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Cinématique des nappes superficielles et profondes dans une chaîne de collision.

Merle, Olivier 16 March 1990 (has links) (PDF)
Ce mémoire de Thèse se divise en deux parties. La première traite du problème de la déformation interne associée au déplacement des nappes superficielles. Sans privilégier un modèle par rapport à d'autres, on tente dans un premier temps de synthétiser les principaux mécanismes de mise en place géologiquement réalistes, puis de déterminer leur champ de déformation afin de donner des clés permettant de les reconnaÎtre dans leur environnement naturel. La méthodologie utilisée (analyse mathématique de données expérimentales) vise en dernière instance à des conclusions concrètes, directement applicable sur le terrain. Pour chaque modèle, on cherche ainsi par l'étude du champ de déformation à dégager des invariants qui permettent de comparer utilement les cas théoriques et les cas naturels. Les données expérimentales démontrent que les conditions aux limites déterminent pour une large part, le champ de déformation finie associé au déplacement des nappes. C'est pourquoi la classification proposée des mécanismes de mise en place des nappes superficielles repose sur des cas limites, dont l'intérêt provient, à la fois de leur déformation interne spécifique et de leur indéniable réalité géologique. La deuxième partie traite du problème de la cinématique tertiaire des Alpes suisses. L'histoire tertiaire de ce segment de la chaîne alpine est abordée par l'étude des champ de déformation et du métamorphisme associé dans le domaine interne de la chaîne. Ces données cinématiques ne sont interprétables que dans le cadre élargie de l'évolution thermo-mécanique des Alpes centra les depuis le Crétacé (phase d'épaississement maximal) jusqu'au Miocène. En particulier, la phase néo-alpine aux alentours de 30-25Ma, phase majeure quant à la structuration actuellement visible sur le terrain, se produit lorsque les conditions métamorphiques maximales sont atteintes. Elle correspond à la déformation par raccourcissement horizontal de la croûte européenne épaissie mais amollies thermiquement. La cinématique des déformations est alors contrôlée par les variations horizontales de résistance: extrusion verticale de la croûte ductile épaisse située entre deux "pistons" peu déformables, la plaque adriatique au sud et l'avant pays européen au nord. Les déplacements de matière associés à cette extrusion verticale sont complexes, principalement caractérisés par un rétrochevauchement sud sur le poinçon adriatique et des chevauchements tangentiels vers l'avant pays européen.
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Mesure et modélisation des contraintes naturelles dans un massif rocheux alpin. Effets de la topographie, de l'anisotropie et des contraintes tectoniques; application au projet de tunnel Maurienne-Ambin.

Mayeur, Bertrand 20 October 1999 (has links) (PDF)
Le projet de tunnel de base Maurienne-Arnbin, qui traversera les Alpes sur plus de 50 km de longueur et sous un 'recouvrement de terrain atteignant au maximum 2500 m, pose le problème de la prévision des états de contraintes naturelles dans les massifs rocheux ; le comportement du rocher pendant l'excavation aussi bien que la stabilité de l'ouvrage en dépendent. Pour étudier cette question complexe, nous avons eu recours à plusieurs approches complémentaires. Il s'agit tout d'abord d'une étude en laboratoire du comportement mécanique du gneiss d'Ambin, visant en particulier à quantifier précisément son anisotropie élastique ; c'est dans cette roche que le recouvrement sera maximal, et donc la prévision de contraintes particulièrement importante. Nous avons ensuite interprété une série de mesures de contraintes in-situ réalisées dans quinze forages de reconnaissance à la cote du futur tunnel, essentiellement par la méthode des tests hydrauliques sur fractures préexistantes (méthode HTPF). Nous avons enfin évalué, avec l'aide de la modélisation numérique, le poids relatif des différents paramètres influant sur l'état de contraintes naturel : la topographie, l'anisotropie élastique des roches et la tectonique. Il ressort de cette étude que dans le secteur concerné par le tunnel Maurienne-Arnbin, la tectonique combinée à la topographie semble être le facteur prédominant, qui explique une bonne partie des observations de terrain. L'anisotropie des roches comme le gneiss d'Arnbin, dont le rapport des modules élastiques est proche de 1.5 , n'est qu'un paramètre de second ordre, mais il influe tout de même sur les valeurs et les orientations des contraintes principales.
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Tectonique cassante de l'arc interne des Alpes occidentales; implications géodynamiques

Champagnac, Jean-Daniel 21 January 2005 (has links) (PDF)
La fracturation des zones internes des Alpes occidentales montre principalement une déformation extensive: 75% des failles mesurées sont normales, 25% sont décrochantes. Cette fracturation néogène est synchrone d'un régime compressif en externe. Des indices néotectoniques montrent qu'une partie de cette fracturation est récente.<br />200 tenseurs de paléocontraintes ont été obtenus par Inversion Directe et ont été synthétisées avec des données existantes (Simplon et Briançon). L'extension est principalement parallèle à la direction des structures alpines et s'exprime sur des failles orientées radialement par rapport à l'arc alpin. Une partie de l'extension est perpendiculaire à la direction de la chaîne; elle augmente du Nord au Sud, et s'exprime bien dans la région de Briançon. Des décrochements s'observent dans tout l'arc; ils sont plus récents que l'extension dans la partie sud de l'arc, alors qu'il sont plus anciens dans le Sud Valais. Les axes de tension associés sont compatibles avec les directions générales de l'extension.<br />Deux régimes tectoniques différents dans les Alpes occidentales sont donc mis en évidence et différents moteurs géodynamiques sont proposés pour expliquer ces observations:<br /> - Une extrusion vers une bordure libre pendant les derniers épisodes compressifs, en relation avec la rotation l'Apulie et l'ouverture de la Mer Ligure. <br /> - Un étalement gravitaire lié à l'absence actuelle de convergence provoquant une extension radiale à l'arc.<br /> Le passage d'un régime à l'autre a peut-être eu lieu durant le Pliocène, en relation avec le ralentissement de la convergence au niveau des Alpes occidentales et l'augmentation des taux d'érosion dans la chaîne.
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Les cornieules polymictes des Préalpes internes et de l'Autochtone helvétique en Suisse romande: thèmes choisis liés aux cornieules en général.

Jeanbourquin, Pascal 25 June 1986 (has links) (PDF)
Les cornieules (cargneules ou "Rauhwackes") sont des variétés de brèches dolomitiques à ciment calcaire très vacuolaires en surface. C'est un terme pratique de terrain. Mais, la définition même du mot cornieule est vague, souvent entachée d'ambiguités. Pour cette raison, la classification suivante: 1- cornieule monomicte, 2- cornieule polymicte, 3- cornieule dimicte, 4- roches apparentées aux cornieules, a été adoptée dans ce travail. Cette grande diversité est le fruit de nombreux processus qui ont transformé une roche initiale (la dolomie). Ces processus sont exprimés préférentiellement dans chaque variété de cornieule. Un type de genèse unique qui expliquerait toutes les cornieules ne peut être envisagé. La première et principale partie de ce travail est consacrée à l'étude des cornieules polymictes et de leurs éléments. La répartition cartographique erratique des affleurements, ainsi que la la nature des éléments de ces brèches polymictes mettent en évidence la source du matériel détritique étranger au Trias, soit les roches avoisinantes, et les dépôts quaternaires proches. Nous associons les cornieules polymictes (cat. 2) à des résidus de dissolution de la dolomie et de la cornieule, en général en bordure des gypses Une telle hypothèse d'incorporation tardive lithoclastes est confirmée par l'observation de structures karstiques: - conduits obstrués par des sédiments carbonatés fins, varvés subhorizontalement, des masses de sédiments fins varvés remaniés dans la brèche polymicte, - plusieurs phases de sédiments reconstitués à faciès cornieule. Les aquifères ont été actifs durant le Quaternaire ou même récemment puisque ces résidus contiennent parfois des galets des moraines rhodanienes, ou locales suivant les cas. Lorsque la contamination par les galets étrangers n'a pas été possible, la brèche est restée monomicte, avec une matrice finement détritique marno-calcaire. La deuxième partie de ce travail est consacrée au développement de quelques traits bien caractéristiques des différentes variétés de cornieules: relations entre les différents types, altération, cloisons, phénomènes chimiques et aspects tectoniques. Nous avons préférentiellement développé les aspects physicochimiques et sédimentaires, car les phénomènes de cimentation et de dédolomitisation offrent des possibilités d'études prometteuses. Les aspects de la fracturation sont abordés d'une manière plus théorique, une conjonction d'arguments cruciaux est difficile à mettre en évidence. Les brèches des catégories 3 et 4, ainsi que certaines cornieules monomictes (cat. 1), sont plus marquées par les événements tectoniques qu'elles ont subis. Elles sont apparues pendant ou à la fin de l'orogenèse alpine. Il est difficile d'évaluer l'importance de la tectonique dans les cornieules polymictes, et dans certaines cornieules monomictes à matrice détritique. Les phénomènes subactuels ont camouflé le passé.
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Sismicité et structure lithosphérique des Alpes occidentales.

Guyoton, Fabrice 01 February 1991 (has links) (PDF)
Le mémoire de thèse comporte deux études relatives aux Alpes occidentales: 1) une étude de la sismicité(relocalisation des séismes locaux à l'aide d'un modèle 3D); 2) une étude de la structure lithosphérique à l'aide de résidus télésismiques, Ces deux études sont les premiers résultats significatifs utilisant les données du nouveau réseau SISMALP. La première partie traite essentiellement des problèmes de localisation des séismes alpins. Compte tenu de la complexité structurale des Alpes, un modèle de vitesse 3D a été élaboré afin d'obtenir des relocalisations précises des foyers sismiques. Le modèle crustal, partitionné en blocs de taille variable, est déduit d'une compilation des données et des résultats géophysiques. La méthode est appliquée à la relocalisation de deux crises sismiques : l'une en Ubaye, l'autre en mer Ligure. Une troisième application à l'échelle des Alpes occidentales et concernant quatre années de sismicité, met en évidence des essaims sismiques très bien contraints et montre une nouvelle image de la sismicité. La seconde partie présente une analyse des anomalies des temps de propagation des ondes P télésismiques. Une étude des variations azimutales des résidus relatifs permet de confirmer l'existence d'un plongement Iithosphérique situé en bordure ouest de la plaine du Pô. Un autre résultat important est la mise en évidence d'un accident Iithosphérique majeur orienté N140 séparant une microplaque de Provence d'une microplaque du Briançonnais. L'application d'une méthode de tracé de rais dans un milieu 2,5D montre : l'existence d'une paléo-subduction de la microplaque du Briançonnais sous le promontoire Adriatique atteignant 220 km de profondeur; l'existence d'une asthénosphère très lente sous la plaque Europe et l'existence d'une probable anisotropie de vitesse à grande échelle. De nouvelles implications géodynamiques pour les Alpes occidentales sont discutées.
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Caractéristiques du rifting liasique dans un secteur d'une marge passive de la Téthys : le haut fond de La Mure et le bassin du Beaumont ( Alpes occidentales)

Bas, Thierry 20 May 1985 (has links) (PDF)
L'étude sédimentologique, stratigraphique et paléostructurale de la série liasique constituant la couverture des massifs cristallins externes(La Mure Beaumont) a permis de préciser les modalités d'évolution d'un secteur de la paléomarge de la Téthys jurassique. L'étude sédimentologique a entrainé la distinction de plusieurs ensembles de faciés caractérisant trois types de milieux de dépôt : faciés de bassin, bathyaux ou circalittoraux, faciés de talus et faciés de plate-forme. Du matériel issu de la plate-forme peut également se retrouver resédimenté dans des milieux plus profonds (turbidites et coulées boueuses). La sédimentologie des calcaires à entroques a été détaillée. Les déterminations génériques et les variations de taille des organismes ont conduit à la mise en évidence d'oscillations de la profondeur des milieux de dépôt au cours du Lias. L'analyse séquentielle montre l'existence de trois horizons de discontinuité majeurs: deux d'entre eux correspondent à de brusques approfondissements (Hettangien-Sinémurien ; Toarcien moyen-Toarcien supérieur) la signification du dernier, qui est souligné par le passage de séries à turbidites à des séries à coulées boueuses et se situe au Carixien supérieur-Domérien reste conjecturale. L'étude stratigraphique des séries liasiques réduites de La Mure et des séries épaisses du Beaumont a permis de préciser certaines datations,notamment celles de la formation des calcaires de Laffrey. Un découpage en grandes unités lithologiques a été effectué dans les deux types de séries. La confrontation de l'étude sédimentologique et de l'étude stratigraphique permet de proposer des corrélations sur des bases nouvelles entre les deux types de séries. L'étude paléostructurale a permis de mettre en évidence deux phases tectoniques majeures (la première à la limite Hettangien-Sinémurien, la seconde doméro-toarcienne), toujours suivies par un approfondissement brusque des milieux de dépôt, phénoméne d'origine tectonique et/ou eustatique. Des phases de moindre ampleur s'observent également et sont enregistrées dans les sédiments de diverses manières: basculement du substratum, sédiments bioclastiques remaniés gravitairement, présence de galets de matériel crntallophyllien. Paléogéographie et paléotectonique L'évolution de la Téthys jurassique, désormais classique dans les Alpes Occidentales, a donc pu être précisée pour ce secteur de la marge: Au Trias : dépôt de carbonates de plate-forme, à rares invasions marines A l'Hettangien inférieur : apparition de failles à faible rejet suivie d'un approfondissement modéré des milieux de dépôt. De l'Hettangien supérieur au Toarcien inférieur : existence de deux périodes de crise tectonique encadrant une période de calme relatif;qui conduisent à une accentuation du rejet de certaines failles et à l'individualisation de blocs basculés plurikilométriques, limitant des zones hautes à entroques et des milieux plus profonds à micrites et coulées turbides. Au Toarcien moyen : uniformisation des faciés argileux, qui scellent les structures antérieures.
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Le chainon de Rochebrune au sud-est de Briançon : évolution paléogéographique et structurale d'un secteur de la zone piémontaise des Alpes occidentales.

Dumont, Thierry 25 March 1983 (has links) (PDF)
Cette étude essentiellement mégastructurale et stratigraphique s'appuie sur le lever cartographique au 1/1 0 0000 de la chaîne de Rochebrune, au SE de Briançon, où affleurent des unités de la zone piémontaise s.l. Les trois premières parties sont consacrées aux trois séries stratigraphiques en présence (mégastructures, lithostratigraphie, paléogéographie). La quatrième partie est un essai de reconstitution tectogénétique et paléogéographique. Structure : Dans ce secteur, l'Unité prépiémontaise de Rochebrune est rétrocharriée sur les Schistes lustrés ophiolitifères : dans les Schistes lustrés, quatre phases alpines synschisteuses plicatives ont été mises en évidence. Seule, la première a une vergence externe. Dans l'Unité de Rochebrune, les effets des tectoniques alpines (b) se sont superposés à ceux d'une paléotectonique d'âge liasique (a), témoignage du rifting téthy· sien : (a) est responsable d'effondrements et de basculements de blocs le long de paléofailles NW-SE ; (b) montre une évolution inhabituelle du niveau structural : une tectonique cassante distensive s'intercale en effet entre deux tectoniques synschisteuses plicatives. Stratigraphie : Trois séries ont pu être distinguées : (1) La série océanique du lac des Cordes (Schistes lustrés), constituée au-dessus de métabasaltes, d'une succession comparable à la série de Chabrière. Un important détritisme serpentineux est présent vers sa base. (2) Une série de marge continentale, comparable à la partie inférieure de la série prépiémontaise de la Roche des Clots, d'âge Norien à Dogger présumé, (Unité de Rochebrune). L'étude lithostratigraphique détaillée de la formation rhético-hettangienne a révélé plusieurs épisodes de tectonique synsédimentaire, dont le principal se situe vers la limite Hettangien-Sinémurien. (3) La série de Prafauchier, (Dogger supérieur-Malm supposés) qui pourrait constituer la suite stratigraphique de 2. On y note un détritisme mixte, essentiellement serpentineux et sialique, avant ou au début du Malm. Paléogéographie et paléotectonique : Le modèle maintenant classique du début de l'évolution de la Téthys ligure a pu être précisé grâce à la présence d'une série océanique (1 ci· dessus) et d'une série de marge continentale (2 +3) : Série de marge continentale: - Limite Hettanglen,Sinémurien (2) le basculement de blocs hectométriques, puis l'intense ravinement et le brutal enfoncement qui font suite, témoignent d'un événement majeur du rifting.. - Dogger probable (2) . l'arrivée de détritus carbonatés, puis siliceux, résulte d'une érosion de plus en plus profonde de la marge. - Fin du Dogger ou début du Malm (3) : un détritisme carbonaté, siliceux, puis ultrabasique précéderait de peu ou serait contemporain de l'ouverture océanique. Série océanique: - Au Crétacé inférieur présumé, un important détritisme serpentineux est l'écho d'une activité tectonique du substratum océanique.
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Modes d'alimentation d'une nappe alluviale : nappe de la vallée du Rhône entre La Balme et saint Genix sur Guiers ( Savoie) .

Michal, Philippe 09 January 1988 (has links) (PDF)
La plaine alluviale du Rhône entre la Balme et Saint Genix-sur-Guiers, d'orientation Nord-Sud, se développe dans le prolongement septentrional du Bas-Dauphiné. Sa partie savoyarde est bordée à l'Ouest par le chainon mésozoïque calcaire du Mont Tournier (prolongement méridional du Jura) et au Sud-Ouest par les collines molassiques de Saint-Génix-sur-Guiers. Le remplissage alluvial, défini par l'étude géophysique et par les sondages mécaniques, est formé d'une forte épaisseur d'argiles lacustres que surmonte un réservoir aquifère, d'une dizaine de mètres d'épaisseur dont les paramètres hydrodynamiques (T,S,K) ont été estimés au moyen d'essais de pompage et des variations naturelles du niveau de la nappe. L'étude piezométrique permet de définir le comportement de la nappe alluviale dans les trois secteurs que délimite le Rhône. L'étude hydrodynamique et hydrochimique des émergences karstiques effectuée conjointement avec l'étude hydroclimatique du Mont Tournier permet d'envisager en raison d'un bilan hydrogéologique déficitaire, l'existence de pertes, non visibles, en liaison avec la nappe alluviale. Les eaux de la nappe de type bicarbonnaté calcique ont des caractéristiques chimiques influencées par leurs différents types d'alimentation: le Rhône, le massif karstique du Mont Tournier, les versants molassiques, le Guiers et par l'activité anthropique (nitrates d'origine agricole et chlorures desodium provenant de l'épandage sur les routes).
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Etude Géologique du Massif du Ruitor ( Alpes Franco-italiennes) : évolution structurale d'un socle briançonnais.

Baudin, Thierry 08 July 1987 (has links) (PDF)
Cette étude structurale est fondée sur la cartographie au 1/10 000 du massif du Ruitor qui constitute le socle de la zone houillère briançonnaise (Alpes franco-Italiennes). Ce socle est constitué par une série gréso-pélitique à tendance grauwackeuse très proche de celle du Grand-Saint-Bernard, de Vanoise méridionale et d' Ambin. Dans ces métasédiments, sont tnterstratifiés ou injectés suivant les cas un complexe de roches vertes rubanées de nature tholéitique, une population d'orthogneiss oeillés d'origine anatectique et de rares niveaux kératophyriques. L'ensemble de ces roches a subi avant le carbonifère supérieur (« Houil[er ») une déformatlon et un métamorphisme de faciès amphibolitique puis schiste vert HT ou amphibolite BT bien que la paragenèse des roches acides, stable dans ces faciès, puisse être magmatique. Au Carbonifère supérieur, le Ruitor était sans doute très proche de la bordure orientale du bassin Houiller et soumis à une tectonique distensive qui a permis l'intrusion de filons ovarditiques stéphano-permiens. Pendant l'orogenèse alpine, outre le charriage des Sçhistes lustrés directement sur le socle, la tectonique se décompose en 5 phases majeures qui sont: D1, le pincement des Schistes lustrés, D2,D3 et D4. - D1 s'est déroulée sous des conditions de hautes pressions et a développé une forte structure linéo-planaire F1/L1 à glaucophane-clinozoïte jusqu'ici, uniquement repérable dans le socle. F1 est postérieur à une première génération de glaucophane. L1 est orienté NW-SE. L'âge de D1 par rapport au charriage et au pincement des Schistes lustrés demeure inconnu. Il pourrait être Crétacé sup. ou Eocène. - Le pincement des Schistes lustrés (synclinal d'Avise) entre deux blocs de socle résulte d'un rêtrochevauchement précoce (anté-mésoalpin) montrant un rejet minimum de 8 km. La pincée de Schistes lustrés a une forme en biseau ouvert vers l'Est dont l'axe de fermeture était initialement orienté N-S. Les pincées de Schistes lustrés du Val de Rhèmes et du Valsavaranche pourraient bien avoir une origine analogue. - La déformatlon plicative et cisalliante D2 a affecté l'ensemble des unités du Ruitor (y compris la pincée de Schistes lustrés) et a transposé tous les contacts et foliations antérieures. Le plissement P2, d'échelle plurihectométrique d'axe NNE-SSW et de vergence WNW a développé une structure linéo-planaire très pénétrative F2/L2 (L2 = WNW) qui constitue le débit principal de la roche. D2 s'est déroulée dans un faciès schiste vert, probablement mésoalpin (Eocène-Oligocène). Il est possible que D1 et D2 ne forment qu'une seule et même phase progressive sous des pressions sans cesse décroissantes. - Le plissement P3 ayant pour plan axial une crénulatlon S3, s'inscrit dans la structure d'un grand pli régional. Le Ruitor en forme le flanc supérieur et l'amorce de la charnière. L'axe général de P3 est NE-SW et la vergençe NW, mais certains plis mineurs P3 montrent dans l'Est du massif une orientation WNW. P3 est antérieur aux dernières cristallisations d'albite et serait par conséquent tardi-mésoalpin (Oilgocène inf.), Des structures d'extension (ECC) tardi-D3 indiquent un déplacement de matière vers le WNW et pourrait être associé à un dernier chevauchement majeur repéré dans le Houiller du col du Petit Saint Bernard. Le plissement P4, très tardif, ne forme qu'une vaste ondulation d'axe ESE-WNW à plan axial subvertical. Dans un dernier chapitre, on considère l'hypothèse ou, malgré les apparences, P3 constituerait le flanc Inverse d'un vaste pli de rétrocharriage. L'orientation initiale des structures antérieures serait alors : P2: ENE-WSW et vergence NNW et l'axe de fermeture des Schistes lustrés E-W ; la pincée serait ouverte vers le Nord, ce qui éliminerait l'hypothèse développée dans ce travail, du rétrochevauchement précoce (anté-D2).
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TERRITORIALISATIONS ET ACTION AGRICOLE : QUELLES RESSOURCES ET DISPOSITIFS POUR QUELLES GOUVERNANCES ? Une analyse à partir des cas du Parc Naturel Régional du Marais du Cotentin et du Bessin, de Métropole Savoie et de Rovaltain

Esposito-Fava, Aurélien 12 July 2010 (has links) (PDF)
Alors que la révision de la PAC en 2013 se profile, et que l'action agricole peine à se réinventer face aux crises successives qui la traversent, l'action territoriale s'affirme comme un modèle d'efficacité et alternatif, permettant de dépasser les limites de l'action sectorielle. Au-delà de cette injonction manifeste pour passer du « secteur au territoire », comment se territorialise l'action agricole ? Ce mouvement est analysé au travers d'une analyse financière des ressources des territoires de projet et d'enquêtes de terrain à Métropole Savoie, Rovaltain et sur le Parc Naturel Régional des Marais du Cotentin et du Bessin. La territorialisation de l'action agricole s'opère par la construction de l'agriculture en ressource territoriale et du territoire en ressource agricole, la désectorisation et la (re)localisation de la gouvernance agricole, et la mobilisation des dispositifs territorialisés au bénéfice de l'agriculture. Par la mise en réseau et l'interconnexion de l'agriculture et d'autres composantes territoriales, des professionnels de la territorialisation jouent un rôle fondamental au sein de processus mettant en évidence des formes d'hybridation de l'action agricole et de l'action territoriale.

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