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Collective housingGuth, Alexander. January 1982 (has links)
No description available.
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Instruments of Memory: The Architect as ArchivistSmith, Liam Arthur 03 February 2014 (has links)
The mental space in which the architect formulates, tests, and cultivates an idea is deformed by memory, so that nothing projected into this space is bereft of association. However, neither is this space constrained by physical reality, allowing the architect a certain freedom to visualize the totality of an object and the world in which it is projected, simultaneously and in suspension: a space between memory and imagination. Memories and experiences layer richness upon this inner world and form the context for its manifestation; its realization. The deliberate and conscientious curation of this inner world-- the architect as archivist of memory and experience-- is an essential practice for the development of the architect and the worlds in which they operate. / Master of Architecture
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Le plan libre, syncrétisme de la modernité corbuséenne: essai de clarification du concept de plan libre dans l'oeuvre architectural de Le CorbusierBurniat, Patrick 11 June 2008 (has links)
Le sujet de la thèse —la clarification du concept de plan libre dans l’œuvre architectural de Le Corbusier— s’inscrit dans un cadre général de recherches portant sur les modes de conception architecturale en contexte de modernité. Cette préoccupation prend comme horizon la compréhension des processus qui servent l’architecture comme construction d’idées et qui permettent d’en articuler les différentes phases, depuis l’amont des intentions exprimées par le concepteur, jusqu’à l’aval des expressions prises par la solution, en passant par les moyens qui, précisément, permettent d’articuler une pensée abstraite à un objet concret. C’est un champ d’interrogation qui s’appuie sur le constat d’un double déficit disciplinaire :l’intérêt général porté aux formes de l’architecture plutôt qu’aux processus qui les ont fait naître ;l’absence de vocabulaire réellement partagé des concepts utilisés par la discipline, ce qui forme, dans l’un et l’autre cas, “obstacles” à la connaissance de l’architecture et à son enseignement.<p><p>A cet égard, le concept de plan libre occupe une position de choix. Célèbre « mot-force » du manifeste corbuséen de 1927 —« Les Cinq points d’une nouvelle architecture »—, devenu un concept central —mais aussi “nomade”— de l’historiographie de l’architecture moderne, il se trouve donc à l’articulation des questions relatives à la modernité et à la conception. De plus, une simple confrontation de sa définition originale, tant à l’œuvre de Le Corbusier qu’à l’historiographie du Mouvement Moderne, révèle la polysémie du concept et, en particulier, les ambiguïtés et paradoxes que suscitent sa double interprétation :comme “modèle d’organisation spatiale” d’une part et comme “intention libératoire” de l’autre, au point qu’elle laisse le chercheur perplexe à l’égard de ce qu’en l’état, un tel concept peut bien apporter à la connaissance de l’architecture. <p><p>Pour surmonter ces difficultés d’interprétations, deux hypothèses sont proposées. <p>La première envisage le plan libre comme mode opératoire de “libre” conception propre à Le Corbusier. La seconde renvoie à la construction discursive du plan libre comme oxymore, c’est-à-dire comme figure de rhétorique qui, en associant deux termes de sens contraires, construit un ou plusieurs sens nouveaux. <p><p>En conclusion, leur vérification conduit à interpréter le plan libre comme mode spécifique de conception —qui assure tout autant l’autonomie du créateur que la fertilité du processus de création—, lui-même basé sur un processus récurrent de “mises en tension” et de recherches de nouveaux “équilibres” :du regard dialogique que Le Corbusier porte sur le monde —en particulier sur le processus de modernisation— à l’expression duale qu’il donne à ses compositions. Au final, cette double optique fonde notre interprétation du plan libre comme syncrétisme de la modernité corbuséenne. Elle se valide également comme clés de lecture particulièrement riches pour la compréhension de l’oeuvre corbuséenne et des processus de conception qui l’animent.<p><p>x x x<p>Développement<p><p>Tout au long des chapitres de l’étude, nous nous sommes attaché à interroger le concept de plan libre au-delà des compréhensions conventionnelles et “familières” qu’on pouvait en avoir de prime abord, à savoir :d’une part, le plan libre comme “modèle d’organisation spatiale” —défini par opposition au “plan paralysé”—et, d’autre part, le plan libre comme “intention libératoire”, lequel marque un large désir d’émancipation, en particulier —sans y être restreint— à l’égard des pratiques académiques. Dès le premier chapitre en effet, nous avions montré que ces premières définitions “communes” du plan libre —clairement identifiables tant dans l’œuvre corbuséenne que dans les instrumentalisations dont il fut l’objet par la critique spécialisée— formaient “obstacles”, dans ces deux champs, à une claire compréhension de ce qu’il pouvait signifier.<p><p>Bien que l’on ne puisse douter de la validité des définitions proposées par Le Corbusier lui-même, nous avons dû relever à leur égard un certain nombre d’ambiguïtés ou de contresens qui nous obligeaient à questionner ces termes au-delà de ce qu’on y voit habituellement. De la sorte, nous mettions aussi en évidence qu’il n’y avait pas, dans le concept de plan libre, un, mais bien deux “niveaux de libération” à identifier :d’une part, un mouvement d’émancipation de la nouvelle architecture à l’égard de tout ce qui pouvait, de manière hétéronome, “préformer” sa conception ;d’autre part, une liberté interne au système mis en place, assurant à l’auteur de projet la mise à disposition de moyens innovants et permettant la « permanente mise à l’épreuve » (A. Rivkin) de l’architecture face aux conditions changeantes du projet. <p><p>Ces différentes observations nous invitaient à approfondir la réflexion et, surtout, à la déplacer vers ce processus qui, justement, permettait de lier la “virtualité” de l’intention à la “matérialité” d’une solution, soit le propre de la conception architecturale. En effet, entre ces premières définitions du plan libre qui, déjà, le situaient aux “extrêmes” de la conception architecturale — intention versus expression— il semblait opportun d’en revenir là aussi à l’investigation de cette problématique “intermédiaire” :par quels moyens Le Corbusier passait-il du plan libre comme intention au plan libre comme expression ?<p><p>L’hypothèse fut alors posée de considérer le plan libre corbuséen comme “méta-opérateur” d’une libre conception du projet, le terme désignant selon Robert Prost « l’ensemble des modes opératoires que réclame toute formulation de solution ». Dans ce sens, on pouvait aisément présumer que ce mode de conception était lui-même animé par le regard doctrinal porté par Le Corbusier sur cette même modernité au service de laquelle il avait précisément défini la « nouvelle architecture » et les « Cinq points » qui en étaient « les moyens ». <p><p>L’objectif de nos développements ultérieurs fut dès lors, tout à la fois, de montrer ce “statut” opératoire du plan libre comme libre conception; de déterminer les moyens —procéduraux et substantiels— qui l’organisaient ;de montrer ce qu’ils construisaient dans l’œuvre en termes d’innovation ;de relever, en parallèle, en quoi et comment ils étaient révélateurs du point de vue de Le Corbusier sur la modernité. <p><p>Les hypothèses et l’intérêt des questions soulevées furent définitivement fondés après l’exposé des cadres généraux à l’intérieur desquels elles devaient être discutées :les champs de la conception d’une part et de la modernité de l’autre. C’est l’objet du chapitre 2. <p><p>L’étude s’est alors développée en quatre parties, basées sur des temporalités et/ou des corpus spécifiques et orientées vers des questions particulières. <p><p>Dans un premier temps —chapitre 3—, nous avons pris comme cadre d’interrogation l’exposition du Weissenhof à Stuttgart en 1927, moment de la publication du célèbre manifeste corbuséen des « Cinq points d’une nouvelle architecture » et lieu de la construction de ces maisons par lesquelles Le Corbusier exposa concrètement ses points de vue théoriques. <p><p>Le concept de plan libre y a été évalué à l’aune :des Cinq points dans le cadre desquels il a été énoncé; de l’ossature Dom-Ino qui en fonde l’émergence et la nature particulière; des maisons du Weissenhof qui en concrétisent la portée et les ambitions. Bien que cette matière ait déjà été abondamment retournée par les labours de la critique architecturale, un exposé exhaustif se devait d’être fait pour fonder notre propre compréhension des événements, construire nos propres observations et conclusions, eu égard à nos hypothèses. Par ailleurs, ce chapitre a permis d’éclaircir le mode de fonctionnement des Cinq points et de l’ossature Dom-Ino quant à leurs rôles et objectifs dans le processus de conception corbuséen.<p><p>Dans le 4e chapitre, nous nous sommes plus particulièrement interrogé sur ce qui fondait le choix et la définition de ces moyens particuliers. Il fut donc consacré à l’étude du plan libre comme édification d’une “théorie” du projet. Jamais Le Corbusier n’a produit un discours coordonné sur sa pratique —à la manière du traité d’Alberti— et les nombreux textes par lesquels il commente son œuvre et justifie les Cinq points comme « Eléments objectifs de discussion sur le phénomène architectural » présentent ces questions selon des points de vue fragmentaires :seul l’enchaînement des sources a permis d’extraire des thèmes dont la récurrence, voire la redondance, fait sens. La variation des énoncés des Cinq points que nous avons pu relever invitait par ailleurs à voir là une pensée en “construction” plutôt qu’une doctrine “arrêtée”, le manifeste étant dès lors compris comme un “arrêt sur images” ponctuant le parcours d’une pensée elle-même en permanente évolution. <p><p>Le corpus de cette analyse fut constitué de conférences, articles et livres rédigés par Le Corbusier, pour l’essentiel entre 1918 et la fin des années 20. Sur base de ce matériel, un certain nombre de thèmes récurrents ont été identifiés qui étayent la compréhension de ce que peuvent être les éléments de doctrine qui sous-tendent la conception du projet corbuséen et la manière dont il construit la validation de son propos. L’intérêt de cet examen fut aussi de permettre l’identification de quelques-unes de ces références procédurales qui font partie du fond culturel du concepteur et par lesquelles Le Corbusier organise ses processus de conception à l’égard de ce qui constitue l’architecture comme « problème en soi ». Dans un second temps, la comparaison de ces observations avec ce qui fait, selon Françoise Choay, théorie chez Alberti, a conforté l’idée de ce que cette construction doctrinale était propre à sous-tendre et qualifier un mode de conception et d’en confirmer, pour une part, les moyens de son ambition “émancipatrice”.<p><p>Dans le chapitre 5, nous avons procédé à l’examen de quatre références procédurales de conception que nous avions précédemment identifiées :la re-programmation, la dissociation, l’inversion et la réconciliation des contraires. L’intérêt était double. Il s’agissait, d’une part, de comprendre —et de vérifier— en quoi et comment ces procédures permettaient de rencontrer les objectifs d’une libre conception du projet —ce que nous avons traduit là par leur capacité à innover sur le plan formel et spatial et à assurer une relative autonomie du concepteur— et, d’autre part, de saisir —et montrer— en quoi et comment ils servaient le point de vue de Le Corbusier sur la modernité. Le corpus considéré ici était constitué d’une sélection de réalisations architecturales des années 20. Leur examen permit de saisir concrètement ce vers quoi les procédures conduisaient en examinant ce qu’elles construisaient dans l’œuvre. Bien que non exemptes d’observations personnelles, ces analyses se sont appuyées sur divers travaux antérieurs menés par les exégètes de l’œuvre corbuséenne dont, en particulier, Alan Colquhoun, Colin Rowe, Jacques Lucan, etc, auprès desquels nous avons trouvé matière à étayer nos hypothèses par l’articulation de leurs points de vue au nôtre, réduisant également quelques-unes des fractures de compréhension énoncées dès l’introduction.<p><p>Le chapitre 6 a, quant à lui, été plus particulièrement réservé à l’observation des références substantielles présentes dans le système de conception corbuséen au moment des Cinq points, que ce soit sur un plan concret ou à un horizon théorique. Dès l’exposé introductif de nos hypothèses, nous avions en effet relevé la relative incompatibilité que l’on pouvait discerner dans la mise au point d’un système de conception dont on attendait, d’un côté, qu’il puisse en permanence apporter des réponses innovantes en l’appuyant, de l’autre, sur des références de formes —celles des Cinq points— qui ne pouvaient qu’en restreindre l’ordre des possibilités. Deux discussions nous ont permis, sur le plan théorique au moins, de saisir les raisons de cette incompatibilité :celle de l’autoréférentialité du système d’une part et celle du miroir de l’inversion d’autre part, toutes deux conduisant nécessairement à restreindre le champ de la création à l’ordre d’une forme d’imitation. <p><p>Le chapitre 7, de conclusion, est revenu plus spécifiquement sur la discussion de l’objectif —et des conditions— dans lesquelles Le Corbusier poursuit cette volonté d’autonomie propre à la posture de l’artiste moderne, et l’objective. Si l’on s’accorde à reconnaître que le processus de modernisation à conduit à l’effritement des traditions stabilisatrices sur lesquelles se fondait ce qui faisait “sens commun”, la question est posée, entre autres, de savoir comment créer et objectiver ce “sens commun” à partir d’une vision subjective du “moi” créateur. La démonstration porte là sur la mise en exergue des invariants sur lesquels Le Corbusier fonde ses discours de validation :les principes pérennes qu’il “reconnaît” dans l’histoire, tout autant que les invariants de “l’homme”, qu’ils soient de nature socio-anthropologique, anthropomorphique ou psycho-physiologique. De la sorte, la posture émancipatrice de Le Corbusier se révèle fondée sur le respect d’un cadre normatif, intemporel, par lequel il tente d’objectiver sa propre subjectivité.<p><p>Cette approche duale nous est finalement apparue récurrente à tous niveaux de son processus de conception, et donc comme forgeant l’une de ses spécificités. Quel que soit le niveau auquel on l’envisage, Le Corbusier fonde son approche sur la mise en tension de termes, d’idées ou de figures qu’il oppose et entre lesquels il semble tout à la fois réfléchir, résoudre et exprimer les questions particulières de la conception, visant au final un nouvel équilibre entre les pôles identifiés, ce qu’énonce de manière métaphorique l’oxymore “plan libre”.<p><p><p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Listed, obliterated or status unknown : an analysis of the 50-year rule, 1966-2010Koller, Emily Jeanne 25 July 2011 (has links)
The report evolves from previous work in the field that questions the efficacy of the 50-year rule, or criterion consideration G, of the National Register of Historic Places program to register and protect modern and recent past resources. Proponents of the recent past argue that by restricting evaluation of historic architecture to only that which is 50-years or older is leading to widespread endangerment and demolition of buildings and sites with periods of significance from the postwar era. This report studies the use of criterion G in-depth since the inception of the National Register program and attempts to identify and quantify the resources lost through continued adherence to the 50-year rule.
The analysis is done in two parts. Part one examines the history of the use of criterion G by tracking patterns in the National Register of Historic Places data between 1966 and 2010 to determine how and where the case for exceptional significance has been made. Part two challenges the capacity of the existing framework of the 50-year rule and the NRHP program to protect the recent past by surveying the current status of a 145 AIA award-winning buildings from the 1960s. Most are virtually undiscovered in the canon of American architectural history, and all could likely be found as exceptionally significant. The study finds more than 75% of the AIA award-winners standing and possessing good integrity, but only 6% actually listed on the Register. The report concludes that we are losing less to outright demolition than estimated, but lack of context studies and an inconsistent vocabulary for postwar architecture is preventing the registration of intact resources from the 1960s that could greatly benefit from the awareness and recognition that is the primary purpose of the National Register. / text
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Perimeter planning : an old design approach for a new urban housing design : with special reference to Central European housingDiehl, Sigrid, 1951- January 1981 (has links)
No description available.
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The integration of traditional and modern architectural form : a proposed socially active centre for skills development in Southern Africa.Phiri, Chisomo Kelvin. January 2011 (has links)
This research is a study of traditional and modern architecture and how the aforementioned
systems can and should integrate into Afro-centric architecture. The emphasis was on the
architecture one tends to enjoy as an African, explored and juxtaposed against the thoughts
and theoretical frameworks of culture sensitive architects worldwide. In this dissertation,
the aspects of integrative theory were explored. Primary theories dealing with
sustainability, New African Architecture, Indigenous Knowledge and Semiology were
assessed as well. The differences between traditional Africa and modern adaptations, both
positive and negative, were the limit of the research. In the dissertation certain key
questions are posed to drive the inquiry of the document. The hypothesis is the conjecture
that a connection between modernized architecture and traditional semiotics exists and can
be cultivated to flourish, developing African architecture at all levels. This conjecture acts
as a base for primary and secondary research.
There are accounts listed in this dissertation of richly meaningful and sensitive traditional
architecture that show a connection between American, Asian, African and European
primitive building styles. These accounts show practices that have lasted near as long as the
society that invented them. The gathered information shows that these examples have
undergone little change over the years. The dissertation argues that the value these
instances of traditional architectural meaning lessened over the years due to a shift in
cultural paradigms. Further chapters in the study address cosmology, African attitudes to
space, the reinvention of old materials and the manifestation and celebration of new
tectonic relationships. Lessons collected on the above listed issues were related against
findings from verbal interviews, written questionnaires and observations at the site of case
studies. It is the researcher’s desire to explore the potential for an integrative developmental
institute. To this end, an assessment has been done both in the form of precedent embedded
in the text and Case Studies of relevant buildings that relate to the subject matter of the
dissertation. The analysis of these assessments shows a manifested potential for the
integration of traditional designs with modern building. / Thesis (M.Arch.)-University of KwaZulu-Natal, Durban, 2011.
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The recent past in Indiana : guidance and identificationHiggins, Steven A. January 2008 (has links)
Buildings of the modern period have traditionally been absent from most architectural surveys. Part of the reason for this lies in the fact that very few guides have attempted to provide meaningful and accurate terms for post-World War II buildings, leaving surveyors without any meaningful way to categorize such structures. The purpose of this creative project, then, is to provide an accurate and meaningful means of applying style and building form categories to post-1941 architectural resources.The creative project first examines major trends in the movement to preserve and, more specifically, to document recent past resources throughout the United States. Primary and secondary sources, both popular and professional, are examined to determine the most common and appropriate labels being applied to modern architectural resources. From this, an illustrated style guide for identifying modern Indiana architecture is created.The creative project then provides a statewide survey of post-1941 architectural resources with both photographic and written documentation as an illustration of how to apply the determined styles and forms. / Project narrative -- Catalog of recent past architectural movements. / Department of Architecture
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Chinatown Square and the Convention Center, Chicago, Il. : a balanced design approach between outdoor spaces and indoor spaces in public buildings, a scheme for a convention center in Chinatown, Chicago, IlKuo, Yi January 1992 (has links)
This creative project for the Master of Architecture degree focuses on the building design and landscape design of a urban development, in particular on the mixed cultural basis of deteriorating inner city neighborhoods in the U.S. A.I have lived in America for over two years. During this time, I acquired substantial knowledge on environments and architecture from traveling and studying. Then, I found the characteristics of a mixed culture in this country. We all know that the Chinese people are an important group in America, and they work hard to establish and contribute to the American culture, economy, and environment, now and forever. Although Chinese Americans do not comprise a large portion of the U.S. population, the Chinese patterns of architecture have had some impact on American culture as a whole. However, Chinatown has become a major element in the fabric of many cities in the U.S.A., like Chicago, San Francisco, New York and Washington D.C. For this reason, I chose to explore the design of a new environment for Chinese immigrants in the U.S.A.The topics of this thesis work are the design of the convention center and the planning of Chinatown Square Project. I tried to apply concepts from the Chinese culture, my experience, and professional education in Taiwan, the Republic of China and America. Therefore, the site plan of Chinatown Square Project was designed according to the Chinese Courtyard System. The tower shape of the hotel of the convention center is the transition of the Pagoda. Moreover, the idea of the curved roof comes from the Chinese bowl and tile. Finally, I merged a western feel, and an eastern spirit in the whole design process.I dedicate this thesis to the community of Chinatown in Chicago and America. / Department of Architecture
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Potential of the city the interventions of The Situationist International and Gordon Matta-Clark /Schumacher, Brian James. January 2008 (has links)
Thesis (M.A.)--University of California, San Diego, 2008. / Title from first page of PDF file (viewed February 10, 2009). Available via ProQuest Digital Dissertations. Includes bibliographical references (p. 39-41).
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Instrumentalisation of natural science for the reconstruction of architectural konowledge: Lissitzky, Doesburg, Meyer, Teige/İnceköse, Ülkü. Çıkış, Şeniz January 2006 (has links) (PDF)
Thesis (Doctoral) -- İzmir Institute of Technology, İzmir, 2006. / Keywords: natural sciences, instrumentalisation, inter war period. Includes bibliographical references (p. 162-172).
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