• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 12
  • 3
  • 2
  • Tagged with
  • 21
  • 21
  • 10
  • 8
  • 7
  • 6
  • 6
  • 5
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Modèle de compréhension multidimensionnel de l'intervention en santé mentale auprès de mères atteintes de troubles mentaux

Hébert, Lucie January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
2

Formes congénitales et neurologiques de la psychopathie et du trouble obsessionnel-compulsif : deux pôles extrêmes et biologiquement surdéterminés de la fonction morale

Léveillé, Cathy January 2006 (has links) (PDF)
Nous concevons qu'il existe un continuum entre l'immoralité et l'hypermoralité chez l'humain. Nous pensons que l'être humain puisse souffrir un déséquilibre lorsqu'il se situe à l'un ou l'autre extrême de ce continuum. Deux syndromes représentent particulièrement bien ces extrêmes: la psychopathie comme trouble d'hypomoralité et le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) comme trouble d'hypermoralité. Au premier abord, l'opposition entre ces syndromes peut paraître étriquée, mais en y regardant de plus près on constate que les psychopathes s'engagent dans des comportements à risques, qu'ils en sont conscients et sans souci alors que les sujets TOC en apparaissent excessivement inquiétés. Les psychopathes démontrent de l'irresponsabilité et un manque de préoccupations envers les autres tandis que les sujets TOC apparaissent très préoccupés par comment leurs actions pourraient affecter les autres. Ce qui caractérise le TOC, les sentiments de culpabilité, de honte et les préoccupations pour les normes sociales se révèle être exactement ce que le psychopathe n'est pas. Il existe un bon nombre d'études de cas de TOC et aussi de psychopathie acquise suite à une lésion focale du cerveau. Se pourrait-il que les sites de ces lésions se dissocient en fonction du syndrome? Pour bien comprendre cette relation, nous avons effectué une recension de tous les cas de psychopathie et de TOC consécutifs à une lésion cérébrale décrits dans la littérature scientifique, chez l'enfant et chez l'adulte. Comme la question de la moralité suscite une controverse énorme en ce qui concerne les motivations réelles de l'être humain, nous nous sommes également interrogés sur l'origine de la moralité, les fondements de ces deux syndromes et surtout sur les atteintes cérébrales pouvant expliquer les difficultés morales reconnues dans ces syndromes. Les résultats obtenus révèlent qu'il existe probablement des modules cérébraux impliqués dans la moralité qui seraient sélectivement atteints et de façon bien distincte dans les deux pathologies, et qui dans le cerveau normal, forment un circuit intégré formé de boucles antagonistes en équilibre dynamique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Psychopathie, Trouble obsessionnel-compulsif, Hypomoralité, Hypermoralité.
3

Le traitement juridique du trouble mental. Essai sur les rapports entre Droit et psychiatrie / The legal treatment of mental disorder. Essay on the connections between law and psychiatry

Paris, Julien 23 November 2017 (has links)
Pour étudier le trouble mental, le premier réflexe est de se tourner vers la médecine et plus particulièrement la psychiatrie. Pourtant, le Droit n’est pas étranger à cette thématique et la présente étude propose une approche relative au traitement juridique du trouble mental. A partir de la polysémie du mot « traitement » nous analyserons les différentes manières dont le Droit aborde le trouble mental et le degré de liberté qu'il octroie aux personnes atteintes d'une telle pathologie. En effet, la première signification du mot « traitement » fait référence à la façon de s’adresser à une personne. Dès lors, il s'agira de comprendre comment la discipline juridique appréhende les personnes souffrant de troubles mentaux et la différence d’attention portée entre les malades internés et ceux détenus. La seconde acception de ce mot faisant référence à la manière de résoudre un problème, il nous faudra également étudier comment le législateur a réagi aux condamnations de la Cour européenne des droits de l’Homme et aux décisions d’inconstitutionnalité du juge constitutionnel français. Cette seconde signification permettra également d’étudier les raisons du phénomène de vases communicants entre l’hôpital psychiatrique et la prison. Les frontières entre Droit et psychiatrie étant poreuses, l’étude propose également d’analyser les rapports entre Droit et psychiatrie et leurs conséquences sur les malades mentaux. Des relations entre les deux disciplines dépendra l’attitude envers le malade. En encadrant la psychiatrie, le Droit va tenter de favoriser l’accès aux soins et revaloriser la liberté individuelle. Dans un mouvement opposé, la psychiatrie va influencer le Droit et il s’agira pour ce dernier de mettre en place des dispositifs de contrôle et de neutralisation des malades mentaux. L’étude du traitement juridique du trouble mental. Essai sur les rapports entre Droit et psychiatrie se situe au cœur de la rencontre de valeurs et de concepts antagonistes. Droit et devoir, liberté et sécurité, responsabilité et déresponsabilisation ou encore soin et sanction s’entremêlent dans une thématique complexe et passionnante. / To study mental disorder the first instinct is to turn to medicine, especially psychiatry. However, the law does have some sort of connection with this theme and the following study aims at comprehending the legal treatment of mental disorder. Based on the polysemy of the word “treatment” we will analyze the different ways the law deals with mental disorder and the level of freedom to which the mentally ill are entitled. As the most commonly accepted meaning of the word “treatment” refers to the way a person is addressed, the purpose of the following study will be to understand how the law deals with the mentally ill as well as the difference of attention given to the patients who are committed to a mental institution and those who are detained in prison. As the second meaning of the word refers to the way of solving a problem, this study will focus on how lawmakers reacted to the convictions passed by the European Court of Human Rights and to the unconstitutionality rulings rendered by the French constitutional judge. The second meaning of the word will also enable to study the root causes of the phenomenon of communicating vessels between mental institutions and prisons. We will see that the borders between law and psychiatry are porous; that is why the study will aim at analyzing the connections between law and psychiatry as well as their consequences on the mentally ill. The attitude towards sick people will depend entirely on the relationships between the two subjects. By giving a legal framework to psychiatry, the law attempts to promote access to healthcare and to reassert the value of individual freedom. On the other hand, psychiatry will influence the law, which will have to put in place systems to monitor and keep the mentally sick under control. The study of the legal treatment of mental disorder. Essay on the connections between law and psychiatry is at the core of the encounter between antagonistic values and concepts. Right and duty, freedom and safety, accountability and unaccountability, or care and punishment interconnect in a complex and interesting theme.
4

Conception d'un outil de mesure de la charge de travail mentale dans le processus de retour au travail à la suite d'un trouble mental transitoire ayant engendré des incapacités prolongées / Conception of a tool measuring mental workload in the return-to-work process following prolonged incapacity due to a common mental disorder

Tremblay-Boudreault, Valérie January 2012 (has links)
Résumé: Problématique : La charge de travail mentale est un obstacle au retour au travail des personnes présentant une incapacité prolongée due à un trouble mental transitoire. Le retour au travail de ces personnes pourrait être facilité par la mesure de la charge de travail mentale afin d'orienter la progression des tâches de travail. Cependant, les approches de mesure actuelles ne prennent pas en compte l'ensemble de son continuum (sous-charge, charge confortable et surcharge). Objectif : Cette étude propose de pallier cette lacune en concevant un nouveau questionnaire de la charge de travail mentale (QCTM) adapté aux personnes recevant un programme de réadaptation au travail à la suite d'un trouble mental transitoire. Méthodologie : Premièrement, une analyse de concept a été réalisée afin d'identifier les dimensions de la charge de travail mentale et de proposer des indicateurs (ou items) qui soient adaptés au retour au travail à la suite d'un trouble mental transitoire. Les items proposés ont fait l'objet d'une révision par des experts en réadaptation au travail en santé mentale (n=-16) par le biais d'une méthode de consensus formalisé (Delphi), Finalement, un prétest qualitatif du QCTM a été réalisé auprès de personnes ayant été impliquées, à titre de travailleur (n=5) ou de clinicien (n=-5), dans un processus de retour au travail à la suite d'un trouble mental transitoire. Résultats : Au terme de l'analyse de concept, les attributs de la charge de travail mentale sont : 1) un état mental immédiat ou à court terme relié à l'effort/coût pour l'individu découlant de la réalisation de son activité de travail pour un niveau de performance donné; 2) un état mental qui touche les sphères cognitives et affectives; 3) un continuum, allant de la sous-charge à la surcharge de travail mentale, en passant par une charge confortable et 4) un état mental néfaste (extrémités du continuum) ou profitable (charge confortable) pour la personne. Des indicateurs ont été construits afin de couvrir l'ensemble des attributs identifiés. La clarté et la pertinence des items ont été jugées satisfaisantes au terme des deux tours de consultation auprès des experts en réadaptation au travail en santé mentale, ainsi que lors du prétest qualitatif réalisé auprès des futurs utilisateurs. Conclusion : Cette étude a permis de développer, de façon systématique, un questionnaire innovant car il intègre l'ensemble du continuum de la charge de travail mentale. Le QCTM vient outiller le clinicien et le chercheur dans le domaine de la réadaptation au travail en santé mentale. Ce questionnaire devra faire l'objet d'études de validation subséquentes afin de soutenir son utilisation. //Abstract: Background: Mental workload represents one of the obstacles encountered by people returning to work following prolonged incapacity due to a common mental disorder. Their return-to-work could be facilitated by measuring mental workload in order to guide the progression of increasing work tasks. However, actual measurement tools do not consider the whole mental workload continuum (underload, comfortable load and overload). Purpose: This study contributes to filling this gap through the conception of a new mental workload questionnaire (MWQ) designed for the return-to-work process following a common mental disorder. Methods: First, a concept analysis was conducted in order to identify mental workload dimensions and help propose a set of indicators for its measurement in a work rehabilitation setting following a common mental disorder. The proposed items were revised by work rehabilitation experts (n=16) through a formalised consensus method (Delphi). Finally, a qualitative pretest was conducted among people implicated in a return-to-work process following a common mental disorder, either as clinicians (n=5) or workers (n=5). Results: The concept analysis of mental workload led to the following attributes: 1) an immediate or short term mental state related to the effort or the cost to the individual resulting from accomplishing work at a given level of performance; 2) a mental state related to both affective and cognitive components; 3) a continuum varying from mental underload to mental overload, with a comfortable mental workload existing between these extremes and 4) a negative mental state (both continuum extremes) or positive (comfortable mental workload) for the individual. Mental workload indicators were constructed to cover the identified attributes. Their relevance and their clarity appeared to be satisfying following consultation with the work rehabilitation experts, as well as qualitative pretesting among the future MWQ users. Conclusion: This study led to the systematic development of an innovative questionnaire as it measures the whole mental workload continuum. The MWQ represents a new tool offered to the clinician and the researcher working in mental health rehabilitation. Further validation studies are required to sustain its use.
5

Les difficultés d'intégration sociale des personnes atteintes d'un trouble de santé mentale sur le plan de l'habitat : le point de vue des personnes atteintes d'un trouble de santé mentale et des travailleurs sociaux dans la région de Lanaudière Sud

St-Hilaire, Isabelle 02 1900 (has links) (PDF)
L'objectif principal de cette recherche qualitative a été de recueillir les perceptions des personnes atteintes d'un trouble de santé mentale grave et des travailleurs sociaux sur les difficultés d'intégration sociale des personnes ayant des troubles mentaux, sur le plan de l'habitat dans la région de Lanaudière Sud. Nous avons choisi d'explorer la question de l'intégration sociale, car nous constatons que nous assistons à une montée du sentiment d'exclusion chez cette population sur le plan de l'habitat. De plus, cette préoccupation à l'égard de cette problématique est au cœur de plusieurs politiques sociales dans le secteur de la santé et des services sociaux et promue par la Société d'Habitation du Québec. Par ailleurs, nous retrouvions ces mêmes préoccupations chez plusieurs auteurs, ce qui nous a permis de construire notre cadre conceptuel qui est basé sur une perspective interactionniste symbolique, lequel définit les difficultés d'intégration sociale des personnes ayant un trouble de santé mentale comme étant un résultat d'interactions entre la personne et son environnement. Associé à cet élément central, nous avons tenu compte, pour l'élaboration de notre cadre conceptuel, des concepts de vulnérabilité, de stigmatisation et d'identité pour réfléchir sur les expériences résidentielles vécues par cette population. Nous avons donc réalisé, pour les fins de cette recherche, dix entrevues semi-dirigées, dont six auprès de personnes atteintes d'un trouble de santé mentale grave et quatre auprès de travailleurs sociaux exerçant en santé mentale dans la région de Lanaudière Sud. Les résultats obtenus font ressortir les perceptions de ces deux sous-groupes, en lien avec l'identification des facteurs de vulnérabilité chez les personnes atteintes d'un trouble de santé mentale sur le plan de l'habitat et sur les stratégies mises en œuvre par cette population pour surmonter les obstacles vécues à ce niveau. De plus, les résultats de cette recherche vont dans le sens de la littérature qui mentionne que, malgré l'évolution des mentalités, les préjugés associés au trouble de santé mentale persistent et handicapent l'insertion sociale des personnes qui en souffrent, notamment lorsqu'il s'agit de l'habitat. Par conséquent, la vulnérabilité et la stigmatisation des personnes atteintes d'un trouble de santé mentale grave ont des répercussions importantes sur leur développement identitaire. En terminant, soulevons que les résultats de cette recherche démontrent que la capacité intégrative de la société à propos des problématiques liées à l'habitation chez cette population, demeure un problème d'actualité et occasionne des obstacles supplémentaires que celle-ci doit surmonter dans son processus d'insertion sociale. Il est donc essentiel d'accompagner les personnes atteintes d'un trouble de santé mentale grave dans leur processus d'insertion sociale sur le plan de l'habitat afin d'éviter qu'elles se retrouvent confrontées à l'extrême pauvreté et à l'itinérance. En ce sens, cette recherche espère apporter une contribution à une réflexion visant l'enrichissement des pratiques d'intervention dans ce champ d'activité du travail social. ______________________________________________________________________________
6

Étude des interactions entre la relation parent-jeune et les caractéristiques associées aux troubles intériorisés des jeunes adolescents : analyses secondaires de l'enquête québécoise sur la santé mentale des jeunes (EQSMJ)

Martin, Andrea January 2009 (has links) (PDF)
L'objectif général de l'étude est d'examiner, à titre exploratoire, les effets d'interaction entre la relation parent-enfant et des caractéristiques personnelles, familiales et socio-dérnographiques du jeune (âge, sexe, position dans la fratrie, compétence sociale, psychopathologie parentale, structure familiale, soutien social, revenu, etc.) dans leur pouvoir de prédiction des troubles intériorisés des jeunes adolescents. À notre connaissance, très peu d'études ont examiné les effets d'interaction entre la relation parent-adolescent et d'autres variables associées dans la prédiction des troubles intériorisés à l'adolescence, et ce, à partir d'un échantillon populationnel représentatif. L'échantillon de la présente étude est un sous-échantillon de l'Enquête québécoise sur la santé mentale des jeunes (EQSMJ, 1992, n=2400) et comporte 825 jeunes de 12 à 14 ans. Les troubles mentaux intériorisés considérés ici regroupent: (1) la phobie simple + difficulté d'adaptation, (2) l'angoisse de séparation (3) l'hyperanxiété / l'anxiété généralisée, (5) la dépression majeure / dysthymie. La définition des troubles mentaux s'appuie sur la classification proposée dans la troisième édition révisée du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-III-R) de l'Association Américaine de Psychiatrie (APA, 1987). Pour déterminer s'il y a présence ou non d'un trouble mental, on s'appuie sur les réponses fournies par deux informateurs indépendants: le parent et le jeune adolescent lui-même. Les catégories de caractéristiques (variables associées) incluses sont: individuelles, familiales et sociodémographiques. Deux modèles de régression logistiques sont construits. La variable dépendante est la présence d'au moins un trouble mental intériorisé (Modèle 1: selon l'informateur adolescent; Modèle 2: selon l'informateur parent). Les variables indépendantes sont des caractéristiques individuelles, familiales, et sociodémographiques, ainsi que les interactions de ces variables avec la relation parent-adolescent. Les résultats du Modèle 1 (au moins un trouble mental intériorisé selon le jeune) révèlent des effets d'interaction entre des composantes de la relation parent-enfant et les variables suivantes: la structure familiale, la position dans la fratIie et le revenu familial. Le Modèle 1 démontre également des effets principaux pour le sexe, la scolarité de la mère et les comportements punitifs du père. Les résultats du Modèle 2 (présence d'au moins un trouble mental intériorisé selon l'informateur parent) appuient l'hypothèse que la relation parent-enfant interagit avec les variables suivantes: l'âge, le sexe, la compétence sociale du jeune adolescent et, finalement, la scolarité de la mère dans la prédiction des troubles mentaux intériorisés. Le modèle 2 démontre également des effets principaux pour la position dans la fratrie, la psychopathologie parentale et les comportements punitifs du père. Les résultats indiquent que les comportements punitifs du père sont directement associés (effet principal) à la présence d'un trouble intériorisé chez le jeune adolescent, tant dans le Modèle 1 que le Modèle 2. Les autres composantes de la relation parent-enfant qui ont été évaluées interagissent avec les variables associées aux troubles intériorisés. Par exemple, les filles sont non seulement plus à risque de présenter un trouble intériorisé, mais ce risque augmente lorsqu'elles perçoivent un manque de soins de la part de leur mère. Le fait d'analyser les variables associées aux troubles intériorisés en tenant compte de l'informateur apporte beaucoup de richesse aux résultats. Les variables associées varient selon l'informateur et, sans l'informateur adolescent, les résultats auraient été moins révélateurs. Des recherches futures, avec des devis différents de celui de notre étude, seront nécessaires pour approfondir la compréhension de l'étiologie des troubles mentaux intériorisés chez les jeunes adolescents et, plus spécifiquement, du rôle de la relation parent-enfant dans l'émergence de ces troubles. Plusieurs implications pour la pratique clinique découlent de l'étude. Il faudrait sensibiliser les parents d'adolescents des effets potentiellement négatifs associés à une fréquence élevée de comportements punitifs, de même que leur recommander de viser à un équilibre concernant les comportements de soins (ex. : soutien, encouragements) et ceux visant le soutien de l'autonomie de leur jeune adolescent. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Épidémiologie, Troubles mentaux intériorisés, Adolescents (12-14 ans), Relation parent-enfant, Variables associées, Effets d'interaction, DSM-III-R.
7

Pour un modèle de l'explication pluraliste et mécaniste en psychiatrie

Goyer, Simon 05 1900 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire, je présente et j'évalue trois modèles de l'explication en psychiatrie, à savoir (1) l'interprétation réductionniste que je fais des modèles déductif-nomologique (DN) et inductif-statistique (IS) de Carl Gustav Hempel (et Paul Oppenheim); (2) le modèle de l'explication réductionniste et mécaniste formulé par John Bickle et (3) le modèle de l'explication pluraliste et mécaniste développé par le psychiatre et chercheur Kenneth S. Kendler. Au premier chapitre, je présente la conception syntaxique des théories scientifiques. J'y présente, en outre, les modèles DN et IS qui s'inscrivent dans cette conception. J'y expose aussi mon interprétation réductionniste de ces modèles. Je termine ce chapitre par une présentation du modèle de la réduction interthéorique d'Ernest Nagel. Au deuxième chapitre, je présente une critique des modèles de la réduction interthéorique de Nagel et de Kenneth F. Schaffner. De plus, j'expose trois problèmes que rencontrent les modèles DN et IS. En montrant les failles de ces derniers, je conclus trois choses : (a) il n'est pas possible d'interpréter de manière réductive les modèles DN et IS; (b) ces modèles, même non interprétés de manière réductionniste, sont problématiques et, pour cela, inapplicables en psychiatrie; (c) la conception syntaxique des théories est un cadre inadéquat pour concevoir l'explication en médecine mentale. Dans le troisième chapitre, je présente la conception sémantique des théories scientifiques. Suivant cette conception, une théorie est une famille de modèles. On peut définir le terme « modèle » de plusieurs manières. Patrick Suppes, Bas C. Van Fraassen et Ronald N. Giere ont proposé une définition de ce terme. J'adopte celle de Giere. Puis, j'expose la notion de modèle mécaniste qui peut être subsumée sous la conception des modèles de ce dernier. Je montre qu'un modèle mécaniste est pertinent pour représenter l'explication d'un trouble de santé mentale. Je termine en rejetant le modèle mécaniste et réductionniste de Bickle et en défendant le modèle mécaniste et pluraliste de Kendler. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : philosophie des sciences, philosophie de la psychiatrie, explication, réduction, conception syntaxique des théories, conception sémantique des théories, modèle, causalité, psychiatrie, troubles de santé mentale, neurosciences.
8

Évaluation du risque de la maltraitance chez les mères ayant un trouble mental : la perspective des intervenants sociaux

Bourque, Sonia January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
9

Examining the incremental validity of psychopathy versus antisocial personality disorder in understanding patterns of criminal behavior

Braithwaite, Erika 08 1900 (has links)
La psychopathie et le trouble de personnalité antisociale sont deux syndromes reliés qui ont été identifiés comme prédicteurs importants de comportements violents et de criminalité. Cependant, la recherche indique que les facteurs de la psychopathie centrés sur la personnalité ne sont pas des prédicteurs fiables de récidive violente chez les personnes atteintes de maladies mentales. Toutefois, peu d’études se sont centrées sur l’identification des facteurs associés au patron des antécédents criminels. Les 96 hommes de l’étude ont été déclarés non criminellement responsables en raison de troubles mentaux. Ils ont été évalués quant au trouble de la personnalité antisociale ainsi qu’à la psychopathie. Les dossiers criminels de la Gendarmerie Royale du Canada ont également été consultés afin de reconstituer l’histoire criminelle. Les résultats suggèrent que ni les traits de personnalité antisociaux, ni les facteurs de la psychopathie ne démontrent une validité prédictive incrémentielle les uns sur les autres quant au nombre ou à la sévérité des délits. La présence d’un grand nombre de traits antisociaux est associée à un plus grand nombre et à une plus importante sévérité d’actes criminels non-violents. Les résultats sont discutés en termes de l’utilité d’une classification du trouble de personnalité antisociale, et de la pertinence du construit de la psychopathie pour les personnes atteintes de maladies mentales graves. / Psychopathy and antisocial personality disorder are two related yet clinically distinct syndromes both coined as important predictors of violence and criminality. Among the mentally ill, there is increasing evidence that only the behavioral aspects of psychopathy are related to criminality. Studies have shown that the personality-oriented facets of psychopathy add little to the prediction of future violence among the mentally ill. However, few studies have sought to examine whether a lifetime of crime shows the same pattern. A total of 96 men who had been declared not criminally responsible on account of mental disorder participated in this study. Trained interviewers assessed antisocial personality and psychopathy among participants. Official RCMP criminal records were consulted in order to ascertain criminal history. Results suggest that neither antisocial personality disorder traits nor psychopathy facets evidenced incremental validity one over the other regarding a lifetime pattern of offending. A higher number of antisocial traits were related to a greater number and higher severity of non-violent offenses. Results are discussed with regards to the usefulness of the antisocial personality disorder classification, and the applicability of conceptual models of psychopathy to individuals with a severe mental illness.
10

Évaluation du risque de la maltraitance chez les mères ayant un trouble mental : la perspective des intervenants sociaux

Bourque, Sonia January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Page generated in 0.1092 seconds