Thesis (M. Arch. A.S.)--Massachusetts Institute of Technology, Dept. of Architecture, 1975. / Also issued by Urban Settlement Design in Developing Countries, M.I.T., 1975. / Bibliography: p. 45. / M.Arch.A.S.

Made available in DSpace on 2016-08-10T10:32:32Z (GMT). No. of bitstreams: 1 ALAILDE ANGELICA SANTOS DOS PASSOS.pdf: 2439050 bytes, checksum: af0bba95e5d6af6c06e5b0b07b95e0c0 (MD5) Previous issue date: 2009-12-07 / In the middle of the twentieth century, Latin American countries, impacted by an industrial expansionism engendered by the strategies of capital, began to suffer the consequences of rural exodus, accelerated urbanization and suburbanization. Goiânia, a planned city marked by urban segregation, could not avoid this situation, above all in view of the disorganized growth of its space. This dissertation is about the problems caused by the contradictions of urbanization and segregation in the city of Goiânia. The object is to reflect on questions related to the squatters in Vila Coronel Cosme, who have been struggling for the right to remain in the area, for reurbanization and for decent housing. To do this, the dissertation begins with the popular mobilizations for social rights in the 1980s. Both theoretical and empirical, the methodology used in writing this dissertation is based on research on the topic, like the projects and reports of the Human Rights Project (PDH/PUC Goiás), from the social services department, articles, theses, dissertations and, above all, oral testimony extracted from the final course paper in social work and field reports by the researcher, from the middle of 2003 to 2005, presenting new revised and updated information on the topic. In this paper, it is also hoped that this information may help to bring to light the conditions imposed on the residents of Vila Coronel Cosme by government, such as social discrimination, psychological pressure, eviction threats, with psychological, physical, moral and material damage. / Após a segunda metade do século XX, os países latino-americanos, impactados por um expansionismo industrial engendrado nas estratégias do capital, passaram a sofrer as consequências do êxodo rural, da urbanização acelerada e da suburbanização. Goiânia, cidade planejada marcada pela segregação urbana, não escapou dessa conjuntura, apresentando um quadro de desigualdades sociais, sobretudo, em face do crescimento desordenado do seu espaço. Esta dissertação versa sobre problemática das contradições da urbanização e segregação na cidade de Goiânia, tendo como objetivo refletir sobre as questões dos posseiros da Vila Coronel Cosme que lutam pela permanência na área, pela reurbanização e pela moradia digna. Para tanto, aborda antes as mobilizações populares em prol dos direitos sociais no período em que o Brasil se consolidou como Estado democrático no início dos anos 1980. De natureza teórica e empírica, a metodologia para a elaboração desta dissertação embasou-se em produções sobre a temática, como projetos e relatórios do Programa de Direitos Humanos, (PDH/PUC-Goiás), do Departamento de Serviço Social, artigos, teses, dissertações, e, sobretudo, nas fontes orais extraídas da monografia em Serviço Social e dos relatórios de campo realizados pela pesquisadora, no período de 2003 segundo período, a 2005, apresentando novas informações revistas e atualizadas sobre a problemática. Neste trabalho, pretendeu-se, ainda, que as informações pudessem contribuir para denunciar as condições impostas aos moradores da Vila Coronel Cosme pelo poder público, tais como discriminação social, pressões psicológicas, ameaças de despejos com danos psicológicos, físicos, morais e materiais.

Cette thèse de doctorat tente de répondre à la question de recherche suivante :comment ont évolués les variations spatiales des comportements de fécondité en Europe depuis un demi-siècle ?Elle s’emploie donc plus à décrire les variations spatiales de la fécondité qu’à analyser comment et pourquoi la fécondité européenne à évoluée pendant cette période. Si cette question est principalement descriptive elle abordera toute fois des questionnements interprétatifs des variations spatiales observées. En effet décrire comment les variations spatiales ont évoluées mène indirectement à se demander pourquoi de telles évolutions ont eu lieu. Cette thèse adopte une méthodologie géographique, inductive, évolutive et à des échelles spatiales multiples, ce qui la distingue de la plupart des études qui abordent un sujet démographique. Elle recoure à plusieurs bases de données originales, certaines à la fois transversales, chronologiques, infranationales et couvrant un large espace transnational. Cela a imposé un important travail de récolte et prétraitement des données, mais confère aux résultats une originalité qui contribue à une meilleure compréhension globale de la fécondité en Europe, de ses variations spatiales et de ses évolutions récentes.Le corps de cette thèse est organisé en quatre chapitres ayant chacun fait l’objet d’une publication (soumise :chapitre 3, acceptée :chapitre 2, ou publiée :chapitre 4 et 5). Les deux premiers articles explorent chacun une des deux principales dimensions des comportements de fécondité que sont l’intensité (chapitre 2) et le calendrier de la fécondité (chapitre 3). Ils s’intéressent aux évolutions de ces dimensions sur environs un demi-siècle en Europe en utilisant principalement des données au niveau régional NUTS-2. Le quatrième chapitre considère ces deux dimensions de manière simultanée et s’intéresse aux différences spatiales locales (à une échelle équivalente au niveau communale en Belgique). Le cinquième chapitre considère les variations intra-urbaines à Bruxelles, en considérant à la fois les différences entre groupes sociaux et entre espaces, ce qui permet d’évaluer l’impact des variables contextuelles par rapport à l’influence de la composition de la population. En conclusion cette thèse expose les variations spatiales des comportements de fécondité en Europe ainsi que leurs évolutions depuis la seconde moitié du vingtième siècle. Elle propose aussi un ensemble de déterminants utile à l’interprétation les variations spatiales de la fécondité. Ces déterminants sont tantôt matériels tantôt du ressort des études abordant une position épistémologique plus post-matérialiste. L’approche géographique de cette thèse pousse à considérer ces deux ensembles de facteurs et à les structurer selon leur rayon d’action, soit l’échelle spatiale à laquelle ils influencent les comportements de fécondité. Il ressort que l’articulation de ces différents facteurs exerçant leur influence à des échelles différentes constitue un contexte géographique déterminant en partie les actions individuelles de la fécondité. / Option Géographie du Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished