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Women, murder and justice /

Chan, Wendy, January 2001 (has links)
Texte remanié de: Diss Ph. D. / Bibliogr. p. 226-240.
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Les conséquences de l'utilisation de différents répondants sur la prévalence des troubles des conduites chez les adolescents et sur les caractéristiques sociofamiliales associées

Blanchard, Sophie. January 2000 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2000. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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La concomitance de la violence conjugale et des mauvais traitements envers les enfants : le point de vue d'enfants et d'adolescents /

Lapierre, Simon. January 2003 (has links)
Thèse (M. Ser. Soc.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr.: f. 194-200. Publié aussi en version électronique.
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L'impact du recours aux conduites violentes sur la relation amoureuse et sur le bien-être des jeunes couples /

Provencher, Dominique. January 2003 (has links)
Thèse (M.Ps.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr.: f. 33-38. Publié aussi en version électronique.
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Étude longitudinale de la relation entre les habitudes de consommation d'alcool et le recours aux conduites violentes chez les jeunes couples /

Lavoie, Vicky. January 2003 (has links)
Thèse (M.Ps.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr.: f. 36-40. Publié aussi en version électronique.
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Développement et validation d'un questionnaire de perception de la violence faite aux femmes par leur conjoint

Charbonneau, Cécile 23 February 2022 (has links)
Le désir de connaître la perception des gens concernant la violence faite aux femmes par leur conjoint inspire cette recherche. Une recension des différentes définitions véhiculées par les recherches précède l'élaboration d'un questionnaire .L'élaboration de ce questionnaire respecte les dimensions reconnues de violence physique, de violence psychologique, et de violence sexuelle. Les études de validation indiquent que ce questionnaire permet d'obtenir des données stables. Une relation faible existe entre une certaine connaissance de la problématique et le niveau d'intransigeance des gens dans leur évaluation de la violence. Cependant, il existe une relation trop faible entre ce questionnaire et un construit apparenté et des relations trop faibles entre certains items et la forme de violence qu'ils représentent. Quelques suggestions sont apportées afin d'améliorer éventuellement ce questionnaire.
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La violence conjugale chez les couples où l'homme est perçu par sa conjointe comme un joueur problématique

Goulet, Annie 19 April 2018 (has links)
Le jeu problématique entraîne des conséquences qui concernent tant les joueurs que leurs proches, surtout leur conjointe. La littérature démontre que les problèmes de jeu sont associés à des relations conjugales conflictuelles, empreintes de tensions et d’une pauvre communication. Bien que l’étude de la relation entre les problèmes de jeu et la violence conjugale soit un domaine en émergence dans la littérature, peu est encore connu sur ce lien, surtout en matière des manifestations qu’elle peut prendre chez ces couples. La présente thèse se divise en deux articles pour lesquels les données autorapportées de 156 femmes en couple hétérosexuel, 54 femmes percevant leur conjoint comme ayant un problème de jeu et 102 femmes n’ayant pas de telles perceptions, ont été recueillies au moyen d’entrevues téléphoniques. Le premier article a pour but de dresser le portrait détaillé des dimensions de la violence les plus connues présentes chez ces couples, soit la violence de types physique, sexuelle, psychologique/verbale. Les résultats démontrent que les conjointes de joueurs problématiques sont plus nombreuses à s’être dites instigatrices de violence physique et de manifestations sévères de violence psychologique/verbale envers leur conjoint. Elles rapportent également, en plus grande proportion, avoir été victimes de violence physique et psychologique/verbale, et ce, plus fréquemment, de même que de formes sévères de ces types de violence. Aucune différence entre les deux groupes n’a été observée quant à la violence sexuelle. Les résultats appuient l’hypothèse d’une présence plus fortement marquée de violence conjugale, tant faite que reçue par les conjointes de joueurs problématiques. Ces résultats mettent en lumière le manque d’habiletés d’adaptation et de gestion de conflits rendant nécessaire, dans une perspective interventionniste, l’inclusion d’un segment de thérapie permettant d’outiller ces couples. Le second article a pour objectif d’explorer une dimension de la violence conjugale peu étudiée, soit la violence de type économique, chez les couples dans lesquels les femmes perçoivent leur conjoint comme ayant un problème de jeu en les comparant aux autres femmes, et d’évaluer les stratégies qu’elles utilisent pour contrôler les habitudes de jeu de celui-ci. Les résultats révèlent que les conjointes de joueurs problématiques sont plus nombreuses que les autres femmes à dévoiler avoir été instigatrices et victimes de violence économique. L’instrument maison utilisé a permis aux femmes de décrire les raisons sous-tendant chacun des comportements endossés. Les conjointes de joueurs problématiques évoquent des raisons et des contextes variés mais, principalement, elles attribuent à la violence économique utilisée un rôle de protection, alors que la violence reçue est davantage rapportée comme assurant au conjoint joueur la continuation de ses activités de jeu. D’autre part, les conjointes de joueurs problématiques tendent à utiliser des stratégies de contrôle des habitudes de jeu, a priori adéquates, telles que la discussion avec le conjoint, la suggestion de ressources d’aide, la gestion des cartes bancaires et la mise en place d’un budget. Elles rapportent aussi utiliser des stratégies qui s'inscrivent davantage dans un contexte de violence économique, telles que la surveillance étroite du joueur, les reproches, les blâmes et les menaces. Les difficultés et l’importance de bien évaluer la présence de violence et de contrôle économique auprès des couples où le conjoint masculin présente un problème de jeu sont discutées et des recommandations, tant pour la recherche que pour la pratique clinique, sont apportées. La présente thèse se veut innovatrice et riche en apportant un portrait détaillé de la violence présente au sein des couples qui ont à composer avec les habitudes de jeu inadaptées de l’un des conjoints et en proposant un nouvel instrument pour l’évaluation de la violence économique. / Problem gambling is associated with many negative consequences that affect both gamblers and their relatives, mostly their female partner. Literature has demonstrated that problem gambling was associated with difficult conjugal relationships, characterized by tensions and poor communication. Although the relationship between gambling problems and intimate partner violence is gaining interest in the literature, still very little is known about this actual connection, especially in terms of the various manifestations violence can take among these couples. This thesis is comprised of two articles for which self-reported data from 156 women in a heterosexual relationship, 54 viewing their partner as having a gambling problem and 102 not viewing their partner as having such a gambling problem, were used. The first article aims to provide a detailed picture of the most documented types of violence occurring among these couples, that is, sexual, psychological and verbal violence. The results demonstrate that more female partners of problem gamblers consider having instigated physical violence and severe forms of psychological and physical violence against their partner. These women also are more numerous to reveal having been victims of physical, psychological/verbal violence more frequently, as well as having been victims of the most severe forms of these types of violence. No between group difference was found for sexual violence. The results support the hypothesis according to which there is a greater occurrence of intimate partner violence both instigated by and inflicted upon the female partners of problem gamblers. Those results highlight a lack of coping and conflict management skills thus making necessary, in an interventionist perspective, the inclusion of a section of therapy dedicated to equip those couples. The second article aims to explore economical violence, a type of intimate partner violence rarely addressed in the literature, among couples in which women view their partner as having a gambling problem by comparing them to the other women, and by assessing the control strategies they use to restrain their partner’s gambling habits. Results indicate that more female partners of problem gamblers than other women reveal having instigated and having been victims of economical violence. An instrument specifically designed for this study allowed women to describe the reasons underlying each endorsed behavior. The reasons mentioned by the problem gamblers’ partners, although diverse, attribute to the economical violence used a protection role whereas the violence received is mainly seen as a means for the gambling male partner to maintain his gambling activities. Furthermore, female partners of problem gamblers tend to use a priori adequate gambling habit control strategies, such as discussing with their partner, suggesting help resources, managing bank cards and making a budget, whereas other mentioned strategies, such as controlling the gambler, reproaching, blaming and threatening, most likely correspond to economical violence. The difficulties and the importance of properly assessing this complex dimension of intimate partner violence among couples where the male partner is a problem gambler are discussed and recommendations are given, both for research and clinical practice. The present thesis is innovative and rich in that it provides a detailed picture of the violence that occurs among couples having to deal with the inappropriate gambling habits of one partner and also in that it introduces a new instrument to assess economical violence.
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Le parcours des familles suivies en protection de la jeunesse en raison d'un conflit sévère de séparation : la perspective des parents

Turbide, Catherine 18 May 2022 (has links)
Cette thèse vise à comprendre le parcours des familles suivies par le Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ) en raison d'un conflit sévère de séparation (CSS) à partir de la perspective des parents. Le CSS est un concept aux contours encore flous, qui fait généralement référence aux situations où, après la séparation, les parents entretiennent des rapports acrimonieux, présentent des difficultés au plan de la coparentalité et multiplient les recours aux services psychosociaux et aux tribunaux sans parvenir à régler leur litige. Au Québec, le DPJ intervient auprès de ces familles dans les situations où le CSS représente une forme de mauvais traitement psychologique qui compromet la sécurité ou le développement de l'enfant. À ce jour, il existe encore très peu d'études portant spécifiquement sur ces situations. Si l'on sait qu'en raison de la complexité du phénomène et de ses enjeux importants, travailler auprès de ces familles nécessite pour les intervenants de mobiliser des ressources considérables, on en connaît très peu sur la perspective des parents. Prenant assise sur la théorie du parcours de vie, deux questions générales sont formulées : du point de vue des parents suivis par le DPJ en raison d'un CSS, qu'est-ce qui caractérise le parcours de ces parents sur le plan de leurs trajectoires familiale et d'utilisation des services? Comment l'intervention du DPJ s'inscrit dans leur parcours? Pour y répondre, 21 parents (15 femmes et 6 hommes), suivis par le DPJ en raison d'un CSS, ont participé à un entretien portant sur leurs trajectoires familiale et d'utilisation des services, depuis le début du couple jusqu'au moment de l'entrevue. Les données ont été collectées dans le cadre d'une d'entrevue semi-dirigée et à l'aide de deux outils (le calendrier de vie et le Retrospective Interview Technic (RIT)). Les résultats permettent de constater que, pour la majorité des participants, leurs difficultés vont au-delà d'une dynamique conflictuelle et de problèmes sur le plan de la coparentalité. Il a été possible d'identifier trois groupes qui se distinguent quant à la nature des difficultés que les parents décrivent pour parler de leur trajectoire familiale. Pour certains parents, les difficultés qu'ils décrivent s'apparentent à un CSS alors que des mères brossent plutôt le portrait d'une situation de violence conjugale post-séparation de type terrorisme intime. Pour d'autres participantes, la situation est plus ambigüe. Les résultats montrent aussi que, pour certains participants, la relation avec l'autre parent a toujours été difficile depuis le début du couple. Pour d'autres, la relation a été marquée par des hauts et des bas avant et après la séparation alors que certains considèrent que la relation s'est améliorée à partir d'un événement marquant ou avec l'aide du DPJ. Les résultats montrent aussi que, pour certains, c'est ce qu'ils ont vécu avant la rupture qui permet de comprendre leurs difficultés après la séparation alors que pour d'autres, c'est l'arrivée de la nouvelle conjointe dans la vie du père qui représente la bougie d'allumage du conflit. Les résultats permettent aussi de constater que c'est le sens accordé par le parent à certaines transitions familiales qui permet de comprendre leur impact sur les difficultés entre les parents. Quant à la trajectoire d'utilisation des services, les résultats montrent qu'avant l'intervention du DPJ, certains souhaitaient recevoir de l'aide pour répondre à des difficultés personnelles, conjugales ou parentales sans lien avec le conflit alors que d'autres ont sollicité les services pour se sortir du litige avec l'autre parent. Les parents décrivent aussi comment ces services les ont ou non aidés à traverser leurs difficultés. Selon ces parents, le DPJ est d'abord intervenu auprès de leur famille parce qu'un enfant a été victime de maltraitance. La présence du CSS a été mise en lumière pendant l'évaluation ou le suivi du DPJ. La majorité des parents ne considère pas que l'intervention du DPJ leur a permis d'améliorer leur relation avec l'autre parent, mais ils décrivent les conséquences importantes (positives ou non) de son intervention sur leur rôle parental et leur coparentalité. Ces résultats permettent de dégager des pistes de recherche et d'intervention dans le cadre des services de la protection de la jeunesse. / The aim of this thesis is to understand, through the eyes of parents, the trajectory of families receiving youth protection services due to high-conflict separation. Although it remains a vague concept, high-conflict separation generally refers to situations where separated parents have an acrimonious relationship, a hard time co-parenting and turn more and more to psychosocial services and courts without resolving their conflict. In Québec, the Director of Youth Protection (DPJ) intervenes where the conflict represents a form of psychological maltreatment that may result in danger to the security or development of a child. Very few studies dealing specifically with these situations have been conducted to date. While we know that youth protection workers working with high-conflict families need to marshal a substantial amount of resources due to the complexity of these cases and the serious issues involved, very little is known about the perspective of parents in high conflict after separation. Building on life course theory, two general questions were formulated: From the point of view of parents involved in high-conflict separation who are receiving youth protection services, what characterizes their family and service use trajectories? What role do youth protection services play in the parents' trajectory? To answer those questions, 21 high-conflict separated parents (15 women and 6 men) receiving youth protection services were interviewed about their family and service use trajectories from the beginning of their couple relationship up to the time of the interview. Data were collected through semi-structured interviews using two tools (life calendar and Retrospective Interview Technique (RIT)). The findings reveal that the difficulties experienced by the majority of participants go beyond a high-conflict dynamic and dysfunctional co-parenting. Three distinct groups were identified based on the nature of the difficulties described by parents in regards to their family trajectory. If some parents described difficulties akin to high-conflict separation, mothers painted a picture more akin to the intimate terrorism form of post-separation domestic violence. The situation of other participants is not as clear-cut. The results also show that some participants have had relationship problems with the other parent ever since they became a couple. Others described a relationship marked by ups and downs both before and after their separation, while some said that the relationship improved after a milestone event or with youth protection's intervention. The results further show that, in some cases, participants' pre-breakup experience helps understand their post-separation conflict, whereas for other participants the conflict was fuelled by the presence of a new spouse in the father's life. The findings also reveal that the impact of certain family transitions on the problems between parents can be understood through the significance given to the transition by a parent. In regards to service use trajectories, the results show that some participants wanted help in dealing with personal, spousal or parental problems unrelated to the conflict before youth protection services got involved, whereas others tend to use judicial services to settle their parental dispute. Parents also described how the services helped or did not help them navigate their problems. They said that youth protection services initially got involved because of maltreatment against a child. The high-conflict situation was brought to light during youth protection's assessment or intervention. The majority of parents expressed that youth protection involvement did not help them improve their relationship with the other parent, but described significant impacts (positive or otherwise) of the intervention on their parenting and co-parenting. These findings help identify research and intervention avenues in a youth protection context.
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Exposition à la violence conjugale : construction du sens donné à cette expérience par de jeunes adultes

Dumont, Annie 12 February 2021 (has links)
Le fait de donner un sens à une expérience potentiellement traumatique tel que l’exposition à la violence conjugale peut être, pour les jeunes exposés, une stratégie menant à la résilience (Anderson & Danis, 2006; Armour, 2003) et les préservant de vivre de la détresse psychologique (Armour, 2010; Woo & Brown, 2013). Pourtant, un nombre restreint d’études s’intéressent aux significations subjectives que prend la violence conjugale, pour les individus, enfants ou adultes, qui y sont exposés (Overlien & Hyden, 2009). De plus, on sait que le vécu des jeunes adultes (18 à 25 ans) exposés à la violence conjugale dans l’enfance ou l’adolescence est susceptible de se démarquer de celui des adultes plus âgés tout autant que des adolescents qui les précèdent, comme c’est le cas pour les jeunes adultes de la population générale (Arnett, 2011). Cette population spécifique a pourtant, jusqu’à maintenant, suscité moins d’intérêt dans les études. Le présent projet de recherche s’attarde donc aux significations données à la violence conjugale par les jeunes adultes exposés à cette violence dans l’enfance ou l’adolescence, à partir des questions suivantes : Quelles significations les jeunes adultes exposés à la violence conjugale dans l’enfance ou l’adolescence donnent-ils à cette expérience? Quelles sont les expériences qui, selon eux, ont davantage influencé leur parcours de vie et leur vécu d’exposition à la violence conjugale? Dans quelle mesure ces expériences ont contribué à la construction d’un sens donné à la violence conjugale? Afin de répondre à ces questions, l’étude s’appuie sur la théorie du parcours de vie et est réalisée auprès de 35 jeunes âgés de 18 à 25 ans, et qui reconnaissent avoir vécu une expérience d’exposition à la violence conjugale. Des entrevues semi-dirigées et une adaptation qualitative du calendrier historique de vie sont utilisées pour recueillir la signification qu’ils donnent à la violence conjugale. Les résultats de l’étude montrent que les répondants tentent de donner un sens à ce vécu, ce sens passant par des processus d’assimilation et d’accommodation. Deux principes propres à la théorie du parcours de vie, soit les vies interreliées et l’agentivité, ont d’ailleurs une part importante dans ces processus, qui peuvent se réaliser à l’intérieur de plus d’une trajectoire du parcours de vie (scolaire, professionnelle, familiale, amoureuse, d’amitié, etc.). Les participants tentent ainsi de concilier la signification globale, soit leur vision de la vie, leurs valeurs, leurs buts, à la signification situationnelle qu’ils donnent aux épisodes de violence conjugale auxquels ils ont été exposés. Pour ce faire, ils comparent et partagent ces expériences avec certaines personnes privilégiées de leur entourage, leur permettant de mettre des mots sur ce vécu. Ils font aussi preuve d’agentivité, en innovant dans leur façon de réagir face à la violence et en se fixant des objectifs à long terme dans le but de ne plus vivre cette violence. Ces résultats permettent d’aller plus loin quant aux connaissances dans le domaine, entre autres par l’apport de nouvelles données sur ce qui peut faciliter la recherche de sens pour les jeunes exposés à la violence conjugale dans les différentes trajectoires de leur parcours de vie. Enfin, dans le but de développer de meilleurs services auprès de cette population, l’étude conclut que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre l’importance relative que la recherche de sens, le développement de l’identité, la transition à la vie adulte, l’agentivité et l’empowerment prennent dans le parcours de vie des jeunes exposés à la violence conjugale.
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Les règles de conduite dans le contexte de la violence du conjoint envers sa conjointe

Ménard, Sylvie 03 December 2021 (has links)
La présente étude porte sur la violence du conjoint envers sa conjointe. L'hypothèse principale suppose l'existence d'une différence importante entre les règles et leur perception chez les femmes violentées et, les règles et leur perception chez les hommes violents. Des comparaisons similaires sont établies entre les deux groupes témoins présumant l'existence d'une différence potentielle moindre, donc plus compatible. Une grille d'analyse de règles, la valeur donnée aux perceptions sur une échelle ordinale et la place occupée par les situations selon l'intensité ou/et la fréquence du conflit ont été utilisées comme mesures comparatives. Vingt-quatre personnes ont participé à l'entrevue. Les résultats obtenus confirment l'hypothèse postulée. L'étude des moyennes révèle que les groupes témoins verbalisent plus de règles et perçoivent leurs conjoints plus positivement que les groupes ciblés.

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