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Quadrature Error Compensation And Its Effects On The Performance Of Fully Decoupled Mems GyroscopesTatar, Erdinc 01 October 2010 (has links) (PDF)
This thesis, for the first time in the literature, presents the effect of quadrature error compensation on the performance of a fully decoupled MEMS gyroscope and provides experimental data on the sources of quadrature error. Dedicated quadrature error cancellation electrodes operating with only differential DC potentials are designed. Gyroscopes with intentionally placed imperfections are fabricated with SOG based SOI process which provides higher yield and uniformity compared to SOG process. Tests show that the fully closed loop system with quadrature cancellation operates as expected. Gyroscope performance is improved up to 7.8 times for bias instability, 10 times for angle random walk (ARW) and 800 times for output offset with quadrature cancellation. The actual improvement is higher since some sensors cannot be operated without quadrature cancellation and they are not included in improvement calculations. The best obtained performance is bias instability of 0.39
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Développement et disparition de la production céramique halafienne : implications techniques et sociales à partir d’études de cas / Expansion and disappearance of the halafian pottery production : technical and social involvements from cases studiesRobert, Béatrice 06 March 2010 (has links)
Pour les périodes dites préhistoriques, la tendance générale d’assimiler les objets aux personnes et les communautés aux cultures persiste toujours. Ce phénomène est particulièrement observé pour la production céramique halafienne (datée de 6400 à 5400 BC cal.). Or, toute production céramique ne se résume pas à un objet et encore moins à de la vaisselle. C’est avant tout une matière première (l’argile) qui a vécu différentes étapes de transformation. L’objet n’est que l’aboutissement d’un projet pour lequel a été mis en œuvre une chaîne opératoire spécifique, se déroulant dans un temps imparti, le tout répondant à une nécessité. Dans une perspective de recherche pluridisciplinaire associant trois domaines : l'archéologie, l'archéométrie et l'ethnographie/ethnologie, nous nous proposons de reprendre une partie du dossier Halafien. Nous montrerons, à partir d'études de cas portant sur du matériel attribué aux phases de transition Proto-Halaf/Halaf ancien et "Halaf-Ubaid-Transitional", que bien plus qu'un marqueur culturel, la production céramique (qu'il s'agisse de vaisselle, de jetons, de figurines, de disques….) est un marqueur technique et social qui informe sur les activités, les modes de vie des communautés ; en quelques mots, l'état d'une société, mais aussi les transformations auxquelles elle est sujette. / Generally speaking, for prehistoric periods, pottery is compared to people, and by extension, to culture concept. Evidence of such a combination was noted for halafian remains (dated from 6400-5400 BC cal.). However, ceramic production can't be reduced to sherds, even less to vessel typology. Above all, it's a raw material (clay) which is affected by various transformations' stages. Final object is just the result of a previous project answering to life necessity. The execution requires a specific "chaîne opératoire", which takes allowed time.Following this point of view, pluridisciplinary research was selected and three fields were used : archaeology, archaeometry and ethnography. With this subject, we propose to take again part of the Halafian discussion. Intend to demonstrate that more than a cultural marker, halafian ceramic production (vessel type, tokens, figurines, disks…) can be considered as a technical fact or a social fact indicator which gives informations about activities, way of life of various communities, but also about the state of the society and its transformations, we decide to study ceramic assemblage coming form characteristic Proto-Halaf/Halaf and Halaf-Ubaid Transitional sites.
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La production céramique du Bronze ancien IV en Syrie occidentale : etude typologique et archéométrique / Ceramic production in the Early Bronze Age IV western Syria : Typological and archaeometric studyMouamar, Georges 19 November 2016 (has links)
Cette recherche porte sur la production céramique du Bronze ancien IV (2500-2000 av. J.-C.). L'objectif principal de cette thèse est de caractériser le matériel céramique de la région qui se trouve à l’est de la moyenne vallée de l’Oronte, en particulier la steppe syrienne (Bādiyat Al-Shām), et d'établir des jalons chronologiques solides des différents niveaux et phases de la deuxième moitié du IIIe millénaire. Pour atteindre ces objectifs, cette étude s’appuie sur les données de trois sondages stratigraphiques que j’ai réalisés dans le cadre des fouilles syriennes sur les sites suivants : Mishrifeh-Qatna, Tell Shʻaīrat et Tell Al-Ṣūr. Ont été également étudiées les céramiques provenant d’une série de prospection effectuées sur plusieurs régions de Syrie centrale. Cette étude ne s’est pas limitée à l’approche morphologique et stylistique mais elle y a ajouté des analyses technologiques, minéralogiques et physico-chimiques réalisées sur le matériel de plus de 35 sites inédits de Syrie centrale, afin d’étudier les modalités de production et de distribution de la céramique pendant la deuxième moitié du IIIe millénaire dans cette région et d’essayer de déterminer la localisation des centres de production. En croisant les résultats des fouilles avec ceux de l’étude du matériel céramique, nous avons tenté de replacer cette région encore inexplorée dans son contexte chronologique et historique. / This research focuses on the ceramic production of the Early Bronze Age IV (2500-2000 B. C.). The main goals of the thesis is to characterize the ceramic material in the region located east of the middle Orontes valley, mainly the Syrian steppe (Bādiyat Al-Shām), and to establish solid chronological landmarks for the diverse levels and phases of the second half of the third millennium. To reach its goals, this study includes data provided by three stratigraphical soundings which I made in the frame of Syrian excavations at Mishrifeh-Qatna, Tell Shʻaīrat et Tell Al-Ṣūr, as well as the data of a series of surveys in several regions of Central Syria. Morphological and stylistical approaches have been successfully combined with the results stemming from technological, mineralogical and chemical analyses carried out on the material from more than 35 sites in Central Syria, aiming to study pottery production and distribution modalities during the second half of the third millennium BC in Central Syria, to try to identify the location of production centres and to reconstruct the networks of exchanges. Combining the excavations results with the ceramic studies we attempted to set this previously unexplored region in its chronological and historical context.
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Le Staffordshire Hoard : une interprétation d'après ses matériaux et ses techniques de fabricationCôté, Cathy 08 1900 (has links)
Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée à la Division de la gestion des documents et des archives. / Le Staffordshire Hoard est un trésor anglo-saxon qui date des 6e et 7e siècles qui fut découvert en juillet 2009 par un détectoriste dans un champ du comté du Staffordshire en Angleterre. Ce trésor est composé d’environ 4600 fragments d’artéfacts représentant pour la plupart des garnitures d’épées en or et en argent. Bien que nous retrouvions aussi dans le Hoard certains objets ecclésiastiques, comme une grande croix en or ainsi qu’une bande inscrite en latin, aucune pièce de monnaie ne fut retrouvée, ni aucune lame d’épée. Le Staffordshire Hoard pose beaucoup de questions, notamment par sa composition inédite et aussi en raison du mauvais état dans lequel les objets furent retrouvés. Depuis sa découverte en 2009, les chercheurs se sont majoritairement posé les mêmes questions, à savoir de quel type de Hoard il s’agit, à qui il appartient et pourquoi il fut enterré.
Avec ce mémoire, nous allons plutôt emprunter un autre chemin. En effet, nous étudierons plutôt les aspects matériels et techniques de la construction des artéfacts en or décorés avec la technique du cloisonné, et particulièrement le seax set. Ceci nous permettra dans un premier temps de comprendre comment ce type d’objet fut fabriqué par une société en particulier à l’époque du haut Moyen-Âge. Dans un second temps, l’étude de ces sujets aidera à répondre à une question qui fut souvent mise de côté par les différents chercheurs s’étant intéressés au Staffordshire Hoard, à savoir pourquoi aucune lame d’épée ne fut retrouvée dans cet assemblage. / The Staffordshire Hoard is an Anglo-Saxon treasure dating from the 6th and 7th centuries that was discovered in July 2009 by a detectorist in a field in the county of Staffordshire, England. This treasure is composed of approximately 4600 fragments of artefacts representing mostly gold and silver sword fittings. Although some ecclesiastical items were also found in the Hoard, such as a gold Great Cross and a Latin inscribed strip, neither coins nor sword blades were found. The Staffordshire Hoard raises many questions, due to its unusual composition and the poor condition in which the objects were found. Since its discovery in 2009, researchers have mostly asked the same questions, namely what type of hoard it is, to whom it belongs and why it was buried.
With this dissertation, we will take a different path. Instead, we will study the material and technical aspects of the construction of gold artefacts decorated with the cloisonné technique, specifically the seax set. This will allow us in first place to understand how this type of object was made by a particular society in the early Middle Ages. Secondly, the study of these objects will help us to answer a question that has often been put aside by various researchers interested in the Staffordshire Hoard, namely why no sword blades were found in this assemblage.
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Premières productions de céramiques turques en Anatolie occidentale : Contextualisation et études techniques / The First Production of Turkish Ceramics in Western Anatolia : Contextualisation and Technical StudiesBurlot, Jacques 11 September 2017 (has links)
Depuis les années 1990, des études archéométriques ont permis d’attester la production de nouveaux types céramiques en Anatolie occidentale, liée à l’installation de populations turques dans la région à partir de la fin du XIIIe siècle. Parmi ces nouveaux types figurent des céramiques dont les formes et les décors, très répandus dans le monde islamique, témoignaient de l’introduction de nouvelles techniques de fabrication.Sur la base d’un échantillonnage de 87 tessons découverts sur cinq sites turcs et trois sites de Crimée, l’étude, associant approche archéologique et analyses physico-chimiques, a permis de proposer des cadres chronologiques pour ces premières productions turques et de déterminer les techniques de fabrication de leurs revêtements – engobes et glaçures – servant au décor. La définition de ces techniques repose essentiellement sur des analyses élémentaires et structurales par MEB-EDS et par spectrométrie Raman, dont les résultats permettent de confirmer l’utilisation de nouvelles recettes et de nouveaux matériaux.Alors que les décors des céramiques byzantines étaient essentiellement constitués d’une glaçure plombifère transparente, colorée par une gamme réduite d’oxydes métalliques et reposant sur un engobe argileux, les décors des premières céramiques turques, d’époque beylik, produites dans la région, étaient bien plus variés. Leurs glaçures, témoignent d’une plus grande diversité, aussi bien dans la nature des fondants et des opacifiants, que dans celle des colorants utilisés.Considérée comme l’un des premiers types de céramiques ottomanes, la Miletus Ware présente le décor le plus élaboré. L’engobe n’est plus argileux, mais synthétique, préfigurant ainsi les productions plus tardives à pâte synthétique d’Iznik qui feront la renommée de la céramique ottomane au XVIe siècle. Notre étude a ainsi permis de caractériser et de contextualiser les évolutions techniques qui marquent la transition entre céramiques byzantines et ottomanes en Anatolie occidentale. / Since the 1990s, archaeometric studies have attested to the production of new types of ceramic in Western Anatolia, linked to the arrival of Turkish populations in the region from the end of the 13th century. Among these new types are ceramics whose shapes and decoration are very commonly found in the Islamic world, and which show the introduction of new techniques of fabrication.Taking a sample of 87 sherds discovered at five Turkish sites and three sites in the Crimea, this study, combining an archaeological approach with physicochemical analyses, enabled us to propose a chronological framework for these initial Turkish productions and to determine the techniques of fabrication of their coatings – slips and glazes – used for the decoration. The definition of these techniques relies in the main on elementary and structural analyses by SEM-EDS and by Raman spectroscopy, the results of which permit us to confirm the use of new recipes and new materials.While the decoration of Byzantine ceramics was essentially constituted of a high-lead transparent glaze, coloured by a reduced range of metallic oxides resting on a clay slip, the decoration of the initial Turkish ceramics, from the Beylik period, produced in the region, were much more varied. Their glazes attest to a greater diversity in the nature of the fluxes and opacifiers, as well as in the colorants used. Considered to be one of the first types of Ottoman ceramics, the Miletus Ware shows the most elaborate decoration. The slip is no longer clay-based but synthetic, prefiguring in this way the later production using synthetic paste of the Iznik Fritwares upon which the fame of 16th century Ottoman ceramics was based. Our study thus enabled us to characterise and contextualise the technical evolution which marked the transition from Byzantine to Ottoman ceramics in Western Anatolia.
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