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La céramique du Néolithique moyen II de l'Yonne à la Saône entre 4300 et 3400 avant notre ère / The ceramic of Middle Neolithic II between the valleys of the Yonne and the Saône, between 4300 and 3400 BC

Moreau, Clément 04 June 2010 (has links)
Le territoire qui s'étend entre les vallées de l'Yonne et de la Saône est une zone de rencontre culturelle notamment au cours du Néolithique moyen II, entre 4300 et 3400 avant notre ère. À partir des années 1970 la culture du Néolithique moyen bourguignon (N.M.B.) est reconnue dans cette région et ses principales caractéristiques sont définies lors d'une table ronde organisée à Beffia en 1984 (Pétrequin et Gallay 1984). À partir de critères qui reposent essentiellement sur la typologie céramique, le N.M.B. est alors principalement circonscrit aux régions de Bourgogne et de Franche-Comté. Depuis cette date, l'aire d'expansion de cette culture s'est largement agrandie, notamment en direction du Sud et du Sud-Ouest. De multiples gisements ont été découverts depuis 1984. Ils permettent une meilleure documentation du N.M.B., mais ils sous-entendent également une variabilité chronologique et géographique encore peu mise en valeur pour cette culture.Fondé sur l'étude de plus d'une trentaine de corpus céramiques entre l'Yonne et la Saône, notre travail s'est attaché à mettre en évidence de telles variations au cœur d'une des régions de définition originelle du N.M.B. Tout en tenant compte de la diversité des séries disponibles et de leur fragmentation souvent forte, l'utilisation systématique de critères objectifs permet d'établir une grille de lecture typologique de la céramique, qui est couplée à certains de ses caractères technologiques. Ces critères, enregistrés dans une base de données relationnelle et géoréférencée, ont été étudiés indépendamment ou de façon combinée. Ils sont alors mis en valeur par des traitements quantitatifs, l'utilisation d'analyses factorielles, ainsi que des traitements spatiaux à différentes échelles géographiques.Après une analyse de l'ensemble des séries prises en compte, une synthèse est dressée pour mettre en évidence les critères les plus discriminants. Celle-ci concerne, dans un premier temps, les gisements de la zone d'étude. Trois groupes sont alors reconnus à partir de la typologie céramique et pour lesquels certains aspects techniques sont concordants. Croisés aux données chronologiques et géographiques disponibles, ces groupes semblent traduire des variations notables en Bourgogne. Dans un second temps, ces variations acquièrent une valeur plus importante grâce à la confrontation des résultats avec l'ensemble des séries attribuées au N.M.B. et à la comparaison avec des données chrono-culturelles externes. Un premier groupe septentrional se distingue par des caractéristiques typologiques antérieures à l'établissement du N.M.B. S'inscrivant principalement dans la fin du cinquième millénaire av. J.¬C., ce groupe est majoritairement le reflet d'influences du groupe de Noyen et du Michelsberg ancien, auxquelles sont adjoints certains traits du Chasséen ancien. Le deuxième groupe, plus méridional se situe à la charnière entre le cinquième et le quatrième millénaire. Dans une zone géographique où les influences chasséennes sont plus importantes, certains traits typologiques du Michelsberg ancien se retrouvent également, mais sous une forme dérivée. Dans ce groupe apparaissent les premiers traits typiques du N.M.B. Un troisième groupe semble se mettre en place à partir de environ 3800 av. J.-C. Il correspond à une phase plus évoluée de la céramique N.M.B. et se manifeste essentiellement dans une zone plus orientale, entre la Saône et le Jura. Enfin, par comparaison bibliographique, une phase récente du N.M.B. peut être envisagée après 3650 av. J.-C., notamment dans les niveaux récents du site de Concise (Suisse). / The territory between the valleys of the Yonne and the Saône has always been a zone of cultural meeting in particular during the middle Neolithic II, between 4300 and 3400 BC. Since the 1970's, the culture of the Néolithique moyen bourguignon (N.M.B.) has been recognized in this region and its main characteristics were defined during a round table discussion organized in Beffia in 1984 (Pétrequin and Gallay 1984). From criteria based essentially on the ceramic typology, the N.M.B. is then mainly confined within the regions of Burgundy and Franche-Comté.Since 1984, the zone of there culture has been expended in particular to the South and Southwest. Multiple deposits have been discovered since 1984. They allow a better documentation of the N.M.B., but they also imply a chronological and geographical variability, still little recognized for this culture.Based on the study of more than thirty series of ceramics between the Yonne and Saône, our work was aimed to highlight such changes in the heart of a region's original definition of N.M.B. While considering the diversity of available series and their often severe fragmentation, the systematic use of objective criteria used to establish a grid of typological reading of the ceramic, which is coupled to some of its technological characteristics. These criteria were stored in a geo-referenced relational database and have been studied independently or in combination. They are then enhanced by quantitative treatment, the use of factor analysis, and spatial processing at different geographical scales.After an analysis of all the considered series, a synthesis has been drawn up to bring to light the most discriminating criteria. This one concerns, at first, the deposits from the zone of study. Three groups can then been distinguished from the ceramic typology and for whom there are corresponding certain technical aspects. Overlapping the available chronological and geographical data, these groups seem to reveal considerable variations in Burgundy.Secondly, these variations acquire a more important value, brought out by the comparison of the results with all the series attributed to the N.M.B. and with data from external cultures. A first northern group includes ceramic characteristics of typology previous to the establishment of the N.M.B. Joining mainly the end of the fifth millennium BC, this group reflects primarily the influences of the Noyen group and ancient Michelsberg, to whom are added certain features from ancient Chasséen. A second group, more to the South is situated between the end of the fifth and the beginning of the fourth millennium. In a geographical zone where the chassean influences are more important, certain typological lines of ancient Michelsberg are also present, but under a derived shape. In this group appear the first typical lines of the N.M.B. A third group seems to establish itself from approximately 3800 BC. It corresponds to a more evolved phase of N.M.B. ceramics and it occupies essentially a more easterly zone, between the Saône and the Jura. Finally, by bibliographical comparison, a more recent phase of the N.M.B. can be recognized after 3650 BC, in particular in the most recent levels at the Concise site (Switzerland).
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La céramique du Néolithique moyen II de l'Yonne à la Saône entre 4300 et 3400 avant notre ère

Moreau, Clément 04 June 2010 (has links) (PDF)
Le territoire qui s'étend entre les vallées de l'Yonne et de la Saône est une zone de rencontre culturelle notamment au cours du Néolithique moyen II, entre 4300 et 3400 avant notre ère. À partir des années 1970 la culture du Néolithique moyen bourguignon (N.M.B.) est reconnue dans cette région et ses principales caractéristiques sont définies lors d'une table ronde organisée à Beffia en 1984 (Pétrequin et Gallay 1984). À partir de critères qui reposent essentiellement sur la typologie céramique, le N.M.B. est alors principalement circonscrit aux régions de Bourgogne et de Franche-Comté. Depuis cette date, l'aire d'expansion de cette culture s'est largement agrandie, notamment en direction du Sud et du Sud-Ouest. De multiples gisements ont été découverts depuis 1984. Ils permettent une meilleure documentation du N.M.B., mais ils sous-entendent également une variabilité chronologique et géographique encore peu mise en valeur pour cette culture.Fondé sur l'étude de plus d'une trentaine de corpus céramiques entre l'Yonne et la Saône, notre travail s'est attaché à mettre en évidence de telles variations au cœur d'une des régions de définition originelle du N.M.B. Tout en tenant compte de la diversité des séries disponibles et de leur fragmentation souvent forte, l'utilisation systématique de critères objectifs permet d'établir une grille de lecture typologique de la céramique, qui est couplée à certains de ses caractères technologiques. Ces critères, enregistrés dans une base de données relationnelle et géoréférencée, ont été étudiés indépendamment ou de façon combinée. Ils sont alors mis en valeur par des traitements quantitatifs, l'utilisation d'analyses factorielles, ainsi que des traitements spatiaux à différentes échelles géographiques.Après une analyse de l'ensemble des séries prises en compte, une synthèse est dressée pour mettre en évidence les critères les plus discriminants. Celle-ci concerne, dans un premier temps, les gisements de la zone d'étude. Trois groupes sont alors reconnus à partir de la typologie céramique et pour lesquels certains aspects techniques sont concordants. Croisés aux données chronologiques et géographiques disponibles, ces groupes semblent traduire des variations notables en Bourgogne. Dans un second temps, ces variations acquièrent une valeur plus importante grâce à la confrontation des résultats avec l'ensemble des séries attribuées au N.M.B. et à la comparaison avec des données chrono-culturelles externes. Un premier groupe septentrional se distingue par des caractéristiques typologiques antérieures à l'établissement du N.M.B. S'inscrivant principalement dans la fin du cinquième millénaire av. J.¬C., ce groupe est majoritairement le reflet d'influences du groupe de Noyen et du Michelsberg ancien, auxquelles sont adjoints certains traits du Chasséen ancien. Le deuxième groupe, plus méridional se situe à la charnière entre le cinquième et le quatrième millénaire. Dans une zone géographique où les influences chasséennes sont plus importantes, certains traits typologiques du Michelsberg ancien se retrouvent également, mais sous une forme dérivée. Dans ce groupe apparaissent les premiers traits typiques du N.M.B. Un troisième groupe semble se mettre en place à partir de environ 3800 av. J.-C. Il correspond à une phase plus évoluée de la céramique N.M.B. et se manifeste essentiellement dans une zone plus orientale, entre la Saône et le Jura. Enfin, par comparaison bibliographique, une phase récente du N.M.B. peut être envisagée après 3650 av. J.-C., notamment dans les niveaux récents du site de Concise (Suisse).
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Le premier âge du Fer en vallée de Garonne et sur ses marges : dynamiques chrono-culturelles et territoriales / Early Iron Age in the Garonne valley and on its fringes : Chronocultural and territorial dynamics

Dumas, Antoine 04 November 2016 (has links)
L’objectif de cette thèse est double : d’une part, il s’agit de faire la synthèse des connaissances disponibles à ce jour sur la période du premier âge du Fer (800/425 a.C. environ) dans la zone géographique étudiée ; d’autre part, il est question d’analyser les modalités et les dynamiques d’occupation du sol au cours de cette période et dans cet espace. La démarche comporte plusieurs étapes de travail. La première consiste à inventorier les données disponibles, sous la forme d’une base de données relationnelle. Un référentiel chronologique propre, reposant sur l’analyse typologique fine du corpus céramique et d’un certain nombre d’autres catégories d’objets (armement, parure, outillage notamment), est ensuite établi. L’étude typo-chronologique du mobilier issu des sites funéraires et des sites d’habitat a permis l’élaboration d’un cadre chronologique régional indépendant des grands systèmes continentaux. L’analyse spatiale, dernière étape du travail, s’appuie sur la trame chronologique ainsi dégagée et a pour objectifs, d’une part, l’identification et l’étude de faciès mobiliers locaux et de leur évolution dans le temps, et d’autre part, la recherche et l’étude d’éventuels schémas récurrents d’organisation spatiale. Les faciès mobiliers sont étudiés au moyen d’analyses de données multivariées prenant comme données de départ la typologie des objets et leur localisation dans l’espace. Le thème de l’organisation spatiale est quant à lui abordé par diverses méthodes d’analyse mises en œuvre via un Système d’Information Géographique (SIG), en déclinant des approches complémentaires (hiérarchisation des sites, emprise visuelle des sites de hauteur, relations entre sites funéraires et sites d’habitat…). / The objective of this PhD research is twofold. First, it aims to synthesize the available knowledge on the Early Iron Age period on the studied area. Secondly, it deals with the analysis of modes and dynamics of settlement during this period and in this geographical area. The research process is made of several steps. The first one consists in the development of relational database made from the inventory of available data. Then, a chronological framework is established form a precise typological analysis of the pottery and some others categories of artefacts (weapons, jewelry, tools…). The typo-chronological study of the material found on burial sites and settlements allows to define a specific regional chronological framework which is independent from the main continental chronological systems. Lastly, the spatial analysis based on this chronological framework aims the identification and study of the sub-regional facies and their evolution throughout time and secondly, the search for reccurent spatial organization patterns. The archaeological facies are studied with multivariate data analysis and, as starting dataset, the typology of the artefacts and their localization in space. The spatial organization is studied with diverse analysis methods within a GIS (Geographic Information System), using complementary approaches (settlement hierarchy, viewshed of the hillforts, relations between burial and domestic sites…).
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Componenti culturali nei siti neolitici emiliani tra Neolitico Recente e Finale. / Composantes culturelles néolithiques en Emilie entre le milieu du Véme et le debut du IVéme millénaire avant J.C. / Cultural components in the recent and late Neolithic sites of Emilia (Italy).

Maffi, Maria 03 July 2014 (has links)
La période examinée dans la recherche est un des rares moments de la préhistoire italienne où les traces archéologiques permettent d’identifier l’arrivée de groupes allochtones concomitamment à la désagrégation d’un monde indigène de tradition ancienne. Les travaux concernant cette phase du Néolithique italien se réfèrent principalement aux observations de Bagolini (Bagolini et Biagi, 1987; Bagolini, 1998), reprises par plusieurs auteurs (par exemple Barfield et alii 2000), qui présentent un tableau très multiforme de l’Italie du nord, créé par l’interaction entre les peuples indigènes, relevant de la Culture des Vases à Bouche Carrée (« VBQ ») (chapitre 1), et ceux du Chasséen (Chapitre 2), venant de la France actuelle, en plus des apports des Alpes du nord, qui acquirent un poids croissant au fil du temps. La rencontre, qui s’effectua dans chaque région d’une façon et dans des temps différents entre le milieu du Ve et le milieu du IVe millénaire avant J.C., semble s’être produite par des voies côtières et transalpines en raison surtout des échanges de matières premières (pierres vertes, obsidienne, silex), mais aussi à cause de certaines compétences technologiques. Au même moment, dans le monde Chasséen dont la variabilité diachronique et spatiale est bien connue (Vaquer, 1990; Beeching, 1995, 2002; Sargiano et alii 2010), on a aussi identifié des spécificités régionales de plus en plus marquées, qui révèlent un modèle de diffusion complexe, et dont on doit tenir compte également pour comprendre les phénomènes italiens (chapitre 2). Donc, si le cadre de référence proposé par Bagolini dans les années ‘80 reste grosso modo acceptable, le développement du débat culturel, les découvertes récentes et l'étude des nouveaux sites réalisée dans ce travail de Thèse, devraient nous permettre d‘enrichir la documentation de référence et de préciser l’éventail des rapports entre la population indigène et les gens qui venait d’ailleurs. L’interprétation de ces nouvelles interactions peut donner la possibilité d’expliquer les grands changements culturels dans le Néolithique occidental dans la première moitié du IVe millénaire, produisant des expériences dans lesquelles on distingue aujourd’hui surtout des signes de discontinuité avec les traditions précédentes (Ferrari et alii 2002) (Chapitre 7-8). L’Emilie, à en juger depuis les données disponibles sur les sites du Néolithique récent et final (chapitre 4-7), représente un carrefour de tous les apports directs et indirects cités ci-dessus. La preuve en est la variabilité culturelle bien marquée que l’on constate entre les sites, même quand ils se trouvent géographiquement rapprochés. Cette variabilité est due soit à l’entrecroisement de traditions culturelles complexes, soit aux différences chronologiques, en considérations des très rapides changements qui caractérisent l’époque considérée (Bagolini, 1981). L’Emilie représente, donc, un territoire privilégié d’observation pour évaluer les modalités de rencontre entre les divers groupes humains qui ont interagi en Italie septentrionales pendant la période examinée. Les contextes de l’Emilie faisant objet de cette recherche sont les sites, inédit et publié, dans les provinces de Piacenza, Parme et Reggio Emilia, chronologiquement attribuables aux derniers siècles du cinquième millénaire et la première moitié du quatrième BC cal. En particulier Sant’Andrea di Travo (Chapitre 5), Le Mose (chapitre 4) et Vignola (chapitre 7) dans le département de Plaisance, Botteghino (Chapitre 6) e Vighi (chapitre 7) à Parma et S.Ilario d'Enza (chapitre 7) dans la province de Reggio Emilia. L'étude s'est concentrée sur l'analyse des industries céramiques, à la fois d'un point de vue typologique et technologique (chapitre 3) afin d'essayer de mieux définir la chronologie des différents sites. ... / The period under review is one of the few moments of Italian prehistory in which the archaeological record permits determination of the arrival of foreign-born groups in conjunction with the disintegration of an indigenous world of ancient tradition. Studies related to this phase of the Neolithic mainly refer to the observations of Bagolini (Bagolini and Biagi 1987; Bagolini 1998) taken from various other authors (Barfield et al 2000), which outline a framework for northern Italy multifaceted , created by the interaction between the people of the local culture of Square Mouth Pottery and people of culture Chassey from France, as well as by contributions from the North Alpine acquiring increasing importance over time (Chapter 1). The meeting, which took place from area to area at different times and different ways between half V millennium and half IV millennium BC, seems to have produced along the coastal and transalpine paths especially related to the exchange of raw materials (green stones, obsidian, flint), but also of technological expertise.In reading these new interactions, therefore, is the ability to explain the crisis in the world of Western culture in the first half of the fourth millennium, whose disintegration develop experiences in which today stand out above all the traits of discontinuity with the earlier traditions (various Authors in Ferrari et al 2002a).The Emilia is a crossroads of all the direct and indirect contributions to the circles mentioned above. This is demonstrated by the marked variability observed in cultural sites are also close, attributed mainly to differences in chronological (Bagolini 1981), but also resulting complex interweaving of cultural routes.This region is therefore an area for privileged observation to assess how to meet, including conflict, interaction and assimilation between different human groups that have settled or still have covered the territory in the period under review. If the reference framework outlined by Bagolini in the 80s remains roughly shared, the development of the cultural debate, the recent discoveries in the study of the sites proposed by Emilian this PhD work will allow further information and updatesThe contexts Emilia object of this work are those published and unpublished due to the last centuries of the fifth millennium BC and the early fourth cal. In detail it is the site of S. Andrea in Travo (Chapter 5) and Le Mose in Piacenza (Chapter 4), Vignola Fiorenzuola (chapter 7), Box Office (Chapter 6) and Vighi and Parma (Chapter 7), S.ILARIO d'Enza (Reggio Emilia) (Chapter 7).The study focused on the analysis of the ceramic industry, from the point of view of both technological and typological (Chapter 3), in order to better define the internal chronology of the different sites.From this analysis were in fact identified a number of representative types, for which it has been proposed a relative chronology useful in order to reconstruct a chronological framework to realize the variability observed in Emilia at the turn of the fifth millennium BC.In this reading, the sites of Travo and Le Mose proved to be the most useful in the construction of this trial-type first of all because it is multi-staged sites. The study of the stratigraphy of Travo and Le Mose of the different settlement phases from the VBQ I to Late Neolithic, in fact, has provided important data for the evaluation of the different diachronic cultural indicators / Il periodo in esame è uno dei pochi momenti della preistoria italiana in cui il record archeologico consenta di individuare l’arrivo di gruppi alloctoni in concomitanza con la disgregazione di un mondo indigeno di antica tradizione. I lavori relativi a questa fase del Neolitico fanno principalmente riferimento alle osservazioni di Bagolini (Bagolini e Biagi 1987; Bagolini 1998) riprese da vari altri autori (ad es. Barfield et alii 2000), che delineano per l’Italia settentrionale un quadro molto sfaccettato, creato dall’interazione tra la gente della locale Cultura dei Vasi a Bocca Quadrata e genti di cultura Chassey provenienti dall’attuale Francia, oltre che dagli apporti nord alpini che acquisiscono peso crescente nel tempo (Capitolo 1). L’incontro, verificatosi di zona in zona in tempi e modi diversi tra metà V e metà IV millennio a.C., sembra essersi prodotto lungo le vie costiere e transalpine legate soprattutto allo scambio di materie prime (pietre verdi, ossidiana, selce), ma anche di competenze tecnologiche.Nella lettura di queste nuove interazioni, quindi, sta la possibilità di spiegare la crisi del mondo di cultura occidentale nella prima metà del IV millennio, dalla cui disgregazione si sviluppano esperienze in cui oggi si distinguono soprattutto i tratti di discontinuità con le tradizioni precedenti (vari Autori in Ferrari et alii 2002a). L’Emilia, rappresenta un crocevia di tutti gli apporti diretti e indiretti dagli ambienti citati sopra. Lo dimostra la marcata variabilità culturale riscontrata in siti anche vicini, attribuita principalmente a differenze cronologiche (Bagolini 1981), ma anche derivante dall’intreccio di percorsi culturali complessi. Questa regione rappresenta quindi un’areale privilegiato di osservazione per valutare le modalità di incontro, tra conflittualità, interazione ed assimilazione, tra i diversi gruppi umani che si sono stanziati o hanno comunque interessato il territorio nel periodo in esame.Se il quadro di riferimento delineato da Bagolini negli anni ‘80 rimane a grandi linee condivisibile, lo sviluppo del dibattito culturale, i rinvenimenti recenti e lo studio dei siti emiliani proposto da questo lavoro di dottorato ne permettono approfondimenti ed aggiornamenti. Ad esempio, nello stesso mondo Chassey, di cui era già nota la variabilità diacronica e spaziale (Vaquer 1990, 2002; Beeching 1995, 2002), sono oggi individuate specifiche regionali sempre più marcate, che rivelano una matrice di diffusione nei territori italiani sempre più frazionata (Capitolo 2). I contesti emiliani oggetto di questo lavoro sono quelli inediti ed editi riconducibili agli ultimi secoli del V millennio ed ai primi del IV BC cal. In dettaglio si tratta del sito di S:Andrea a Travo (capitolo 5) e Le Mose a Piacenza (capitolo 4), Vignola a Fiorenzuola (capitolo 7), Botteghino (capitolo 6) e Vighi e Parma (capitolo7), S.ILario d'Enza (Reggio Emilia) (capitolo 7). Lo studio si è concentrato sulla'analisi dell'industria ceramica, da un punto di vista sia tecnologico che tipologico (capitolo 3), al fine di poter meglio definire la cronologia interna dei diversi siti. A partire da quest'analisi sono stati infatti identificati un certo numero di tipi rappresentativi, per i quali è stata proposta una cronolgia relativa utile per poi ricostruire un quadro cronologico che rendesse conto della variabilità riscontrata nell'areale emiliano nel periodo a cavallo del V millennio. In questa chiave di lettura, i siti di Travo e Le Mose si sono rivelati quelli più utili nella costruzione di questa crono-tipologia inanzitutto poichè si tratta di siti plurifase. Lo studio della stratigrafia verticale a Travo ed orizzontale a Le Mose delle diverse fasi insediative dal vbq I al Neolitico finale, ha fornito infatti dati importanti per la valutazione diacronica dei diversi indicatori culturali.

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