• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 53
  • 7
  • 7
  • 5
  • 4
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 87
  • 70
  • 28
  • 28
  • 24
  • 21
  • 18
  • 17
  • 13
  • 13
  • 12
  • 11
  • 10
  • 9
  • 9
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Le libre arbitre et le déterminisme neuronal : la capacité d'agir librement est-elle une illusion dans la machine cérébrale?

Camara, Keba Coloma 06 March 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 28 février 2024) / Le libre arbitre existe-t-il ? Cette question a traversé l'histoire de la philosophie et elle est toujours d'actualité. Contrairement aux philosophes qui ont essayé d'apporter des réponses à cette question sur le plan théorique, les neuroscientifiques ont observé le fonctionnement du cerveau dans un processus de prise de décision. Le neurobiologiste Benjamin Libet a été le premier à tenter d'établir l'existence du libre arbitre en menant des expériences visant à examiner les processus cérébraux par lesquels les agents accomplissent des actions qu'ils considèrent comme libres. Le résultat de ses expériences a montré que le cerveau initie inconsciemment les choix, les décisions ou les actions 400 m sec avant que les agents n'en prennent conscience. Cela signifie que les actions sont initiées de manière inconsciente, bien que l'agent ait l'impression d'être celui qui les initie. En d'autres termes, le libre arbitre est une sorte d'illusion du cerveau. Cependant, Libet a découvert également que même si l'agent n'est pas à l'origine de ses propres actions, il peut les contrôler grâce à son « droit de véto conscient ». Ainsi, selon Libet, le libre arbitre n'est rien d'autre qu'une capacité de contrôle de l'action. Mais peut-on vraiment défendre l'existence du libre arbitre en le considérant comme une capacité de contrôle conscient plutôt comme une capacité à initier des actions librement ? Disposons-nous vraiment du libre arbitre si nous ne sommes pas en mesure d'initier librement nos actions ? Ces questions définissent le problème général sur lequel porte ma recherche. Dans cette thèse, je soutiens que le libre arbitre est à la fois une capacité à initier et à contrôler des actions. Je montre que pour qu'une action soit considérée comme libre, elle doit être initiée consciemment et découler d'une intention. En m'appuyant sur le modèle Croyance-Désir-Intention (CDI) et sur les travaux d'Élisabeth Pacherie, je défends que les intentions initient, guident et soutiennent le processus de l'action libre. Les intentions permettent une orientation cognitive et situationnelle ainsi qu'un contrôle moteur de l'action. Le libre arbitre n'est donc pas une illusion : c'est une capacité réelle. / Does free will exist? This question has crossed the history of philosophy and is still relevant today. Unlike philosophers, who have tried to answer this question on the theoretical level, neuroscientists have observed the functioning of the brain in the decision-making process. Neurobiologist Benjamin Libet was the first to attempt establishing the existence of free will by conducting experiments to examine the processes in the brain by which agents perform actions that they consider as free. The result of his experiments showed that the brain unconsciously initiates choices, decisions, or actions 400 m sec before the agents become aware of them. This means that actions are initiated unconsciously, though the agent feels that she is the one who initiates them. In other words, free will is a kind of illusion of the brain. However, Libet also discovered that even if the agent does not initiate her own actions, she can control them using her “conscious power of veto”. Therefore, according to Libet, free will is nothing more than a capacity to control action. But can we really defend the existence of free will understood as a conscious control capacity rather than as a capacity to initiate actions freely ? Do we really have free will if we are unable to initiate our own actions freely ? These questions outline the general problem my research is addressing. In this thesis, I argue that free will is both a capacity to initiate and to control actions. I show that for an action to be considered free, it must be initiated consciously, and derive from an intention. Drawing on the Belief-Desire-Intention model (BDI) and on the work of Élisabeth Pacherie, I establish that intentions initiate, guide, and support the process of free action. Intentions allow for cognitive and situational guidance as well as motor control of action. Free will is not an illusion : it's a real capacity.
12

La Correspondance échangée entre les églises d'Afrique et de Rome à l'occasion de la controverse pélagienne (416-418) traduction, commentaire et annotations d'un dossier de l'épistolaire augustinien /

Dalmon, Laurence Mattei, Paul. January 2006 (has links)
Reproduction de : Thèse doctorat : Langues, histoire et civilisations des mondes anciens : Lyon 2 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
13

Désignation et récusation des arbitres: problèmes et perspectives

El-Mistrah, Rola 06 1900 (has links)
L'arbitrage a joué un rôle majeur dans l'élaboration d'un droit international ou «transnational», surtout par l'effort fourni au sein des institutions arbitrales qui se trouvent de nos jours partout dans le monde, et les conventions arbitrales qui jouent un rôle extraordinaire dans le domaine de la codification des principes et des dispositions internationales. Celles-ci visent entre autres à résoudre les problèmes liés aux désignations et récusations des arbitres. Il résulte que plusieurs ordres normatifs ont créé des règles pour régir les questions de nomination et de récusation des arbitres. Elles ont une importance proportionnelle qui dépend de l'organisme qui les établit, de sa réputation et de sa crédibilité parmi les commerçants. Nous pouvons trouver des règles sur des questions de nomination et de récusation des arbitres dans les lois étatiques, les conventions internationales, les lois types, et dans les règlements d'arbitrage. L'analyse de ces divers ordres normatifs qui ont disposé des règles pour résoudre les problèmes de désignation et de récusation des arbitres nous permet d'évaluer leur efficacité pour rendre des solutions appropriées aux problèmes rencontrés lors de la constitution du tribunal arbitral. Par ailleurs, nous savons que la finalité espérée de la sentence arbitrale est la possibilité d'être exécutoire, et que cette étape de la procédure est régie par la convention des Nations Unies de 1958, dite « convention de New York de 1958 » pour la reconnaissance et l'exécution des sentences arbitrales. Cette convention établit les conditions qu'on doit respecter - entre autres - lors de la constitution du tribunal arbitral pour qu'une sentence arbitrale puisse obtenir une force exécutoire, d'où nous observons que l'influence de l'irrégularité de la désignation des arbitres peut être très pénible, car, par l'application de l'article V de la convention de New York, la sentence peut être refusée par le juge étatique. En fait, quand les parties contractantes dans des contrats internationaux favorisent le choix de l'institution arbitrale pour régler les différends qui pourraient naître entre eux, cela veut dire que ces parties ont confiance envers cette institution de justice. Mais les problèmes rencontrés lors de la constitution du tribunal arbitral peuvent perturber la confiance de ces parties en cette institution de justice, d'où il sera nécessaire de trouver des solutions efficaces pour rendre l'étape de la constitution du tribunal sécuritaire pour pouvoir solliciter le recours à cette méthode de règlement de différends sans éprouver de crainte sur l'efficacité de la procédure de désignation, de récusation et de remplacement des arbitres. En somme, il est primordial d'assurer la nature privée et contractuelle du contrat d'arbitrage, et d'éviter les risques d'insécurité et d'imprévisibilité qui nuisent au bon développement des relations contractuelles internationales.
14

Persönlichkeit, Wille und Freiheit im Werke Jherings /

Pleister, Wolfgang, January 1982 (has links)
Diss. : Juristische Fakultät : München : 1978. - Bibliogr. p. 412-428. Index. -
15

Knowing better : an account of akrasia /

Belgum, Eunice, January 1990 (has links)
Th. Ph. D.--philosophy--Cambridge (Mass.)--Harvard University, 1976. / Bibliogr. p. 233-236.
16

La liberté, l'indétermination et la détermination : contribution à la résolution réflexive de leurs rapports antinomiques par l'examen psychologique de l'immatérialité transcendantale, du pouvoir spirituel et de la vérité intellectuelle /

Vachon, Claude. January 2003 (has links)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr.: f. [863]-882. Publ. aussi en version électronique.
17

Désignation et récusation des arbitres: problèmes et perspectives

El-Mistrah, Rola 06 1900 (has links)
L'arbitrage a joué un rôle majeur dans l'élaboration d'un droit international ou «transnational», surtout par l'effort fourni au sein des institutions arbitrales qui se trouvent de nos jours partout dans le monde, et les conventions arbitrales qui jouent un rôle extraordinaire dans le domaine de la codification des principes et des dispositions internationales. Celles-ci visent entre autres à résoudre les problèmes liés aux désignations et récusations des arbitres. Il résulte que plusieurs ordres normatifs ont créé des règles pour régir les questions de nomination et de récusation des arbitres. Elles ont une importance proportionnelle qui dépend de l'organisme qui les établit, de sa réputation et de sa crédibilité parmi les commerçants. Nous pouvons trouver des règles sur des questions de nomination et de récusation des arbitres dans les lois étatiques, les conventions internationales, les lois types, et dans les règlements d'arbitrage. L'analyse de ces divers ordres normatifs qui ont disposé des règles pour résoudre les problèmes de désignation et de récusation des arbitres nous permet d'évaluer leur efficacité pour rendre des solutions appropriées aux problèmes rencontrés lors de la constitution du tribunal arbitral. Par ailleurs, nous savons que la finalité espérée de la sentence arbitrale est la possibilité d'être exécutoire, et que cette étape de la procédure est régie par la convention des Nations Unies de 1958, dite « convention de New York de 1958 » pour la reconnaissance et l'exécution des sentences arbitrales. Cette convention établit les conditions qu'on doit respecter - entre autres - lors de la constitution du tribunal arbitral pour qu'une sentence arbitrale puisse obtenir une force exécutoire, d'où nous observons que l'influence de l'irrégularité de la désignation des arbitres peut être très pénible, car, par l'application de l'article V de la convention de New York, la sentence peut être refusée par le juge étatique. En fait, quand les parties contractantes dans des contrats internationaux favorisent le choix de l'institution arbitrale pour régler les différends qui pourraient naître entre eux, cela veut dire que ces parties ont confiance envers cette institution de justice. Mais les problèmes rencontrés lors de la constitution du tribunal arbitral peuvent perturber la confiance de ces parties en cette institution de justice, d'où il sera nécessaire de trouver des solutions efficaces pour rendre l'étape de la constitution du tribunal sécuritaire pour pouvoir solliciter le recours à cette méthode de règlement de différends sans éprouver de crainte sur l'efficacité de la procédure de désignation, de récusation et de remplacement des arbitres. En somme, il est primordial d'assurer la nature privée et contractuelle du contrat d'arbitrage, et d'éviter les risques d'insécurité et d'imprévisibilité qui nuisent au bon développement des relations contractuelles internationales.
18

Verborgene Gerechtigkeit : Luthers Gottesbegriff nach seiner Schrift "De servo arbitrio" als Antwort auf die Theodizeefrage /

Otto, Werner, January 1900 (has links)
Dissertation--Frankfurt am Main--Philosophisch-Theologische Hochschule Sankt Georgen, 1997. / Bibliogr. p. 275-287.
19

Anything goes, no paradox follows a free-will investigation into Newcomb's Paradox /

Britschgi, Arndt. January 1900 (has links)
Thesis--Philosophie : Universität Zürich : 2005. / Bibliogr. p. 175-177.
20

Marxismus und Freiheit : Versuch einer Bestimmung möglicher Verhältnisse auf der Grundlage der Philosophie Ernst Blochs /

Bicca, Luiz, January 1984 (has links)
Diss. : Philosophie : Tübingen : 1984. - Bibliogr. p. 307-315. -

Page generated in 0.0265 seconds