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Projets et utopies au Québec : Les années 1960 et 1970 : entre sculpture et architecture

Mathieu, Gabrielle 12 1900 (has links)
Depuis la publication de l’Utopia de Thomas More au XVIe siècle, la notion d’utopie s’est vue appropriée par différents domaines d’expression artistique. Bien vite, l’architecture et l’urbanisme en font leur apanage lorsqu’il est question de concilier, en des dessins et des plans, des sociétés idéalisées et leurs représentations. La modernité et les nouvelles technologies modifient les modalités de l’utopie qui tend alors vers l’actualisation de ses modèles en des projets construits. Le XXe siècle est aussi marqué par une abondance de formes et d’idées dont la transmission et le partage sont accélérés par la création de nouveaux médias. Si les années 1960 et 1970 sont le lieu d’émergence de formes expérimentales et de projets utopiques, notamment alimentés par la Révolution tranquille et Mai 68, il est encore difficile au Québec de retracer ces projets en arts et en architecture puisqu’ils sont peu documentés. Par l’étude de la pratique artistique d’Yvette Bisson (1926-), de Robert Roussil (1925-2013) et de Melvin Charney (1935-2012), ce mémoire propose d’observer les différentes tactiques d’appropriation de l’espace auxquelles s’apparentent les modalités de la sculpture de ces trois artistes. Par l’intermédiaire de Michel de Certeau, Henri Lefebvre et Louis Marin, nous chercherons à expliquer quelle est la teneur critique des imaginaires mis en œuvre par les trois artistes pour créer de nouveaux lieux utopiques de la sculpture. / Since the first release of Thomas More’s Utopia in the XVth century, the notion of utopia has been appropriated by different means of artistic expression. Quickly, architecture and urban planning used it as an historical purview, when merging in drawings and maps, representations of idealized societies. Modernity and new technologies changed intrinsically utopia’s modalities; therefore artistic projections progressed towards built models. The XXth century has also shown plenty of innovative forms and ideas, whose transmission was accelerated by new media. Although the 1960s and the 1970s gave rise to experimental forms and utopian projects — especially powered by the Révolution tranquille and Mai 68 — it is still challenging to find traces of these art and architecture projects in Québec, due to lack of documentation on the subject. In studying artistic works and practices of Yvette Bisson, Robert Roussil and Melvin Charney, this master thesis intends to observe means and tactics used within their sculptures to seize space and its political dimension. Through Michel de Certeau, Henri Lefebvre and Louis Marin, we will attempt to clarify in which ways the three sculptors’ imagination is fully deployed, hence creating new utopian spaces in sculpture.
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Le rapport d’usagers de maisons d’hébergement en santé mentale à leur environnement immédiat : une étude socio-écologique

Benetti, Chiara 08 1900 (has links)
No description available.
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Hostipitalité, pouvoir et appropriation de l’espace dans l’habitat des réfugiés : le cas des réfugiés syriens au Liban

Kikano, Faten 08 1900 (has links)
Avec 80 millions de personnes déracinées à travers le monde, les espaces de refuge sont en train d’émerger comme les transformations urbaines les plus visibles des temps modernes. Ces espaces, dont la fonction première est d’abriter temporairement, servent souvent d’habitat pour les réfugiés pendant des décennies. Cependant, les États hôtes, majoritairement des pays en développement, persistent à accueillir les réfugiés selon des politiques à court-terme. Cet écart génère plusieurs tensions mais se manifeste explicitement dans la conception temporaire des espaces de refuge. Sur le plan théorique, alors que les migrations sont largement documentées, des connaissances limitées existent sur la reproduction de chez-soi. Les théories qui portent sur les espaces de refuge se concentrent surtout sur des enjeux géopolitiques et anthropologiques, négligeant l’espace en soi. Pauvres en nuances, elles classent ces espaces selon des conceptualisations dichotomiques souvent déconnectées du vécu des réfugiés. Cette recherche propose une nouvelle lecture des espaces de refuge à travers les lentilles du pouvoir, de la culture et de l’espace. Elle étudie l’appropriation de ces espaces en se basant sur l’exploration des pratiques sociales, économiques et politiques des réfugiés, de leurs interventions sur l’espace et du lien qu’ils développent avec leurs nouveaux environnements de vie. Elle révèle également l’influence des approches adoptées par la communauté internationale, les gouvernements d’accueil, les organismes humanitaires et les communautés hôtes. L’étude est qualitative exploratoire et adopte la méthode de l’étude de cas multiples. Cette approche permet d’acquérir une compréhension approfondie des perceptions des réfugiés des contextes sociopolitiques et économiques qui caractérisent leur vécu d’une part et de leurs représentations de l’espace d’autre part. Trois typologies d’habitat — deux habitations urbaines, deux campements informels et deux camps organisés — sont étudiées afin d’évaluer l’importance du type de l’espace par rapport à son appropriation. L’étude adopte l’ethnographie comme approche méthodologique complémentaire, dévoilant l’évolution des conditions de vie des réfugiés et la transformation de leurs espaces. Le cas à l’étude est celui des réfugiés syriens au Liban. Submergé par le nombre de réfugiés sur son territoire, le plus grand par nombre d’habitants au monde, le Liban exclut les réfugiés syriens des systèmes institutionnels, économiques et urbains dans le but de réduire leur accès au territoire, de limiter la durée de leur séjour et de prévenir la consolidation matérielle et immatérielle de leurs espaces. Toutefois, huit ans après, les stratégies adoptées par le gouvernement libanais se sont avérées infructueuses : le nombre des réfugiés syriens accueillis est sensiblement le même et leurs espaces se sont pour la plupart ghettoïsés. La thèse propose cinq résultats principaux : 1) l’enjeux central dans l’appropriation des espaces de refuge est un ensemble de géométries de pouvoirs politique, économique et social ; 2) la gouvernance faible de l’État d’accueil fragmente les systèmes traditionnels et permet l’émergence de structures de pouvoir informelles qui contrôlent les réfugiés et leurs espaces ; 3) l’exclusion des réfugiés exacerbe leur vulnérabilité et l’organise au profit de parties prenantes locales influentes. Elle réduit leurs chances d’émigrer et mène souvent à la ghettoïsation de leurs espaces ; 4) la typologie des espaces n’est pas centrale par rapport à leur appropriation ; 5) l’enracinement de l’identité dans le lieu d’origine est une idée basée sur des considérations politiques anti-migratoires. Les espaces de refuges évoluent, selon les opportunités et les défis dans le milieu d’accueil, suivant un continuum entre non-lieux temporaires et lieux de vie socioculturels. En transcendant leur marginalisation et leur homogénéisation, cette recherche dévoile la réalité intime des espaces de refuge. Elle montre que souvent, ils deviennent des chez-soi, lieux de vie quotidiens qui abritent des individus qui forment des groupes sociaux culturellement distincts et économiquement hiérarchisés. D’un point de vue théorique, elle montre que l’accueil des réfugiés est souvent basé sur l’hostipitalité, une hospitalité hostile qui vulnérabilise les réfugiés et facilite leur exploitation. Elle révèle que l’appropriation des espaces de refuge augmente proportionnellement avec l’inclusion institutionnelle et l’autonomisation socioéconomique des réfugiés, concourant à la reproductibilité rhizomique de leur identité individuelle et collective. D'un point de vue pratique, cette recherche démontre que, sous prétexte de raccourcir la durée de l’accueil des réfugiés, les politiques d’accueil sont en réalité adoptées dans l’intérêt économique et politique d’acteurs étatiques et privés. Dans le but d’atteindre une meilleure justice spatiale, elle recommande aux gouvernements d’accueil un changement de paradigme à travers l’adoption de stratégies plus inclusives à l’égard des réfugiés menant à leur autogestion et leur développement et d’approches adaptées à l’usage et à la durée de leurs espaces. / With 80 million people uprooted around the world, refuge spaces are coming to be the most visible urban transformations of modern times. These spaces, whose primary function is to shelter, often accommodate refugees for decades. Yet, host states, mostly developing countries, continue to host refugees without adopting comprehensive, long-term strategies for their integration, causing acute political, socio-economic, and humanitarian problems. The lack of a long-term solution is explicitly revealed by the conceptions of refugee spaces, often designed as temporary solutions. From a theoretical perspective, while social scientists and geographers have widely documented the geopolitical and anthropological aspects of forced migrations, they have neglected the concept of space appropriation and the production of place identity in refugee spaces. Indeed, their classification of space/place is often based on dichotomous conceptualizations and differs from refugees’ real-life experience. This research examines refugee spaces through the lenses of power, culture, and space. It provides new evidence on the appropriation of these spaces through refugees’ social, economic, and political practices, their interventions on space, and their perceptions of their new living environment. It also examines the impact of the strategies adopted by the international community, host governments, humanitarian organizations, and local communities. The research method is qualitative and exploratory; it is based on a multiple case study design. This methodological approach provides an in-depth understanding of refugees' perceptions on the socio-political environment undergirding displacement and on their representations of space. Three space typologies — urban dwellings, informal settlements, and organized camps — are studied with the purpose of assessing the relevance of the space-type in relation to its appropriation. The study uses ethnography as a complementary methodological approach, shedding light on the evolution of refugees’ living conditions over time and the transformation of their spaces from a cultural standpoint. It specifically focuses on Syrian refugees in Lebanon, a country which hosts the largest number of refugees per capita in the world. Overwhelmed by the number of refugees hosted, Lebanon excludes Syrian refugees from formal legal, economic, and urban systems, limiting their access to the territory, reducing the duration of their stay, and preventing the tangible and intangible consolidation of their living spaces. Yet, eight years later, the strategies adopted by the Lebanese government have proven unsuccessful: the number of Syrian refugees is roughly the same as at the beginning of the conflict and most of their spaces have been ghettoized. Results show that: 1) complex geometries of political, economic, and social powers determine the appropriation of refugee spaces; 2) weak state authority fragments traditional governance systems which leads to the emergence of informal power structures that control refugees and their spaces; 3) refugees’ exclusion exacerbates their vulnerability, while benefitting local stakeholders, subsequently reducing their chances of emigration and leading to the ghettoization of their living spaces; 4) the typology of spaces is not a major variable in relation to their appropriation; 5) the rooting of identity in the place of origin is an idea based on anti-migration political viewpoints; refugee spaces can evolve along a continuum between temporary non-places and socio-cultural places of life depending on the opportunities and challenges in the host context. Transcending the stigmatization, marginalization, and homogenization of refugee spaces, this research reveals the intimate reality of these spaces. It shows that they often become places of everyday life for refugees who form culturally dissimilar and economically hierarchical social groups. From a theoretical point of view, this research shows that hosting policies are often based on hostipitality, or a hostile form of hospitality which exacerbate refugees’ vulnerability and facilitates their exploitation. It shows that refugees’ appropriation and control of their living spaces increase proportionally with their legal inclusion and their socio-economic empowerment by the host state, inciting the rhizomic reproducibility of their individual and collective identity in their new habitat. From a practical point of view, the research shows that hosting policies adopted on the pretext of shortening the duration of refugees’ settlement are in fact in the interest of state and private actors. With the purpose of achieving spatial justice, the study recommends a change of paradigm in refugee policies with approaches that are more inclusive towards refugees leading to their self-management and their development, and adapted to the use and duration of their living spaces.
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Appropriation de l’espace et conflits de voisinage en contexte de gentrification touristique : cas de la Médina de Marrakech (Maroc)

Sadki, Aba 08 1900 (has links)
Cette thèse s’intéresse aux dynamiques d’appropriation de l’espace en lien avec les mobilités touristiques Nord-Sud dans les médinas inscrites au patrimoine mondial. Elle engage la réflexion sur les conflits de voisinage entre les touristes-résidents occidentaux et les habitants dans la médina de Marrakech au Maroc classée patrimoine mondial de l'UNESCO en 1985. L’étude vise spécifiquement à analyser comment les usages renouvelés de l'espace en particulier les recompositions des modes d'habiter induits par les migrations touristiques influencent les rapports sociaux entres les touristes-résidents étrangers et des habitants de longue date. Un accent particulier sera porté sur le phénomène de « la riyadisation » par référence à l'achat et la reconversion des Riads (anciennes belles demeures) par les acteurs privés étrangers et ses effets sur la transformation des modes d’appropriation de l’espace et des liens de voisinage sur ce territoire spécifique et de haute valeur patrimoniale. La thèse mobilise le concept de la gentrification touristique comme clé de lecture de ce processus considéré comme une forme d'embourgeoisement des quartiers historiques centraux de la médina. En étudiant une ville touristique et patrimoniale du Sud remodelée par des mobilités migratoires transnationales, la thèse développe une thématique relativement récente en géographie du tourisme, en lien avec les conflits touristes-résidents comme nouvel enjeu des centres historiques inscrits au patrimoine mondial en général et des villes arabo-musulmanes en particulier. L'originalité de cette recherche découle de son approche théorique inspirée des écrits urbains critiques et de la néolibéralisation de la ville afin de saisir la complexité des interactions touristes-résidents dans le contexte touristique notamment par le courant postcolonial de la géographie sociale. A travers une méthode qualitative croisée basée sur l’observation participante, les parcours commentés, les entretiens semi-directifs, les groupes focus et l’inventaire cartographique, les plaintes de voisinage, les conflits touristes-résidents/habitants sont saisis à une échelle fine, celle de la mitoyenneté résidentielle, dans des milieux de vie marqués par la coprésence des usages de l'espace locaux et globalisées, lucratifs et résidentiels, populaires et élitistes impliquant des frictions socioculturelles traduites par diverses formes de conflits de voisinage. / This thesis focuses on the dynamics of space appropriation in connection with North-South tourist mobility in the medinas listed as World Heritage. It engages reflection on neighborhood conflicts between Western tourist-residents and inhabitants in the medina of Marrakech in Morocco, classified as a UNESCO World Heritage Site in 1985. The study specifically aims to analyze how the renewed uses of space in particular, ways of living transformation induced by tourist migrations influence social relations between foreign tourist-residents and long-term residents. Particular emphasis will be placed on the phenomenon of “riyadisation” by reference to the purchase and conversion of Riads (historic residences) by foreign private actors and its effects on the transformation of space appropriation modes and neighborhood in this specific territory of high heritage value. The thesis mobilizes the concept of “tourism gentrification” as a key to understanding this process considered as a form of gentrification of the central historic districts of the medina. By studying a tourist and heritage city in the South remodeled by transnational mobilities, the thesis develops a relatively recent theme in the geography of tourism, in connection with tourist-resident conflicts as a new challenge for historic centers listed as World Heritage in general and for Arab-Muslim cities (medinas) in particular. The originality of this research lied on its theoretical approach inspired by critical urban writings and the neoliberalization of the city in order to understand the complexity of tourist-resident interactions in the tourist context, in particular by the postcolonial lens of social geography. Through a cross-qualitative method based on participant observation, walking interviews, semi-structured interviews, focus groups, cartographic inventory and neighborhood complaints, tourist-resident conflicts are analyzed on a fine scale, in living environments marked by the co-presence of local and globalized, lucrative and residential, popular and elitist uses of space involving socio-cultural frictions expressed in various forms of neighborhood conflicts.

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