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Stalin und seine Zeit in der russischen Literatur nach 1953

Kühn, Michael, January 1980 (has links)
Thesis (doctoral)--Universität Hamburg. / Vita. Includes bibliographical references (p. 681-690) and index.
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La représentation du stalinisme dans Les Aventures de Tintin

Bachand, André 28 March 2022 (has links)
Inspirées des événements historiques du XXe siècle, Les Aventures de Tintin (1929-1976) introduisent au politique. La rencontre entre Tintin et Staline était inévitable. Hergé élabore ainsi certains scénarios staliniens, écho des peurs de ses contemporains envers le « communisme » et le totalitarisme. Ce mémoire s'interroge sur la nature et l'évolution de la représentation du stalinisme à des fins scénaristes. Il reconnaît les propositions théoriques majeures du totalitarisme stalinien d'Arendt, de Friedrich, de Brzezinski et d'Aron, à l'origine de l'école totalitariste; les différents courants historiographiques et l'ouverture partielle des archives soviétiques. Son cadre opératoire regroupe trois grandes variables staliniennes : l'idéologie, la terreur et le dictateur. En raison de la nature de la bande dessinée, il propose deux niveaux d'analyse: le lisible et le visible. Ses stratégies de vérification recourent au paradigme de l'indice de Ginzburg (1980) et à la représentation de l'ennemi soviétique dans le cinéma américain de la Guerre froide de Ballion (2014). Jamais, à notre connaissance, la représentation du stalinisme ne fut étudiée pour l'ensemble des albums Tintin. Notre analyse recense six albums « staliniens » sur les vingt-trois complétés. Ils constituent 26% du corpus Tintin, proportion significative. Or, à aucun moment Hergé ne personnifie Staline, sa figure s'incarnant plutôt dans celle des représentants officiels soviétiques. Le lecteur croise ces derniers sur 56% des pages du corpus étudié. Notre analyse discursive de la représentation hergéenne du stalinisme conclut qu'elle priorise la terreur et le dictateur, l'écart séparant ces deux variables s'avérant moins grand qu'anticipé. Réaliste, elle participe partiellement à la socialisation politique du jeune lecteur, le bédéiste y développant un discours politique convenu à l'égard de Staline et de l'Union soviétique. C'est en recourant à la dissémination d'indices dormants qu'Hergé le compose, soulevant l'intérêt du lecteur avisé à la recherche de différents niveaux de lecture. Ce discours politique dans la représentation du stalinisme d'Hergé n'atteint toutefois pas la complexité de celui du genre romanesque stalinien de Koestler, de Gheorghiu, d'Orwell, de Weisberg, de Soljenitsyne ou de London. Ce ne fut là nullement sa prétention. / Inspired by historical events of the twentieth century, Les Aventures de Tintin (The Adventures of Tintin) (1929-1976) introduces to politics. The encounter between Tintin and Stalin was inevitable. Hergé elaborates some Stalinist scenarios, echoing the fears of his contemporaries towards "communism" and totalitarianism. This thesis questions the nature and the evolution of the representation of Stalinism for screenwriting purposes. It acknowledges the major theoretical propositions of Stalinist totalitarianism (Arendt, Friedrich, Brzezinski and Aron of the totalitarian school), the different historiographic currents and the partial opening of the Soviet archives. Its operative framework identifies three major Stalinist variables: ideology, the terror and the dictator. Because of the nature of the comic book, it proposes two levels of analysis: the readable and the visible. Its verification strategies appeal to the indiciary paradigm (Ginzburg, 1980) and to the representation of the Soviet enemy in American Cold War cinema (Ballion, 2014). To our knowledge, the representation of Stalinism has never been studied in the entirety of the Tintin albums. Our analysis identifies six Stalin albums, representing 26% of the corpus Tintin. At no time is Stalin featured, his figure being personified in that of the official Soviet representatives on 56% of the corpus pages. This Hergean representation of Stalinism focuses on the terror and the dictator, the gap between these two variables is being less than anticipated. Realistic, it partially participates in the political socialization of young readers, while raising the interest of the advised reader with disseminating of dormant indices. However, this representation doesn't reach the complexity of Stalin's literary fiction genre (Koestler, Gheorghiu, Orwell, Weisberg, Soljenitsyne, London). This was in no way his pretense.
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Les ingénieurs de l'âme : pouvoir et subjectivation sous Staline /

Landry, Jean-Michel. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.) -- Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. 83-92. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Life and death under Stalin : Kalinin Province, 1945-1953 /

Boterbloem, Kees, January 1900 (has links)
Originally presented as the author's thesis (Ph.D.-McGill, 1994) under the title: Communists and the Russians. / Includes bibliographical references (p. [395]-409) and index.
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Vers une science de la traduction? : contextes idéologiques, politiques et institutionnels du développement de la théorie linguistique de la traduction en Russie soviétique (1922-1991)

Dmitrienko, Gleb 04 1900 (has links)
La recherche présentée dans le cadre de ce mémoire porte sur le développement de la Théorie linguistique de la traduction telle qu’élaborée par des traducteurs soviétiques à partir des années 1950. Ce mémoire vise à démontrer les particularités de l’évolution des connaissances traductologiques sous la pression politique, idéologique et institutionnelle du régime soviétique (1922-1991). En particulier, le travail cherche à expliquer les raisons qui ont abouti à l’isolement théorique de la traductologie russe. À partir de la théorie du polysystème littéraire d’Even-Zohar et de son analyse de la structure des systèmes littéraires, ce mémoire examine la structure et l’évolution des différents facteurs (producteur, institutions, produit, répertoire, marché) qui ont façonné la configuration spécifique de la Théorie linguistique de la traduction en tant que produit du système soviétique de traduction, tel qu’il se développe dans les conditions particulières du polysystème littéraire soviétique. L’analyse des travaux des auteurs dits « canonisés » de l’approche linguistique russe (Fyodorov, Retsker, Švejtser, Barkhoudarov, Komissarov) permet de montrer comment la Théorie linguistique de la traduction s’est imposée comme la seule théorie capable de survivre au contexte soviétique de pression idéologique et de contrôle total du régime communiste. Ce sont ces facteurs qui expliquent aussi le décalage théorique et institutionnel observé entre les traductologies russe et occidentale. / The research presented in this work focuses on the development of the Linguistic Theory of Translation as initially formulated by Soviet translators in the 1950s. The goal of this study is to analyse the particular evolution of translation scholarship in the Soviet era (1922-1991) in a context of political, ideological and institutional pressure and control. Besides, this work seeks to clarify the reasons why the Russian approach to translation became isolated from other theoretical developments in the field. Based on Even-Zohar’s theory of literary polysystem and his analysis of the structure of literary systems, this thesis examines the various factors (producer, institutions, product, repertoire, market) whose changing configuration conditioned the development of the Linguistic Theory of Translation, as a product of a specific translation system within the Soviet literary polysystem. Our analysis of the works of “canonical” theoreticians of the Russian linguistic approach to translation (Fyodorov, Retsker, Švejtser, Barkhoudarov, Komissarov) shows that the Linguistic Theory of Translation was the only theory that could survive the Soviet context of ideological pressure and total control of the communist regime. These very factors, we also argue, explain the theoretical and institutional gap that separates the Russian Linguistic Theory from Western approaches to translation.
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Les ingénieurs de l'âme : pouvoir et subjectivation sous Staline

Landry, Jean-Michel 12 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / On a l'habitude de penser que le système politique stalinien réprimait les subjectivités en les traquant jusque dans leurs plus intimes manifestations. Les archives soviétiques récusent pourtant cette analyse. Elles montrent que le régime de Staline accordait un soin précieux aux subjectivités; que des dispositifs avaient été aménagés afin de conduire les individus à transformer durablement la manière dont ils se percevaient. C'est le cas du roman stalinien, lequel eut pour fonction et pour effet d'inciter les citoyens soviétiques à cultiver un rapport à soi calqué sur la figure de l'« Homme Nouveau ». Ce mémoire pose en thèse que, sous Staline, le roman héroïque appartenant au genre « réaliste socialiste » se voulait un outil de transformation intérieure, et sa lecture un acte de subjectivation. Cet argument se verra étayé, entre autres, au moyen de la correspondance entre l'écrivain soviétique Nikolaï Ostrovski et ses nombreux lecteurs.
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Revisionismo histórico en El hombre que amaba a los perros de Leonardo Padura

Vertiz Nunez, Marietta 11 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur le révisionnisme historique réalisé par Leonardo Padura dans son roman El hombre que amaba a los perros, publié en 2009. Cet écrivain, l’un des auteurs actuels les plus publiés et les plus récompensés du monde hispanique, utilise les figures historiques de León Trotsky et de son assassin, Ramón Mercader, pour raconter l’histoire inédite de Cuba à partir de l’arrivée au pouvoir de Fidel Castro, en janvier 1959. L’auteur se sert de la figure de Trotsky pour traiter certaines questions qui laissent entrevoir la décomposition du système révolutionnaire cubain. D’une part, Trotsky était un écrivain qui subissait de la censure, comme bon nombre d’écrivains et d’intellectuels cubains. D’autre part, c’était un soldat qui, après avoir participé à divers conflits, comme la révolution d’Octobre, fut rayé de l’histoire de son pays, condamné à l’exil, et finalement assassiné. Dans le présent travail, nous étudierons la manière dont la reconstruction et la déconstruction de l’histoire convergent en nous penchant sur les mouvements centrifuges et centripètes qu’elles comportent. Ainsi, nous verrons comment le texte littéraire, à travers la figure et les expériences d’un personnage non historique, reconstruit l’histoire de Cuba dans les années 70 et 80 en mettant en lumière la stalinisation du régime castriste et le désenchantement de ceux qui l’avaient initialement soutenu, entre autres de nombreux intellectuels et écrivains. / This dissertation focuses on Leonardo Padura’s historical revisionism in his 2009 novel El hombre que amaba a los perros. Padura, one of today’s most published and award-winning authors in the Hispanic world, has used the historical figures of Leon Trotsky and his assassin, Ramón Mercader, to present the untold story of Cuba from the time Fidel Castro gained power in January 1959. Padura uses Trotsky’s character to address a number of issues that point to the decomposition of the Cuban revolutionary system. On the one hand, Trotsky was a writer who suffered censorship, as did many Cuban writers and intellectuals. On the other hand, he was a soldier who, after being involved in various conflicts, such as the October Revolution, was erased from the history of his country, forced into exile, and ultimately assassinated. In this dissertation, we will examine how the reconstruction and deconstruction of history converge, focusing on the centrifugal and centripetal movements they comprise. We will see how the history of Cuba during the 1970s and 1980s is reconstructed in Padura’s literary work through a nonhistorical figure and his experiences, revealing the Stalinization of the Castro regime and the disenchantment of those who initially supported it, including many intellectuals and writers. / Este trabajo trata sobre la revisión histórica realizada por Leonardo Padura en la novela El hombre que amaba los perros publicada en el año 2009. Este escritor, uno de los autores actuales más publicados y premiados del mundo hispano, se ha ocupado de la figura histórica de León Trotsky y su asesino Ramón Mercader, para desde su historia proyectar la historia no contada de Cuba, luego de la llegada al poder de Fidel Castro en enero de 1959. La figura de Trotsky le sirve al autor para tratar un número de temas que apuntan a la descomposición del sistema revolucionario cubano. Por un lado, Trotsky fue un escritor que sufrió la censura, como tantos escritores e intelectuales cubanos. Por otro lado, también fue un militar que, luego de participar en diversos conflictos, como la Revolución de Octubre, fue borrado de la historia de su país, condenado al exilio y, finalmente, asesinado. El presente trabajo se centrará en el modo en que convergen la reconstrucción y la deconstrucción de la historia, atendiendo a los movimientos centrífugos y centrípetos que contienen. Así veremos cómo el texto literario, a través de la figura y de las experiencias de un personaje no histórico, va reconstruyendo la historia de Cuba durante los años 70 y 80, apuntando a la estalinización del régimen castrista y al desencanto de quienes lo habían apoyado inicialmente, entre ellos muchos intelectuales y escritores.
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Roman Karmen, la vulgate soviétique de l'histoire : stratégies et modes opératoires d'un documentariste au XXème siècle / Roman Karmen, the Soviet vulgate of history : strategies and modus operandi of a 20th century documentary filmmaker

Barbat, Victor 27 November 2018 (has links)
A travers l’étude de l’œuvre du cinéaste Roman Karmen, nous souhaitons reconstituer un patrimoine et tenter d’en définir les enjeux autour de questions historiographiques. En effet, les images de l’opérateur soviétique n’ont pas seulement marqué l’histoire du XXème, elles ont en partie contribué à la construire en un objet unique. Les propriétés métonymiques de l’image (photographies et prises de vues) ont bouleversé notre perception en même temps qu’elles ont participé à la construction d’un récit historique général d’un nouvel ordre. Il s’agit d’un récit visuel complexe où se mêlent prises de vues sur le vif et mises en scène, motifs et emblèmes, personnages principaux, personnages secondaires et masses anonymes. Disséminées, ces prises de vues constituent le principal réservoir d’images dites d’archives dont se servent régulièrement les documentaristes contemporains pour faire « témoigner l’Histoire ». Retracer le parcours de Karmen permet de revenir aux sources de ces images, de comprendre leurs enjeux, leurs contextes de production et leurs rapports au sein d’une œuvre dont le récit se confond avec l’Histoire. Nous faisons ici l’hypothèse que ce récit constitué de prises de vues, d’actualités et de films documentaires est à l’origine « d’une vulgate soviétique de l’Histoire ». / With the study of Roman Karmen’s cinematographic work, we want to retrace a heritage and to identify its implications through an historiographical approach. Not only did the Soviet filmmaker’s images go down in history but they also contributed to shape the twentieth century into a single object. Indeed, the metonymic properties of Karmen’s shootings (cinematographic photography and live action) upset our perception and contributed to build an historical account that sustains a new order. It is a complex visual narrative bringing together live action and staging, subjects and emblems, main characters, secondary characters and anonymous masses. Disseminated, Roman Karmen’s work is the main reservoir of “archival images” often used by contemporary documentary filmmakers as a mean to present “first-hand History”. Following Roman Karmen’s artistic itinerary allows us to gain a better understanding of these images: their initial purposes, their making process, and their relationships in a work within which story merges with History. We assume that this narrative consisting of pictures, cinematic newsreels, and documentary films shaped the “Soviet vulgate of history”.

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