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Organisation du système glucose-6-phosphatase dans les microsomes de foie humain et de ratSt-Denis, Jean-François January 1995 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Régulation du transport de glucose par le [bêta]-hydroxybutyrate dans le muscle cardiaquePelletier, Amélie January 2006 (has links)
No description available.
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Gastrointestinal plasticity in health and diseases : what we have learned from bariatric surgeries / Plasticité gastrointestinale et conséquences physiologiques : leçons de la chirurgie bariatriqueCavin, Jean-Baptiste 23 September 2016 (has links)
Aujourd’hui, face à l’épidémie d’obésité, de plus en plus de personnes ont recours à la chirurgie bariatrique, qui permet une perte de poids importante et une amélioration des conditions métaboliques associées à l’obésité. L’adaptation gastro-intestinale après la chirurgie et ses conséquences métaboliques sont cependant peu connues. Nous avons développé des modèles murins de bypass gastriques et de gastrectomie longitudinale (sleeve) et nous avons caractérisé l’adaptation morphologique et fonctionnelle de l’épithélium gastro-intestinal après ces chirurgies afin de comprendre l’origine des améliorations métaboliques. Nous avons montré que l’estomac était remodelé après les deux chirurgies, suggérant une augmentation de la production acide par les cellules pariétales et une altération de la production de gastrine et de ghréline. Après le bypass, l’anse alimentaire était hyperplasique et la consommation intestinale de glucose était augmentée chez le rat et l’homme; après la sleeve, l’absorption de glucose lors du repas était diminuée. De plus, l’augmentation du nombre de cellules entéroendocrines observée après le bypass, et l’augmentation de leur densité après la sleeve pourraient participer à l’hypersécrétion des hormones incrétines. L’ensemble de ces mécanismes pourrait contribuer à améliorer le contrôle de la glycémie. Enfin, le mini-bypass chez le rat a induit une malabsorption protéique et des fuites énergétiques majeures qui n’étaient pas compensées par l’hyperplasie intestinale ou l’augmentation de l’expression des transporteurs de peptides. Cette thèse montre l’importance du tractus gastro-intestinal dans les conséquences métaboliques de la chirurgie bariatrique / In today’s global epidemic of obesity, more and more people are undergoing bariatric surgery, which is the best known treatment available to lose weight and treat obesity-associated diseases. Yet, little is known about gastrointestinal (GI) adaptation and its metabolic consequences after surgery. We developed original models of Roux-en-Y gastric bypass (RYGB), mini-bypass (MGB) and vertical sleeve gastrectomy (VSG) in rats, and we characterized the morphological and functional adaptations of the GI epithelium after these surgeries in order to understand the origin of the observed metabolic improvements. We reported profound changes in the remaining gastric mucosa of rats having undergone RYGB and VSG, suggesting an increase in acid production by parietal cells and an impaired production of gastrin and ghrelin. In RYGB rats and patients, the alimentary limb was hyperplasic and intestinal glucose consumption was increased. After VSG, the absorption of glucose during meals appeared diminished. These adaptations could participate in the lowering of blood glucose after surgery. In addition, the increased number of enteroendocrine cells observed in RYGB rats and patients, and their increased density in VSG rats, could contribute to the higher secretion of incretin hormone and improved glycemic control in operated individuals. Finally, we demonstrated in rats that the MGB was more malabsorptive than the RYGB. Indeed, we observed an increased fecal loss of nitrogen and energy despite intestinal overgrowth and higher expression of peptide transporters. This thesis brings new insight to the role of the GI tract in the metabolic outcomes of bariatric surgeries
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Régulation des principaux transporteurs de glucose et leurs effets sur l’expression des gènes de virulence chez Listeria monocytogenes / Regulation of the main Listeria monocytogenes glucose transporter and effects on virulence gene expressionAke, Francine Désirée Moussan 29 April 2011 (has links)
Listeria monocytogenes est une bactérie à Gram+, ubiquiste, pathogène intracellulaire d’origine alimentaire, responsable chez l’homme, de nombreuses infections telles que les infections foeto-maternelles, des méningo-encéphalites et des septicémies. La bactérie utilise préférentiellement le glucose qui est transporté via le système phosphoenolpyruvate:sucre phsosphotransferase (PTS) et des perméases non-PTS. Les deux principaux transporteurs de glucose chez L. monocytogenes seraient des PTS de la classe mannose. Le premier est codé par l’opéron manLMN (man) et le deuxième, par l’opéron mpoABCD (mpo). Nous avons, dans un premier temps, mis en évidence le transport de glucose par ces PTS chez L. monocytogenes et aussi identifier d’autres transporteurs non-PTS de glucose. Des tests de croissance en milieu minimum (MM) additionné de glucose et des tests de consommation de glucose ont permis de montrer que les mutants ΔmanL (manL code pour l’EIIABMan) et ΔmanM (manM code pour l’EIICMan) utilisent moins vite le glucose que la souche sauvage AML73 ou EGDe (3 à 4 fois moins vite). Le mutant ΔmpoA (mpoA code pour l’EIIAMpo) montre un phénotype similaire à la souche sauvage tandis que le mutant ΔmpoB (mpoB code pour l’EIIBMpo) utilise 4 à 5 fois moins vite le glucose que la souche sauvage. Des tests de qRT-PCR ont par ailleurs permis de montrer que la délétion du gène mpoA permet une expression constitutive de l’opéron man tandis que la délétion du gène mpoB entraîne une inhibition de l’expression de cet opéron. Nous avons aussi montré que l’opéron man est induit par le glucose et l’opéron mpo est exprimé constitutivement. Le PTSMan est le principal système de transport de glucose chez L. monocytogenes et le PTSMpo pourrait fonctionner comme un senseur de glucose qui en présence de ce sucre stimule l’expression de l’opéron man en régulant l’activité de ManR. Le mutant ΔptsI (ptsI code pour la protéine générale EI du PTS) utilise 8 à 10 fois moins vite le glucose que la souche sauvage et présente une très faible expression de l’opéron man. L’utilisation du glucose (bien que faible) par le mutant ΔptsI permet d’affirmer qu’il existerait des transporteurs non-PTS qui permettraient à ce mutant d’utiliser le glucose. Des tests de complémentation hétérologue dans la souche E. coli LJ140 (incapable de transporter le glucose) ont permis de montrer que les trois protéines GlcU (GlcU1, GlcU2 et GlcU3, identifiées par homologie de séquences aux GlcU d’autres firmicutes) permettent le transport de glucose chez L. monocytogenes mais avec une très faible affinité. Un rôle potentiel du PTS et des transporteurs non-PTS dans la régulation de PrfA a également été mis en évidence par des tests de dosage β-D-glucuronidase à partir de cultures bactériennes réalisées en milieux liquides ou sur géloses et aussi par des tests de qRT-PCR (pour l’expression des gènes actA et hly). Ces tests ont été réalisés à partir de la souche L. monocytogenes AML73 (portant la fusion Phly-gus) et des mutants ΔmanL, ΔmanM, ΔmpoB, ΔmpoA, ΔptsI et glcU (construits dans cette souche). Les mutations manL, manM, mpoB, ptsI entraînent une augmentation de l’activité de PrfA (de 2 à 14 fois) et une augmentation de l’expression des gènes de virulence PrfA-dépendants (hly et actA) est également observée dans les mutants ΔmanL, ΔmanM et ΔmpoB. Les mutations glcU et mpoA ne montrent aucun effet sur l’activité de PrfA. Les mutants montrant une forte activité de PrfA contiennent peu ou pas de protéine EIIABMan qui est supposée jouer un rôle dans la régulation de l’activité de PrfA par le glucose. L’effet des mutations PTS observé sur l’expression des gènes de virulence dépend de PrfA car cet effet disparaît quand le gène prfA est délété dans les mutants ΔmanL, ΔmanM et ΔmpoB. Les mutations montrant un effet sur l’activité de PrfA ont également été étudiées in vitro par des infections des cellules épithéliales (Caco-2 et Jeg-3) avec les différents mutants et également in vivo dans la souris. La délétion du gène ptsI montre un effet dans l’infection plus particulièrement dans l’entrée des bactéries dans les cellules / L. monocytogenes is a ubiquitous foodborne pathogenic Gram-positive bacterium, which can multiply in host cells and infect humans causing septicemia, spontaneous abortion and méningoencephalitis. This bacterium transports glucose via phosphoenolpyruvate:sugar phosphotransferase systems (PTS) and non-PTS permeases. Two major glucose-transporting PTSs belong to the mannose class. One is encoded by the manLMN (man) operon and the second by the mpoABCD (mpo) operon. One goal was to study the transport of glucose by the proteins encoded by these operons and to identify non-PTS glucose transporters. Growth studies in MM supplemented with glucose and glucose consumption assays with several mutants revealed that deletion of manL (encodes EIIABMan) or manM (encodes EIICMan) significantly slowed glucose utilization (3- to 4-fold) compared to the WT AML73 or EGDe strain. Deletion of mpoA (encodes EIIAMpo) had no significant effect on glucose utilization (same phenotype as the WT) whereas deletion of mpoB (encodes EIIBMpo) significantly slowed glucose utilization (4- to -5 fold). By using qRT-PCR, we show that expression of the man operon is induced by glucose, whereas the mpo operon is expressed constitutively. Nevertheless, deletion of mpoA causes constitutive man operon expression whereas deletion of mpoB inhibits it. The PTSMpo therefore functions as a constantly synthesized glucose sensor regulating man operon expression. Deletion of ptsI (encodes the general PTS component EI) also inhibits man expression and the ΔptsI mutant was most strongly impeded in glucose utilization. The residual glucose uptake probably owes to three GlcU-like non-PTS transporters. The successful heterelogous complementation of the E. coli LJ140 strain, wich is unable to transport glucose, suggests that the L. monocytogenes GlcU proteins, GlcU1, GlcU2 and GlcU3 (identified by sequences homology to GlcU proteins in other firmicutes) are indeed capable of transporting glucose.A potential role of PTS and non-PTS components in PrfA regulation was studied in the L. monocytogenes AML73 strain (contains a Phly-gus fusion) and in the ΔmanL, ΔmanM, ΔmpoB, ΔmpoA, ΔptsI, glcU mutants derived from it. For that purpose, I carried out β-D-glucuronidase activity tests with bacteria grown either in liquid or on solid medium and qRT-PCR experiments (expression of actA and hly genes). Interestingly, deletion of ptsI, manL, manM and mpoB caused elevated PrfA activity (2- to -14 fold) and elevated expression of virulence gene expression (actA and hly) in the ΔmanL, ΔmanM and ΔmpoB mutants was observed. Nevertheless, glcU inactivation and mpoA deletion had no effect on PrfA activity. The elevated PrfA activity disappeared when the prfA gene was also deleted in the ΔmanL, ΔmanM and ΔmpoB mutants, confirming that the stimulatory effect of the various mutations on virulence gene expression is PrfA-dependent. All mutants exhibiting elevated virulence gene expression contain no or only little unphosphorylated EIIABMan, which we therefore suspect to play a major role in glucose-mediated PrfA inhibition. The effect of the PTS mutations was also tested in in vitro host cells infection assays (Caco-2, Jeg-3 cells) and in an in vivo mouse model. Deletion of ptsI led to elevated infection of the host cells, which probably owes to the elevated synthesis of the InlA protein.
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Régulation des principaux transporteurs de glucose et leurs effets sur l'expression des gènes de virulence chez Listeria monocytogenesAke, Francine Désirée Moussan 29 April 2011 (has links) (PDF)
Listeria monocytogenes est une bactérie à Gram+, ubiquiste, pathogène intracellulaire d'origine alimentaire, responsable chez l'homme, de nombreuses infections telles que les infections foeto-maternelles, des méningo-encéphalites et des septicémies. La bactérie utilise préférentiellement le glucose qui est transporté via le système phosphoenolpyruvate:sucre phsosphotransferase (PTS) et des perméases non-PTS. Les deux principaux transporteurs de glucose chez L. monocytogenes seraient des PTS de la classe mannose. Le premier est codé par l'opéron manLMN (man) et le deuxième, par l'opéron mpoABCD (mpo). Nous avons, dans un premier temps, mis en évidence le transport de glucose par ces PTS chez L. monocytogenes et aussi identifier d'autres transporteurs non-PTS de glucose. Des tests de croissance en milieu minimum (MM) additionné de glucose et des tests de consommation de glucose ont permis de montrer que les mutants ΔmanL (manL code pour l'EIIABMan) et ΔmanM (manM code pour l'EIICMan) utilisent moins vite le glucose que la souche sauvage AML73 ou EGDe (3 à 4 fois moins vite). Le mutant ΔmpoA (mpoA code pour l'EIIAMpo) montre un phénotype similaire à la souche sauvage tandis que le mutant ΔmpoB (mpoB code pour l'EIIBMpo) utilise 4 à 5 fois moins vite le glucose que la souche sauvage. Des tests de qRT-PCR ont par ailleurs permis de montrer que la délétion du gène mpoA permet une expression constitutive de l'opéron man tandis que la délétion du gène mpoB entraîne une inhibition de l'expression de cet opéron. Nous avons aussi montré que l'opéron man est induit par le glucose et l'opéron mpo est exprimé constitutivement. Le PTSMan est le principal système de transport de glucose chez L. monocytogenes et le PTSMpo pourrait fonctionner comme un senseur de glucose qui en présence de ce sucre stimule l'expression de l'opéron man en régulant l'activité de ManR. Le mutant ΔptsI (ptsI code pour la protéine générale EI du PTS) utilise 8 à 10 fois moins vite le glucose que la souche sauvage et présente une très faible expression de l'opéron man. L'utilisation du glucose (bien que faible) par le mutant ΔptsI permet d'affirmer qu'il existerait des transporteurs non-PTS qui permettraient à ce mutant d'utiliser le glucose. Des tests de complémentation hétérologue dans la souche E. coli LJ140 (incapable de transporter le glucose) ont permis de montrer que les trois protéines GlcU (GlcU1, GlcU2 et GlcU3, identifiées par homologie de séquences aux GlcU d'autres firmicutes) permettent le transport de glucose chez L. monocytogenes mais avec une très faible affinité. Un rôle potentiel du PTS et des transporteurs non-PTS dans la régulation de PrfA a également été mis en évidence par des tests de dosage β-D-glucuronidase à partir de cultures bactériennes réalisées en milieux liquides ou sur géloses et aussi par des tests de qRT-PCR (pour l'expression des gènes actA et hly). Ces tests ont été réalisés à partir de la souche L. monocytogenes AML73 (portant la fusion Phly-gus) et des mutants ΔmanL, ΔmanM, ΔmpoB, ΔmpoA, ΔptsI et glcU (construits dans cette souche). Les mutations manL, manM, mpoB, ptsI entraînent une augmentation de l'activité de PrfA (de 2 à 14 fois) et une augmentation de l'expression des gènes de virulence PrfA-dépendants (hly et actA) est également observée dans les mutants ΔmanL, ΔmanM et ΔmpoB. Les mutations glcU et mpoA ne montrent aucun effet sur l'activité de PrfA. Les mutants montrant une forte activité de PrfA contiennent peu ou pas de protéine EIIABMan qui est supposée jouer un rôle dans la régulation de l'activité de PrfA par le glucose. L'effet des mutations PTS observé sur l'expression des gènes de virulence dépend de PrfA car cet effet disparaît quand le gène prfA est délété dans les mutants ΔmanL, ΔmanM et ΔmpoB. Les mutations montrant un effet sur l'activité de PrfA ont également été étudiées in vitro par des infections des cellules épithéliales (Caco-2 et Jeg-3) avec les différents mutants et également in vivo dans la souris. La délétion du gène ptsI montre un effet dans l'infection plus particulièrement dans l'entrée des bactéries dans les cellules
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Cree traditional medicine and type 2 diabetes : an ethnobotanical and pharmacological studyLeduc, Charles January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le grenadier tunisien (Punica granatum) stimule le transport de glucose dans les cellules musculaires C2C12 via la voie insulino-dépendante de l’Akt et la voie insulino-indépendante de l’AMPKBen Abdennebi, Mohamed Amine 08 1900 (has links)
Le diabète est reconnu comme un problème majeur de santé publique causant des conséquences humaines et économiques redoutables. La phytothérapie s’offre comme une nouvelle avenue thérapeutique pour le contrôle de la glycémie. Le grenadier, Punica granatum, a servi de remède contre le diabète dans le système Unani de la médecine pratiquée en Inde et au Moyen Orient. Des études ont démontré un effet hypoglycémiant des extraits de grenadier via divers mécanismes notamment par une amélioration de la sensibilité à l’insuline et la régénération des cellules béta-pancréatiques. Cependant, aucune étude n’a démontré à ce jour, l’effet de grenadier sur le transport de glucose dans le muscle, étape cruciale dans la régulation de l’homéostasie glucidique postprandiale. De plus, l’effet de la maturation sur le potentiel antidiabétique du fruit de grenadier n’a pas été étudié. Ainsi, le but de ce projet est d’évaluer l’effet antidiabétique des extraits de grenadier sur le transport de glucose dans les cellules musculaires C2C12 en fonction de la variété et du stade de maturation du fruit et d’élucider les mécanismes d’action. Le choix des variétés du grenadier tunisien (Espagnoule [EP] et Gabsi [GB]) a été orienté pour leur pouvoir antioxydant et leur consommation locale. Deux parties de la plante ont été utilisées, les fleurs et les fruits à 3 stades de maturation soit 2, 4 et 6 mois. Les résultats ont montré que seule la variété du grenadier Gabsi stimule significativement le transport de glucose par rapport au contrôle (DMSO), et ceci sans être toxique. Cet effet est plus prononcé au stade de fruit mûr (à 6 mois) que celui de la fleur. De plus, l’extrait de fleurs stimule la voie insulino-indépendante de l’AMPK et augmente le niveau d’expression des transporteurs spécifiques de glucose (GLUT-4). Par contre, l’extrait de fruits mûrs, en plus de ces deux mécanismes, active fortement aussi la voie insulino-dépendante de l’AKT. En conclusion, cette étude présente un nouveau mécanisme d’action antidiabétique de grenadier (plus particulièrement du fruit mûr) qui est dépendant de la variété. / Diabetes is a major public health problem worldwide with astounding human and economic consequences. The seed and the flower of pomegranate (Punica granatum), a native plant of Central Asia and the Mediterranean regions, exhibited a hypoglycaemic effect in in vivo studies. However, the underlying mechanisms have not yet been elucidated. The aim of this project was to evaluate the effect of the flower and the fruit (at 3 maturation stages) of pomegranate on glucose transport in skeletal muscle cells and to determine the molecular mechanisms involved in this effect. To accomplish this, we chose two varieties of pomegranate cultivated in Tunisia (Gabsi [GB] and Espagnoule [EP]), which have been shown to be highly consumed in that area and to possess high antioxidant activity. Differentiated C2C12 cells were treated for 18 hours with 80% ethanolic extract of the flowers and fruits (at 2, 4, and 6 months) of each variety. Our results showed that the Gabsi variety of pomegranate significantly enhances glucose uptake, without any toxicity. This effect is more pronounced in the ripe fruit (6 months) than in the flower. In parallel, the ripe fruit stimulated both the insulin-dependent pathway (Akt) and the insulin-independent pathway (AMPK), while the flower stimulated the latter only. In addition, both flower and ripe fruit treatment resulted in enhanced expression level of GLUT-4 glucose transporter in the muscle. Hence, these results suggest that regulation of glucose transport in skeletal muscle is one of the components involved in the anti-diabetic effect of Tunisian pomegranate.
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Le grenadier tunisien (Punica granatum) stimule le transport de glucose dans les cellules musculaires C2C12 via la voie insulino-dépendante de l’Akt et la voie insulino-indépendante de l’AMPKBen Abdennebi, Mohamed Amine 08 1900 (has links)
Le diabète est reconnu comme un problème majeur de santé publique causant des conséquences humaines et économiques redoutables. La phytothérapie s’offre comme une nouvelle avenue thérapeutique pour le contrôle de la glycémie. Le grenadier, Punica granatum, a servi de remède contre le diabète dans le système Unani de la médecine pratiquée en Inde et au Moyen Orient. Des études ont démontré un effet hypoglycémiant des extraits de grenadier via divers mécanismes notamment par une amélioration de la sensibilité à l’insuline et la régénération des cellules béta-pancréatiques. Cependant, aucune étude n’a démontré à ce jour, l’effet de grenadier sur le transport de glucose dans le muscle, étape cruciale dans la régulation de l’homéostasie glucidique postprandiale. De plus, l’effet de la maturation sur le potentiel antidiabétique du fruit de grenadier n’a pas été étudié. Ainsi, le but de ce projet est d’évaluer l’effet antidiabétique des extraits de grenadier sur le transport de glucose dans les cellules musculaires C2C12 en fonction de la variété et du stade de maturation du fruit et d’élucider les mécanismes d’action. Le choix des variétés du grenadier tunisien (Espagnoule [EP] et Gabsi [GB]) a été orienté pour leur pouvoir antioxydant et leur consommation locale. Deux parties de la plante ont été utilisées, les fleurs et les fruits à 3 stades de maturation soit 2, 4 et 6 mois. Les résultats ont montré que seule la variété du grenadier Gabsi stimule significativement le transport de glucose par rapport au contrôle (DMSO), et ceci sans être toxique. Cet effet est plus prononcé au stade de fruit mûr (à 6 mois) que celui de la fleur. De plus, l’extrait de fleurs stimule la voie insulino-indépendante de l’AMPK et augmente le niveau d’expression des transporteurs spécifiques de glucose (GLUT-4). Par contre, l’extrait de fruits mûrs, en plus de ces deux mécanismes, active fortement aussi la voie insulino-dépendante de l’AKT. En conclusion, cette étude présente un nouveau mécanisme d’action antidiabétique de grenadier (plus particulièrement du fruit mûr) qui est dépendant de la variété. / Diabetes is a major public health problem worldwide with astounding human and economic consequences. The seed and the flower of pomegranate (Punica granatum), a native plant of Central Asia and the Mediterranean regions, exhibited a hypoglycaemic effect in in vivo studies. However, the underlying mechanisms have not yet been elucidated. The aim of this project was to evaluate the effect of the flower and the fruit (at 3 maturation stages) of pomegranate on glucose transport in skeletal muscle cells and to determine the molecular mechanisms involved in this effect. To accomplish this, we chose two varieties of pomegranate cultivated in Tunisia (Gabsi [GB] and Espagnoule [EP]), which have been shown to be highly consumed in that area and to possess high antioxidant activity. Differentiated C2C12 cells were treated for 18 hours with 80% ethanolic extract of the flowers and fruits (at 2, 4, and 6 months) of each variety. Our results showed that the Gabsi variety of pomegranate significantly enhances glucose uptake, without any toxicity. This effect is more pronounced in the ripe fruit (6 months) than in the flower. In parallel, the ripe fruit stimulated both the insulin-dependent pathway (Akt) and the insulin-independent pathway (AMPK), while the flower stimulated the latter only. In addition, both flower and ripe fruit treatment resulted in enhanced expression level of GLUT-4 glucose transporter in the muscle. Hence, these results suggest that regulation of glucose transport in skeletal muscle is one of the components involved in the anti-diabetic effect of Tunisian pomegranate.
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Bioassay-guided antidiabetic potentials of Devil’s club (Oplopanax horridus) preparations from the traditional pharmacopeia of the Squamish and other first nations of British Columbia.Elahmer, Nyruz 02 1900 (has links)
No description available.
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The effects of exercise training on placental glucose transport in a mouse model of intrauterine growth restrictionChemtov, Jessica 08 1900 (has links)
cotutelle: Dre Cathy Vaillancourt / Le retard de croissance intra-utérin (RCIU) est un état gestationnel dans lequel le fœtus est empêché de grandir et qui se caractérise par un poids fœtal inférieur au 10e percentile. En ce moment, aucun traitement n'est disponible, ce qui offre peu de possibilités aux personnes à risque. Il a été démontré que l'entraînement physique (ExT) améliore la santé de la mère, du placenta et du fœtus. En outre, le RCIU présent dans un modèle murin de pré-éclampsie a été prévenu par l'ExT. En tant que tel, nous devons nous intéresser uniquement au RCIU, car il n'existe actuellement aucun traitement pour cette pathologie. Le transporteur de glucose, à savoir GLUT4, est régulé à la hausse par l'ExT dans le muscle squelettique. Comme le RCIU est causé par une insuffisance placentaire et une diminution du transport des nutriments, l'objectif de cette ce mémoire est d'évaluer les bénéfices de l'ExT sur le transport placentaire du glucose.
Les souris ont été assignées soit au régime japonais, soit au régime nord-américain (NA) à l'âge de 3 semaines, après le sevrage. Comme l'ont étudié précédemment Falcao et ses collègues (2009), nous avons voulu étudier l'effet du régime alimentaire sur le transport du glucose chez les souris WT et KO en raison des différences observées dans l'altération du placenta, le poids de l'organe et la fonction endothéliale. Nous avons donné aux souris l'accès à une roue d'exercice à usage libre 4 semaines avant et pendant la gestation. Les souris ont été sacrifiées à la fin de la gestation et le placenta a été prélevé. Les placentas ont été fixés dans de la cire de paraffine et l'immunohistochimie a été réalisée en utilisant les anticorps pour GLUT1, GLUT3, GLUT4, Pan Cytokératine, un marqueur de la prolifération du trophoblaste et CD31, un marqueur des cellules endothéliales. Nous voulions étudier la colocalisation de ces deux types de cellules dominantes avec les transporteurs de glucose.
Nous avons constaté que le marquage de GLUT4 et GLUT1 dans le labyrinthe placentaire était accru chez les souris entraînées des deux génotypes et chez les souris RCIU entraînées, respectivement. En outre, nous avons constaté une colocalisation accrue de GLUT4 avec les cellules endothéliales et trophoblastes chez les souris entraînées dans l'ensemble du placenta. La colocalisation de GLUT3 avec la cytokératine Pan Cytokératine était plus faible chez les souris normales et RCIU entraînées, tandis que la colocalisation GLUT3-CD31 était significativement plus faible uniquement chez les souris ExT KO. Un effet du régime alimentaire a été observé sur GLUT4. La présence de GLUT4-Pan Cytokératine dans la caduque maternelle et le sac vitellin était significativement plus élevée chez les souris WT et KO nourries avec le régime nord- américain (NA). La colocalisation GLUT4-Pan Cytokératine et GLUT4-CD31 dans la plaque choriale était significativement plus élevée chez les souris WT nourries au régime NA que chez les souris nourries au régime japonais. Notre étude suggère que l'ExT améliore le transport placentaire du glucose par la modulation des transporteurs de glucose. À notre connaissance, nous sommes le premier groupe à rapporter ces résultats. L'ExT est donc une voie prometteuse pour la prévention du RCIU, mais d'autres études doivent être menées pour confirmer nos résultats. / Intrauterine Growth Restriction (IUGR) is a gestational condition in which the fetus is
prevented from growing and characterized by a fetal weight below the 10th percentile. At
present no treatments are available, proposing few avenues for those at risk. Exercise training
(ExT) has been shown to improve maternal, placental, and fetal health. In addition, IUGR
present in a mouse model of preeclampsia was prevented with Ext. As such, we need to look at
IUGR alone as there are no current treatments for this condition. Glucose transporter, namely
GLUT4, is upregulated due to ExT in the skeletal muscle. As IUGR is caused by placental
insufficiency and diminished nutrient transport, the aim of this thesis is to evaluate the benefits
of ExT on placental glucose transport.
The mice were either assigned to the Japanese diet or the North American (NA) diet
group at 3 weeks of age, after weaning. As previously studied by Falcao and colleagues (2009),
we wanted to look at the effect of diet on WT and KO mice on glucose transport due to the
differences in placental alteration, organ weight and endothelial function that was observed.
We gave the mice access to a free-use exercise wheel 4 weeks prior to and during gestation. The
mice were sacrificed at the end of gestation, and the placenta was collected. The placentas
were fixed in paraffin wax, and immunohistochemistry was performed using the antibodies for
GLUT1, GLUT3, GLUT4, Pan Cytokeratin, a marker of trophoblast proliferation and CD31, a
marker of endothelial cells. We wanted to look at the colocalization of these two dominant cell
types in conjunction with the glucose transporters.
We found that GLUT4 and GLUT1 labelling in the placental labyrinth was increased in
trained mice of both genotypes and trained IUGR mice, respectively. Additionally, we found
increased GLUT4 colocalization with endothelial and trophoblast cells in trained mice in the
overall placenta. GLUT3 colocalization with Pan Cytokeratin was significantly lower in trained
normal and IUGR mice while GLUT3-CD31 co-localization was significantly lower in ExT KO mice
only. An effect of diet was observed in GLUT4. GLUT4-Pan Cytokeratin in the maternal decidua
and the yolk sac was significantly higher in both WT and KO mice fed the North American (NA)
diet. GLUT4-Pan Cytokeratin and GLUT4-CD31 colocalization in the chorionic plate was significantly higher in NA diet-fed WT mice compared to the Japanese diet-fed WT mice. Our
study suggests that ExT improves placental glucose transport through the modulation of the
glucose transporters. To our knowledge, we are the first group to report these findings. As
such, ExT is a promising avenue for the prevention of IUGR, however more studies need to be
done to confirm our results.
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