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Étude du lexique mental : hypothèse d'une forme de base et le rôle des suffixes en françaisBusson, Céline January 1998 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Représentation des mots et des non-mots en mémoire visuelle à court terme : évidence provenant de l'électrophysiologie humainePredovan, David January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Représentation des mots et des non-mots en mémoire visuelle à court terme : évidence provenant de l'électrophysiologie humainePredovan, David January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Effets des facteurs biologiques hormonaux sur la performance langagièreLamoureux, Charles January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Effets des facteurs biologiques hormonaux sur la performance langagièreLamoureux, Charles January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Analyse comparative de l'acquisition du langage et de son déclin dans la maladie d'Alzheimer : étude de la théorie de la rétrogenèse / Comparative analysis of language acquisition and its decline in Alzheimer's disease : a study of the retrogenesis hypothesisFrouin, Camille 09 May 2019 (has links)
Cette thèse avait pour objectif de tester la théorie de la rétrogenèse appliquée au langage des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, afin de tirer des conclusions permettant d’adapter notre comportement aux patients et de mettre en place des méthodes de maintient dans le langage plus appropriées.Pour ce faire, trois tâches ont été mises en place : une tâche de fluence verbale (phonémique (lettre initiale P) puis sémantique (animaux)), une tâche de dénomination d’images, ainsi qu’une tâche de répétition de phrases. Trois groupes de participants ont été créés : un groupe de 80 personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, un groupe de 60 enfants, âgés de 3 à 11 ans, puis un groupe contrôle de personnes âgées saines. Le groupe des patients était divisé en 4 sous-groupes en fonction de leur score au MMSE. Il en était de même pour les enfants, répartis en trois sous-groupes.Les analyses effectuées par le biais de modèles mixtes, ont permis de montrer que le déclin du langage dans la maladie d’Alzheimer semble bien suivre un ordre symétrique à celui de son acquisition. L’effet d’AoA permet souvent d’expliquer ce phénomène. Toutefois, des différences entre les enfants et les personnes Alzheimer sont également observables : si le langage semble suivre une involution symétrique à celle de l’enfant, il n’en est pas moins que les processus sous-jacents impliqués ne sont pas les mêmes que chez l’enfant. / The aim of this thesis was to test retrogenesis hypothesis applied to the language of people with Alzheimer's disease, in order to draw conclusions allowing us to adapt our behavior to patients and to implement appropriate methods of maintaining language.To do this, three tasks were established: a verbal fluency task (phonemic (initial letter P) and then semantic (animals)), an picture naming task, and a sentence repetition task. Three groups of participants were created: a group of 80 people with Alzheimer's disease, a group of 60 children, aged 3 to 11, and a healthy elderly control group. The patient group was divided into 4 subgroups based on their MMSE score. It was the same for children, divided into three subgroups.Analyzes conducted runing mixed models have shown that the decline of language in Alzheimer's disease seems to follow a symmetrical order to that of its acquisition. The effect of AoA can often explain this phenomenon. However, differences between children and Alzheimer's patients are also observable: if the language seems to follow an involution symmetrical to that of the child, it is nonetheless that the underlying processes involved are not the same as in the child.
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L’accès lexical chez les enfants francophones avec et sans difficultés d'accès lexical en contexte de narrationBourassa Bédard, Vincent 11 1900 (has links)
Les difficultés d’accès lexical, aussi appelées trouble d’accès lexical, se manifestent par une incapacité fréquente à retrouver le mot voulu pour s’exprimer. Bien que les difficultés d’accès lexical soient couramment rapportées chez les enfants vus en orthophonie, celles-ci bénéficient de peu de recherches en orthophonie. Les recherches auprès des enfants francophones ou ayant recours à des tâches discursives, comme la narration, sont encore plus rares. Cette thèse visait, dans un premier temps, à mettre à l’essai l’analyse de l’accès lexical en discours du Test of Word Finding in Discourse (German, 1991) auprès des enfants francophones d’âge scolaire. Dans un deuxième temps, cette thèse avait pour objectif 1) de mieux comprendre à quelle étape de la production de la parole se situent les difficultés d’accès lexical et 2) de déterminer quelles tâches, parmi celles les plus fréquemment utilisées pour évaluer l’accès lexical, permettent de distinguer des enfants avec et sans difficultés d’accès lexical.
Pour répondre à ces objectifs, trois études distinctes ont été développées. Deux études auprès d’enfants francophones participant à des tâches de narration suggéraient que nos participant·e·s produisaient plus de manifestations pouvant être associées à des difficultés d’accès lexical, appelées caractéristiques d’accès lexical (répétitions, révisions, etc.), que celleux de l’échantillon de normalisation du Test of Word Finding in Discourse (German, 1991). Nos résultats suggèrent que la fréquence des caractéristiques d’accès lexical peut être associée au genre de l’enfant, à la langue parlée et au type de tâche (narration vs description d’images). Les résultats de la troisième étude, réalisée auprès d’enfants avec et sans difficultés d’accès lexical, suggèrent qu’en général, les difficultés d’AL impliquent un déficit sémantique, soit à développer des représentations sémantiques précises sur les mots appris. Cela rendrait ensuite ardu l’accès à ces mots. Lorsque les enfants avec difficultés d’accès lexical sont catégorisés en profils de difficultés, un profil de difficultés sémantiques et phonologiques émerge, de même que des profils intermédiaires, sans être spécifiques à des difficultés sémantiques ou phonologiques. Ces résultats concordent avec une autre étude faisant usage des analyses par profils, mais ne concordent pas avec la majorité de la littérature qui propose de catégoriser les enfants avec difficultés d’accès lexical en profils sémantiques et phonologiques.
Concernant l’identification de difficultés d’accès lexical, nos résultats suggèrent qu’un questionnaire de dépistage des difficultés d’accès lexical, une tâche de définitions de mots et une tâche de dénomination sont prometteurs. Bien qu’il existe des différences significatives entre les enfants avec et sans difficultés d’accès lexical en discours, nous recommandons d’utiliser le discours pour permettre de décrire les impacts des difficultés d’accès lexical plutôt que de statuer sur leur présence. D’autres études sont nécessaires, surtout impliquant le discours, étant donnés les défis de l’évaluation en discours. / Word-finding difficulties are best described as a frequent inability to find the target words to express oneself. Although word-finding difficulties are commonly reported in children receiving speech and language services, research on these difficulties is sparse. Research with French-speaking children or including narrative tasks is even rarer. French-speaking children and for narration. This thesis aimed to test the use of the Test of Word Finding in Discourse’s analysis of word-finding behaviours with French-speaking school-aged children. This thesis also aimed 1) to better understand at which stage of speech production word-finding difficulties may arise and 2) to determine which task, among the ones frequently used to assess word-finding difficulties, can best distinguish children with and without word-finding difficulties.
To this end, three distinct studies were developed. Two studies of French-speaking children participating in a narrative task suggest that our participants produce more word-finding behaviours (repetitions, word reformulations, etc.) than those from the Test of Word Finding in Discourse’s (German, 1991) normalization sample. Our results suggest that the frequency of word-finding behaviours could be associated with a child’s gender or language spoken as well as the type of task (narration vs picture description). The third study, conducted with children with and without word-finding difficulties, suggests that, in general, word-finding difficulties involve a semantic deficit, that is, difficulties developing precise semantic representations when learning new words. This would then make it hard for the child to retrieve these words. When children with word-finding difficulties were categorized into word-finding difficulties profiles, one with both semantic and phonological difficulties emerged, as well as intermediary profiles that were not specific to semantic or phonological difficulties. These results agree with another study of word-finding profiles, but not with the majority of the literature that proposes that children with word-finding difficulties can be categorized into semantic and phonological profiles.
Regarding the identification of word-finding difficulties, our results indicate that a screening questionnaire for word-finding difficulties, a word definition task and a naming task are all promising tools. Although there were significant differences between children with and without word-finding difficulties in discourse, we recommend using discourse measures to describe the impacts of word-finding difficulties rather than to identify word-finding difficulties. Further studies are needed, especially ones involving discourse measures, given the challenges in using discourse in speech-language pathology.
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Traitement de l'information latérale au cours de l'apprentissage de la lecture : études comparatives chez l'apprenti lecteur / Lateral information processing in beginning reader : a comparative studyKhelifi, Rachid 10 December 2013 (has links)
Dans cette thèse, nous avons examiné chez des apprentis lecteurs le traitement de l'information latérale en lecture de mots isolés et le comportement oculomoteur en lecture de texte. Dans un premier groupe d'expériences, nous montrons que les apprentis lecteurs présentent une sensibilité à l'information latérale. Cette sensibilité dépend des caractéristiques de cette information (linguistique versus non linguistique) mais elle varie également selon le degré de difficulté associée au traitement de l'information centrale (mots fréquents versus mots peu fréquents). Le contrôle des ressources attentionnelles serait moins efficace chez les apprentis lecteurs que chez les lecteurs experts. Un deuxième groupe d'expériences met en évidence une amélioration de la capacité à traiter l'information latérale au cours de l'apprentissage de la lecture. Les résultats montrent également des différences qualitatives entre les lecteurs débutants et les lecteurs experts dans l'initiation des traitements lexicaux à partir de l'information parafovéale. Dans notre troisième groupe d'expériences, les résultats montrent qu'en lecture de texte, les apprentis lecteurs fixent plus longtemps les mots et les refixent également plus souvent que les lecteurs experts. Au fur et à mesure de l'apprentissage de la lecture, la taille des saccades s'accroît. De plus, les effets de la longueur des mots et de la fréquence sont plus importants chez les lecteurs de CE2 que chez les lecteurs de CM2 ou les lecteurs experts. Les différences développementales mises en évidence sont principalement liées à des facteurs cognitifs plutôt qu'à des facteurs oculomoteurs. / This thesis explore in beginning readers processing of lateral information in isolated reading task and eye movement in text reading. In a first serie of experiments, we show that beginning readers are sensitive to the lateral information. This sensitivity depends upon the difficulty of the central word that is under processing, but also upon the nature of the lateral information (linguistic versus non linguistic). Control of the visual attention could be less developped in beginning readers that in expert readers. In a second serie of experiments, our results indicate that increased reading skill goes hand in hand with the ability to extract more information from lateral vision. Differance are also evidenced between beginning readers and expert readers in the way initiation of the lexical processing from lateral information is achieve. In a third serie of experiments, results show that in text reading, beginning readers make shorter saccades, had higher fixation durations and higher refixation probabilities than in older or expert readers. Developmental differences that are evidenced are mainly linked to cognitive processes than oculomotor processes.
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Manifestations du manque du mot dans les narrations et les explications d’enfants québécois unilingues et bilinguesRondeau, Alexia 08 1900 (has links)
Des avantages et désavantages cognitifs existeraient chez l’enfant bilingue par rapport à son homologue unilingue, dû à l’activation constante des deux langues chez le bilingue et à son traitement langagier plus complexe. Cette surcharge de traitement affecterait d’ailleurs l’accès lexical des bilingues, qui auraient davantage de « mots sur le bout de la langue ». Puisque le discours pourrait être une mesure d’évaluation moins biaisée que les tests de vocabulaire normés et qui permettrait de saisir les compétences fondamentales lexicales des enfants, le Test of Word Finding in Discourse (TWFD ; German, 1991) a été utilisé afin d’évaluer l’incidence des manifestations des difficultés d’accès lexical (DAL ; répétition, révision, mot vide, commentaire métalinguistique ou métacognitif, substitution, pause ou interjection) dans trois situations discursives (2 narratives, 1 explicative) de 30 enfants québécois entre 7;1 et 10;8 ans (15 unilingues francophones et 15 bilingues simultanés français–anglais, dominants en français. L’alternance codique (code-switching), pertinente par la présence de la population bilingue, a aussi été étudiée. Aucune différence n’a été obtenue entre les enfants unilingues et bilingues pour l’incidence des manifestations des DAL. Davantage de mots vides et de révisions ont par ailleurs été obtenus dans le discours explicatif alors que le taux de pauses était plus élevé dans le discours narratif et ce, pour tous les enfants. L’évaluation de la productivité de langage a montré une différence entre les enfants bilingues et unilingues, où ces derniers ont obtenus des moyennes supérieures pour le nombre d’énoncés total, le nombre de mots total et le nombre de mots différents. Aussi, la longueur moyenne de l’énoncé était en moyenne plus longue, pour tous les enfants, dans le discours explicatif que dans la narration. Enfin, les manifestations du MBL en discours seraient une mesure sensible d’évaluation des enfants typiques bilingues, puisque leurs résultats de production ne diffèrent pas de ceux des unilingues typiques, ce qui pourrait éviter de les surdiagnostiquer avec un trouble de langage. / Cognitive advantages and disadvantages seem to exist in the bilingual child compared to his unilingual counterpart, due to the constant activation of the two languages in the bilingual and to his subsequent more complex language processing. This processing overload seems to affect the lexical access of bilinguals, who would have more words on the “tip of their tongue". Since discourse could be a less biased assessment measure than standardized vocabulary tests and would capture children's basic lexical skills, the Test of Word Finding in Discourse (TWFD ; German, 1991) was used to assess the presence of word-finding difficulties (WFD ; repetition, revision, empty word, metalinguistic or metacognitive comment, substitution, pause or interjection) in three discourse situations (2 narrative, 1 expository) of 30 Quebec children between 7;1 and 10;8 years old (15 unilingual francophones and 15 French-English bilinguals (French dominant)). Code-switching, relevant to the presence of the bilingual population, was also studied. No difference was found between monolingual and bilingual children in the WFD measure for the incidence of WFD. More empty words and revisions were obtained in the expository speech for all children, while the rate of pauses was higher in the narrative speech. The assessment of language productivity showed a difference between bilingual and monolingual children, where the latter obtained higher averages for the total number of utterances, the total number of words and the number of different words. Also, the mean length of utterances was longer in the expository discourse than in the narrative, regardless of languages spoken by the children. Finally, WFD manifestations in discourse could be a sensitive measure of assessment for typical bilingual children, since their production scores did not differ from those of typical monolinguals. This could prevent overidentification of language disorders in this population.
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