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Comme des galets sur la grève (nouvelles), suivi de Rêver le "réel" l'espace dans la nouvelle fantastique onirique (essai)

Lapalme, Marie-Claude January 2009 (has links)
La présente thèse explore, dans une optique de recherche-création, la nouvelle fantastique onirique, notamment au plan de ses stratégies de spatialisation, indissociables de la narration et, surtout, de la focalisation.La partie création de la thèse, soit le recueil de nouvelles homogène intitulé Comme des galets sur la grève , met en place neuf textes plus ou moins courts et participant du fantastique onirique. Ce recueil témoigne de mon parti pris pour l'espace, puisqu'il se concentre autour d'un lieu rassembleur, un lac situé dans une région isolée, que fréquentent des personnages marginaux. Tous ces êtres tourmentés, esseulés, sont attirés par ce plan d'eau. Invariablement, le lac agit en tant que révélateur de leur psyché, de leur quête. Dans toutes les nouvelles, le fantastique fait irruption à des degrés divers, se manifestant généralement par le biais de procédés propres à l'onirisme, étroitement liés à la focalisation et aux types de lieux choisis. Dans la partie"essai" de la thèse, c'est-à-dire : Rêver le"réel" : l'espace dans la nouvelle fantastique onirique, je reviens sur les travaux théoriques inspirés par le fantastique et je pose les bases de ce qui peut être considéré comme sa variante onirique. J'explore aussi la notion d'espace littéraire, particulièrement dans un contexte nouvellier et fantastique, et je présente un modèle théorique permettant d'étudier l'espace de la nouvelle fantastique onirique, modèle qui guide l'analyse de douze nouvelles issues de trois auteurs québécois pratiquant ce sous-genre : Aude, Hugues Corriveau et Danielle Dussault. J'y observe principalement la spatialisation, en mettant en évidence ce qui caractérise la manière de chaque auteur. Enfin, j'opère un retour sur ma pratique scripturale et sur le fantastique onirique présent dans Comme des galets sur la grève , par le biais d'une réflexion portant sur l'importance de l'espace dans mon écriture et son rôle dans le recueil, le tout en bénéficiant de la perspective renouvelée que les analyses des trois nouvelliers m'offrent. Chez les auteurs retenus, ainsi que dans mon recueil, le fantastique onirique s'envisage comme étant une pratique scripturale étroitement associée au regard et à la focalisation des protagonistes, mais aussi à la spatialisation des textes, les lieux fondant l'élaboration même d'un réseau d'analogies, de mises en abyme et de dédoublements illustrant la quête d'un sujet désireux de s'extraire d'un"réel" aliénant, pour habiter un univers plus accordé à sa"déviance".
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Hivernages (roman par fragments), suivi de Habiter l’imaginaire : pour une géocritique des lieux inventés (essai)

Deschênes Pradet, Maude January 2017 (has links)
Cette thèse de recherche-création comprend deux parties complémentaires : Hivernages, un roman par fragments, et Habiter l’imaginaire, une étude géocritique des littératures de l’imaginaire au Québec. Ces deux parties explorent les lieux inventés dans la littérature, par la création, puis par l’analyse, et se rejoignent en conclusion. Hivernages : Une année, sans qu’on sache pourquoi, l’hiver ne s’est pas terminé. Depuis, tout est couvert de neige et de froid. Dans une église éventrée, une femme rêve de lieux étranges. Le fleuve charrie des cadavres. Chacun a beaucoup perdu. Talie a été amputée de sa sœur, Sam a laissé partir son grand amour, le vieux a oublié son nom. Socrate, le chien-loup, est redevenu sauvage, et Célia est restée seule dans sa vallée. Ren, l’orphelin, n’a jamais rien eu. Aude est née au cœur d’une tempête, le visage figé dans un rictus étrange. Pourtant, à Ville-réal, la cité souterraine, les vieilles continuent de boire du thé vert et de manger des beignets en parlant de choses ordinaires. Habiter l’imaginaire. Pour une géocritique des lieux inventés : Cette recherche découle d’une série de prémisses. D’abord, l’époque contemporaine se caractérise, entre autres, par une perte de repères spatio-temporels et un sentiment de fragmentation. Ensuite, les œuvres de fiction sont susceptibles de traduire le vécu et les perceptions des humains par rapport à l’espace. Même les lieux fictionnels les moins référentiels révèlent, avant tout, une spatialité contemporaine. Enfin, la nécessité, pour les littératures de l’imaginaire, de contenir leur propre xénoatlas confère une place privilégiée aux lieux dans les récits. De ces prémisses découlent les questions suivantes : est-il pertinent, pour une science des espaces littéraires telle la géocritique, de s’intéresser aux lieux non référentiels ? Si oui, comment s’articulerait une géocritique des lieux inventés ? Quels sont les éléments qui devraient être pris en compte ? Quels outils pourraient être sollicités pour analyser les œuvres ? Le premier chapitre retrace les principales études portant sur la spatialité littéraire, en particulier dans le contexte du tournant spatial qui se dessine en recherche depuis quelques décennies. Il dresse également un état de la question sur les littératures de l’imaginaire. Il en ressort que la géocritique peut et doit s’intéresser aux lieux inventés. Le deuxième chapitre élabore une méthodologie tenant compte des spécificités des littératures de l’imaginaire. Les chapitres trois, quatre, cinq et six analysent quatre œuvres québécoises contemporaines, dans une perspective géocritique. Il s’agit de Récits de Médilhault d’Anne Legault, Les Baldwin de Serge Lamothe, L’aigle des profondeurs d’Esther Rochon et Hôtel Olympia d’Élisabeth Vonarburg. Enfin, en conclusion, les lieux inventés sont revisités, mais du point de vue de l’écriture.

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