), to attempt to distinguish the singularity of Peruvian realism and the representation of women in relation to the literary production of other Spanish-speaking countries.
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Genre et société à Lima pendant la seconde moitié du XIXe siècle : analyse de l'oeuvre de Mercedes Cabello de Carbonera (1842-1909)

Cárdenas Moreno, Mónica 02 October 2013 (has links) (PDF)
Pendant la seconde moitié du XIXe siècle, Lima était une ville en train de se moderniser grâce à la richesse du guano. Dans les années 1870 émerge un groupe de femmes de lettres qui s'appuient sur la presse et les institutions littéraires. Elles trouvent des espaces ouverts à leur expression artistique et à leurs idées comme les Veladas Literarias. Après la Guerre du Pacifique (1879-1883), après l'occupation de la ville de Lima par l'armée chilienne, quelques intellectuels ont évolué vers une écriture plus critique de la société. Mercedes Cabello de Carbonera (1842-1909) est la première romancière au Pérou avec une production très importante. Elle construit ses romans à partir d'un regard sociologique sur la condition de la femme, car elle croit que de cela dépend la transformation morale de la société, et par conséquent le progrès.Nous développons notre recherche en trois parties. Dans la première, nous nous occupons du contexte politique, social et culturel et de l'éducation en particulier des femmes de lettres comme Cabello. Dans la deuxième partie, nous analysons les articles et les six romans de Cabello divisés en trois périodes (les romans traditionnels, les romans de la réécriture et les romans de la transgression) ; finalement, dans la dernière partie, nous établissons une comparaison avec d'autres femmes de lettres de l'époque : Soledad Acosta, Colombienne, et Emilia Pardo Bazán, pour distinguer la singularité du réalisme péruvien, et la représentation de la femme, par rapport à la production littéraire d'autres pays hispanophones.
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Voces femeninas de la América decimonónica: Juana Manuela Gorriti, Soledad Acosta de Samper y Joséphine Marchand-Dandurand en sus diarios íntimos y publicaciones periódicas

Michaud-Mastoras, Danaé 07 1900 (has links)
Cette recherche a reçu le soutien financier du CRSH, de la FESP et du DLLM. / Le XIXe siècle représente une période prépondérante de l'histoire des femmes en Occident, celle de la naissance d’une conscience féminine de nature publique, des premiers balbutiements du féminisme. Dans ce contexte, il est important d'étudier où se situent certaines personnalités féminines dans leur société. À cette époque, deux pratiques d'écriture connaissent leur apogée, la presse et le journal intime, qui permettent aux femmes de prendre la parole et d’intervenir dans la sphère publique. Ces formes d'écriture peuvent être considérées comme des espaces discursifs nés de conflits et de tensions sociales; elles sont le produit d’une même personne qui commente l’actualité de façon quotidienne, hebdomadaire ou mensuelle. La femme de lettres reconstitue les événements et faits du passé, transmet ses observations et opinions personnelles sur divers sujets; elle remet aussi en question le discours normatif institutionnel à partir de ses propres expériences et connaissances. Les écritures intime et journalistique témoignent de la vision plurielle du monde des intellectuelles et de leur participation au devenir historique, d'où l'intérêt de les étudier en parallèle dans ce travail. À travers l'étude d’écrits intimes et journalistiques, l'objectif principal de cette thèse est de faire entendre trois voix féminines de l’Amérique face à la culture patriarcale: celles de l'Argentine Juana Manuela Gorriti, de la Colombienne Soledad Acosta de Samper et de la Québécoise Joséphine Marchand-Dandurand. Nous nous demandons dans quelle mesure leur écriture s’inscrit dans un projet collectif lié à l’avancement des femmes et de la nation. L’hypothèse qui guide notre travail est que les auteures développent et partagent une écriture de dénonciation et de revendication liée à la situation des femmes et de la nation. Nous partons du contexte universel d'invisibilité des femmes, de leur manque de reconnaissance comme sujets de la société du XIXe siècle ; nous suivons la ligne foucaultienne de la généalogie, en y ajoutant la variable de genre, dans le but de récupérer les traces d’une contre-mémoire manifeste dans les textes choisis et de mettre l’accent sur la contribution des auteures. L’analyse explore le dialogue entre le discours des écrivaines et l’hégémonie masculine. Elle reconstitue le contenu social de nature idéologique, indique les fonctions des textes analysés, examine attentivement leur contexte de création ainsi que l’expérience biographique des auteures et leur apport intellectuel. Alors que Gorriti, Acosta de Samper et Marchand-Dandurand proviennent de cultures et d’époques différentes, l'objectif est de préciser les éléments homologues sur les plans thématique et stratégique, tant dans leur écriture personnelle que dans leurs publications périodiques. Cet exercice permet de vérifier si, tant au niveau privé qu’au niveau public, les intellectuelles expriment les mêmes idées avec les mêmes stratégies énonciatives ; s’il existe une continuité ou, au contraire, une rupture entre les écrits autobiographiques et les essais publics qui rendent légitime leur vision du monde. Par la même occasion, nous examinons si le « je » des écrits intimes correspond à celui des publications périodiques de chacune des auteures à l’étude. / The nineteenth century is a key period in the history of Western women. This is when a public female consciousness emerges for the first time and an incipient feminism can be observed. In this context, it is important to study how certain female public figures positioned themselves in their respective societies. During this period two genres of writing, journalism and the personal diary, were at their height, and allowed women to take the floor and enter the public sphere. These forms of writing can be regarded as discursive spaces arising from social conflicts and tensions, but they are also the product of an individual who comments daily, weekly or monthly on current events. The woman writer reconstructs events and facts from the past, and reveals her personal observations and opinions on various subjects. She also uses her own experiences and knowledge to cast doubt on normative institutional discourses. Journalistic and personal writing bear witness to the pluralistic worldview of these female intellectuals and to their participation in contemporary historical developments; hence the interest in studying them comparatively in this investigation. The main objective of this dissertation is to analyse, through the study of their journalism and diaries, the work of three female writers from the Americas—the Argentinian Juana Manuela Gorriti, the Colombian Soledad Acosta de Samper, and the Quebecer Joséphine Marchand-Dandurand—whose voices have been silenced by patriarchal culture. Fundamentally, this thesis asks to what extent their writing is inscribed in a collective project related to the advancement of women and the nation. This investigation’s hypothesis is that the authors develop and share a critique of both the situation of women and the nation, as well as calling for women's recognition. Starting from the basis that women's invisibility is universal, and that women were not recognised as subjects in nineteenth-century society, the study deploys the Foucault’s theory of genealogy, adding the gender variable, in order to rescue the traces of a counter-memory in the texts selected and to value the contributions of the authors. The analysis explores the dialogue between the discourse of women writers and male hegemony, restoring the social content of an ideological nature, pointing out the functions provided by the texts analyzed and carefully examining the contexts of their production, as well as the biographical experiences of the writers and their intellectual contributions. Even though Gorriti, Acosta de Samper and Marchand-Dandurand come from different cultures and epochs, the objective is to define the similarities in their personal and journalistic writing on both a thematic and strategic levels. This exercise allows us to verify if these female intellectuals expressed the same ideas in both public and private spheres with the same enunciative strategies; if there is continuity or rupture between autobiographical writings and public essays, which legitimize their worldview. At the same time, the study examines if there is any correspondence between the authorial self of the intimate writings and that of the periodical publications. / El siglo XIX es un período clave en la historia de las mujeres occidentales ya que es el momento en el que surge una conciencia femenina de naturaleza pública y en el que se observan los primeros balbuceos del feminismo. En este contexto, resulta importante estudiar el posicionamiento de ciertas individualidades femeninas frente a la sociedad de su tiempo. Tanto la prensa como el diario personal son dos prácticas escriturales que conocen su auge en esta época y que permiten a las mujeres tomar la palabra y el espacio público. Estas formas de escritura pueden ser consideradas como espacios discursivos surgidos de conflictos y tensiones de carácter social, siendo producto de una misma personalidad que comenta diaria, periódica o mensualmente la actualidad. La mujer escritora reconstituye acontecimientos y hechos del pasado, da a conocer sus observaciones y opiniones personales sobre varios temas; cuestiona también el discurso normalizado e institucionalizado a partir de su propia experiencia y en función de sus conocimientos. Las escrituras íntima y periodística constituyen testimonios de la visión plural del mundo de las intelectuales y de su participación en el devenir histórico. De ahí el interés de estudiarlas en paralelo en este trabajo. El objetivo principal de esta tesis es el de hacer oír, a través del estudio de escritos íntimos y periodísticos, tres voces femeninas americanas frente a la cultura patriarcal: las de la argentina Juana Manuela Gorriti, de la colombiana Soledad Acosta de Samper y de la quebequense Joséphine Marchand-Dandurand. Nos preguntamos en qué medida su escritura se inscribe en un proyecto colectivo relacionado con el avance de la mujer y de la nación. La hipótesis que guía nuestra investigación es la de que las autoras desarrollan y comparten una escritura de denuncia y de reivindicación relacionada con la situación de la mujer y de la nación. Partiendo del contexto universal de invisibilidad de la mujer, de su falta de homologación como sujeto en la colectividad decimonónica, seguimos la línea foucaultiana de la genealogía, agregándole la variable de género, con el fin de rescatar las huellas de una contramemoria manifiesta en los textos seleccionados y de valorar las aportaciones de las autoras. El análisis considera la interlocución entre el discurso de las escritoras con la hegemonía masculina, restituyendo el contenido social de naturaleza ideológica, señalando las funciones y apuestas que proporcionan los textos analizados y examinando cuidadosamente el contexto de su creación, así como la experiencia biográfica de las escritoras y su aporte intelectual. Si bien Gorriti, Acosta de Samper y Marchand-Dandurand proceden de culturas y épocas distintas, el objetivo es deslindar los elementos que pueden ser considerados homólogos a nivel temático y estratégico, tanto a través de su escritura personal como de sus publicaciones periódicas. Este ejercicio nos permite comprobar si, tanto en el plano privado como en el público, las intelectuales expresan las mismas ideas con las mismas estrategias enunciativas, si existe continuidad o si, por el contrario, se evidencia una ruptura entre los escritos autobiográficos y los ensayos públicos, que legitiman su visión del mundo. Al mismo tiempo, examinamos si hay una concordancia entre el yo autoral de los escritos íntimos y el de las publicaciones periódicas.

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