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L'arrestation et la remise en liberté de l'individu : étude comparée des systèmes juridiques français et canadien

De Paoli, Carla 10 January 2024 (has links)
Mémoire présenté en cotutelle : Université Laval, Québec, Canada, Maître en droit (LL. M.) et Université des science sociales Toulouse IToulouse, France, Master (M.). / La présente étude comparée s'intéresse à l'arrestation, et l'éventuelle remise en liberté de l'individu, pratiquées en France et au Canada. L'arrestation constitue une étape cruciale dans le processus pénal dont la définition et les règles demeurent pourtant méconnues. Faisant l'objet d'une réglementation diverse et d'une jurisprudence éparse, elle constitue le fondement de multiples actes parmi les plus attentatoires aux libertés individuelles. Auparavant, cette dernière était souvent sujette à des abus et à l'arbitraire des autorités, reposant davantage sur des considérations subjectives que sur des critères juridique. Toutefois, en France comme au Canada, les réformes législatives ainsi que les décisions judiciaires ont conduit à encadrer le pouvoir discrétionnaire de l'État dans l'accomplissement de cet acte. L'étude approfondie de l'arrestation conduit à un constat majeur : elle est difficilement définissable, que l'on se trouve en France ou au Canada. En effet, elle a tendance à se confondre avec d'autres actes subséquents, particulièrement la détention. Si la première s'exécute en un instant, elle se poursuit généralement par la seconde. Ce lien se retrouve également dans les textes internes comme internationaux protégeant le droit de ne pas être arrêté ou détenu arbitrairement. Il apparaît alors essentiel d'étudier la notion d'arrestation afin de délimiter et cerner véritablement cet instant si particulier. Il ne sera pas question, au sein de ce mémoire, de se focaliser uniquement sur l'appréhension de la notion d'arrestation. En effet, dans une perspective de droit comparé, seront abordés les origines et les conséquences de cette dernière, en particulier concernant les droits des personnes arrêtées mais également leur éventuelle remise en liberté. Néanmoins, il n'aura pas vocation à s'intéresser en profondeur aux autres actes d'enquête, qui peuvent également être attentatoires aux droits et libertés des individus. En effet, l'étude de la garde à vue, de la détention, tout comme l'étude des autres actes d'enquête ne constitue pas le centre de cette étude. Également, seule l'étude de l'arrestation en France et au Canada sera abordée, notamment dans les pratiques actuelles, même si quelques retours dans le temps seront possibles afin de mieux cerner cet acte d'enquête très spécifique. / This comparative study focuses on the arrest and the potential release of an individual practiced in France and Canada. The arrest is a crucial step in the criminal process of which its definition and rules remain unknown. It constitutes the basis of many acts among the most detrimental to individual freedoms. In the past, arrests were often abused and arbitrary by the police because it laid more on subjective considerations than on legal criterion. However, legislative reforms and judicial decisions led to frame the State discretionary power both in France and in Canada about this matter. The in-depth study of arrest leads to a major finding: it is laborious to find a clear definition. Indeed, it tends to be mistaken by other subsequent acts, particularly the detention. If the first runs in an instant, it generally continues with the second. This link is also found in domestic and international texts protecting the right not to be arbitrarily arrested or detained. Therefore, it seems essential to study the notion of arrest to delimit and truly define this special moment. This dissertation will not only focus on the notion of arrest. Indeed, the origins and consequences of the latter will be discussed from a comparative law perspective, particularly concerning the rights of those arrested but also their possible release. Nevertheless, it will not be intended to take an in-depth look at other investigative acts, which can also be detrimental to the rights and freedoms of individuals. Indeed, the study of police custody, detention, just like the study of other acts of investigation does not constitute the center of this study. Also, only the study of arrest in France and Canada will be addressed, particularly in current practices, even if some backtracking will be possible to better understand this very specific act of investigation. Indeed, my introduction will highlight the practice of this act from the Middle Ages to our days.
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La compatibilité des arrestations de masse avec le droit de manifester

Babineau, Gabriel January 2020 (has links)
Quoique le droit de manifester semble acquis au Canada depuis un certain temps, l’exercice de ce droit demeure précaire. Considérant la fréquence des arrestations de masse au Canada, une réflexion s’impose sur la conformité de telles interventions avec les droits et libertés de la personne prévus dans la Charte canadienne des droits et libertés. En précisant l’étendue de cette protection, il serait possible de tracer une limite pour mieux encadrer les arrestations de masse. Le développement du droit de manifester au Canada depuis l'adoption de la Charte canadienne sera abordé pour démontrer comment la manifestation a historiquement bénéficié d’une protection en vertu de l’al. 2 b) de la Charte canadienne, qui garantit la liberté d'expression. Partant de la prémisse que cette protection lui est mal adaptée, l’hypothèse sera avancée que le rattachement du droit de manifester à la liberté de réunion pacifique prévue à l’al. 2 c) de la Charte permettrait aux tribunaux de développer une protection qui y serait mieux adaptée. Après avoir établi la protection dont devrait bénéficier le droit de manifester au Canada, nous porterons notre attention sur les dispositions du Code criminel qui permettent les arrestations de masse. Il sera conclu que ces dispositions du Code criminel violent la liberté d’expression et la liberté de réunion pacifique et que l’utilisation d’arrestations de masse devrait être circonscrite aux cas les plus manifestes, soit ceux où il y a de la violence ou un danger réel de violence. Finalement, une réflexion sera effectuée quant à la possibilité d’appliquer l’article premier de la Charte pour préserver les dispositions du Code criminel qui permettent ces arrestations de masse. Considérant l’importance politique que devrait revêtir le droit de manifester, il sera conclu que ces dispositions ne devraient pas être sauvegardées par l’article premier. / While the right to protest may appear as a right acquired in Canadian law for some time, its exercise is precarious. Considering the frequency of mass arrests in Canada, how can such actions by the state be reconciled with the rights and freedoms guaranteed by the CanadianCharter of Human Rights? Determining the contours of the right to protest will allow us to better understand how mass arrests are to be regulated under the law. In this thesis, I analyze the evolution of the right to protest in Canada since the adoption of the Canadian Charter and examine how protesting historically fell under article 2b) of the Charter of Rights and Freedoms,which protects freedom of expression. Starting from the premise that the right to protest is not sufficiently protected under article 2 b) as a form of expression, I argue that including the right to protest under section 2 c) of the Charter’s right to peaceful assembly would allow courts to more effectively protect the right to protest. Following a discussion of how the right to protest should be safeguarded in Canadian law, this thesis then examines the sections of the Criminal Code that allow for mass arrests. I conclude that these provisions of theCriminal Code infringe on the right to peaceful assembly as well as freedom of expression and that the use of mass arrests should be limited to the most manifest cases, namely those where there is violence, or a real risk of violence. Finally, this thesis discusses whether article 1 of the Charter could be applied to protect the provisions of the Criminal Code that allow for mass arrests. Considering the political importance of the right to protest, this thesis concludes that these cannot be considered a reasonable limit to the Charter under article 1.
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Indenização do erro judiciário e prisão indevida / Lindemnisation de lerreur judiciaire et larrestation injuste

Franco, João Honorio de Souza 09 May 2012 (has links)
O enfoque especial deste tema é a Indenização do erro judiciário e prisão indevida (art. 5º, LXXV, e art. 37, § 6º, da Constituição Federal) aos danos decorrentes de atos jurisdicionais, mais especificamente o erro judiciário e a prisão indevida, que deverão ser suportados pelo Estado. Na concretização da função jurisdicional (não somente judicial ou administrativa), o Estado-juiz, por vezes, gera graves prejuízos aos jurisdicionados, levando-os a suportar um ônus indevido, notadamente nos casos de funcionamento do serviço judiciário, como a demora na prestação jurisdicional, o erro judiciário, a prisão indevida, erro judiciário fora da hipótese clássica, a atuação culposa ou dolosa do magistrado ou mesmo a denegação da justiça. A exigência de reparação dos erros dos juízes assenta em pressuposto jurídico-político indiscutível. Assim, a importância do tema escolhido, ou seja, a responsabilidade civil do Estado por atos jurisdicionais, o novo conteúdo do artigo 630 do Código de Processo Penal, é concernente à responsabilidade do Poder Público por ato jurisdicional, ou seja, ato praticado por juiz ou tribunal judiciário em sua função específica de elaboração e entrega da prestação jurisdicional; ato que, viciado, cause dano pessoal, moral ou patrimonial ao administrado, uma vez que o exame desse dispositivo constitucional (art. 5º LXXV, e art. 37, § 6º, da C.F.) revela que o constituinte estabeleceu para todas as entidades estatais e seus desmembramentos administrativos a obrigação de reparar, de indenizar o dano causado - inclusive em decorrência de atos jurisdicionais - a terceiros, por seus servidores, independentemente da prova da culpa no cometimento da lesão, ou à própria vítima de erro judiciário ou privação indevida de sua liberdade, isto é, a indenização por erro judiciário decorrente da aplicação da lei, a indenização como fundamento do Estado de Direito, a culpa do serviço público e o erro judiciário como fundamentos para a responsabilidade estatal, e a ação direta independentemente de prévia rescisão do julgado. É o que determina a nova regra constitucional do art. 5º, LXXV, da Constituição Federal (CF): O Estado indenizará o condenado por erro judiciário, assim como o que ficar preso além do tempo fixado na sentença. Acrescente-se que a nova regra do dispositivo constitucional não depende de ter havido prisão, bastando a condenação errônea, para ser postulada a reparação dos danos materiais e morais porventura decorrentes da atividade jurisdicional. / Le but particulier de ce travail est lindemnisation de lerreur judiciaire et larrestation injuste(art. 5e, LXXV, et art. 37, § 6e de la Constitution Fédérale) aux dommages provenants dactes juridictionnels, plus spécifiquement derreur judiciaire, et arrestation injuste, qui doivent être subis par lEtat. Dans la concretisation de la fonction juridictionnelle (et non seulement dans la fonction judiciaire ou administrative), lÉtat-juge produit parfois de graves préjudices aux juridictionnés, les menant à subir une charge indue, notament dans les cas de fonctionnement du service judiciaire, comme le retard dans la prestation juridictionnelle, lerreur judiciaire, larrestation indue, lerreur judiciaire hors de lhypothèse classique, laction criminelle ou fraudulente du magistrat ou même la dénégation de la justice. Lexigence de réparation des erreurs des juges est basée sur un présupposé juridico-politique indiscutable. Limportance du sujet choisi, cest-à-dire, la responsabilité civile de lÉtat par des actes juridictionnels, le nouveau contenu de larticle 630 du Code du Procès Pénal a trait à la responsabilité du Pouvoir Public par acte juridictionnel, cest-à-dire, lacte pratiqué par un juge ou tribunal judiciaire dans sa fonction spécifique délaboration et remise de prestation juridictionnelle, quune fois corrompu cause dommage personnel, moral ou patrimonial à ladministré. Lexamen de ce dispositif constitutionnel (art. 5e LXXV, et art. 37, § 6e, de la CF) révèle que le constituant a établi, pour toutes les entités de lÉtat et ses démembrements admininstratifs, lobligation de réparer, dindemniser le préjudice causé à des tiers par leurs serviteurs y inclus découlés dactes juridictionnels indépendamment de preuve de culpabilité dans lexécution de la lésion, ou à la victime elle-même derreur judiciaire ou privation indue de sa liberté, cest-à-dire, lindemnisation par erreur judiciaire advenue de lapplication de la loi, lindemnisation comme base de lÉtat de Droit, la culpabilité du service public et lerreur judiciaire comme principal appui pour la responsabilité de lÉtat, et laction directe indépendamment de rescision préalable du jugé. Cest ce qui détermine la nouvelle règle constitutionnelle de lart. 5e, LXXV, de la CF : « LÉtat indemnisera le condamné par erreur judiciaire, ainsi que celui qui est gardé en prison au-delà du temps fixé par larrêt ». On peut ajouter que la nouvelle règle du dispositif constitutionnel ne dépend pas du fait davoir eu larrestation ; la condemnation erronée est suffisante pour une demande de réparation des dommages matériels et moraux qui puissent être provenants de lactivité juridictionnelle.
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Les personnes ayant un trouble mental et la justice : du contact policier à la mise en accusation

Latulippe, Marjolie 12 1900 (has links)
Une prise en charge inadéquate des personnes atteintes d’un trouble mental par le système de justice pénale a été soulevée il y a plus de 60 ans. Celle-ci est toujours présente aujourd’hui. Effectivement, les personnes atteintes d’un trouble mental sont surreprésentées sur tout le continuum des procédures judiciaires pénales. La littérature révèle plusieurs facteurs associés à divers contacts avec le système de justice. Ceux-ci sont toutefois étudiés, la plupart du temps, distinctement les uns des autres (p. ex. contact avec les services policiers, arrestation, mise en accusation) plutôt que comme faisant partie d’un continuum de progression au sein du système de justice pénale (p. ex., progression d’un contact avec les services policiers à une arrestation). Ce mémoire vise deux objectifs. Premièrement, il vise à cerner les facteurs identifiés dans la littérature qui sont associés à la décision policière d’arrêter un individu atteint d’un trouble mental. Deuxièmement, il vise à identifier les facteurs associés à la progression d’individus atteints d’un trouble mental à travers le système de justice pénale jusqu’à la mise en accusation, soit la progression a) d’aucun contact avec les services policiers à un contact avec les services policiers; b) d’un contact avec les services policiers à une arrestation; et c) d’une arrestation à une mise en accusation. Une revue systématique a été réalisée pour répondre au premier objectif. Un total de 19 études a été identifié parmi quatre bases de données bibliographiques. Le deuxième objectif a été adressé par le biais d’analyses secondaires des données du projet AMONT, un projet sur la stabilité résidentielle de 478 individus faisant une première utilisation significative des services en santé mentale. Les données sociodémographiques, psychosociales et cliniques autorapportées de contacts avec les services policiers, d’arrestations et de mises en accusation au cours des six mois précédant le premier contact avec les services en santé mentale ont été colligées. Des régressions logistiques ont été effectuées pour vérifier la progression des individus à travers les premières étapes du système de justice pénale. Les résultats de ce mémoire suggèrent que chacune des premières étapes de progression dans le système de justice pénale présente des facteurs de risques distincts. Plusieurs des facteurs significativement associés à la progression d’aucun contact avec les services policiers à un contact avec les services policiers pourraient l’être en raison d’une situation de crise. De plus, les résultats soulignent l’importance de la perception des policiers dans la décision de procéder à une arrestation et cela, au-delà de caractéristiques objectives ou autorapportées des personnes atteintes d’un trouble mental. On peut émettre l’hypothèse que, de la même façon que les perceptions des policiers peuvent influencer la décision de procéder à l’arrestation, les perceptions des procureurs pourraient influencer la décision de porter des accusations. Plus de recherche est nécessaire pour vérifier l’impact de la perception des acteurs judiciaires sur la progression dans le système de justice pénale des personnes atteintes d’un trouble mental. Si les perceptions sont aussi importantes que le suggère ce mémoire, il serait important de complémenter les programmes de diversion par des formations pour informer les acteurs du système de justice pénale de l’impact de leurs perceptions sur leurs décisions. / About 60 years ago light was shed on an inadequate processing of persons with mental illness through the criminal justice system. This phenomenon is still of concern nowadays. In fact, persons with mental illness are overrepresented all along the continuum of contacts with the criminal justice system. However, these contacts are mostly studied as discrete events (e.g., contact with police services, arrest, indictment) rather than as being part of a continuum representing a movement through the criminal justice system (e.g., progression from a contact with police services to an arrest). The first objective of this research project is to identify, in the literature, factors associated with the decision of police officers to arrest persons with mental illness. The second objective is to identify, among persons with mental illness, factors associated with proceeding from: 1) no contact with police services to a contact with police services; 2) a contact with police services to an arrest; and 3) an arrest to an indictment. A systematic review was made to pursue the first objective. A total of 19 studies were identified from four databases. To address the second objective, secondary analysis of the baseline data from the AMONT project were made. This project examined residential stability of 478 first-time mental health service users. Sociodemographic, psychosocial, and self-reported data regarding contacts with police services, arrests and indictments in the six months prior to the first interview were collected. Logistic regressions were conducted in order to assess the flow through the different stages of the criminal justice system. Findings of this research project suggest that the movement through each stage presents distinctive risk factors. Several factors significantly associated with the flow from no contact with police services to a contact with police services might be caused by mental health crisis. Moreover, results highlight that perceptions of police officers’ might have a greater impact on the flow from a contact with police services to an arrest than actual or self-reported characteristics of persons with mental illness. Results also enable to suggest that, in the same way police officers’ perception can influence police officers’ decision to arrest, perceptions of prosecutors might influence the flow from an arrest to an indictment. More research should be done on the weight of judicial actors’ perception in trajectories of persons with mental illness through the criminal justice system. If their weight is proven to be substantial, diversion programs would benefit to be supported by judicial actors training on the impact of their perceptions on their decisions.

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