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Psychotraumatisme, troubles du sommeil et de l'éveil et effets sur le travail

Buzatelu, Oana-Ileana. Louville, Patrice. January 2009 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine du travail : Paris 12 : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 71-78.
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Physiopathologie du somnambulisme chez l'adulte : effets de la privation de sommeil et des éveils forcés au cours du sommeil

Pilon, Mathieu January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Électroencéphalographie, fonctions sensori-motrices et profil cognitif associés au trouble de comportement en sommeil paradoxal

Massicotte-Marquez, Jessica January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Difficultés subjectives de sommeil chez les personnes âgées présentant ou non un trouble cognitif sans démence

Adam, Anne-Marie 19 April 2018 (has links)
Les difficultés de sommeil sont fréquentes chez les personnes âgées à risque de développer une démence. Elles ont cependant été peu caractérisées jusqu'à maintenant. Le premier objectif de ce mémoire doctoral est de comparer des personnes âgées ayant un Trouble cognitif sans démence (TCSD ; condition qui accroît le risque de développer une démence) et des personnes sans trouble cognitif (non-TCSD) par rapport à plusieurs caractéristiques subjectives de sommeil. Le deuxième objectif consiste à étudier ces paramètres selon le sexe des participants. L'échantillon populationnel aléatoire est constitué de 2287 personnes franco-québécoises âgées de 65 à 96 ans. Les personnes avec un TCSD ont été identifiées sur la base d'un résultat au Mini-Mental State Examination inférieur au 15e percentile comparativement à un sous-groupe comparatif de participants stratifié selon le sexe, l'âge et le niveau de scolarité. Le Pittsburgh Sleep Quality Index (PSQI) a été utilisé pour obtenir des mesures subjectives de sommeil. Les variables potentiellement confondantes (âge, niveau de scolarité, nombre de maladies chroniques, troubles de l'humeur, troubles anxieux et utilisation de psychotropes) ont été contrôlées statistiquement. Des tests t de Student ont été effectués pour comparer, chez les hommes et les femmes séparément, les caractéristiques de sommeil des individus avec un TCSD et sans TCSD. Ensuite, l'association entre le TCSD et chaque variable de sommeil a été mesurée par des rapports de cotes obtenus sur la base de régression logistiques. Les résultats révèlent que, tant pour les hommes que pour les femmes, aucune différence significative n'est obtenue entre les personnes avec un TCSD et sans TCSD en ce qui concerne les difficultés de sommeil. Également, aucune association significative n'est obtenue entre la présence d'un TCSD et les différents paramètres de sommeil du PSQI, et ce, tant pour les hommes que pour les femmes. Dans l'ensemble, ces résultats suggèrent que les mesures subjectives de sommeil ne différencient pas les personnes à risque de développer une démence de celles présentant un fonctionnement cognitif normal.
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Traitement comportemental pour le trouble du sommeil lié à l'horaire de travail chez les travailleurs de nuit : une étude exploratoire

Claveau, Sonia 20 April 2018 (has links)
Le travail à horaire non conventionnel est une réalité dans notre société et peut causer des problèmes de sommeil et de santé importants. L’efficacité de la thérapie comportementale pour le Trouble de l’insomnie est bien établie dans la littérature. Toutefois, peu d’études s’intéressent au traitement de l’insomnie au sein du Trouble de l’horaire de travail (THT). L’objectif du présent mémoire doctoral est d’explorer l’efficacité d’un traitement comportemental pour le THT. Quatre participants âgés entre 20 et 36 ans ont reçu un traitement en huit séances. Pour identifier la présence d’un THT, l’EDI (Échelle Diagnostique de l’Insomnie) adaptée à la situation du travail de nuit a été utilisée. Les résultats obtenus révèlent que le traitement comportemental semble diminuer les symptômes d’insomnie et de somnolence excessive ainsi que les symptômes dépressifs chez les personnes en souffrant. Ces résultats illustrent l’efficacité potentielle d’un traitement comportemental pour le THT.
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Les conséquences sur le sommeil et les symptômes anxieux et dépressifs chez une population de collégiens qui ont vécu une expérience sexuelle non désirée : une étude exploratoire

Brochu, Roxane 18 August 2021 (has links)
Les étudiants collégiens forment une population hautement à risque de vivre une agression sexuelle. Ce type d'expérience peut entraîner un lot de conséquences comme des difficultés de sommeil et des symptômes anxieux et dépressifs. Le terme agression sexuelle est large et comporte plusieurs définitions. À cet égard, des écrits scientifiques ont conceptualisé ce terme selon deux dimensions : 1) l'aspect non désiré d'une expérience sexuelle et 2) le consentement ou non. Cette étude exploratoire a été menée au Cégep Lévis-Lauzon et ciblait tous les étudiants âgés de plus de 18 ans. Des questionnaires étaient à compléter sur une plateforme en ligne qui comprenait des questions sur les expériences sexuelles non désirées (ESND) consentante ou non consentante, sur le sommeil (insomnie, cauchemars, détresse associée aux cauchemars et sécurité face à la chambre à coucher, d'autres difficultés de sommeil mesurées à l'aide de l'agenda du sommeil) et sur les symptômes dépressifs et anxieux. Deux objectifs sont à l'étude : 1) explorer les conséquences sur le sommeil et les symptômes anxieux et dépressifs chez les étudiants qui ont vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) et 2) explorer les conséquences sur le sommeil à l'aide de l'agenda du sommeil chez les étudiants qui ont vécu une ESND(consentante, non consentante ou les deux). À l'objectif 1, l'échantillon total comprend 56 participants, dont 80.6% de femmes avec un âge moyen de 19.46 (ET 2.49) ans. Aux résultats, les étudiants ayant vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) rapportent davantage de symptômes d'anxiété et de détresse reliée aux cauchemars. D'un point de vue clinique, les symptômes d'anxiété et la détresse reliée aux cauchemars demeurent tout de même à un niveau de sévérité peu élevé. À l'objectif 2, 10 participants ont complété l'agenda du sommeil comprenant 7 femmes avec un âge moyen de 19.7 (ET 1.94) ans. Aux résultats, les étudiants ayant vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) ne se démarquent pas de façon prépondérante du groupe qui ne rapporte aucune ESND selon l'agenda du sommeil, sauf pour une latence d'endormissement plus longue frôlant le seuil clinique de 30 minutes et une somnolence diurne modérément sévère. En somme, ce mémoire de visée exploratoire informe que tant les étudiants qui ont vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) rapportent vivre des conséquences négatives, mais le portrait n'est pas si sombre de ce à quoi il aurait été possible de s'attendre. De futures recherches sur le sujet demeurent pertinentes.
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Thérapie cognitive comportementale du trouble panique : effet d'un traitement combiné sur les symptômes de panique et d'insomnie

Potocnik, Alenka 24 April 2018 (has links)
L'objectif de la présente thèse est de documenter les difficultés de sommeil chez les personnes souffrant d'un trouble panique ainsi que d'en étudier les variations lors de l'administration d'une thérapie cognitive comportementale du trouble panique (TCC-TP) suivie d'une thérapie cognitive comportementale de l'insomnie (TCC-I). La première étude consiste en une revue systématique de la littérature à propos des altérations du sommeil chez les personnes ayant un trouble panique. Des calculs de méta-analyse ont permis de documenter la présence de difficultés de sommeil significatives chez les personnes ayant un trouble panique en comparaison à des participants contrôles sains. Également, les résultats des analyses de la prévalence des attaques de panique nocturnes (APN) indiquent que 52,1% des participants ayant un trouble panique ont eu au moins une APN au cours de leur vie. Les altérations du sommeil identifiées dans la première étude pourraient être reliées à l'activité cognitive négative et à la sensibilité à l'anxiété. La seconde étude visait à explorer l'effet de l'administration séquentielle d'une TCC-TP et d'une TCC-I. Onze participants ayant un trouble panique avec APN et insomnie ont pris part à une TCC-PD suivie d'une TCC-I selon un protocole à cas unique à niveaux de base multiples. Durant la TCC-TP, quatre participants ont eu une diminution significative des symptômes de panique et deux ont eu une augmentation significative de l'efficacité du sommeil. Pour ces participants, ces améliorations se sont poursuivies durant la TCC-I. De plus, parmi les participants qui n'avaient pas connu de changements dans leurs symptômes de panique durant la TCC-TP, la majorité ont eu des gains significatifs durant la TCC-I. Il en est de même pour l'efficacité du sommeil. Ainsi, chez la plupart des participants, l'insomnie comorbide n'a pas diminué durant la TCC-TP, mais s'est résorbée avec une TCC-I subséquente. Également, les symptômes de panique se sont améliorés davantage durant la TCC-I que durant la TCC-TP, ce qui pourrait être expliqué, entre autres, par le rôle intégrateur du sommeil dans la consolidation et l'intégration des apprentissages effectués en thérapie.
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Étude des perturbations du sommeil dans le trouble bipolaire en phase euthymique

St-Amand, Julie 18 April 2018 (has links)
L'objectif de la présente étude est de décrire la nature et la sévérité des difficultés de sommeil et les problèmes de fonctionnement diurne des individus qui ont un trouble bipolaire lorsqu'ils sont dans la phase euthymique de la maladie. Quatorze participants avec un trouble bipolaire sont comparés à 13 participants avec insomnie primaire et à 13 individus sans problème de santé mentale et sans insomnie sur différents paramètres du sommeil et du fonctionnement diurne provenant de l'agenda du sommeil, de l'actigraphie et de mesures auto-rapportées. Les résultats font ressortir que les individus avec un trouble bipolaire ont un sommeil similaire à celui des participants sans problème de santé mentale/insomnie et significativement moins problématique que celui des personnes avec insomnie. Ces derniers prennent plus de temps pour s'endormir, passent plus de temps éveillés après l'endormissement initial, dorment moins longtemps et ont un sommeil moins efficace comparativement aux deux autres groupes. Néanmoins, les participants avec un trouble bipolaire demeurent avec certaines insatisfactions à l'égard de leur sommeil. De plus, leur profil de fonctionnement diurne se rapproche davantage de celui des personnes qui souffrent d'insomnie; ils sont moins actifs le jour, sont moins constants dans la réalisation de leurs tâches quotidiennes et se plaignent d'hypersomnie. Ces résultats, combinés à ceux d'études antérieures, suggèrent que les altérations du sommeil dans le trouble bipolaire sont variables même au cours des phases de rémission, que les plaintes de sommeil rencontrées dans ce problème de santé mentale ne sont pas forcément identiques à celles rapportées par les personnes qui souffrent d'insomnie et que les patrons de fonctionnement diurne semblent être plus constants d'une étude à l'autre. Des interventions visant à augmenter le niveau de stimulation et à renforcer une routine de vie pourraient être intégrées dans une approche globale de prévention des rechutes du trouble bipolaire.
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Impact du chronotype sur les paramètres du sommeil en fonction de l'horaire de travail

Simon, Tarek 23 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2015-2016 / Le présent mémoire vise à évaluer l’association entre le chronotype et les difficultés de sommeil en lien avec l’horaire de travail. À cette fin, 116 travailleurs du réseau de la santé de la ville de Québec ont complété le questionnaire de chronotype de Horne et Ostberg (MEQ; 1976) en plus de remplir quotidiennement un agenda du sommeil sur une période de 2 semaines. Les participants ont été comparés selon leur horaire de travail (travailleurs de jour n = 43; travailleurs de nuit n = 73) et selon leur chronotype (du matin n = 37; neutre n = 59; du soir n = 20) pour déterminer les effets indépendants et interactifs de ces variables sur la durée du sommeil durant la période de sommeil principale, la durée du sommeil sur une période de 24 heures et la somnolence après le travail. Tel que postulé initialement, les résultats indiquent que le chronotype et l’horaire de travail ont un effet sur la période de sommeil principale, mais pas sur le sommeil au cours de 24 heures, de sorte que les travailleurs de nuit ont une période de sommeil principale qui est significativement plus courte que celle des travailleurs de jour. De plus, le raccourcissement de la période de sommeil principale après le travail de nuit semble principalement observable chez les travailleurs avec un chronotype du matin ou un chronotype neutre, un patron de résultats qui concorde avec les connaissances actuelles sur le rythme circadien et qui corrobore plusieurs études antérieures. Le fait que tous les travailleurs ont obtenu une durée du sommeil équivalente sur une période de 24 heures suggère qu’il est possible de compenser pour une période de sommeil principale écourtée, en prenant des siestes. Ainsi, les résultats obtenus dans le présent mémoire mettent en évidence l’importance des siestes chez les travailleurs de nuit, surtout ceux et celles avec une prédisposition matinale. Enfin, l’absence de différence entre les groupes quant au niveau de somnolence après le travail suggère que la somnolence excessive n’est pas un problème qui se limite au travail de nuit.
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Prédiction du déclin cognitif chez les personnes âgées à l'aide des perturbations du sommeil

Charbonneau, Cristel 06 June 2018 (has links)
Les déficits cognitifs associés au vieillissement représentent un enjeu de société important. Se situant sur un continuum allant du vieillissement normal à la démence, ils se présentent sous différentes formes, dont le trouble cognitif léger et le trouble cognitif sans démence. Ces troubles représentent souvent une étape transitoire entre le vieillissement normal et pathologique, et en ce sens, sont reconnus comme pouvant être des phases préclinique ou prodromique de la démence. Par ailleurs, ces syndromes sont souvent accompagnés de symptômes psychologiques tels que les perturbations du sommeil. Ce problème se révèle être particulièrement important à considérer, d’une part puisque les perturbations du sommeil peuvent être des manifestations précoces d’un déclin cognitif ou d’une démence, et d’autre part puisqu’elles peuvent avoir un effet délétère sur la cognition. Depuis les dernières années, plusieurs chercheurs se sont penchés sur la relation prédictive entre les perturbations du sommeil et le déclin cognitif chez les personnes âgées. Toutefois, les études procurent des résultats mitigés, faisant en sorte qu’aucun consensus n’est aujourd’hui établi quant à cette relation. L’objectif principal de ce mémoire doctoral est donc d’examiner systématiquement la littérature afin d’évaluer si les perturbations subjectives et objectives du sommeil peuvent prédire le déclin cognitif chez les personnes âgées de 50 ans et plus présentant ou non, au départ, un déclin cognitif associé au vieillissement. Les perturbations du sommeil ciblées se rapportent : a) à la durée du sommeil; b) à la qualité du sommeil; c) à l’architecture du sommeil; d) aux rythmes circadiens ; e) à l’insomnie ; et f) aux apnées du sommeil. Les bases de données scientifiques Medline, PsycInfo, Embase, Cochrane Library, Proquest Dissertations & Theses et Bielefeld Academic Search Engine ont été consultées, pour une période allant jusqu’en juin 2017. La revue systématique présente une méthodologie de recherche rigoureuse, considérant que 1) elle est réalisée selon la méthodologie du groupe Cochrane; 2) seules les études longitudinales avec des résultats permettant d’évaluer le risque prédictif des perturbations du sommeil concernant un futur déclin cognitif – odds ratio (OR), hazard ratio (HR) ou relative risk (RR) – ont été sélectionnées ; et que 3) seuls les résultats provenant des modèles statistiques ajustés pour le plus grand nombre de covariables ont été retenus. Les résultats de la revue systématique indiquent que les durées subjectives extrêmes du sommeil (courte et longue durée), qu’une faible efficacité du sommeil, que les apnées du sommeil, qu’une modification de l’architecture du sommeil et qu’une altération des rythmes circadiens sont associés à une augmentation du risque de déclin cognitif chez les personnes âgées. Bien que ces résultats ne permettent pas de parler de causalité, mais plutôt d’association, les hypothèses explicatives concernant les liens entre les perturbations du sommeil et le déclin cognitif pointent vers une relation causale bidirectionnelle entre ces deux variables. La reconnaissance des perturbations du sommeil comme marqueur précoce du déclin cognitif pourrait permettre une identification hâtive et peu couteuse des individus à risque d’évoluer vers un trouble cognitif ou une démence. De même, le traitement des perturbations du sommeil apparaît nécessaire dans la prévention du déclin cognitif et dans sa prise en charge une fois le déclin amorcé. Cela revêt une grande importance, sachant qu'une intervention clinique précoce ralentirait la progression du déclin intellectuel et fonctionnel des individus présentant un déficit cognitif.

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