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Connections between Climate Policy and Forests in the Western Climate Initiative Cap-and-Trade SystemRoberts, ALLAN 30 October 2009 (has links)
The Western Regional Climate Action Initiative (WCI) was signed by the governors of Arizona, California, New Mexico, Oregon, and Washington, on February 26, 2007. Upon the release of the September 2008 Design Recommendations for the WCI Regional Cap-and-Trade Program, the WCI also included Montana, Utah, and the Canadian provinces of British Columbia, Manitoba, Ontario, and Quebec. A WCI goal is to reduce regional greenhouse gas (GHG) emissions 15% below 2005 levels by 2020. It has previously been recognized that the region’s forests can be important carbon sinks and sources, and it has been suggested that the carbon-storage capacity of forests may have economic value. Here, connections between forests and the developing WCI cap-and-trade system design are examined. Qualitative comparative analysis is used to examine characteristics of US states participating in the WCI. Content analysis is used to identify what advocacy groups promote what forest-related WCI cap-and-trade rules. A combination of low per capita GHG emissions, and strong environmental politics, is found to be related to regional climate initiative participation by US states, with important exceptions among WCI participants. Forest industry presence alone does not obviously influence participation. Electric utility and industry groups, including the forestry sector, are found to support an extensive WCI carbon offset system. Forest industry groups are also found to support the carbon neutrality of forest biomass combustion, and oppose regulating forest carbon emissions. Several environmental non-governmental organizations are found to oppose extensive carbon offset use, and oppose the unconditional consideration of biomass combustion as carbon neutral. Forest related aspects of the WCI Design Recommendations of September 2008 are found to largely agree with forest industry advocated policies. Some WCI provisions may provide incentives for forest carbon loss, or weaken the GHG emissions cap. Three recommendations are made: consideration should be given to appropriately discounting forest offset projects to address carbon emissions leakage; forest carbon emissions from land conversion should be accounted for; combustion of forest biomass from old-growth forests should not be considered carbon neutral. / Thesis (Master, Environmental Studies) -- Queen's University, 2009-10-29 22:29:48.499
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L'impact de la liaison de l'Ontario avec le marché du carbone de la Californie et du QuébecBordeleau, Louis-Carl 08 June 2018 (has links)
Le Québec et la Californie, membres de la Western Climate Initiative (WCI), ont instauré leurs marchés du carbone en 2012 et les ont liés en 2014 pour former le premier marché du carbone liant des régions de pays différents. L’Ontario, également membre de la WCI, opère son propre marché du carbone depuis le premier janvier 2017 et devrait se lier au Québec et à la Californie en 2018. Puisqu’il s’agit d’une liaison bilatérale, l’intégration de l’Ontario créera un choc sur les demande et offre agrégées. Les quantités de droits d’émission disponibles et leur prix en seront donc affectés. De plus, ces liaisons sont généralement efficaces. Il peut cependant en découler des transferts de fonds importants des régions importatrices vers les régions exportatrices. En usant de simples tendances, je détermine que l’accroissement de la demande de permis sur le marché commun attribuable aux firmes ontariennes dépassera l’accroissement de l’offre attribuable à l’entrée de l’Ontario sur ce marché. Il en résulte que l’offre excédentaire devrait diminuer de 20 millions d’unité sur le marché commun entre 2016 à 2020. Même si les droits d’émission diminuent, le marché demeurera avec une offre largement excédentaire et le prix restera près du prix plancher. L’offre globale dépassera la demande globale mais les demandes québécoise et ontarienne dépasseront les offres de permis dans ces deux provinces. Par conséquent, les entreprises québécoises et ontariennes importeront des droits d’émission californiens pour se conformer. L’importation de ces droits d’émission entrainera des transferts de fonds de 604,5 millions de dollars canadiens.
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Vers un marché du carbone au Québec : éléments de réflexion à la lumière de l'analyse économique du droitPapy, Jacques 08 1900 (has links)
Dans le cadre de la Western Climate Iniative, le Québec a déployé en 2012, un système de plafonnement et d’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre (SPEDE). Il s’agit de l’un des premiers régimes de ce type en Amérique du Nord et celui-ci pourrait à terme, constituer l'un des maillons d’un marché commun du carbone à l’échelle du continent. Toutefois, le SPEDE appartient à une catégorie d’instruments économiques de protection de l’environnement encore peu connue des juristes. Il s’inscrit en effet dans la régulation économique de l’environnement et repose sur des notions tirées de la théorie économique, dont la rareté, la propriété et le marché. La thèse s’insère donc dans le dialogue entre juristes et économistes autour de la conception et de la mise en œuvre de ce type d’instrument.
Afin d’explorer son architecture et de révéler les enjeux juridiques qui le traversent, nous avons eu recours à la méthode de l’analyse économique du droit. Celle-ci permet notamment de montrer les dynamiques d'incitation et d’efficacité qui sont à l'œuvre dans les règles qui encadrent le SPEDE. Elle permet également à donner un aperçu du rôle décisif joué par la formulation des règles de droit dans l’opérationnalisation des hypothèses économiques sous-jacentes à cette catégorie d’instrument. L’exploration est menée par l’entremise d’une modélisation progressive de l’échange de droits d’émission qui prend en compte les coûts de transaction. Le modèle proposé dans la thèse met ainsi en lumière, de manière générale, les points de friction qui sont susceptibles de survenir aux différentes étapes de l'échange de droits d'émission et qui peuvent faire obstacle à son efficacité économique.
L’application du modèle aux règles du SPEDE a permis de contribuer à l’avancement des connaissances en donnant aux juristes un outil permettant de donner une cohérence et une intelligibilité à l’analyse des règles de l’échange. Elle a ainsi fourni une nomenclature des règles encadrant l’échange de droits d’émission. Cette nomenclature fait ressortir les stratégies de diversification de l’échange, d’institutionnalisation de ses modalités ainsi que les enjeux de la surveillance des marchés, dont celui des instruments dérivés adossés aux droits d’émission, dans un contexte de fragmentation des autorités de tutelle. / As part of the launch of the Western Climate Initiative, the province of Québec has implemented on January 1st, 2012, one of the first carbon emissions trading system in North America (CETS). Such a system could in time become part of the emerging regulated market for carbon on the continent. However, it belongs to a category of economic instruments still timidly explored in legal literature. The CETS forms part of the economic regulation of the environment and is based on concepts drawn from the economic theory such as scarcity, property and the market. The thesis aims at contributing to the dialogue between jurists and economists around the design and implementation of this type of instrument.
In order to explore its architecture and uncover the legal issues at play, we applied the teachings of law and economics in order to reveal the underlying dynamics of incitation and efficiency built in the CETS regulations and highlight the pivotal role played by the formulation of legal rules in their operationalization. The exploration is conducted through a progressive modelling of the exchange of emission rights, which takes into account transaction costs. The resulting model brings to light friction points that are likely to occur at different stages of the exchange of emission rights and might negatively impact its economic efficiency.
The thesis contributes to the advancement of knowledge by offering jurists a coherent and intelligible legal analysis of the rules governing the exchange of emission rights in the CETS. Thus, it provides a systematic arrangement of these rules structured around the diversification strategies of the exchange and the institutionalization of its terms. It also raises market surveillance issues, particularly of the carbon derivatives market, in a context of fragmentation of market authorities.
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Vers un marché du carbone au Québec : éléments de réflexion à la lumière de l'analyse économique du droitPapy, Jacques 08 1900 (has links)
Dans le cadre de la Western Climate Iniative, le Québec a déployé en 2012, un système de plafonnement et d’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre (SPEDE). Il s’agit de l’un des premiers régimes de ce type en Amérique du Nord et celui-ci pourrait à terme, constituer l'un des maillons d’un marché commun du carbone à l’échelle du continent. Toutefois, le SPEDE appartient à une catégorie d’instruments économiques de protection de l’environnement encore peu connue des juristes. Il s’inscrit en effet dans la régulation économique de l’environnement et repose sur des notions tirées de la théorie économique, dont la rareté, la propriété et le marché. La thèse s’insère donc dans le dialogue entre juristes et économistes autour de la conception et de la mise en œuvre de ce type d’instrument.
Afin d’explorer son architecture et de révéler les enjeux juridiques qui le traversent, nous avons eu recours à la méthode de l’analyse économique du droit. Celle-ci permet notamment de montrer les dynamiques d'incitation et d’efficacité qui sont à l'œuvre dans les règles qui encadrent le SPEDE. Elle permet également à donner un aperçu du rôle décisif joué par la formulation des règles de droit dans l’opérationnalisation des hypothèses économiques sous-jacentes à cette catégorie d’instrument. L’exploration est menée par l’entremise d’une modélisation progressive de l’échange de droits d’émission qui prend en compte les coûts de transaction. Le modèle proposé dans la thèse met ainsi en lumière, de manière générale, les points de friction qui sont susceptibles de survenir aux différentes étapes de l'échange de droits d'émission et qui peuvent faire obstacle à son efficacité économique.
L’application du modèle aux règles du SPEDE a permis de contribuer à l’avancement des connaissances en donnant aux juristes un outil permettant de donner une cohérence et une intelligibilité à l’analyse des règles de l’échange. Elle a ainsi fourni une nomenclature des règles encadrant l’échange de droits d’émission. Cette nomenclature fait ressortir les stratégies de diversification de l’échange, d’institutionnalisation de ses modalités ainsi que les enjeux de la surveillance des marchés, dont celui des instruments dérivés adossés aux droits d’émission, dans un contexte de fragmentation des autorités de tutelle. / As part of the launch of the Western Climate Initiative, the province of Québec has implemented on January 1st, 2012, one of the first carbon emissions trading system in North America (CETS). Such a system could in time become part of the emerging regulated market for carbon on the continent. However, it belongs to a category of economic instruments still timidly explored in legal literature. The CETS forms part of the economic regulation of the environment and is based on concepts drawn from the economic theory such as scarcity, property and the market. The thesis aims at contributing to the dialogue between jurists and economists around the design and implementation of this type of instrument.
In order to explore its architecture and uncover the legal issues at play, we applied the teachings of law and economics in order to reveal the underlying dynamics of incitation and efficiency built in the CETS regulations and highlight the pivotal role played by the formulation of legal rules in their operationalization. The exploration is conducted through a progressive modelling of the exchange of emission rights, which takes into account transaction costs. The resulting model brings to light friction points that are likely to occur at different stages of the exchange of emission rights and might negatively impact its economic efficiency.
The thesis contributes to the advancement of knowledge by offering jurists a coherent and intelligible legal analysis of the rules governing the exchange of emission rights in the CETS. Thus, it provides a systematic arrangement of these rules structured around the diversification strategies of the exchange and the institutionalization of its terms. It also raises market surveillance issues, particularly of the carbon derivatives market, in a context of fragmentation of market authorities.
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