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Traduire la philosophie : quelque part dans l'inachevé. : le souffle cartésien dans la langue de Cervantès / Translating philosophy : somewhere into the unfinished. : the Cartesian breath in Cervantes’ language / Traducir la filosofía : en algún lugar de lo inacabado. : El impulso cartesiano en la lengua de CervantesMauduit-Peix Geldart, Susana 22 September 2012 (has links)
A la charnière de deux disciplines, (philosophie et traductologie), ce travail se propose d’explorer les enjeux de la traduction des œuvres philosophiques, et d’en illustrer la portée sur un corpus de textes de Descartes (Discours de la Méthode, Méditations métaphysiques avec Objections et Réponses) et de Pascal (Pensées) dans leurs traductions en espagnol. Notre travail est structuré en trois parties. Dans un premier temps, nous nous proposons d’analyser les enjeux typologiques (spécificité intrinsèque de cette modalité traductive face notamment à la traduction littéraire, d’une part, et à la traduction des textes pragmatiques, techniques ou scientifiques, de l’autre), textuels (caractéristiques discursives du style et des genres philosophiques) et « logosophiques » (problématique de la prétendue « philosophicité » de certaines langues, comme le grec ou allemand, au détriment d’autres, comme l’espagnol). Ensuite, nous entreprenons une première approche du projet traductif en analysant tour à tour le contexte éditorial, le positionnement du traducteur en amont de l’entreprise traductive et les différentes étapes du processus de traduction, afin de dégager les notions opératoires permettant de procéder à l’analyse du corpus. Enfin, la troisième partie s’efforce d’illustrer les problématiques abordées, suivant trois axes étude i) du contexte d’énonciation (enjeux de la diachronie, dimension intertextuelle, espace retraductif), ii) de la place fondamentale que joue le concept dans la traduction philosophique (analyse en parallèle des concepts cartésiens en français et en espagnol) et iii) des enjeux de l’argumentation (choix de la langue, contraintes génériques, rôle du style). / This interdisciplinary study aims at exploring the philosophical and traductological issues involved in the translation of philosophical works. These will be illustrated by a corpus-based analysis focusing on several texts by Descartes (Discours de la Méthode, Méditations métaphysiques avec Objections et Réponses) and Pascal (Pensées) and their translation into Spanish. The study is carried out in three steps. The first step (part 1) deals with the typological issues (analysing the specificity of this particular translation practice as oppossed to literary and technical/pragmatical/scientific translation), the textual issues (the discursive characteristics of philosophical styles and genres) and the “logosophical” issues (i.e. why certain languages, like Greek or German, are supposed to be more “philosophical” than others, e.g. Spanish). The second step (part 2) is a first approach to the translation project itself, exploring the editorial context, the translator’s positioning thereto and the different phases in the translation, in order to find out the main operative concepts to be applied to the corpus’ analysis. Finally, the third step focuses on the illustration of the issues addressed, alongside three lines of study: i) the enunciation context (diachronical issues, intertextuality, retranslation), ii) the crucial role of concepts in philosophical translation (the paralel analysis of Cartesian concepts in French and Spanish) and iii) argumentative issues (choice of language, genre limitations, style issues).
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Regards sociologiques sur la traduction philosophique (Mexique, 1940-1970)Castro-Ramirez, Nayelli-Maria 15 March 2012 (has links)
Depuis une perspective sociologique, la présente recherche est centrée sur le rôle des traducteurs de la philosophie vers l’espagnol, au Mexique, entre 1940 et 1970. Elle se fonde sur les développements sociologiques en traductologie, développements qui visent à mettre en relief l’intervention des traducteurs dans la construction des identités nationales, des répertoires bibliographiques et des traditions intellectuelles. Elle puise également à la sociologie culturelle, emprunte ses outils, et prête une attention particulière à l’intervention paratextuelle des agents faisant partie du réseau intellectuel mexicain dans la période à l’étude. La recherche offre une perspective macroscopique et une perspective microscopique du phénomène étudié. Depuis la perspective macroscopique, il est possible de construire le réseau intellectuel mexicain et de donner à voir la place que les traducteurs y occupent. En effet, ce « grand angle » ou vue d’ensemble permet de constater que la grande majorité des philosophes actifs pendant la période ont exercé la traduction de différentes manières, les deux facteurs déterminants étant représentés par la position où ils se situaient ou le courant de pensée qui définissait leur identité intellectuelle à l’intérieur du réseau. Depuis la perspective microscopique et à l’aide de données extraites d’un catalogue des traductions de philosophie publiées dans cette période, est construit un corpus d’interventions paratextuelles permettant d’analyser les stratégies discursives par lesquelles ces philosophes se servent de la traduction pour se constituer en tant qu’énonciateurs autorisés de la parole philosophique, mais également pour justifier l’importation des ouvrages considérés comme nécessaires pour intégrer la philosophie en espagnol au panorama intellectuel international.
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Regards sociologiques sur la traduction philosophique (Mexique, 1940-1970)Castro-Ramirez, Nayelli-Maria 15 March 2012 (has links)
Depuis une perspective sociologique, la présente recherche est centrée sur le rôle des traducteurs de la philosophie vers l’espagnol, au Mexique, entre 1940 et 1970. Elle se fonde sur les développements sociologiques en traductologie, développements qui visent à mettre en relief l’intervention des traducteurs dans la construction des identités nationales, des répertoires bibliographiques et des traditions intellectuelles. Elle puise également à la sociologie culturelle, emprunte ses outils, et prête une attention particulière à l’intervention paratextuelle des agents faisant partie du réseau intellectuel mexicain dans la période à l’étude. La recherche offre une perspective macroscopique et une perspective microscopique du phénomène étudié. Depuis la perspective macroscopique, il est possible de construire le réseau intellectuel mexicain et de donner à voir la place que les traducteurs y occupent. En effet, ce « grand angle » ou vue d’ensemble permet de constater que la grande majorité des philosophes actifs pendant la période ont exercé la traduction de différentes manières, les deux facteurs déterminants étant représentés par la position où ils se situaient ou le courant de pensée qui définissait leur identité intellectuelle à l’intérieur du réseau. Depuis la perspective microscopique et à l’aide de données extraites d’un catalogue des traductions de philosophie publiées dans cette période, est construit un corpus d’interventions paratextuelles permettant d’analyser les stratégies discursives par lesquelles ces philosophes se servent de la traduction pour se constituer en tant qu’énonciateurs autorisés de la parole philosophique, mais également pour justifier l’importation des ouvrages considérés comme nécessaires pour intégrer la philosophie en espagnol au panorama intellectuel international.
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Regards sociologiques sur la traduction philosophique (Mexique, 1940-1970)Castro-Ramirez, Nayelli-Maria 15 March 2012 (has links)
Depuis une perspective sociologique, la présente recherche est centrée sur le rôle des traducteurs de la philosophie vers l’espagnol, au Mexique, entre 1940 et 1970. Elle se fonde sur les développements sociologiques en traductologie, développements qui visent à mettre en relief l’intervention des traducteurs dans la construction des identités nationales, des répertoires bibliographiques et des traditions intellectuelles. Elle puise également à la sociologie culturelle, emprunte ses outils, et prête une attention particulière à l’intervention paratextuelle des agents faisant partie du réseau intellectuel mexicain dans la période à l’étude. La recherche offre une perspective macroscopique et une perspective microscopique du phénomène étudié. Depuis la perspective macroscopique, il est possible de construire le réseau intellectuel mexicain et de donner à voir la place que les traducteurs y occupent. En effet, ce « grand angle » ou vue d’ensemble permet de constater que la grande majorité des philosophes actifs pendant la période ont exercé la traduction de différentes manières, les deux facteurs déterminants étant représentés par la position où ils se situaient ou le courant de pensée qui définissait leur identité intellectuelle à l’intérieur du réseau. Depuis la perspective microscopique et à l’aide de données extraites d’un catalogue des traductions de philosophie publiées dans cette période, est construit un corpus d’interventions paratextuelles permettant d’analyser les stratégies discursives par lesquelles ces philosophes se servent de la traduction pour se constituer en tant qu’énonciateurs autorisés de la parole philosophique, mais également pour justifier l’importation des ouvrages considérés comme nécessaires pour intégrer la philosophie en espagnol au panorama intellectuel international.
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Regards sociologiques sur la traduction philosophique (Mexique, 1940-1970)Castro-Ramirez, Nayelli-Maria January 2012 (has links)
Depuis une perspective sociologique, la présente recherche est centrée sur le rôle des traducteurs de la philosophie vers l’espagnol, au Mexique, entre 1940 et 1970. Elle se fonde sur les développements sociologiques en traductologie, développements qui visent à mettre en relief l’intervention des traducteurs dans la construction des identités nationales, des répertoires bibliographiques et des traditions intellectuelles. Elle puise également à la sociologie culturelle, emprunte ses outils, et prête une attention particulière à l’intervention paratextuelle des agents faisant partie du réseau intellectuel mexicain dans la période à l’étude. La recherche offre une perspective macroscopique et une perspective microscopique du phénomène étudié. Depuis la perspective macroscopique, il est possible de construire le réseau intellectuel mexicain et de donner à voir la place que les traducteurs y occupent. En effet, ce « grand angle » ou vue d’ensemble permet de constater que la grande majorité des philosophes actifs pendant la période ont exercé la traduction de différentes manières, les deux facteurs déterminants étant représentés par la position où ils se situaient ou le courant de pensée qui définissait leur identité intellectuelle à l’intérieur du réseau. Depuis la perspective microscopique et à l’aide de données extraites d’un catalogue des traductions de philosophie publiées dans cette période, est construit un corpus d’interventions paratextuelles permettant d’analyser les stratégies discursives par lesquelles ces philosophes se servent de la traduction pour se constituer en tant qu’énonciateurs autorisés de la parole philosophique, mais également pour justifier l’importation des ouvrages considérés comme nécessaires pour intégrer la philosophie en espagnol au panorama intellectuel international.
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