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Foreshadowing and suspense in the epics of Homer, Apollonius, and Vergil ...Duckworth, George Eckel, January 1933 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Princeton University, 1930. / "Bibliographical index": p. [133]-135.
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Virgil and RonsardStorer, Walter Henry, January 1923 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Illinois, 1922. / Vita. Bibliography: p. [139]-143.
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Die Aeneis und Homer Studien zur poetischen Technik Vergils, mit Listen der Homerzitate in der Aeneis /Knauer, Georg Nicolaus. January 1979 (has links)
Habilitationsschrift--Freien Universität, Berlin. / Includes bibliographical references (p. [13]-28).
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Servius, commentaire sur "l’Énéide" de Virgile (livre V) : introduction, traduction, annotation et commentaire / Servius' commentary on book five of Virgil's" Aeneid" : introduction, translation, annotation and commentaryBodin, Camille 10 December 2018 (has links)
Rédigé vraisemblablement à la fin du IVe siècle, à une époque où l’enseignement traditionnel des écoles romaines se maintient et où le paganisme cherche à conserver sa place face au christianisme, le commentaire de Servius à l’Énéide de Virgile, dont le livre V fait l’objet du présent travail, est une œuvre particulièrement importante. Il est destiné à ouvrir à ses auditeurs (les élèves de la classe de Servius), puis à ses lecteurs, la possibilité de mieux comprendre le texte virgilien, et il offre au spécialiste moderne de multiples traces de rites, croyances, pratiques et récits mythologiques qui, sans la richesse de ses développements, resteraient inconnus. Le commentateur laisse parfois percevoir au fil de ses remarques sa vision de l’époque de Virgile et de la sienne propre, et il livre aussi des éléments d’information concernant la réception de l’Énéide dans l’Antiquité tardive. L’intérêt de l’ouvrage est doublé du fait que s’y sont entremêlés ensuite des ajouts d’origines diverses transformant pour ainsi dire le commentaire de Servius en un second commentaire, connu sous l’appellation de « Servius Danielis », présent dans certains manuscrits médiévaux. C’est pour toutes ces raisons que nous proposons, après une introduction consacrée à ses thématiques centrales, une traduction complète de ce double commentaire servien au livre V de l’Énéide de Virgile, en accompagnant et documentant cette traduction par les notes nombreuses et détaillées que réclament la richesse et la complexité de ce travail caractéristique des savants que l’Antiquité appelait des « grammairiens ». / Most certainly written at the end of the 4th century, at a time when traditional teaching from roman school persists and when paganism tries to keep its position facing Christianity, Servius’ Commentary on Virgil’s Aeneid, whose book V is the subject of this study, is a particularly significant work. It is intended to permit the listener (Servius’ students), then the reader, to better understand Virgil’s text and offers to modern specialists many vestiges of rituals, beliefs, practices and mythology’s stories that, without the richness of its body, certainly wouldn’t be known nowadays. The commentator sometimes suggests, throughout his remarks, the vision he has of the Virgil’s time as being his own time and he also gives some information about the Aeneid’s reception in the last Antiquity. The interest of the book is doubled because the text is mixed with elements from diverse origins; it turned the commentary into a second one, known as “Servius Danielis” text and present in some manuscripts. That is why we offer, after an introduction devoted to the main themes of the book, a complete translation of this double servian commentary at the Virgil Aeneid, book 5; this translation goes with many detailed commentaries needed due to the richness and the complexity of expert’s typical work which Antiquity called “grammarian”.
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Traduction et imitation dans les Iles Britanniques aux XVIe et XVIIe siècles : les métamorphoses du livre IV de l'Énéide de Virgile [1513-1697] / Translation and Imitation in XVIth- and XVIIth-century Britain : The Metamorphoses of Virgil’s Aeneid IVBelle, Marie-Alice 18 September 2010 (has links)
Cette thèse présente une étude historique des traductions et imitations britanniques du livre IV de l’Énéide de Virgile aux XVIe et XVIIe siècles, depuis l’Eneados de Gavin Douglas [1513] jusqu’au Dryden’s Virgil de 1697. À travers une étude comparative des traductions successives de l’épisode, on y dégage les transformations de la notion d’ imitation comme modèle de la traduction littéraire au cours de la période. À une conception de la traduction dominée au XVIe siècle par le modèle rhétorique antique de l’imitatio, et par le souci de développer l’épopée vernaculaire sur le modèle virgilien, succède dans la première moitié du XVIIe siècle une définition spécifique de l’imitation comme modalité de la traduction libre. Dans un contexte de crise politique et de compétition entre les différentes versions de l’épisode, les “imitations” deviennent le lieu de prises de position idéologiques et esthétiques, dans des interprétations contrastées du modèle épique virgilien. Les réécritures du livre IV de l’Énéide qui marquent le second XVIIe siècle témoignent d’un certain éclatement de la notion d’ imitation, qui désigne à la fois les réécritures satiriques et parodiques de l’épisode, et l’entreprise de fondation culturelle et esthétique de l’âge “augustéen”. Au modèle herméneutique hérité des traducteurs humanistes se substitue alors avec Dryden une conception esthétique de la traduction littéraire comme mimesis artistique. L’étude associe l’analyse des stratégies formelles et interprétatives propres à chaque traduction à une réflexion sur la réception britannique de l’Énéide et offre des éléments de méthode pour l’analyse historique des traductions sur la longue durée. / This thesis consists in a historical study of the translations and imitations of Virgil’s Aeneid IV in XVIth- and XVIIth century Britain. Through a comparative analysis of the many translations of the episode between Douglas’s Eneados [1513] and Dryden’s 1697 Virgil, this study highlights the main transformations of the notion of imitation as a central concept in Early Modern translation theory and practice. First dominated by the Classical model of rhetorical imitatio and by the Humanist fashioning of the vernacular epic after Virgil’s Aeneid, the concept of imitation is reinterpreted in the first half of the XVIIth century as an form of free translation. In a context of political crisis, of competing translations of the episode, and of clashing interpretations of the virgilian epic model, the practice of imitation reads as an assertion of the translators’ aesthetic and political agendas. In the second half of the XVIIth century, the rewritings of Aeneid IV reveal a paradoxical reappropriation of the notion of imitation, which is used at once to define the satirical parodies of Virgil’s epic, and to establish the political and cultural foundations of the “Augustan age”. With Dryden’s Virgil, the hermeneutic model of translation inherited from the Humanists is replaced by a specifically aesthetic theory of literary translation modelled on the neoclassical discourse on mimesis. The aim of this study is to combine a detailed analysis of the literary and interpretive strategies at work in each translation with a broader discussion of the reception of Virgil’s Aeneid, and to develop a method for the historical analysis of the translations of a given text over a long period of time.
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Vom Kosmos zum Chaos Ovids Metarmorphosen und Vergils Aeneis /Andrae, Janine. January 2003 (has links)
Diss. : Philologie : Univ. Bochum : 2002/2003. / WVT = Wissenschaftlicher Verlag Trier. Bibliogr. p. 263-275. Index.
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Dichtung über Dichtung : Homer und Virgil in lateinischen Gedichten italienischer Humanisten des 15. und 16. Jahrhunderts /Klecker, Elisabeth. January 1994 (has links)
Diss.--Geisteswissenschaftliche Fakultät--Wien--Universität, 1993. / Contient, en appendice, plusieurs textes latins d'humanistes italiens. Bibliogr. p. 333-346. Notes bibliogr. Index.
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Vergil in Spenser's epic theory a portion of Spenser and Vergil,Webb, William Stanford, January 1937 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Johns Hopkins University, 1928. / "Reprinted from ELH, a journal of English literary history, vol. 4, no. 1, March, 1937."
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Les couleurs dans la poésie latine au premier siècle av. J.-C / The Use of Color in Latin Poetry of the First Century BCBrouillard, Michel 15 December 2012 (has links)
Cette étude analyse l’emploi des couleurs dans l’intégralité des oeuvres de Lucrèce, Catulle, Virgile, Horace, Tibulle, Properce et Ovide. Cette étude a été conduite à partir d’un référentiel de termes de couleur unique et considérablement élargi par rapport à l’habitude en ce domaine : aux termes courants, comme albus, niger, ruber, etc., ont été ajoutés un grand nombre d’autres termes porteurs implicites de couleur comme aurum (l’or), ebur (l’ivoire), marmor (le marbre) ou encore sanguis (le sang), dès lors que l’occurrence était pertinente. Un inventaire exhaustif et quantifié de tous les termes de couleur, de toutes leurs occurrences dans chacune des oeuvres fait l’objet d’un document annexe (292 pages), enrichi de tableaux de synthèse et de ratios : il est ainsi possible de vérifier immédiatement la présence ou l’absence d’un terme, de connaître sa fréquence d’apparition chez chaque poète, dans chacun de ses poèmes. L’étude s’est attachée à analyser et comparer les emplois de chaque terme chez chacun des poètes, à souligner les symbolismes, les alliances et les contrastes de couleurs que privilégie chaque poète, à étudier la manière dont chacun peint portraits, paysages, scènes diverses, à s’interroger sur les raisons des lacunes ou des concentrations de couleurs au sein des poèmes. Ainsi on a pu mettre en évidence selon les thèmes (épopée, élégie ou satire), la profonde cohérence entre le style, la personnalité de chaque poète et sa palette de couleurs, sa manière d’en user. / This study examines the use of color in the entirety of poetic works by Lucretius, Catullus, Virgil, Horace, Tibullus, Propertius, and Ovid. This study was conducted using a single reference tool of color-related terms, which allows a more thorough analysis of early Latin poetry than has typically been the case. To common terms such as albus, niger, and ruber, have been added numerous terms which implicitly signal the presence of color within the text, such as aurum (gold), ebur (ivory), marmor (marble), and sanguis (blood). A comprehensive inventory of color terms appears in a 292-pages appendix that contains summary tables showing where each term can be found in the works studied. It is therefore possible to immediately verify the presence or absence of a color term, and to map the frequency with which it appears in a particular poem or in the work of a particular poet. This study seeks to analyze and compare the use of color terms as used by each poet ; to highlight the symbolism as well as the color combinations and contrasts favored by each poet; to study the ways in which each poet paints portraits, landscapes, and various other scenes with words ; to raise questions about the absence or concentration of color in the heart of particular poems. By doing so, it becomes possible to demonstrate - in the case of epic, elegy, or satire - the profound coherence linking poetic style, the personality of the poet, the color palette, and the manner in which it is used.
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Du Bellay lecteur de Virgile / Du Bellay reading VirgilGautier, Hélène 22 September 2018 (has links)
Cette thèse se propose d’étudier comment la lecture de Virgile informe toute l’oeuvre bellayenne, voire définit et révèle la poésie et la figure du poète bellayens. Dans une première partie, un état des lieux de la réception du texte virgilien de l’Antiquité à la Renaissance nous fait découvrir les moyens mis à disposition de Du Bellay pour lire et imiter Virgile, la lecture se révélant indissociable de l’écriture. Un premier relevé et une première typologie des emprunts à Virgile dans l’oeuvre bellayenne (1549-1560) permettent alors de dégager des éléments d’analyse de l’imitation de Virgile par Du Bellay. La deuxième partie examine alors de manière diachronique la notion d’”innutrition” virgilienne. Elle met ainsi en relief l’année 1552, année de la traduction des livres quatre et six de l’Enéide, année charnière dans la production poétique bellayenne, où s'opère l’assimilation du texte virgilien et le passage à une véritable réécriture de Virgile dans les poèmes ultérieurs (1552-1560). La troisième partie articule ces enjeux proprement poétiques aux enjeux socio-politiques dans la mesure où elle met au jour les enjeux de cette imitation de Virgile par Du Bellay, en particulier la définition de sa place de poète au sein de la cité dans les recueils romains (1558) et surtout dans les discours politiques des dernières années (1558-1560). / This dissertation presents a critical analysis of the way reading Virgil impacted the works of Du Bellay, even so far as to define and reveal Du Bellay’s poetry and his figure as a poet.In the first part, an assessment of the various tools for reading Virgilian texts from Antiquity to the Renaissance brings to light the means available to Du Bellay in order to read and imitate Virgil – his reading of Virgil and his own writing being intrinsically associated. A preliminary listing and categorization of the elements Du Bellay borrowed from Virgil in his works from 1549 to 1560 makes it possible to highlight ways to analyze how Virgil is imitated by Du Bellay. The second part then examines in a diachronic fashion the notion of Virgilian “innutrition”. This part thus draws particular attention to 1552, year of the translation of books four and six of The Aeneid, a pivotal year in Du Bellay’s poetic production for it seemed to have born witness to his assimilation of Virgilian texts and his moving on to genuine rewriting of Virgil in his later poems from 1552 to 1560.The third part articulates the specifically poetic issues to socio-political concerns, insofar as it exposes the purpose of Du Bellay in his imitation of Virgil, most particularly the definition of his position as a poet within the city in the Roman collections (1558) and especially in the political speeches from the later years (1558-1560).
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