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L’œuvre vocale sacrée de Henry Purcell : à la recherche d’un équilibre / Henry Purcell’s sacred works : in search of moderation

Simon, Laurent 06 November 2009 (has links)
Le développement de la musique religieuse de Henry Purcell pendant la seconde moitié du dix-septième siècle est le fruit d’un compromis fructueux entre les contraintes politiques et religieuses de l’Angleterre de la Restauration et l’influence du baroque continental. L’évolution stylistique de ses compositions reflète la politique menée par les souverains successifs : Charles II, Jacques II et Guillaume d’Orange. Musicien baroque en pays anti-papiste, Purcell se montre particulièrement habile dans la manière de mettre les mots en musique et parvient à un équilibre entre l’exigence des réformateurs en matière d’intelligibilité du texte et l’esthétique de la contre-réforme. / The development of Henry Purcell’s sacred music in the second half of the seventeenth century originates in a fruitful compromise between the political and religious constraints of Restoration England and the contribution of the continental baroque. The stylistic evolution of his religious compositions reflects the political and religious developments which took place during the successive reigns of Charles II, James II and William of Orange. As a baroque musician and a native of an anti-papist country, Purcell showed considerable skill in the art of setting words to music and managed to blend in the Reformers’ emphasis on the intelligibility of the text and Counter-Reformation aesthetics.
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Le Motet et l’Arbre de Jessé. Les pièces à deux voix sur la teneur FLOS FILIUS EJUS dans le codex W2 / Motets and the tree of jesse. Two-part compositions on the tenor FLOS FILIUS EJUS in the manuscript W2

Dobby, Margaret 21 December 2012 (has links)
Les motets du XIIIe siècle chantés sur le répons Stirps Jesse forment l'apogée d'une tradition exégétique, iconographique et musicale plus connue sous le nom d'« arbre de Jessé ». Le répons, attribué à Fulbert de Chartres (mort en 1028), évoque de façon métaphorique les liens entre Marie et son Fils. Il rappelle ainsi un des fondements du dogme chrétien : l'Incarnation charnelle de Dieu par l'intermédiaire de la Vierge. Son utilisation dans les motets n'est donc pas anodine. Le Stirps Jesse, ou plus fréquemment la seconde partie de son verset FLOS FILIUS EJUS, a été repris et ordonné de façon rythmique pour servir à la création d'une polyphonie textuelle et musicale. La voix empruntée ou teneur détermine ainsi la mélodie, la longueur des phrases mélodiques et des vers du double. Pourtant, malgré ces contraintes et les nombreux contrafacta, l'étude démontre l'existence de liens structurels entre texte et musique dans les motets à deux voix sur FLOS FILIUS EJUS conservés dans le manuscrit W2. Les relations entre texte et musique reposent ainsi le plus souvent sur la coïncidence entre la disposition des poèmes et l'organisation des répétitions motiviques (colores), des registres et des rythmes / Thirteenth-Century motets composed on the response Stirps Jesse belong to a great exegetical, iconographical and musical tradition well-known as the « Tree of Jesse ». The response, which is possibly composed by Fulbert of Chartres (d. 1028), express the relationships between Mary and her Son. It calls to mind one of the most important Christian believes as the flesh Embodiment of God thanks to the Virgin which is one of the most important Christian dogmas. The Stirps Jesse, or more often the second part of the verse FLOS FILIUS EJUS, is rhythmically organized in order to create a textual and musical polyphony. The melody, the lengths of musical phrases and of the line of the upper part depend intimately on this quotation or tenor. Even if the tenor is of great influence on the polyphony, this study demonstrates that the textual structure of the upper part corresponds to the musical organization in the two-part motets on FLOS FILIUS EJUS in the manuscript W2. The relationships between poem and melody are built on the close connection between the structural organization of the text and of the melody thanks to the melodic patterns (colores), register and rhythms
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Le voyage d’hiver de Keith Kouna : à l’écoute de Winterreise de Schubert. De la réécriture au studio d’enregistrement

Valentine, David 05 1900 (has links)
Ce mémoire est une étude de cas sur Le voyage d’hiver (2013) de Keith Kouna. Réalisée par René Lussier, cette œuvre de musique enregistrée est une transposition musicolittéraire d’après Winterreise (1828) de Franz Schubert. Malgré la réécriture d’un texte en français et les transformations musicales notables qui caractérisent Le voyage d’hiver, les fondements mélodiques et harmoniques qu’il reproduit génèrent un effet de reconnaissance qui ne cesse de renvoyer Kouna vers Schubert. Plutôt que de les tenir pour inséparables l’un de l’autre, cette étude propose une réflexion sur la distance qui les sépare. On se demandera si Le voyage d’hiver peut constituer une œuvre avec le caractère propre de ce qui la rendrait autonome et originale. Considérant que la réécriture textuelle dont il procède s’enracine dans l’écoute musicale, la recherche pose d’abord que le Voyage d’hiver s’établit comme la trace d’une écoute de Winterreise. À partir du rapport entre texte et musique qui s’y déploie, il s’agit ensuite de suivre cette écoute à travers les médiations de la musique enregistrée en studio qui en ont constitué l’inscription. L’établissement de ce tracé permettra d’évaluer l’ampleur des transformations qui donnent lieu au Voyage d’hiver afin de mettre en perspective la distance qui le sépare et le distingue de l’œuvre de Schubert. / This master’s thesis is a case study of Keith Kouna’s music recording Le voyage d’hiver (2013). Produced by René Lussier, this album is a literary and musical transposition based on Franz Schubert’s Winterreise (1828). Although the text was rewritten in French and the music underwent significant transformations, the melodic and harmonic foundations of Le voyage d’hiver create a recognition effect that constantly hearken Kouna’s work back to Schubert. Instead of viewing both works as inseparable, this study will examine the distance that separates them. One may ask if Le voyage d’hiver possesses the distinctive traits to be considered an original, free-standing musical work. Given that the rewriting of the text is rooted in music listening, this research posits that Le voyage d’hiver takes form as the result of listening to Schubert’s Winterreise. Based on the relationship that unfolds between the text and music, the research is then a matter of following this listening through the mediations of the resulting music that was created and recorded in the studio. Establishing this path will make it possible to assess the extent of the transformations that led to Le voyage d’hiver in order to put into perspective the distance that separates and distinguishes it from Schubert’s work.
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Les récits-partitions : imaginaire musical et écriture romanesque dans la France du XXe siècle

Perreault, Isabelle 09 1900 (has links)
Au confluent de l’histoire des idées et de la poétique romanesque, cette thèse s’intéresse aux interactions textuelles multiples entre le genre romanesque et l’imaginaire musical tel qu’il s’est développé au fil du XXe siècle. Elle examine les modalités par lesquelles une idée de la musique, intronisée comme paradigme d’écriture par un certain nombre de romancières et de romanciers français entre 1900 et 1980, informe la composition du roman tout en infléchissant la production du sens, qui, à l’horizon du modèle musical, devient davantage signifiance que signification. Elle appréhende également l’évolution des pratiques romanesques à la lumière des discours sur la musique tels que les réfléchissent et les intègrent les œuvres, afin de dégager les différentes manières par lesquelles le musical, à entendre comme les propriétés dérivées de l’objet musique, s’impose comme le modus operandi de l’écriture, et invite le critique à interpréter l’œuvre sur le modèle herméneutique de la partition. Le récit-partition apparaît sur fond d’une crise de la signification et de la représentation, dont les ferments sont à chercher dans le fonctionnement sémiotique même du langage. La recherche entend montrer comment, dans l’optique de répondre à cette crise du langage et aux nombreuses répercussions qui confrontent la sémantique romanesque à une impasse, certains romanciers du XXe siècle ont envisagé la musique comme une fiction du roman et pour le roman, puis ont façonné à partir d’elle les paramètres d’une nouvelle écriture romanesque. Hérité du topos romantique de la « musique absolue », qui considère l’œuvre musicale comme un pur phénomène sonore, irréductible au langage verbal et, du fait de son autoréférentialité, le modèle de l’organon absolu, ce paradigme d’écriture aurait permis aux écrivains du XXe siècle d’abandonner les prémisses référentielles du genre romanesque et de penser ce dernier à l’aune de nouvelles configurations poétiques, fondées sur la résonance du sens, l’autoréflexivité du médium et une mémoire textuelle plus sensible que philosophique ou morale. La réflexion menée dans le cadre de la thèse interroge en premier lieu les conditions épistémologiques, métaphysiques et discursives qui concourent à l’avènement d’un paradigme musical, lui-même tributaire d’un régime du sensible particulier, qui pousse des générations entières d’écrivains à se tourner vers la musique pour ravitailler une matière romanesque dès lors perçue comme lacunaire. La démonstration se décline essentiellement en quatre temps : le premier chapitre entend prendre au pied de la lettre la métaphore de la partition, de manière à montrer comment les indices paratextuels et structuraux actualisent certains procédés d’écriture qui s’inspirent de la musique ; les deuxième et troisième chapitres interrogeront les modalités de « textualisation » de la musique à travers les prismes respectifs de la création et de la réception musicales représentées dans la fiction, en s’intéressant aux figures de compositeurs et de musiciens (chap. 2), puis aux ekphraseis musicales et aux scènes d’écoute (chap. 3) ; enfin, c’est sur les grands mythes de la musique que débouche notre enquête, mythes antiques mais surtout wagnériens, dont la réécriture plus ou moins conforme avec la matrice d’origine permet de diffracter un rapport complexe à la modernité par une ressaisie du sens, de la temporalité narrative et du discours romanesque au miroir des récits fondateurs et du langage premier et plénier dont ils portent la mémoire. / This dissertation strives to understand the various interactions between 20th-century fictional works and the contemporary musical imaginary that was developed and modulated throughout the century. Rooted in a dual approach – that of the history of ideas and of the poetics of the novel –, this study examines how a given idea of music, inducted as a writing paradigm by many French novelists between 1900 and 1980, models textual composition and becomes a means to rethink the creation of signification in narrative forms. It also traces the evolution of the French novel and its writing practices in the light of musical discourses and aesthetics as reflected by and integrated into novelistic works. To this end, the concept of “narrative score” (récit-partition), as a hermeneutic instrument or reading tool, is paramount in order to grasp the ways in which the musical – i.e. the properties derived from music as an objective or phenomenal reality – imbues the literary text and becomes the modus operandi of fiction writing for some French novelists. The “narrativescore” emerged in the context of an artistic crisis – stemming from the semiotic fabric of language itself – that questioned both the ideas of representation and meaning. The present work will show how this crisis of language and consequential impasse of the novelistic genre lead some 20th-century writers to conceptualize music as a fiction of and for the novel with the purpose of fashioning a new narrative framework by remodeling the genre’s parameters. Descending from the romantic trope of “absolute music” which considers the musical piece as an autoreferential structure comprised of pure sounds without intrinsic meaning thus irreducible to verbal speech, the idea of music as a writing paradigm allows novelists to relinquish the referential premises of the narrative genre to introduce new poetic configurations based on the resonance of meaning, the self-reflexivity of the medium and a textual memory, more engrained in the sensible than in the speakable (dicible) or the philosophical. We will first outline the epistemological, metaphysical and discursive landscape that lead to the advent of a musical paradigm in literature, which is dependent on a specific “partition of the sensible” (Rancière); here, we will explore what motivated several generations of writers to turn to music as a way to replenish the fictional material they perceived as deficient while fulfilling their ideal of an autotelic work of art. The textual analysis that follows will be divided into four parts: in the first chapter, we will consider the score not as a metaphorical notion, but as an actual model; indeed, some paratextual elements and structural configurations highlight the presence of writing techniques directly inspired and shaped by the musical; the second and third chapters will examine the textual actualization and representation of music respectively through the lens of musical composition (poïesis) and musical reception (esthesis) by analyzing fictional composers and musicians (chap. 2), then musical ekphraseis and listening scenes (chap. 3); lastly, we will focus on the great musical myths – ancient myths, but mostly Wagnerian ones – whose rewriting, more or less in line with the original stories, allow the writers to renegotiate their complex relationship with modern times, by re-capturing meaning, narrative temporality and novelistic discourse through the use of these founding myths and the unitary, almost pre-adamic, language.

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