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Difficulty in English-Japanese Translation: Cognitive Effort and Text/Translator CharacteristicsOgawa, Haruka 23 July 2021 (has links)
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Towards a Better Human-Machine Collaboration in Statistical Translation : Example of Systematic Medical Reviews / Vers une meilleure collaboration humain-machine en traduction statistique : l'exemple des revues systématiques en médecineIve, Julia 01 September 2017 (has links)
La traduction automatique (TA) a connu des progrès significatifs ces dernières années et continue de s'améliorer. La TA est utilisée aujourd'hui avec succès dans de nombreux contextes, y compris les environnements professionnels de traduction et les scénarios de production. Cependant, le processus de traduction requiert souvent des connaissances plus larges qu'extraites de corpus parallèles. Étant donné qu'une injection de connaissances humaines dans la TA est nécessaire, l'un des moyens possibles d'améliorer TA est d'assurer une collaboration optimisée entre l'humain et la machine. À cette fin, de nombreuses questions sont posées pour la recherche en TA: Comment détecter les passages où une aide humaine devrait être proposée ? Comment faire pour que les machines exploitent les connaissances humaines obtenues afin d'améliorer leurs sorties ? Enfin, comment optimiser l'échange: minimiser l'effort humain impliqué et maximiser la qualité de TA? Diverses solutions sont possibles selon les scénarios de traductions considérés. Dans cette thèse, nous avons choisi de nous concentrer sur la pré-édition, une intervention humaine en TA qui a lieu ex-ante, par opposition à la post-édition, où l'intervention humaine qui déroule ex-post. En particulier, nous étudions des scénarios de pré-édition ciblés où l'humain doit fournir des traductions pour des segments sources difficiles à traduire et choisis avec soin. Les scénarios de la pré-édition impliquant la pré-traduction restent étonnamment peu étudiés dans la communauté. Cependant, ces scénarios peuvent offrir une série d'avantages relativement, notamment, à des scénarios de post-édition non ciblés, tels que : la réduction de la charge cognitive requise pour analyser des phrases mal traduites; davantage de contrôle sur le processus; une possibilité que la machine exploite de nouvelles connaissances pour améliorer la traduction automatique au voisinage des segments pré-traduits, etc. De plus, dans un contexte multilingue, des difficultés communes peuvent être résolues simultanément pour de nombreuses langues. De tels scénarios s'adaptent donc parfaitement aux contextes de production standard, où l'un des principaux objectifs est de réduire le coût de l’intervention humaine et où les traductions sont généralement effectuées à partir d'une langue vers plusieurs langues à la fois. Dans ce contexte, nous nous concentrons sur la TA de revues systématiques en médecine. En considérant cet exemple, nous proposons une méthodologie indépendante du système pour la détection des difficultés de traduction. Nous définissons la notion de difficulté de traduction de la manière suivante : les segments difficiles à traduire sont des segments pour lesquels un système de TA fait des prédictions erronées. Nous formulons le problème comme un problème de classification binaire et montrons que, en utilisant cette méthodologie, les difficultés peuvent être détectées de manière fiable sans avoir accès à des informations spécifiques au système. Nous montrons que dans un contexte multilingue, les difficultés communes sont rares. Une perspective plus prometteuse en vue d'améliorer la qualité réside dans des approches dans lesquelles les traductions dans les différentes langues s’aident mutuellement à résoudre leurs difficultés. Nous intégrons les résultats de notre procédure de détection des difficultés dans un protocole de pré-édition qui permet de résoudre ces difficultés par pré-traduction. Nous évaluons le protocole dans un cadre simulé et montrons que la pré-traduction peut être à la fois utile pour améliorer la qualité de la TA et réaliste en termes d'implication des efforts humains. En outre, les effets indirects sont significatifs. Nous évaluons également notre protocole dans un contexte préliminaire impliquant des interventions humaines. Les résultats de ces expériences pilotes confirment les résultats obtenus dans le cadre simulé et ouvrent des perspectives encourageantes pour des tests ultérieures. / Machine Translation (MT) has made significant progress in the recent years and continues to improve. Today, MT is successfully used in many contexts, including professional translation environments and production scenarios. However, the translation process requires knowledge larger in scope than what can be captured by machines even from a large quantity of translated texts. Since injecting human knowledge into MT is required, one of the potential ways to improve MT is to ensure an optimized human-machine collaboration. To this end, many questions are asked by modern research in MT: How to detect where human assistance should be proposed? How to make machines exploit the obtained human knowledge so that they could improve their output? And, not less importantly, how to optimize the exchange so as to minimize the human effort involved and maximize the quality of MT output? Various solutions have been proposed depending on concrete implementations of the MT process. In this thesis we have chosen to focus on Pre-Edition (PRE), corresponding to a type of human intervention into MT that takes place ex-ante, as opposed to Post-Edition (PE), where human intervention takes place ex-post. In particular, we study targeted PRE scenarios where the human is to provide translations for carefully chosen, difficult-to-translate, source segments. Targeted PRE scenarios involving pre-translation remain surprisingly understudied in the MT community. However, such PRE scenarios can offer a series of advantages as compared, for instance, to non-targeted PE scenarios: i.a., the reduction of the cognitive load required to analyze poorly translated sentences; more control over the translation process; a possibility that the machine will exploit new knowledge to improve the automatic translation of neighboring words, etc. Moreover, in a multilingual setting common difficulties can be resolved at one time and for many languages. Such scenarios thus perfectly fit standard production contexts, where one of the main goals is to reduce the cost of PE and where translations are commonly performed simultaneously from one language into many languages. A representative production context - an automatic translation of systematic medical reviews - is the focus of this work. Given this representative context, we propose a system-independent methodology for translation difficulty detection. We define the notion of translation difficulty as related to translation quality: difficult-to-translate segments are segments for which an MT system makes erroneous predictions. We cast the problem of difficulty detection as a binary classification problem and demonstrate that, using this methodology, difficulties can be reliably detected without access to system-specific information. We show that in a multilingual setting common difficulties are rare, and a better perspective of quality improvement lies in approaches where translations into different languages will help each other in the resolution of difficulties. We integrate the results of our difficulty detection procedure into a PRE protocol that enables resolution of those difficulties by pre-translation. We assess the protocol in a simulated setting and show that pre-translation as a type of PRE can be both useful to improve MT quality and realistic in terms of the human effort involved. Moreover, indirect effects are found to be genuine. We also assess the protocol in a preliminary real-life setting. Results of those pilot experiments confirm the results in the simulated setting and suggest an encouraging beginning of the test phase.
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Measuring difficulty in English-Chinese translation: Towards a general model of translation difficultySun, Sanjun 03 July 2012 (has links)
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