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La notion d'intérêt de l'entreprise en droits comparés français, béninois et de l'OHADA / The concept of interest of the company in comparative French, Benin and OHADA rights

Dokoui, Symphorien 11 December 2018 (has links)
Séculaire, le débat autour de la notion d’intérêt de l’entreprise est loin de s’éteindre. Les questions qui entourent sa définition, son appréhension et les frontières de son effectivité continuent de nourrir les réflexions de tous ceux qui s’intéressent au droit de la relation du travail, au droit de l’entreprise. Paradigme, boussole ou jauge des comportements et décisions de gestion, l’intérêt de l’entreprise apparaît comme une notion « caméléon ». De source jurisprudentielle, l’intérêt de l’entreprise n’est pas moins une notion au centre de toutes les réformes touchant, non seulement, à l’amélioration des rapports de « collaboration » des parties à la relation de travail, mais à l’indispensable coopération entre tous ceux qui prennent part à l’exploitation des activités économiques « investisseurs, salariés, clients, fournisseurs, fonctionnaires, analystes financiers, associations professionnelles, État ». Visant à assainir tous les montages stratégiques et managériaux dans l’optique d’une compétitivité réelle de l’entreprise, la notion ne contribue pas moins à la protection de la dignité du salarié au travers la garantie d’un travail décent. Ainsi, tous ceux qui concourent au fonctionnement de l’entreprise doivent agir dans le sens de l’intérêt de l’entreprise, dans la réalisation du « projet collectif ». La notion se trouve ainsi au centre d’une articulation entre « l’individuel » et le « collectif ». D’implantation récente en droit français, la notion l’est relativement dans l’espace OHADA et très peu en droit béninois / Secular, the debate around the concept of interest of the company is far from dying out. The questions surrounding its definition, its apprehension and the limits of its effectiveness continue to feed the reflections of all those who are interested in the law of the labor relation, the right of the company. Paradigm, compass or gauge of behavior and management decisions, the interest of the company appears as a notion "chameleon". From a jurisprudential source, the interest of the company is no less a central notion of all the reforms affecting not only the improvement of the "collaboration" relations of the parties to the employment relationship, but also the essential cooperation between all those who take part in the exploitation of economic activities "investors, employees, customers, suppliers, civil servants, financial analysts, professional associations, the State". Aiming to clean up all the strategic and managerial mounts with a view to a real competitiveness of the company, the notion contributes not less to the protection of the dignity of the employee through the guarantee of decent work. Thus, all those who contribute to the operation of the company must act in the interest of the company, in the realization of the "collective project". The notion is thus at the center of an articulation between "the individual" and the "collective". Recently established in French law, the concept is relatively in the OHADA space and very little in Benin law
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La travail, l'argent et l'amour : les arrangements de couples de parents québécois à revenus modestes

Seery, Annabelle 04 1900 (has links)
Cette thèse porte sur les arrangements de couples de parents hétérosexuels québécois à revenus modestes en s’attardant aux pratiques et aux significations mises de l’avant dans le récit des personnes rencontrées. Elle vise principalement à cerner les arrangements conjugaux en regard de la division du travail et de la gestion de l’argent et, plus spécifiquement à 1) décrire ces arrangements, 2) cerner l’articulation entre la division du travail et la gestion financière entre conjoints, et 3) cerner les écarts et les convergences entre les pratiques et les significations de ces arrangements dans le récit des personnes participantes. À partir de l’analyse de 30 entretiens semi-directifs réalisés dans une perspective inductive et compréhensive auprès de 17 femmes et 13 hommes, nous mettons au jour l’intrication entre la division sexuelle du travail, la signification sociale de l’argent et la sémantique de la conjugalité contemporaine pour saisir la complexité des arrangements décrits. Nos analyses montrent que les trajectoires professionnelles des femmes sont très marquées par la maternité, contrairement à celles des hommes pour qui des facteurs extérieurs à la famille expliquent les changements. L’utilisation du congé parental de même que les arrangements de garde des enfants montrent les limites qu’imposent à la fois les conditions de travail et de rémunération de même que la ségrégation professionnelle selon le genre. De plus, la division du travail domestique dans les couples rencontrés rend compte du maintien de la division sexuelle du travail. Nos analyses montrent aussi que les arrangements financiers des couples peuvent être décrits à partir des logiques des modes de gestion (mise en commun des revenus ou partage des dépenses), mais que des dimensions de la gestion de l’argent doivent également être abordées (propriété de l’argent, accès à l’argent, contrôle de l’argent et responsabilité du travail de gestion financière). En observant ces quatre dimensions, nous pouvons prendre la pleine mesure de la complexité des arrangements financiers. Étroitement liées entre elles, elles rendent compte de la prégnance des rapports sociaux de sexe au sein des couples. Que ce soit dans la façon de percevoir ses revenus, au-delà de leur source, des liens qui se maintiennent toujours entre la maternité et le dévouement attendu envers ses enfants et le type de dépenses faites, ou de la continuité entre la responsabilité du travail domestique et du travail de gestion financière dans les couples où l’argent est limité, etc., la division sexuelle du travail imprègne fortement les significations de l’argent ainsi que les arrangements financiers observés au sein des couples. Enfin, tant la mise en place des arrangements conjugaux étudiés que la satisfaction que les personnes participantes en ont reflètent les logiques de la division sexuelle du travail, de la signification sociale de l’argent et des règles de la sémantique de la conjugalité contemporaine (fiction de la durée, investissement continu dans la relation, communication, altruisme ou désintérêt, réciprocité différée et confiance). Contrairement à l’idée répandue voulant que les hommes et les femmes en couples hétérosexuels, en tant qu’individus indépendants et égaux, négocient leurs arrangements, nous affirmons, d’une part, qu’ils et elles n’ont pas autant le « choix » qu’il y parait et que, d’autre part, la communication n’est pas le moyen par lequel les arrangements sont mis en place. / This doctoral dissertation is centred on the arrangements of couples of low-income Québec heterosexual parents by focusing on the practices and meanings put forward in the stories of those interviewed. Its main purpose is to identify couples’ arrangements with regard to the division of labour and money management and, more specifically, to 1) describe these arrangements, 2) identify the articulation between the division of labour and financial management between spouses, and 3) identify gaps and convergences between the practices and the meanings of these arrangements in the narrative of the participants. Based on the analysis of 30 semi-structured interviews conducted with an inductive and comprehensive perspective with 17 women and 13 men, we bring to light the entanglement between the sexual division of labor, the social meaning of money and the semantics of contemporary conjugality to grasp the complexity of the arrangements described. Our analysis shows that women's occupational trajectories are very marked by motherhood, unlike those of men for whom factors outside the family explain the changes. The use of parental leave as well as childcare arrangements show the limits imposed by both working and remuneration conditions as well as occupational segregation by gender. In addition, the division of domestic work among the couples met reflects the maintenance of the sexual division of labour. Our analysis also shows that couples' financial arrangements can be described from the logic of management methods (pooling income or sharing expenses), but that money management dimensions also need to be addressed. By observing the property of money, access to money, control of money and moneywork, we can take full measure of the complexity of the financial arrangements. Closely linked, these four dimensions reflect the importance of the social relations of the sexes within couples. Whether it is in the way of perceiving one's income, the links that are still maintained between maternity and the expected dedication towards the children and the types of expenses made, or the continuity between the responsibility of domestic work and moneywork in couples where money is limited, etc., the sexual division of labour strongly imbues the meaning of money as well as the financial arrangements observed within couples. Finally, both the set up of the couples’ arrangements studied and the satisfaction of the participants reflect the logic of the sexual division of labour, the social meaning of money and the rules of the semantics of contemporary conjugality (fiction duration, continuous investment in the relationship, communication, altruism or disinterest, delayed reciprocity and trust). Contrary to popular belief that men and women in heterosexual couples, as independent and equal individuals, negotiate their arrangements, we affirm, on the one hand, that they do not have as much “choice,” and that, on the other hand, communication is not the means by which arrangements are put in place.

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