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RYTHME ET CIVILISATION DANS LA PENSÉE ALLEMANDE AUTOUR DE 1900

Hanse, Olivier 01 December 2007 (has links) (PDF)
Autour de 1900 en Allemagne, l' « arythmie » des individus est présentée par un certain nombre d'auteurs comme le<br />symptôme d'une civilisation malade, qu'il faut à tout prix sauver du déclin. La disparition du rythme, constatée dans un grand nombre de disciplines, semble par ailleurs accuser le triomphe d'une vision matérialiste et « microscopique » du monde, qui rend l'homme aveugle aux miracles du vivant, tandis que dans les écoles et dans les universités s'impose un modèle de formation utilitariste, qui privilégie les savoirs techniques au détriment de l'intuition, de l'esprit de synthèse et de la créativité. Parallèlement à ce diagnostic, le même concept de rythme, que l'on suppose avoir joué, à l'origine, un grand rôle dans la socialisation de l'être humain et dans le développement de la culture, se retrouve au centre de<br />projets utopiques fondés sur la gymnastique et la danse, qui visent à retransformer un corps social « mécanisé » et<br />« disloqué » en une communauté saine et fraternelle. Par-delà les conflits de terminologie et de méthode qui opposent les différents représentants du « mouvement du rythme », cette étude tente d'éclairer les motivations individuelles et collectives de ce discours, de faire ressortir les mécanismes psychosociaux qui le traversent, ainsi que les causes de son succès, tout en le replaçant dans le contexte historique, social et culturel qui lui a donné naissance.
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De l'architecture organique à l'architecture environnementale, itinéraire dans l'autre tradition constructive du XXe siècle / From organic architecture to environmental architecture, itinerary in the other building tradition of the twentieth century

Remaud, Romain 24 June 2017 (has links)
Et si l’architecture pouvait être vécue comme élément d’intercession orienté entre l’homme et son environnement ? Cette idée a été soutenue par un mouvement architectural cohérent, l’architecture organique, formant une tradition constructive alternative traversant tout le XXe siècle et repérable dans le monde entier. En considérant qu’une pratique architecturale adaptée favorise une relation apaisée entre l’homme et son environnement bâti ainsi qu’une reconnexion entre l’homme et son environnement naturel, l’organicisme peut véritablement être considéré comme une architecture environnementale. Cependant, en dépit de ce que nous pensions à l’origine, cette tradition architecturale ne se définit que difficilement par sa forme. Il faut plutôt en passer par la théorie architecturale pour voir émerger une vision commune à un ensemble de théoriciens ou d’architectes. Cette manière de pratiquer ou d’envisager l’architecture est lisible dans les idées de Kenneth Frampton ou de Christian Norberg-Schulz, dans les positionnements sur la question centrale de la fonction en architecture ou à travers la théorie de la pure visibilité et son corolaire, la connaissance corporelle. Bruno Zevi, entre autres, apporte également sa pierre à l’édifice théorique mais c’est Frank L. Wright qui est le grand bâtisseur de l’architecture organique au sens propre comme au figuré. Il n’en est cependant pas le seul pratiquant et les carrières d’autres architectes majeurs comme Eladio Dieste, Hassan Fathy, Gaudí, les époux Griffin, Hundertwasser, Alistair Samuel Knox, Rudolf Steiner ou Gustav Stickley notamment, peuvent être examinés avec intérêt sous l’angle de l’architecture environnementale. / What if architecture could be lived as an oriented element of intercession between human and his environment ? This idea was supported by a coherent architectural movement, organic architecture, forming an alternative building tradition through the entire 20th century and noticeable throughout the world. Considering that an appropriate architectural practice promote a peaceful relationship between man and his built environment and a reconnection between man and his natural environment, organicism can truly be considered as an environmental architecture. However, in spite of what we thought originally, this architectural tradition is not easy to define by its formal aspect. Rather, it is necessary to go through architectural theory to see the emergence of a common vision to a group of theorists and architects. This way of practising or considering architecture can appears in the ideas of Kenneth Frampton or Christian Norberg-Schulz, in the opinion on the key question of function in architecture, or through the theory of pure visibility and its corollary, physical knowledge. Bruno Zevi, among others, also contributes to the theoretical edifice but it is Frank L. Wright who is the great builder of organic architecture both literally and figuratively. However, he is not the only proponent of this type of architecture and the careers of other major architects such as Eladio Dieste, Hassan Fathy, Antoni Gaudí, the Griffin’s, Friedensreich Hundertwasser, Alistair Samuel Knox, Rudolf Steiner or Gustav Stickley, especially, can be analyzed with interest from the perspective of environmental architecture.
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Deux décisions de la Cour Suprême du Canada sur le suicide médicalement assisté de Rodriguez (1993) à Carter (2015) : parle-t-on toujours du même geste ?

Pilliat, Gabrielle January 2017 (has links)
Avec l'arrêt Carter (2015), la Cour Suprême du Canada (CSC) a statué que les articles 14 et 241b) du Code criminel canadien (CCC), prohibant le suicide médicalement assisté, étaient inconstitutionnels. Elle bouleversait de ce fait un jugement émis par la Cour Suprême en 1993 (arrêt Rodriguez). Que s’est-il passé entre 1993 et 2015 pour qu’une décision juridique aboutisse à des conclusions si différentes ? Afin de répondre à cette question, nous sommes retournées dans le passé et avons pu voir que la médicalisation de la société, la sécularisation de la mort et la décriminalisation progressive du suicide, constituaient autant de facteurs permettant de comprendre pourquoi, en 2015, certaines personnes demandaient le SMA. Inspirée d'une démarche inductive, notre analyse des deux arrêts de la CSC ne nous a pas permis de répondre à notre question initiale comme telle, mais elle a su identifier des bougés substantiels sur trois thématiques : 1) la valeur de la vie, 2) le statut et le rôle du patient et 3) le rôle et le statut du médecin. Alors qu'en 1993, la vie est vue comme sacrée en tant que telle et doit être protégée ; elle reste essentielle en 2015, mais vaut surtout pour sa qualité (subjective). Dans ce contexte, le choix personnel de mettre fin à une vie sans qualité devient légitime (sous certaines conditions). Ensuite, si le patient est globalement réduit à sa vulnérabilité et à son manque de discernement en 1993, il est réhabilité en 2015 dans sa capacité à poser des jugements et à faire des choix éclairés, certes nécessairement sous l'égide d'une autorité médicale. Enfin, mis en doute, voire mis en cause quant aux garanties morales qu'il pouvait donner à la société en 1993, le médecin devient le garde-fou éthique par excellence en 2015.

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