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L'utilisation du film dans l'enseignement du français langue étrangère au niveau débutant à l'Université du KwaZulu-Natal, Pietermaritzburg : une étude de cas.Dye, Marie Françoise Ghyslaine. January 2009 (has links)
No abstract available. / Thesis (M.A.)-University of KwaZulu-Natal, Pietermaritzburg, 2009.
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Analyse des strategies d'emancipation ou d'adaptation des personnages de romans beurs a la realite des marches sociaux de l'echangeStaebler, Marie-Anne 12 1900 (has links)
Thesis (MA (Modern Foreign Languages))--University of Stellenbosch, 2009. / ENGLISH ABSTRACT: The publication in 1983 of Medhi Charef’s novel Le thé au harem d’Archi Ahmed
marked the beginning of Beur literature, a collection of narratives concerning the lives
of individuals of North African origin in the French suburbs. The term “beur”, derived
from the double inversion of the word “arabe”, would become synonymous with
“Maghrebians” and be used to define a cultural movement claiming its uniqueness.
Beur writers or those who make use of Beur heroes in their novels reveal, often in
autobiographical form, the daily experiences of a marginalized minority living in
identical socio-economic conditions, which are sources of conflicts, whether latent or
manifest, with the dominant culture. The sensitivity of Beur writers as manifested in
their writings enables us to obtain images of the lives of people living in shantytowns
or the large conglomerations on the outskirts of French cities. However, this literature
provides more than just a simple description of context or situation, since it also
contains the verdict of young Beurs on the legitimacy of the established social order
and their strategies to transform or to adapt to this order. Work, home, school, politics
or affective relations are concrete examples of areas where the individual is faced with
an established system of values and norms, inequality of resources and convergent or
divergent interests that need to be taken into account during the process of exchange
in order to satisfy his/her needs. In this interdisciplinary research we apply the
sociological concepts of exchange and conflict theory in order to disclose the
strategies used by characters in Beur novels to adapt or free themselves from given
conditions of exchange and power configurations on different social markets of
exchange.
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La femme fatale : une reconsideration d'un archetype negatifLaubser, Liza-Marie 12 1900 (has links)
Thesis (MA)--Stellenbosch University, 2012. / ENGLISH ABSTRACT: The stereotypical figure of the femme fatale as irresistible seductress, who inevitably brings about death, is well
known. This figure is nevertheless strangely absent from Afrikaans literature. This is what makes the appearance
of the character of Nicolette in André Brink’s novel, The Ambassador (1963), so remarkable. Not only is she a
complex femme fatale, she also adds a new dimension to the cliché. The striking similarities between Nicolette
and Kathe, the female protagonist in Henri-Pierre Roché’s novel Jules et Jim (1953), justify a comparative study
between these two novels. Although both of them bring about death, it seems that the presence of these femme
fatale characters has positive rather than negative consequences. Contrary to the stereotypical evil temptress,
Nicolette and Kathe are more natural, spontaneous and unpredictable – apparently free from the constricting
qualities of the bloodthirsty femme fatale. In this comparative study, the image of the femme fatale is
investigated through the close examination of its role and function in Jules et Jim and The Ambassador. By
examining the philosopher René Girard’s theories on mimetic desire, violence and sacrifice as well as Georges
Bataille’s ideas on eroticism and death, the nature of the femme fatale in these two novels is analysed in order to
determine to what extent the image of the femme fatale as negative archetype could be reconsidered. / AFRIKAANSE OPSOMMING: Die stereotipiese figuur van die femme fatale as onweerstaanbare verleidster wat noodwendig die dood
teweegbring, is alombekend. Tog blyk daar 'n opvallende afwesigheid van dié gevaarlike karakter in die
Afrikaanse letterkunde te wees. Dit is waarom die verskyning van die karakter van Nicolette in André P. Brink
se roman, Die Ambassadeur (1963), so merkwaardig is. Nie net is Nicolette 'n komplekse femme fatale karakter
nie, maar bring sy ook 'n nuwe dimensie tot die geykte stereotipe. Dit is dan veral die treffende ooreenkoms
tussen Nicolette en Kathe, die vroulike protagonis in Henri-Pierre Roché se roman Jules et Jim (1953), wat 'n
vergelykende studie tussen hierdie twee romans regverdig. Alhoewel albei die dood teweegbring, blyk dit dat
die teenwoordigheid van hierdie femme fatale karakters eerder positiewe as negatiewe gevolge het. Anders as
die stereotipiese bose verleidster, is Nicolette en Kathe meer natuurlik, spontaan en onvoorspelbaar – oënskynlik
vry van die beperkende eienskappe van die bloeddorstige femme fatale. In hierdie vergelykende studie word die
beeld van die femme fatale ondersoek deur die rol en funksie daarvan in Jules et Jim en Die Ambassadeur in
diepte te bestudeer. Deur die filosoof René Girard se teorieë oor mimetiese begeerte, geweld en offergawe
asook Georges Bataille se idees oor erotisme en die dood te ondersoek, word die aard van die femme fatale in
hierdie twee romans vergelykend ontleed om sodoende te bepaal tot watter mate die beeld van die femme fatale
as negatiewe argetipe heroorweeg kan word. / RESUME: La figure stéréotypée de la femme fatale comme séductrice irrésistible et malfaisante qui entraîne
inévitablement la mort, est bien connue. Néanmoins, nous constatons une absence frappante de cette figure dans
la littérature de langue afrikaans. Voilà ce qui rend d’autant plus remarquable et surprenante l’apparence du
personnage de Nicolette dans le roman L’Ambassadeur d’André Brink (1963). Non seulement est-elle une
femme fatale complexe, mais Nicolette apporte aussi une nouvelle dimension à la figure rebattue. Ce sont
surtout les similarités évidentes entre Nicolette et Kathe, la protagoniste féminine du roman Jules et Jim
d’Henri-Pierre Roché (1953), qui justifient une étude comparée de ces deux romans. Bien que ces deux
personnages féminins provoquent la mort d’un homme, il semblerait que la présence de ces femmes fatales ait
des conséquences positives plutôt que négatives. Contrairement au stéréotype de la séductrice maléfique, les
personnages de Kathe et de Nicolette sont plus naturels, spontanés et imprévisibles – apparemment libres de
toute étiquette restrictive attribuée à la femme fatale assoiffée de sang. Dans cette étude comparée nous nous
pencherons sur l’image de la femme fatale en examinant son rôle et sa fonction dans les romans Jules et Jim
d’Henri-Pierre Roché et L’Ambassadeur d’André Brink. En considérant les théories sur le désir mimétique, la
violence et le sacrifice que propose René Girard ainsi que les idées de Georges Bataille sur l’érotisme, nous
essayons enfin d’établir dans quelle mesure on pourrait reconsidérer la définition étriquée de la femme fatale
comme archétype négatif.
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Translation and commentary : Ma vie, mon Cri (Rachida Yacoubi)Peel, Heather Lynette. January 2003 (has links)
Ce memoire est avant tout un travail de traduction. Le livre a traduire, Ma Vie, mon Cri de Rachida Yacoubi, est tres long (355 pages). 11 fallut beaucoup de travail, de revision et de discussion avec mes deux directrices pour finir la traduction. Je suis tres reconnaissante de leurs conseils et je tiens vivement a remercier Vanessa Everson et Carole Beckett. J'appris davantage en discutant certains problemes precis et epineux avec elles, qu'en etudiant la theorie de la traduction. Cette tache nous a meme diverti puisque la traduction est souvent comme un jeu stimulant si on se passionne pour les mots et I'expression exacte! En depit des difficultes associees a un changement de directrice, je profitai de deux points de vue, parfois differents, mais toujours interessants et enrichissants. L'aspect pratique de mon memoire fut renforce par les cours sur la theorie de la traduction (Translation 810, anime par le Professeur D.Z. van den
Berg). L'activite de traduction est un art plutot qu'une science dans le sens
que la traductrice est obligee de se servir de ses connaissances linguistiques (mesurables et ainsi scientifiques), mais surtout de son imagination afin de trouver le mot / la phrase juste pour recreer, pour ne pas dire reinventer, I'atmosphere et les emotions transmises par un autre1
. La traduction parfaite n'existe pas. C'est pourquoi j'ai employe le verbe «finir» au lieu de « perfectionner ». En effet, ce n'est peut-etre pas vraiment possible de « finir » une traduction, mais en fin de compte, la question du temps disponible s'impose. 11 me semble que Newmark exprime bien mon dilemme : « You can compare the translating activity to an iceberg: the tip is the translation - what is visible, what is written on the page - the iceberg, the activity, is all the work you do, often ten times as much again, much of which you do not even use. »2 En ce qui concerne ce memoire, c'est la qualite de la traduction meme de Ma Vie, mon Cri qui est donc d'une importance primordiale. D'oll, pour juger cette traduction, il est imperatif de se reterer au texte original.3 Dans I'introduction je peins le contexte general de Ma Vie, mon Cri et dans le commentaire j'expose
2 mon approche et mes raisonnements en tant que traductrice. Vu que j'etudiai la theorie de la traduction en anglais, et que la langue cible de la traduction est I'anglais, le commentaire est aussi en anglais. / Thesis (M.A.)-University of Natal, Pietermaritzburg, 2003.
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Le traitement poétique de l'irréel dans Aurélia de Nerval et Les fleurs du mal de Baudelaire.Du Plessis, Donatella. January 2011 (has links)
No abstract available. / Thesis (M.A.)-University of KwaZulu-Natal, Durban, 2011.
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