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Les Tragédies à sujet turc sur la scène française : 1561-1681 / The Tragedies with Turkish Subjects on the French Stage : 1561-1681

Chataignier, David 31 January 2012 (has links)
Entre 1561 et 1681 plusieurs tragédies et tragi-comédies françaises empruntent leur sujet à un épisode de l’histoire récente de l’Empire ottoman. Si Solyman ou la mort de Mustapha (1639) de Jean Mairet, Ibrahim ou l’illustre bassa (1641-42) de Georges de Scudéry et Bajazet (1672) de Jean Racine sont probablement les œuvres les plus emblématiques de cette tendance, elles ne sont pas les seules. D’autres auteurs issus de milieux littéraires divers et appartenant à des époques différentes ont également souscrit à cette tradition. L’objet de notre thèse est d’explorer le ou les corpus « orientalistes » de la tragédie française, d’en déterminer les origines tout ainsi que, si elles existent, les conséquences — en particulier dans la constitution des intrigues. Les réponses à ces questions doivent nous permettre de définir l’identité de ces tragédies à sujet ottoman. / Between 1561 and 1681 several French tragedies and tragicomedies borrowed their subjects from a recent episode in the history of the Ottoman Empire. Although Solyman ou la mort de Mustapha (1639) by Jean Mairet, Ibrahim ou l’illustre bassa (1641-42) by Georges de Scudéry, and Bajazet by Jean Racine are probably the most emblematic works of this trend, they are not alone. Other authors from different literary circles and belonging to different periods also belonged to the same tradition. The purpose of this dissertation is to explore the corpus of French tragedies with Oriental subjects and to determine their origins and consequences, particularly regarding the construction of plots. The answers to these questions should allow the definition of an identity for these tragedies with Ottoman subjects.
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La Légitimité visible. L’usurpation du pouvoir dans le théâtre français du XVIIe siècle (1636-1696) / The Visible Legitimacy. Usurpation of Power in Seventeenth Century French Theater (1636-1696)

Ding, Ruoting 29 June 2017 (has links)
Ce présent travail étudie la mobilisation des concepts relatifs à la légitimité et à l’usurpation dans le théâtre français classique, et a pour corpus toutes les pièces (tragédies, tragi-comédies et comédies héroïques) représentant des perturbations étatiques liées à l’usurpation entre 1630 et la fin du XVIIe siècle. Si la mise en scène de bouleversements politiques extraordinaires confère une certaine grandeur à l’œuvre dramatique, elle implique un aspect référentiel qui, surtout dans une France où l’absolutisme s’établit et s’affirme, pourrait conduire à une difficulté. Or, c’est précisément cette problématique qui assure l’efficacité propre du thème de l’usurpation. La référence idéologique et morale est elle-même mobilisable sur un plan dramaturgique et peut constituer un élément structurant de l’effet dramatique, assurer l’engrenage de l’action, et répondre à une vision poétique. En même temps, à travers ces procédés dramaturgiques, les pièces construisent leur sens qui, tout en faisant écho à l’absolutisme monarchique, peut parfois présenter un écart par rapport aux réflexions politiques contemporaines. Cette étude s’articule autour de trois concepts – le droit de régner, le devoir de régner et la volonté de régner. L’analyse de la manière concrète de leur mise en place mène à une réflexion sur l’évolution du traitement du thème durant le siècle et sur le rapport complexe entre idéologie et dramaturgie. / This piece of work studies the mobilization of concepts relating to legitimacy and usurpation in classical French theater. The corpus includes all plays (tragedies, tragi-comedies and heroic comedies) representing state-level disruptions linked to usurpation from 1630 to the end of the seventeenth century. If the representation of extraordinary political disorders makes the subject of a play more elevated, it also implies a referential dimension that could give rise to a complication, especially in a France where absolutism was taking shape. Yet it is precisely this problem that warrants the value of the theme of usurpation. Once dramaturgically mobilized, the ideological and moral reference constitutes a structural element that creates the dramatic effect, which ensures the circle of the action and echoes a poetic vision. At the same time, through these dramaturgical features, the plays construct their meaning, which besides reflecting absolutist ideology can sometimes deviate from contemporary political thought. This study hinges on three concepts – the right to rule, the duty to rule and the will to rule. The analysis of the concrete means of their implementation is followed by a reflection on the evolution of the treatment of the theme throughout the century as well as on the complex relationship between ideology and dramaturgy.
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Érato et Melpomène ou les sœurs ennemies : langage poétique et poétique dramatique dans le théâtre français de Jodelle à Scarron (1553-1653) / Erato and Melpomene or the enemy sisters : poetic language and dramatic poetics in french theater from Jodelle to Scarron (1553-1653)

Garnier, Sylvain 04 December 2017 (has links)
L'expression poétique semble inhérente au théâtre classique. Pourtant, les pièces de la seconde moitié du XVIIe siècle, en particulier les tragédies, sont le fruit de principes « réguliers » qui ont cherché à dépoétiser le théâtre et ont largement réussi dans cette entreprise. Pour rendre compte de ce processus, il est nécessaire de retracer l'histoire de la poésie au théâtre depuis la naissance de la tragédie humaniste, au milieu du XVIe siècle, jusqu'à l'instauration de ce que la postérité appellera le classicisme. Il apparaît ainsi que l'élocution lyrique s'est progressivement déplacée au fil du temps du genre tragique vers le genre comique en suivant l'évolution de la poésie lyrique depuis le style sublime de la Pléiade jusqu'à l'expression burlesque de Scarron en passant par la simplicité malherbienne, l'ingéniosité mariniste ou l'enjouement galant. L'expression lyrique glisse ainsi progressivement des chœurs et des discours pathétiques de la tragédie humaniste vers les soupirs, les chansons et les pointes des amants de la tragi-comédie et de la pastorale avant d'être parodiée dans la parlure ridicule des personnages de la comédie burlesque. Parallèlement à ce mouvement, les penseurs réguliers théorisent l'opposition fondamentale du langage poétique et du langage dramatique, rendant ainsi presque impossible le développement d'une tragédie régulière poétique. / Poetical expression seems to be an inherent aspect of classical theatre. However, plays written in the second half of the seventeenth century, particularly the tragedies, were conceived to adhere to regular standards of form which tended towards the removal of poetic expression from theatre and which largely succeeded in doing so. To summarise this process, it is necessary to recount the history of poetic expression in plays from the advent of humanist tragedy in the mid-sixteenth century to the establishment of what would be later called « classicism ». It can then be demonstrated that lyrical elocution shifted over time from tragedy to comedy, following the same evolution as lyrical poetry which evolved from the noble style of the Pleiade all the way to Scarron’s burlesque expression, through the simplicity of Malherbe’s expression, the ingenuity of marinism, or the preciosity of the gallant style. Poetical expression thus progressively shifted from the choirs and pathetic discourses of the humanist tragedy, towards the sighs, songs, and conceits of the lovers of tragi-comedy and pastorales, before being parodied in the ridiculous manner of speech of the characters in burlesque comedy. Simultaneously, theorists of regularity theorised the fundamental opposition between poetic and dramatic language, thus making the development of a regular poetical tragedy nearly impossible.
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L'illusion heroïque : Rodrigue et la représentation du héros tragique dans le premier XVIIe siècle / The heroic illusion : Rodrigue and the tragic hero representation in the early 17th century

Aronica, Claire 16 September 2016 (has links)
Le point de départ de ce travail réside d’une part dans la découverte d’une différence considérable de nature entre le héros du Cid et les protagonistes du théâtre contemporain ; et d’autre part sur l’intuition que l’analyse littéraire utilise presque exclusivement Rodrigue comme personnage représentatif du premier XVIIe siècle. Notre première démarche a été de chercher à confirmer ces impressions en démontrant le statut particulier de ce personnage. Nous avons étudié la réception du Cid et de son héros au fil des siècles dans cette optique, jugeant que les réactions des spectateurs, des lecteurs et des critiques construisaient progressivement notre image actuelle de Rodrigue. Nous avons cherché à voir comment depuis janvier 1637 jusqu’au début du XXIe siècle la pièce et son héros ont été accueillis. Nous avons ainsi établi la longévité du texte, ainsi que les exceptionnelles réactions d’engouement qu’il a pu rencontrer. Cela nous a permis d’établir la mythification de la pièce et de dégager sa portée universelle. Ces premières conclusions nous ont invité à rechercher les causes d’un tel succès. C’est à nouveau l’étude de la réception qui nous a permis de découvrir que cette unanimité tenait essentiellement au personnage de Rodrigue. C’est lui qui semble d’abord retenir l’intérêt des lecteurs et des spectateurs. Nous avons donc cherché dans une deuxième partie à comprendre ce qui fascinait tant en Rodrigue. Pour cette raison, nous l’avons confronté à l’idée de héros. La coïncidence saisissante que les réactions publiques révèlent entre ce personnage archétypal et le protagoniste du Cid nous a permis d’aboutir à un premier stade de compréhension : la pièce est accueillie avec enthousiasme au XVIIe siècle parce que son personnage principal actualise l’idéal humain tel que l’époque se le représente. Cependant, l’engouement des siècles suivants repose sur le même motif : c’est parce que Rodrigue incarne le héros du XVIIe siècle que le spectateur du siècle des Lumières, du Romantisme, de la Troisième République ou de l’entre-deux-guerres l’apprécie. Le protagoniste du Cid apparaît comme un héros révéré mais regretté car appartenant à une époque révolue. Au sein de l’œuvre de Corneille, il est également envisagé comme un paradigme héroïque et incarne le modèle dont tous les personnages masculins du théâtre cornélien ne seraient que la déclinaison. Il est l’élément fondateur du mythe du « héros cornélien ». Cependant, l’unanimité de réception face à Rodrigue pose question : Le Cid a-t-il réellement eu une place à part sur le théâtre du premier XVIIe siècle ? À l’ouverture de notre troisième partie, une brève étude de ce théâtre permet de révéler l’écart entre l’image de Rodrigue façonnée par la réception et la réalité dramaturgique des années 1630-1650. La tragi-comédie de Corneille n’est pas la seule pièce à connaître le succès et son héros n’est pas l’unique incarnation sur scène de l’homme tel qu’on se le représente alors. De nombreux autres dramaturges connaissent de réelles réussites. Toutefois, la réception critique les oublie. L’histoire littéraire semble ne vouloir retenir que Corneille pour la postérité. Elle impose Le Cid comme pièce modèle ; mais, se faisant, elle fausse l’appréciation que nous nous faisons du théâtre et des mentalités du XVIIe siècle. Nombre de théories critiques se sont en effet élaborées sur l’idée d’un premier XVIIe siècle glorieux à l’image de Rodrigue et d’une seconde moitié de siècle déclinante et sombre. C’est le cas de Paul Bénichou et de sa « démolition du héros ». Mais peut-on en garantir la véracité si elles reposent pour affirmer la grandeur des premières décennies du siècle sur le seul exemple de Rodrigue ? Une relecture de la littérature de cette période permet pour finir de revenir sur des conceptions altérées notamment par l’éclat du succès incomparable du Cid et d’envisager le premier XVIIe siècle sous une autre lumière. / The basis of this work lies primarily in the discovery of a huge nature difference between the hero in “Le Cid”, and the far less glorious contemporary drama protagonists. On the other hand, it is based upon the intuition that most literary analysis almost exclusively use Rodrigue as the character of the first decades of the17th century.The first step of our work was therefore to try to confirm these impressions by conveying the very special status of this character. We have studied the treatment of “Le Cid” and its hero throughout the centuries with this goal in mind, assessing that the way audiences, readers and critics reacted to the play steadily built our perception of Rodrigue. We have tried to understand how the play and its hero were welcomed from January 1637 to the outcome of the 21st century. We have thus established the longevity of the text as well as the outstanding praise reactions it met with. This enabled us to substantiate the mythification of the play and bring into light its universal scope.From these first conclusions, we then tried to find out the reasons why the success of the play has never been denied. Here again it is the study of the critic treatment that quickly showed us that the unanimous public feeling was essentially due to Rodrigue as a character. For it is he mainly who seems to captivate the audience and the readers’interest. In the second part, we therefore tried to understand why Rodrigue is so mesmerising. With this purpose in mind, we confronted our character to the very hero notion. The stiking coincidence that public reactions convey between this archetypal character and “Le Cid” protagonist brought us to a first conclusion: the play is enthusiastically welcomed in the 17th century because the main character updates the human ideal as it was viewed at the time. Yet, the passion that the play generated in later periods is based on the same principle: it is because Rodrigue embodies the 17th century hero that the public from the age of enlightenment, from the great romantic era, from the French 3rd Republic or the interwar period do feel fond of him. “Le Cid” protagonist appears both as a revered and missed hero because he belongs to days gone by, a past example of the ideal man. In Corneille’s entire works, he is also regarded as a heroic paradygm and is viewed as the Cornelian male reference from which other male characters are derived in the works of the playwright. He is the very source of “the Cornelian hero” myth.However, Rodrigue’s unanimous critic treatment brings forward another issue: does “Le Cid” really stand apart in the early 17th century drama? At the outset of our third part, a brief survey of the period drama reveals the gap between Rodrigue’s image as it was made by the critic treatment and the dramatic reality of the 1630-1650 era. Corneille’s tragicomedy is not the only successful play and its hero is not the only stage embodiment of the male figure as it was then represented. Several other playwrights were successful too. Yet, the critic treatment does not take them into account. It seems as if Corneille is the only author to be remembered in the history of literature. Thus, “Le Cid” is the play reference. But it alters our vision of the 17th century drama and mentalities.In fact, scores of critic theories were based on the idea of a glorious early 17th century (impersonated by Rodrigue) as opposed to a gloomier and declining period at the end of the century. But can one guarantee their truthfulness if they are only based on the character of Rodrigue to assert the grandeur of the early 17th century decades?To conclude, a precise and detailed reading of the period literature allows one to study many misinterpretations, particularly because of “Le Cid” unmatched success, and to consider the early 17th century with a brand new perspective.

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