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Connaissance et liberté dans la philosophie de l'éducation de Rudolf Steiner

Morzadec-François, Irène 20 April 2018 (has links)
Le propos de la thèse est de montrer qu’au cœur des problèmes que pose l’éducation aujourd’hui se trouve la question du connaître et de la mort du penser dans des structures mentales intellectuelles abstraites. Le triomphe du nominalisme a entraîné l’oubli de l’expérience de la vérité; la vérité est devenue dépourvue d’intérêt. Évacuée des préoccupations de la science, celle-ci lui préfère l’idée d’efficacité, de système fécond et saturé. Mais tout cela, dira Steiner, n’est qu’un rêve plaqué sur le réel car « l’intellect est pensée automatique et routinière » (La Rencontre des Générations, p. 40) et l’on ne saurait éduquer l’enfant avec cette « pensée automatique et routinière ». Avec les forces mortifères de l’intellect on tue la vie, la passion pour la vie. Alors comment donner place dans l’éducation à l’intellect, à la science, sans en nier les grandes conquêtes; comment concilier cette intelligence abstraite avec la joie qui naît de la liberté créatrice, la joie de l’enfant qui joue et fait de l’être humain pleinement un être humain selon Schiller? Voilà le défi éducatif d’aujourd’hui, un défi que nous n’avons pas su encore relever à l’échelle de nos sociétés modernes et celles-ci se meurent dans l’ennui, le vide, la misère de l’âme avec son cortège de pathologies physiques et psychiques, d’asservissement et de dépendances. Il y a urgence à changer de perspective, à ancrer le “ travail ” de l’école – l’école de la famille, l’école de l’école, l’école de la vie – dans une expérience cognitive holistique de l’être humain et du monde et c’est ce qui sera à montrer. Notre hypothèse de départ, c’est que Steiner a une contribution décisive à faire sur la question de l’éducation, de ses fondements épistémologique et éthique. Du constat des pathologies actuelles de l’éducation devenue elle-même pathogène (Chap. I Mozart assassiné), découle l’idée qu’un secret a été perdu pour la conscience moderne : le chemin qui va de l’apparaître à l’être; et la vie s’est éteinte dans l’abstraction des constructions mentales (Chap. II Le secret perdu). Héritiers de la philosophie kantienne, nous sommes restés paralysés sur l’échelle de la célèbre métaphore de Wittgenstein (Tractatus logico-philosophicus, Proposition 6.54) sans le courage de la rejeter au loin après y être monté – die Leiter wegwerfen –; on est resté avec cette fracture du réel entre l’être et l’apparaître. Pour une éducation holistique de l’être humain il faut une nouvelle gnoséologie, une nouvelle éthique; Steiner propose l’épistémologie goethéenne fondée sur le développement de l’appréhension intuitive de l’archétype et, de son côté, ce qu’il appellera “l’individualisme éthique”, fondé sur le développement de l’intuition morale, un véritable dépassement du kantisme dont les conditions de possibilité seront montrées. (Chap. III Fondements gnoséologiques pour de nouvelles perspectives en éducation). Sur ces fondements l’éducation devient processus de guérison selon les trois grandes étapes de l’enfance et de la jeunesse que sont le développement d’une “volonté connaissante” chez le petit enfant puis du “sentiment connaissant” chez l’enfant de la deuxième enfance et du pouvoir de l’imagination créatrice, (Chap. IV Le pouvoir de l’imagination); enfin du “connaître voulant” de la jeunesse mise en mouvement par la transformation des idées en idéaux (Chap. V Le courage de la vérité). Sciences et techniques de l’éducation sont devenues art de l’éducation, un art qui intègre rigueur de la science et efficacité de la technique, qui repose sur un sens aigu de la responsabilité morale de l’éducateur et de l’enseignant, une responsabilité morale qui exige liberté et collégialité au sein d’une école indépendante de l’état et de la politique, pour être au seul service des enfants et de leur développement. (Chap.VI Sens et responsabilité morale). L’école redevient skolê, lieu d’ “oisiveté” où le devoir de savoir se transforme en joie de connaître et d’agir pour le monde. Là est la raison essentielle pour laquelle les écoles dites Steiner-Waldorf progressent en nombre partout dans le monde de façon exponentielle. La méthode suivie sera davantage “monstrative” que démonstrative car c’est regarder qui fait voir et écouter qui fait entendre. Pour cela il faut abandonner le plus possible le schéma linéaire de la pensée discursive, amener couche par couche, des perspectives qui peu à peu se creusent et s’approfondissent pour conduire à un moment d’attention extrême et d’intuition de l’idée, c’est-à-dire d’un “être-avec-l’idée”. On a alors quitté l’échelle de Wittgenstein. En conclusion, nous sommes partis du constat d’échec de l’éducation aujourd’hui; nous y mettons en évidence la part de l’héritage kantien d’un côté, behavioriste de l’autre et proposons un dépassement gnoséologique et éthique à partir de l’approche goethéenne et steinerienne de la réalité humaine dans son rapport au monde, ouvrant ainsi de nouvelles possibilités pour une véritable éducation holistique qui confère à nouveau sens et propos à la vie, grandeur et dignité à l’être humain et fait de l’école un véritable lieu d’épanouissement et de croissance. / Le propos de la thèse est de montrer qu'au coeur des problèmes que pose l'éducation aujourd'hui se trouve la question du connaître et de la mort du penser dans des structures mentales intellectuelles abstraites. Le triomphe du nominalisme a entraîné l'oubli de l'expérience de la vérité; la vérité est devenue dépourvue d'intérêt. Évacuée des préoccupations de la science, celle-ci lui préfère l'idée d'efficacité, de système fécond et saturé. Mais tout cela, dira Steiner, n'est qu'un rêve plaqué sur le réel car "l'intellect est pensée automatique et routinière" (La Rencontre des Générations, p. 40) et l'on ne saurait éduquer l'enfant avec cette "pensée automatique et routinière". Avec les forces mortifères de l'intellect on tue la vie, la passion pour la vie. Alors comment donner place dans l'éducation à l'intellect, à la science, sans en nier les grandes conquêtes; comment concilier cette intelligence abstraite avec la joie qui naît de la liberté créatrice, la joie de l'enfant qui joue et fait de l'être humain pleinement un être humain selon Schiller? Voilà le défi éducatif d'aujourdřhui, un défi que nous n'avons pas su encore relever à l'échelle de nos sociétés modernes et celles-ci se meurent dans l'ennui, le vide, la misère de l'âme avec son cortège de pathologies physiques et psychiques, d'asservissement et de dépendances. Il y a urgence à changer de perspective, à ancrer le "travail" de l'école - l'école de la famille, l'école de l'école, l'école de la vie - dans une expérience cognitive holistique de l'être humain et du monde et c'est ce qui sera à montrer. Notre hypothèse de départ, c'est que Steiner a une contribution décisive à faire sur la question de l'éducation, de ses fondements épistémologique et éthique. Du constat des pathologies actuelles de l'éducation devenue elle-même pathogène (Chap. I Mozart assassiné), découle l'idée qu'un secret a été perdu pour la conscience moderne : le chemin qui va de l'apparaître à l'être; et la vie s'est éteinte dans l'abstraction des constructions mentales (Chap. II Le secret perdu). Héritiers de la philosophie kantienne, nous sommes restés paralysés sur l'échelle de la célèbre métaphore de Wittgenstein (Tractatus logico-philosophicus, Proposition 6.54) sans le courage de la rejeter au loin après y être monté - die Leiter wegwerfen-; on est resté avec cette fracture du réel entre l'être et l'apparaître. Pour une éducation holistique de l'être humain il faut une nouvelle gnoséologie, une nouvelle éthique; Steiner propose l'épistémologie goethéenne fondée sur le développement de l'appréhension intuitive de l'archétype et, de son côté, ce qu'il appellera "l'individualisme éthique", fondé sur le développement de l'intuition morale, un véritable dépassement du kantisme dont les conditions de possibilité seront montrées. (Chap. III Fondements gnoséologiques pour de nouvelles perspectives en éducation). Sur ces fondements l'éducation devient processus de guérison selon les trois grandes étapes de l'enfance et de la jeunesse que sont le développement d'une "volonté connaissante" chez le petit enfant puis du "sentiment connaissant" chez l'enfant de la deuxième enfance et du pouvoir de l'imagination créatrice, (Chap. IV Le pouvoir de l'imagination); enfin du "connaître voulant" de la jeunesse mise en mouvement par la transformation des idées en idéaux (Chap. V Le courage de la vérité). Sciences et techniques de l'éducation sont devenues art de l'éducation, un art qui intègre rigueur de la science et efficacité de la technique, qui repose sur un sens aigu de la responsabilité morale de l'éducateur et de l'enseignant, une responsabilité morale qui exige liberté et collégialité au sein d'une école indépendante de l'état et de la politique, pour être au seul service des enfants et de leur développement. (Chap.VI Sens et responsabilité morale). L'école redevient skolê, lieu d'"oisiveté" où le devoir de savoir se transforme en joie de connaître et d'agir pour le monde. Là est la raison essentielle pour laquelle les écoles dites Steiner-Waldorf progressent en nombre partout dans le monde de façon exponentielle. La méthode suivie sera davantage "monstrative" que démonstrative car c'est regarder qui fait voir et écouter qui fait entendre. Pour cela il faut abandonner le plus possible le schéma linéaire de la pensée discursive, amener couche par couche, des perspectives qui peu à peu se creusent et s'approfondissent pour conduire à un moment d'attention extrême et d'intuition de l'idée, c'est-à-dire d'un "être-avec-l'idée". On a alors quitté l'échelle de Wittgenstein. En conclusion, nous sommes partis du constat d'échec de l'éducation aujourd'hui; nous y mettons en évidence la part de l'héritage kantien d'un côté, behavioriste de l'autre et proposons un dépassement gnoséologique et éthique à partir de l'approche goethéenne et steinerienne de la réalité humaine dans son rapport au monde, ouvrant ainsi de nouvelles possibilités pour une véritable éducation holistique qui confère à nouveau sens et propos à la vie, grandeur et dignité à l'être humain et fait de l'école un véritable lieu d'épanouissement et de croissance.
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Os quatro temperamentos na Antroposofia de Rudolf Steiner

Mutarelli, Sandra Regina Kuka 21 June 2006 (has links)
Made available in DSpace on 2016-04-28T14:16:26Z (GMT). No. of bitstreams: 1 sandra mutarelli.pdf: 3399845 bytes, checksum: c88b4129ab5074cf6590b7b7f9b3c78d (MD5) Previous issue date: 2006-06-21 / Rudolf Steiner (1861-1925) was a philosopher, journalist and educator. Nowadays he is usually associated with lhe Camphill movement of curativa education and its architecture, several studies on religion, lhe biodynamical agricultura and lhe anthroposophical medicina. The aim of this research is to analyse Steiner's ideas concerning lhe four temperaments, taking into account its historical context, trying to check lhe similarities and differences between Steiner's conceptions and lhe concept of lhe four temperaments which is present in some writings belonging to lhe ancient Hippocratic-Galenic tradition. This dissertation contains an introduction and five chapters. Chapter 1 discusses some features of lhe ancient theory of lhe four humours, lhe theory of lhe temperaments and their developments. Chapter 2 providas a general overlook of Steiner's context and deals with his background, career, professional interests as well as some of lhe possible influences he received. Chapter 3 studies Steiner's conception of lhe four temperaments as presented in his work Das Geheimnis der menschlichen Temperamenteas well as olhar works by Steiner. It algo analyses lhe application of lhe conception of lhe four types of temperaments to education. Chapter 4 compares Rudolf Steiner's ideas concerning lhe four temperaments to lhe ideas which are part of lhe Hippocratic-Galenic tradition on this respect. Chapter 5 presents some final remarks on lhe subject. This study lead to lhe conclusion that although there are some similarities between lhe two conceptions in some respects, there are algo wide differences between them. For example, in both cases lhe terminology is lhe sarna. However, whereas in lhe Hippocratic-Galenic tradition, lhe temperament is produced by lhe predominance of one of lhe four humours (blood, yellow bife, phlegm and black bife), in Steiner's conception it is produced by lhe predominance of one of lhe four components of man (the physical body, lhe astral body, lhe ethereal body and lhe selt). Moreover, it was pointed out that Steiner's conception of lhe four temperaments providas a bridge uniting lhe pedagogical knowledge and lhe knowledge of lhe human constitution / Rudolf Steiner (1861-1925) foi um filósofo, jornalista e educador. Atualmente seu nome está associado ao movimento Camphill de educação curativa, sua arquitetura, vários estudos sobre religião, à agricultura biodinâmica e à medicina antroposófica. . O objetivo principal desta pesquisa é analisar as idéias de Steiner acerca dos quatro temperamentos, dentro de seu contexto histórico, procurando verificar até que ponto existem semelhanças e diferenças entre as concepções de Steiner e o conceito dos quatro temperamentos que faz parte da antiga tradição hipocráticogalênica. Esta dissertação contém uma introdução e cinco capítulos. O capítulo 1 discute alguns aspectos da teoria humoral, da teoria dos temperamentos e seus desdobramentos. O capítulo 2 dá uma idéia geral do contexto de Steiner e trata de sua formação, carreira, interesses profissionais, bem como sobre algumas possíveis influências sobre seu pensamento. O capítulo 3 apresenta a concepção dos temperamentos em Steiner que aparece na obra Das Geheimnis der menschlichen Temperamente e suas relações com outros estudos do autor. Discute também a aplicação da concepção dos quatro temperamentos à educação. O capítulo 4 compara as idéias de Rudolf Steiner acerca dos quatro temperamentos com a concepção dos quatro temperamentos na tradição hipocrático-galênica. O capítulo 5 apresenta algumas considerações finais sobre o assunto. Este estudo levou à conclusão de que, embora existam algumas semelhanças entre as duas concepções em relação a alguns pontos, existem também grandes diferenças. Por exemplo, em ambas concepções a terminologia empregada para se referir aos tipos de temperamentos é a mesma. Porém, enquanto na tradição hipocrático-galênica os temperamentos eram determinados pela predominância de um dos quatro humores (sangue, bílis negra, bílis amarela e fleuma), na concepção de Steiner eles eram determinados pela predominância de um dos quatro membros constitutivos do homem (corpo físico, corpo etéreo, corpo astral e o eu). Além disso, verifica-se que a concepção dos quatro temperamentos de Steiner constitui uma ponte de integração entre saberes pedagógicos e os saberes sobre a constituição humana
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Goethe's theory of colours: Rudolf Steiner's foundation for an impulse in painting

Coetzee, Cyril Lawlor January 1984 (has links)
From Introduction: In his influential treatise, Concerning the Spiritual in Art, Wassily Kandinsky refers to Goethe's "prophetic remark" made in connection with the relationship between the arts in which Goethe had asserted that "painting must count this relationship her main foundation". Kandinsky went on to say that Painting in his day stood "at the first stage of a road by which she abstraction of composition". I will, according to her thought and arrive own possibilities, make art an finally at purely artistic What he seems to have been suggesting is that form, colour and sound are differentiated expressions of a unifying spiritual content, that this spiritual content lives also somehow in the human soul and that it is the new task of the artist to awaken original creativity from out of this spirit by working consciously in creative empathy with the laws implicit in form, colour and sound. The extent to which this view of creativity is indebted to Goethe is only fully realised when it is discovered how closely Kandinsky's writings on colour recapitulate his. In an unpublished essay: Goethe's Theory of Colours : Its relation to some aspects in . the history of Art, Michael Grimly argues that not only Kandinsky in Germany but also Chevreul, the colour-theoretician who was, in France, the leading light, in a technical sense, both of Delacroix and of the Impressionists simply repeats in his writings on Colour many of the ideas that Goethe had already formulated.
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Os princípios pedagógicos de Freire e Steiner e suas relações com os meios eletrônicos do cotidiano discente

Reis, Claudia de Jesus Tietsche [UNESP] 13 July 2015 (has links) (PDF)
Made available in DSpace on 2016-02-05T18:30:02Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2015-07-13. Added 1 bitstream(s) on 2016-02-05T18:34:08Z : No. of bitstreams: 1 000857699.pdf: 993960 bytes, checksum: 4b11dbb813ff41cc61fc48f7120fc224 (MD5) / Este trabalho investiga os princípios pedagógicos de Paulo Freire e Rudolf Steiner para dialogar com a realidade discente, influenciada pelos meios eletrônicos - televisão, videogame e computador. A abordagem é qualitativa e utiliza para a coleta de dados análise documental e entrevista semiestruturada. As equipes gestoras e três professores de cada escola, uma waldorf e outra freireana, ambas do interior de São Paulo, foram entrevistados. Para análise dos dados utilizou-se o paradigma indiciário proposto por Carlo Ginzburg. A partir desses dados, concluiu-se que as duas pedagogias apresentam em comum a não utilização de apostilas e o incentivo à autonomia dos professores. Em complementação, a waldorf prioriza o desenvolvimento individual dos alunos para beneficiar o social e a freireana, o contexto social como base formativa para a construção do indivíduo. Ao abordar os meios eletrônicos identificou-se cautela: a pedagogia waldorf defende as vivências artísticas e um ritmo diferenciado de condução dos conteúdos, como alimento que supre as necessidades dos alunos; a pedagogia freireana acredita na interdisciplinaridade dos conteúdos, praticados em forma de projetos que se modificam ano a ano, despertando o interesse dos alunos. Steiner e Freire não viveram a tecnologia do século XXI, mas suas contribuições alertam para que os meios eletrônicos não constituam o âmbito mais fundamental no contexto escolar; pois, a educação humanística, defendida por ambos, luta pela valorização de um Homem historicamente situado no mundo de forma crítica e autônoma. O ser docente deve educar-se permanentemente, ao considerar o discente num agir a partir do ser e reconhecer / This paper investigates the pedagogical principles of Paulo Freire and Rudolf Steiner in how they approach the student reality, as influenced by electronic media - television, videogame and computer. The methodology is qualitative and data were collected in the pedagogic projects and semi-structured interviews. The management teams and three teachers from each school, one Waldorf and one Freire, both in the interior of São Paulo State, were interviewed. Data analysis used the evidentiary paradigm proposed by Carlo Ginzburg. It was concluded that the two pedagogies have in common not using handouts and encouragement of the teacher‟s autonomy. In addition, the Waldorf prioritizes the individual development of students towards the social, and Freire, the social context as a formative basis for the construction of the individual. In addressing the electronic media, it was identified care: the Waldorf pedagogy defends the artistic experience and an individual pace of driving of the contents, as impulse to meet the needs of students; Freire's pedagogy believes in the interdisciplinary content, practiced in the form of projects that change every year, attracting the interest of students. Steiner and Freire did not live with twenty-first century technology, but their contributions warn that electronic media are not the most important part in the school context; therefore, humanistic education, advocated by both, seeks to educate the individuals critically and independently, historically situated in the world. To be a teacher imply educate himself/herself permanently, and consider the student action from student‟s being and recognizing
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The double edged sword: the cult of Bildung, its downfall and reconstitution in fin-de-siècle Germany (Thomas Mann, Rudolf Steiner, and Max Weber)

Myers, Perry 28 August 2008 (has links)
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