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La violence chez des femmes présentant des traits psychopathiques

Goulet, Caroline 19 April 2018 (has links)
La violence conjugale est une problématique majeure de santé publique au Québec. Il existe un lien bien établi entre la présence de traits psychopathiques et la violence conjugale parmi les hommes de la population normale (Costa & Babcock, 2008). Toutefois, ce lien entre les traits psychopathiques chez les femmes et la violence conjugale est moins clair. L'objectif de ce travail est de décrire la violence conjugale commise par des femmes et de vérifier s'il existe un lien entre la présence de traits psychopathiques et cette violence. Cette hypothèse est vérifiée auprès d'un échantillon probabiliste de 140 femmes ayant complété des questionnaires d'évaluation des traits psychopathiques et de la violence conjugale (i.e. psychologique et physique). À des fins de contrôle statistique, leurs conjoints sont aussi invités à remplir ces mêmes questionnaires. Les résultats démontrent que les traits psychopathiques (i.e. primaire et secondaire) de la femme sont reliés à sa violence psychologique. C'est la présence de traits psychopathiques primaires qui expliquerait la plus grande part de variance des comportements de violence psychologique féminins. De même, plus les femmes affichent des traits psychopathiques secondaires, plus elles tendent à être violente physiquement vis-à-vis leur conjoint. Ces résultats sont discutés à la lumière de ceux des études récentes.
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Le parcours des familles suivies en protection de la jeunesse en raison d'un conflit sévère de séparation : la perspective des parents

Turbide, Catherine 18 May 2022 (has links)
Cette thèse vise à comprendre le parcours des familles suivies par le Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ) en raison d'un conflit sévère de séparation (CSS) à partir de la perspective des parents. Le CSS est un concept aux contours encore flous, qui fait généralement référence aux situations où, après la séparation, les parents entretiennent des rapports acrimonieux, présentent des difficultés au plan de la coparentalité et multiplient les recours aux services psychosociaux et aux tribunaux sans parvenir à régler leur litige. Au Québec, le DPJ intervient auprès de ces familles dans les situations où le CSS représente une forme de mauvais traitement psychologique qui compromet la sécurité ou le développement de l'enfant. À ce jour, il existe encore très peu d'études portant spécifiquement sur ces situations. Si l'on sait qu'en raison de la complexité du phénomène et de ses enjeux importants, travailler auprès de ces familles nécessite pour les intervenants de mobiliser des ressources considérables, on en connaît très peu sur la perspective des parents. Prenant assise sur la théorie du parcours de vie, deux questions générales sont formulées : du point de vue des parents suivis par le DPJ en raison d'un CSS, qu'est-ce qui caractérise le parcours de ces parents sur le plan de leurs trajectoires familiale et d'utilisation des services? Comment l'intervention du DPJ s'inscrit dans leur parcours? Pour y répondre, 21 parents (15 femmes et 6 hommes), suivis par le DPJ en raison d'un CSS, ont participé à un entretien portant sur leurs trajectoires familiale et d'utilisation des services, depuis le début du couple jusqu'au moment de l'entrevue. Les données ont été collectées dans le cadre d'une d'entrevue semi-dirigée et à l'aide de deux outils (le calendrier de vie et le Retrospective Interview Technic (RIT)). Les résultats permettent de constater que, pour la majorité des participants, leurs difficultés vont au-delà d'une dynamique conflictuelle et de problèmes sur le plan de la coparentalité. Il a été possible d'identifier trois groupes qui se distinguent quant à la nature des difficultés que les parents décrivent pour parler de leur trajectoire familiale. Pour certains parents, les difficultés qu'ils décrivent s'apparentent à un CSS alors que des mères brossent plutôt le portrait d'une situation de violence conjugale post-séparation de type terrorisme intime. Pour d'autres participantes, la situation est plus ambigüe. Les résultats montrent aussi que, pour certains participants, la relation avec l'autre parent a toujours été difficile depuis le début du couple. Pour d'autres, la relation a été marquée par des hauts et des bas avant et après la séparation alors que certains considèrent que la relation s'est améliorée à partir d'un événement marquant ou avec l'aide du DPJ. Les résultats montrent aussi que, pour certains, c'est ce qu'ils ont vécu avant la rupture qui permet de comprendre leurs difficultés après la séparation alors que pour d'autres, c'est l'arrivée de la nouvelle conjointe dans la vie du père qui représente la bougie d'allumage du conflit. Les résultats permettent aussi de constater que c'est le sens accordé par le parent à certaines transitions familiales qui permet de comprendre leur impact sur les difficultés entre les parents. Quant à la trajectoire d'utilisation des services, les résultats montrent qu'avant l'intervention du DPJ, certains souhaitaient recevoir de l'aide pour répondre à des difficultés personnelles, conjugales ou parentales sans lien avec le conflit alors que d'autres ont sollicité les services pour se sortir du litige avec l'autre parent. Les parents décrivent aussi comment ces services les ont ou non aidés à traverser leurs difficultés. Selon ces parents, le DPJ est d'abord intervenu auprès de leur famille parce qu'un enfant a été victime de maltraitance. La présence du CSS a été mise en lumière pendant l'évaluation ou le suivi du DPJ. La majorité des parents ne considère pas que l'intervention du DPJ leur a permis d'améliorer leur relation avec l'autre parent, mais ils décrivent les conséquences importantes (positives ou non) de son intervention sur leur rôle parental et leur coparentalité. Ces résultats permettent de dégager des pistes de recherche et d'intervention dans le cadre des services de la protection de la jeunesse. / The aim of this thesis is to understand, through the eyes of parents, the trajectory of families receiving youth protection services due to high-conflict separation. Although it remains a vague concept, high-conflict separation generally refers to situations where separated parents have an acrimonious relationship, a hard time co-parenting and turn more and more to psychosocial services and courts without resolving their conflict. In Québec, the Director of Youth Protection (DPJ) intervenes where the conflict represents a form of psychological maltreatment that may result in danger to the security or development of a child. Very few studies dealing specifically with these situations have been conducted to date. While we know that youth protection workers working with high-conflict families need to marshal a substantial amount of resources due to the complexity of these cases and the serious issues involved, very little is known about the perspective of parents in high conflict after separation. Building on life course theory, two general questions were formulated: From the point of view of parents involved in high-conflict separation who are receiving youth protection services, what characterizes their family and service use trajectories? What role do youth protection services play in the parents' trajectory? To answer those questions, 21 high-conflict separated parents (15 women and 6 men) receiving youth protection services were interviewed about their family and service use trajectories from the beginning of their couple relationship up to the time of the interview. Data were collected through semi-structured interviews using two tools (life calendar and Retrospective Interview Technique (RIT)). The findings reveal that the difficulties experienced by the majority of participants go beyond a high-conflict dynamic and dysfunctional co-parenting. Three distinct groups were identified based on the nature of the difficulties described by parents in regards to their family trajectory. If some parents described difficulties akin to high-conflict separation, mothers painted a picture more akin to the intimate terrorism form of post-separation domestic violence. The situation of other participants is not as clear-cut. The results also show that some participants have had relationship problems with the other parent ever since they became a couple. Others described a relationship marked by ups and downs both before and after their separation, while some said that the relationship improved after a milestone event or with youth protection's intervention. The results further show that, in some cases, participants' pre-breakup experience helps understand their post-separation conflict, whereas for other participants the conflict was fuelled by the presence of a new spouse in the father's life. The findings also reveal that the impact of certain family transitions on the problems between parents can be understood through the significance given to the transition by a parent. In regards to service use trajectories, the results show that some participants wanted help in dealing with personal, spousal or parental problems unrelated to the conflict before youth protection services got involved, whereas others tend to use judicial services to settle their parental dispute. Parents also described how the services helped or did not help them navigate their problems. They said that youth protection services initially got involved because of maltreatment against a child. The high-conflict situation was brought to light during youth protection's assessment or intervention. The majority of parents expressed that youth protection involvement did not help them improve their relationship with the other parent, but described significant impacts (positive or otherwise) of the intervention on their parenting and co-parenting. These findings help identify research and intervention avenues in a youth protection context.
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Exposition à la violence conjugale : construction du sens donné à cette expérience par de jeunes adultes

Dumont, Annie 12 February 2021 (has links)
Le fait de donner un sens à une expérience potentiellement traumatique tel que l’exposition à la violence conjugale peut être, pour les jeunes exposés, une stratégie menant à la résilience (Anderson & Danis, 2006; Armour, 2003) et les préservant de vivre de la détresse psychologique (Armour, 2010; Woo & Brown, 2013). Pourtant, un nombre restreint d’études s’intéressent aux significations subjectives que prend la violence conjugale, pour les individus, enfants ou adultes, qui y sont exposés (Overlien & Hyden, 2009). De plus, on sait que le vécu des jeunes adultes (18 à 25 ans) exposés à la violence conjugale dans l’enfance ou l’adolescence est susceptible de se démarquer de celui des adultes plus âgés tout autant que des adolescents qui les précèdent, comme c’est le cas pour les jeunes adultes de la population générale (Arnett, 2011). Cette population spécifique a pourtant, jusqu’à maintenant, suscité moins d’intérêt dans les études. Le présent projet de recherche s’attarde donc aux significations données à la violence conjugale par les jeunes adultes exposés à cette violence dans l’enfance ou l’adolescence, à partir des questions suivantes : Quelles significations les jeunes adultes exposés à la violence conjugale dans l’enfance ou l’adolescence donnent-ils à cette expérience? Quelles sont les expériences qui, selon eux, ont davantage influencé leur parcours de vie et leur vécu d’exposition à la violence conjugale? Dans quelle mesure ces expériences ont contribué à la construction d’un sens donné à la violence conjugale? Afin de répondre à ces questions, l’étude s’appuie sur la théorie du parcours de vie et est réalisée auprès de 35 jeunes âgés de 18 à 25 ans, et qui reconnaissent avoir vécu une expérience d’exposition à la violence conjugale. Des entrevues semi-dirigées et une adaptation qualitative du calendrier historique de vie sont utilisées pour recueillir la signification qu’ils donnent à la violence conjugale. Les résultats de l’étude montrent que les répondants tentent de donner un sens à ce vécu, ce sens passant par des processus d’assimilation et d’accommodation. Deux principes propres à la théorie du parcours de vie, soit les vies interreliées et l’agentivité, ont d’ailleurs une part importante dans ces processus, qui peuvent se réaliser à l’intérieur de plus d’une trajectoire du parcours de vie (scolaire, professionnelle, familiale, amoureuse, d’amitié, etc.). Les participants tentent ainsi de concilier la signification globale, soit leur vision de la vie, leurs valeurs, leurs buts, à la signification situationnelle qu’ils donnent aux épisodes de violence conjugale auxquels ils ont été exposés. Pour ce faire, ils comparent et partagent ces expériences avec certaines personnes privilégiées de leur entourage, leur permettant de mettre des mots sur ce vécu. Ils font aussi preuve d’agentivité, en innovant dans leur façon de réagir face à la violence et en se fixant des objectifs à long terme dans le but de ne plus vivre cette violence. Ces résultats permettent d’aller plus loin quant aux connaissances dans le domaine, entre autres par l’apport de nouvelles données sur ce qui peut faciliter la recherche de sens pour les jeunes exposés à la violence conjugale dans les différentes trajectoires de leur parcours de vie. Enfin, dans le but de développer de meilleurs services auprès de cette population, l’étude conclut que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre l’importance relative que la recherche de sens, le développement de l’identité, la transition à la vie adulte, l’agentivité et l’empowerment prennent dans le parcours de vie des jeunes exposés à la violence conjugale.
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Les règles de conduite dans le contexte de la violence du conjoint envers sa conjointe

Ménard, Sylvie 03 December 2021 (has links)
La présente étude porte sur la violence du conjoint envers sa conjointe. L'hypothèse principale suppose l'existence d'une différence importante entre les règles et leur perception chez les femmes violentées et, les règles et leur perception chez les hommes violents. Des comparaisons similaires sont établies entre les deux groupes témoins présumant l'existence d'une différence potentielle moindre, donc plus compatible. Une grille d'analyse de règles, la valeur donnée aux perceptions sur une échelle ordinale et la place occupée par les situations selon l'intensité ou/et la fréquence du conflit ont été utilisées comme mesures comparatives. Vingt-quatre personnes ont participé à l'entrevue. Les résultats obtenus confirment l'hypothèse postulée. L'étude des moyennes révèle que les groupes témoins verbalisent plus de règles et perçoivent leurs conjoints plus positivement que les groupes ciblés.
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Les stratégies de changement employées par des hommes ayant des comportements violents envers leur conjointe : mesure et analyse à partir du modèle transthéorique du changement

Brodeur, Normand 12 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / Le modèle transthéorique suscite l’intérêt des intervenants qui aident les conjoints aux comportements violents à modifier leur conduite. Il soutient : 1- que les personnes qui modifient leur comportement passent par une série de stades appelés précontemplation, contemplation, préparation, action, maintien et conclusion; et 2- que la progression d’un stade à l’autre est facilitée par l’utilisation des bonnes stratégies de changement au bon moment. Les stratégies expérientielles seraient plus utiles dans les premiers stades, alors que les stratégies comportementales conviendraient mieux aux stades plus avancés. Cette étude avait comme premier objectif de valider la version française d’un questionnaire sur les stratégies de changement développé aux États-Unis par Levesque et Pro-Change (2001). Elle visait ensuite à examiner la relation entre les stratégies et les stades de changement. Les données ont été recueillies auprès de deux groupes d’hommes (n = 255 et n = 302) recrutés dans des programmes québécois d’aide aux conjoints aux comportements violents. Des analyses factorielles confirmatoires ont montré que le meilleur modèle pour décrire la structure du questionnaire comprenait 13 stratégies. Les indices mesurant l’ajustement du modèle aux données étaient toutefois inférieurs aux normes reconnues (CFI < 0,86). De plus, seulement 38% des échelles avaient un coefficient alpha supérieur à 0,70. L’analyse des résultats indique qu’il faut mieux définir les stratégies de changement et les indicateurs qui les mesurent. Elle montre également que les stratégies ne peuvent être réduites aux seules dimensions expérientielles et comportementales. L’étude fournit par ailleurs des preuves modestes montrant que les précontemplateurs emploient moins de stratégies que les hommes des stades de changement avancés. Elle ne démontre pas la nécessité d’apparier les stratégies à des stades spécifiques, sauf pour la libération de soi. Cette dernière stratégie, de même que la réévaluation de soi négative, sont celles qui semblent les plus prometteuses pour l’intervention auprès des conjoints aux comportements violents. Le modèle transthéorique peut encore contribuer au développement de la recherche sur les stratégies de changement. Son utilité pratique semble toutefois moins grande que prévu. Les intervenants devraient garder un esprit critique à son sujet et l’employer avec prudence. / The transtheoretical model has attracted the interest of clinicians helping domestically violent men to change their behaviour. It states: 1) that people who change their behaviour progress through a series of stages called precontemplation, contemplation, preparation, action, maintenance and termination; and 2) that progress from one stage to the next is facilitated by the use of the right processes of change at the right time. Whereas experiential processes would be more useful at earlier stages, behavioural processes would be better suited at more advanced stages. This study’s first objective was to validate the French version of a processes of change questionnaire developed in the United States by Levesque and Pro-Change (2001). It then aimed to examine the relationship between the processes and the stages of change. Data were gathered from two groups of men (n = 255 and n = 302) recruited from programs that help domestically violent men in the province of Quebec (Canada). Confirmatory factor analyses showed that the model that described the structure of the questionnaire best consisted of 13 processes. However, the model’s fit indices were inferior to the currently acknowledged norms (e.g.: CFI < 0.86). Moreover, only 38 % of the scales had an alpha coefficient above 0.70. Analysis of the results indicates that it will be necessary to better define the processes of change and the indicators used to measure them. It also shows that processes cannot be reduced to experiential and behavioural dimensions alone. In other respects, this study also provides modest evidence that precontemplators use fewer strategies than men in the advanced stages of change. It does not show the necessity to match processes to specific stages, except in the case of self liberation. The latter process and negative self reevaluation are the two processes that appear most promising for intervention with domestically violent men. The transtheoretical model can still contribute to the development of research on the processes of change. However, its practical application appears less strong than originally projected. Clinicians should therefore maintain a critical approach and use it with caution.
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L'expérience de socialisation aux rôles d'un homme et d'une femme vécue par les conjoints ayant des comportements violents dans le cadre de leur participation à un groupe de thérapie animé par un homme et une femme

Roy, Valérie 13 April 2018 (has links)
Cette étude a pour objectif de comprendre en quoi la coanimation mixte dans les groupes de thérapie pour conjoints violents participe à la socialisation aux rôles d 'un homme et d 'une femme. Des entrevues ont été menées auprès de 25 hommes ayant participé à des groupes animés par un homme et une femme. Ils ont été rencontrés au début et vers la fin de leur cheminement dans le groupe. Le discours des répondants sur le déroulement de la coanimation mixte a été analysé sous l'angle des processus qui ont une influence sur la socialisation aux rôles d 'un homme et d 'une femme. L'étude permet de comprendre comment les interactions avec l'animateur et l'animatrice contribuent à la socialisation aux rôles d 'un homme et d'une femme. La thèse fournit un éclairage sur le potentiel de la coanimation mixte dans les groupes de thérapie, ainsi que sur les difficultés pouvant être vécues par les membres.
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Analyse longitudinale des associations dyadiques entre les traits psychopathiques et la violence psychologique chez des couples de la communauté

Shaw-Cloutier, Andrée-Ann 24 September 2019 (has links)
Des études transversales récentes ont démontré que même à un niveau sous-clinique, les traits psychopathiques de la personnalité sont associés à des conduites agressives au sein des unions amoureuses (Coyne, Nelson, Graham-Kevan, Keister, & Grant, 2010; Okano, Langille, & Walsh, 2016; Savard, Sabourin, Lussier, & Laval, 2011). Toutefois, jusqu’à ce jour, aucune étude longitudinale précisant l’évolution de la relation entre ces variables n’a été réalisée. De plus, peu d’auteurs se sont intéressés à l’influence de ces traits sur la forme psychologique de la violence plus spécifiquement. Dans ce contexte, l’objectif de la présente étude vise à examiner, sous une perspective dyadique, les associations longitudinales entre les traits psychopathiques primaire et secondaire de la psychopathie et la perpétration de violence psychologique mineure au sein d’un échantillon de 70 couples hétérosexuels issus de la communauté québécoise. Les participants ont complété, à deux reprises sur un intervalle d’un an, une batterie de questionnaires incluant l’Échelle de psychopathie de Levenson (LSRP; Levenson, Kiehl, & Fitzpatrick, 1995; traduit en français par Savard, Lussier, & Sabourin, 2014) et l’échelle d’agression psychologique tirée du Questionnaire sur la résolution des conflits conjugaux (CTS-2; Straus, Hamby, Boney-McCoy, & Sugarman, 1996; traduit en français par Lussier, 1997). Les résultats d’analyse d’interdépendance acteur-partenaire montrent que seule la psychopathie secondaire prédit les agressions psychologiques mineures perpétrées par les répondants un an plus tard. Enfin, le test d’indistinguabilité des dyades révèle que les rapports entre les traits psychopathiques et la violence psychologique ne varient pas selon le genre des participants. Ces résultats s’ajoutent au très petit bassin d’observations empiriques sur le rapport dynamique et longitudinal entre les traits psychopathiques de la personnalité et la violence conjugale et soulignent l’importance de prendre en considération ces traits lors de l’évaluation et l’intervention auprès de couples aux prises avec cette réalité.
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Separationer och mäns våld mot kvinnor /

Ekbrand, Hans January 2006 (has links)
Diss. Göteborg : Göteborgs universitet, 2006. / Med sammanfattning på engelska.
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Caractéristiques personnelles des enfants de 9 à 12 ans exposés à la violence conjugale référés à la prise en charge des Centres jeunesse du Québec

Beauregard, Louise-Anne. January 2003 (has links)
Thèses (M.Ed.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2003. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Étude de validation du questionnaire "Violence dans les fréquentations à l'adolescence" (VIFA)

Laliberté, Josie-Anne 06 December 2021 (has links)
La présente recherche s'intéresse au phénomène de la violence chez les couples adolescents. Plus précisément, elle vise à valider le VIFA, un instrument développé afin de mesurer la violence subie par les filles victimes et commise par les garçons agresseurs. Ce questionnaire, qui possède déjà de bonnes qualités psychométriques au niveau de ses trois échelles de violence (psychologique, physique et sexuelle), a été administré à 184 élèves de secondaire III fréquentant une école publique de la région de Québec. Par la suite, 48 d'entre eux ont accepté de passer une entrevue individuelle sur le même thème. Le type de validation retenu consiste en la comparaison entre les classifications d'après le questionnaire et la classification obtenue par une entrevue de type clinique. Tant au questionnaire qu'à l'entrevue, les participants sont classifiés en catégories: Victime ou Non-Victime pour les filles et Violent ou Non-Violent pour les garçons. Des analyses corrélationnelles ont permis de faire une comparaison entre les classifications obtenues au questionnaire et à l'entrevue. Les résultats indiquent des corrélations moyennes à élevées pour les garçons et de faibles à moyennes pour les filles ce qui suggère l'importance de certaines améliorations.

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