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Stigma und Charisma im Neuen Testament und seiner Umwelt : zur Soziologie des Urchristentums /

Mödritzer, Helmut, January 1994 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Theologische Fakultät--Heidelberg--Universität, 1993. / Bibliogr. p. 285-326. Index.
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Le stigmate au miroir de l'estime de soi le cas du désordre mental face à l'étiquetage psychiatrique /

Lacaze, Lionel Durif-Varembont, Jean-Pierre. January 2006 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Psychologie sociale : Lyon 2 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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La stigmatisation d'une sous-culture : étiquetage, marginalisation et déviance : étude d'une communauté de joueurs de jeux de rôle parisiens

Pécheur, Raphaële January 2006 (has links) (PDF)
Notre intérêt de recherche porte sur la stigmatisation des sous-cultures par la société. Afin d'étudier le phénomène de l'étiquetage social, nous avons décidé d'étudier une sous-culture dépréciée: la sous-culture des rôlistes. En effet, nos recherches préliminaires nous ont amenée à constater que cette communauté est décriée de manière très virulente. Cependant, nous nous sommes posés la question à savoir pourquoi une telle opinion? Pourquoi ce passe-temps est-il dénigré? Ces jeunes sont-ils dangereux ou fous? Les jeux sont-ils vecteurs de pathologies? Pourquoi une telle mise à l'écart? Notre but, dans cette étude, est d'identifier la stigmatisation et l'étiquetage dont ils sont victime et d'en comprendre les mécanismes. Nous voulons savoir si les joueurs sont des jeunes comme les autres ou en dehors de la réalité, une sorte de jeunesse dégénérée en mal de socialisation. La mise en marge de cette sous-culture par la société est un phénomène complexe que nous analysons dans cette recherche. Afin de mieux comprendre ce que sont les jeux de rôle, nous effectuons un bref historique des courants littéraires qui ont façonné le jeu de rôle jusqu'à aujourd'hui dont, principalement, le courant de la Fantasy, puis nous expliquons ce qu'est ce jeu de rôle. Pour mener à bien notre recherche, nous nous appuyons sur une méthodologie qualitative. Nous effectuons, une observation participante auprès d'un groupe de joueurs parisiens afin de comprendre leur dynamique et celle des jeux. N'ayant jamais joué aux jeux, nous confrontons notre point de vue avant l'expérience et après, afin de saisir si les jeux sont effectivement répréhensibles. Puis, nous interrogeons des non-joueurs pour connaître leur opinion sur les jeux. Des entrevues avec les joueurs nous permettent enfin de confronter les opinions et de comprendre quelle est leur position vis à vis des accusations à leur encontre. Le cadre théorique de l'École de Chicago et de l'interactionnisme symbolique nous permet de développer les concepts de l'étiquetage et de la stigmatisation, notions sur lesquelles nous nous basons pour effectuer notre analyse. Nos principaux résultats sont que les joueurs, considérés comme « déracinés », sont des jeunes comme les autres, passionnés par un passe-temps surtout inconnu. L'opinion générale serait propagée par les médias, entraînant une panique morale. Nous observons ainsi deux attitudes des joueurs face à ceci: devenir une source d'information; ou bien, développer une stigmatisation auprès de leurs accusateurs. La stigmatisation et l'étiquetage sont donc les résultats d'une influence extérieure impalpable. Il nous est apparu que le stigmate apportant le stigmate, le cercle apparaît difficile à briser. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Déviance, Marginalisation, Sous-culture, Étiquetage, Stigmatisation, Jeu de rôle.
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Identité et itinérance : les stratégies identitaires dans le processus de désinsertion sociale

Ouellet, Guillaume 09 1900 (has links) (PDF)
L'identité individuelle résulte d'un processus complexe qui s'ébauche et se parfait à travers le rapport dialectique qu’entretient l'individu à l'autre. Au fil des interactions, l'individu - à la fois être singulier et membre d'une collectivité – est façonné par et pour le social. Toutefois, dans une société essentiellement axée sur la performance professionnelle et sur la réussite personnelle, certains individus ne trouvent pas l’occasion de participer pleinement au monde social. Exclus à divers degrés des principaux vecteurs d'inscription sociale que représentent, le travail, la consommation et la participation à un réseau relationnel, ces derniers se voient apposer l'étiquette de perdants. Parmi ceux-ci, ceux que l'on désigne comme étant « les itinérants » sont certainement les plus visibles. Socialement stigmatisées, les personnes en situation d'itinérance doivent apprendre à composer avec le fait de ne pas correspondre à l'image de l'autre idéal. En analysant le discours de dix-sept hommes en situation d'itinérance, ce mémoire propose d'explorer ce que représente l'itinérance du point de vue des personnes en situation d'itinérance, de quelle façon ces personnes portent-elles le poids de la stigmatisation sociale, quelles stratégies déploient-elles afin d'échapper à l'effet dévastateur de la stigmatisation sur leur identité et quelles sont les étapes qui ponctuent leur parcours dans l'itinérance. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Identité, Itinérance, Exclusion sociale, Désinsertion sociale, Stigmatisation, Rôle, Stratégies identitaires.
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Recherche indicative en regard de l'évaluation de la vidéo du programme "Porter secours"

Ponton, Lucie January 2009 (has links) (PDF)
Selon l'Organisation mondiale de la santé une personne sur cent est atteinte de schizophrénie et les premiers symptômes se manifestent généralement à l'adolescence ou au début de l'âge adulte et bouleversent complètement l'existence de cette personne et de ses proches. En plus de faire face à des modifications profondes et majeures en regard de sa personnalité et de sa façon d'être, la personne touchée par la schizophrénie doit affronter les mythes et les préjugés généralement véhiculés dans la société qui entraînent son discrédit et son exclusion. Elle porte alors le sceau de la stigmatisation. Depuis quelques années une croisade est engagée pour combattre ce fléau. L'auteure du mémoire s'inscrit dans ce mouvement, et la recherche actuelle a pour but d'apporter un regard évaluatif sur la vidéo d'un programme d'information visant à combattre la stigmatisation entourant la schizophrénie. Ce programme créé par la Société de schizophrénie de Colombie Britannique a été approuvé par Santé Canada pour une diffusion à travers le pays, d'un océan à l'autre. Il a fait l'objet d'une évaluation dans certaines provinces anglophones, mais aucune appréciation n'a été produite pour la version francophone intitulée: 'Porter secours'. Avec une méthodologie mixte et une analyse transversale des résultats, la chercheure du présent travail, a interviewé cent onze personnes de la région de Montréal et des Basses Laurentides au moyen d'un questionnaire structuré et de discussions semi structurées sur les thèmes abordés. Nous distinguons deux groupes de répondants soit des personnes avec un diagnostic psychiatrique et un autre groupe d'individus sans un tel diagnostic. Nous nous questionnons à savoir: « En quoi la vidéo du programme d'éducation populaire 'Porter secours' permet-elle de combattre la stigmatisation envers les personnes atteintes de schizophrénie? » Notre analyse s'opère dans un cadre théorique d'interactionnisme symbolique. Les conclusions de cette recherche nous permettent de penser qu'une spécificité existe quant aux représentations sociales et aux besoins d'informations en regard de la problématique de la schizophrénie chez nos répondants en comparaison avec les résultats de l'évaluation produite dans les provinces anglophones. Nous présentons ces résultats en parallèle aux nôtres. Aussi, terminons-nous ce travail par des recommandations issues des données de cette recherche afin, éventuellement de créer un outil de sensibilisation qui comblerait ces attentes et ferait avancer la lutte contre la stigmatisation entourant la schizophrénie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Psychiatrie, Maladie mentale, Schizophrénie, Stigmatisation, Intégration sociale.
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Les difficultés d'intégration sociale des personnes atteintes d'un trouble de santé mentale sur le plan de l'habitat : le point de vue des personnes atteintes d'un trouble de santé mentale et des travailleurs sociaux dans la région de Lanaudière Sud

St-Hilaire, Isabelle 02 1900 (has links) (PDF)
L'objectif principal de cette recherche qualitative a été de recueillir les perceptions des personnes atteintes d'un trouble de santé mentale grave et des travailleurs sociaux sur les difficultés d'intégration sociale des personnes ayant des troubles mentaux, sur le plan de l'habitat dans la région de Lanaudière Sud. Nous avons choisi d'explorer la question de l'intégration sociale, car nous constatons que nous assistons à une montée du sentiment d'exclusion chez cette population sur le plan de l'habitat. De plus, cette préoccupation à l'égard de cette problématique est au cœur de plusieurs politiques sociales dans le secteur de la santé et des services sociaux et promue par la Société d'Habitation du Québec. Par ailleurs, nous retrouvions ces mêmes préoccupations chez plusieurs auteurs, ce qui nous a permis de construire notre cadre conceptuel qui est basé sur une perspective interactionniste symbolique, lequel définit les difficultés d'intégration sociale des personnes ayant un trouble de santé mentale comme étant un résultat d'interactions entre la personne et son environnement. Associé à cet élément central, nous avons tenu compte, pour l'élaboration de notre cadre conceptuel, des concepts de vulnérabilité, de stigmatisation et d'identité pour réfléchir sur les expériences résidentielles vécues par cette population. Nous avons donc réalisé, pour les fins de cette recherche, dix entrevues semi-dirigées, dont six auprès de personnes atteintes d'un trouble de santé mentale grave et quatre auprès de travailleurs sociaux exerçant en santé mentale dans la région de Lanaudière Sud. Les résultats obtenus font ressortir les perceptions de ces deux sous-groupes, en lien avec l'identification des facteurs de vulnérabilité chez les personnes atteintes d'un trouble de santé mentale sur le plan de l'habitat et sur les stratégies mises en œuvre par cette population pour surmonter les obstacles vécues à ce niveau. De plus, les résultats de cette recherche vont dans le sens de la littérature qui mentionne que, malgré l'évolution des mentalités, les préjugés associés au trouble de santé mentale persistent et handicapent l'insertion sociale des personnes qui en souffrent, notamment lorsqu'il s'agit de l'habitat. Par conséquent, la vulnérabilité et la stigmatisation des personnes atteintes d'un trouble de santé mentale grave ont des répercussions importantes sur leur développement identitaire. En terminant, soulevons que les résultats de cette recherche démontrent que la capacité intégrative de la société à propos des problématiques liées à l'habitation chez cette population, demeure un problème d'actualité et occasionne des obstacles supplémentaires que celle-ci doit surmonter dans son processus d'insertion sociale. Il est donc essentiel d'accompagner les personnes atteintes d'un trouble de santé mentale grave dans leur processus d'insertion sociale sur le plan de l'habitat afin d'éviter qu'elles se retrouvent confrontées à l'extrême pauvreté et à l'itinérance. En ce sens, cette recherche espère apporter une contribution à une réflexion visant l'enrichissement des pratiques d'intervention dans ce champ d'activité du travail social. ______________________________________________________________________________
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Les effets du rétablissement comme approche thérapeutique sur les processus de lutte à la stigmatisation de personnes vivant avec un problème de santé mentale

Lemire Auclair, Émilie 03 1900 (has links) (PDF)
Le rétablissement, comme nouvelle philosophie d'intervention dans le champ de la santé mentale, nous invite à réfléchir l'intégration sociale sous un angle particulier, soit celui de l'épanouissement personnel : il ne suffit plus de s'inscrire dans un mode de vie normatif aux plans matériel, économique et social. Le rétablissement implique un processus individuel visant notamment un travail de restauration identitaire où l'individu devient acteur, « [engageant] ses propres ressources afin de développer des initiatives et élaborer un projet de vie » (Soulet et Châtel, 2001 : 186). En dépit de son rôle actif vers le mieux-être, l'individu voit également sa trajectoire balisée par une multitude de cadres sociaux : une histoire familiale, des relations sociales, un contexte socioéconomique, une trajectoire thérapeutique, etc. Bien que ces différents cadres soient considérés comme des sources potentielles de soutien, on constate néanmoins que les personnes avec des problèmes de santé mentale sont confrontées à une accumulation d'obstacles sociaux entravant leur épanouissement. À la lumière de ces constats, comment le rétablissement est-il possible? À travers une perspective interactionniste, la présente étude situe l'enjeu premier du rétablissement dans la recherche de reconnaissance sociale. En ce sens, un des obstacles principaux auxquels se heurtent les individus avec des problèmes de santé mentale relève de la stigmatisation, à la source de discrimination et d'une dégradation de l'image de soi. Ainsi, se rétablir implique nécessairement de lutter contre les effets de cette stigmatisation. La méthodologie ethnographique, fondée sur la tenue d'entretiens et l'observation participante, a permis de documenter certains moyens dont les personnes font usage dans leur vie quotidienne pour lutter contre les effets de la stigmatisation, notamment dans le cadre de leurs relations avec leur entourage. De plus, elle a permis d'éclairer la façon dont les individus intègrent leur réponse à différentes normes sociales dans leur travail de reconstruction identitaire. Ce processus est illustré par l'identification individuelle et collective aux normes thérapeutiques du rétablissement prenant place dans un organisme communautaire en santé mentale. La capacité des participantes à l'étude à correspondre à ces idéaux thérapeutiques est interprétée à la lumière de leur stigmate et intégrée dans leur perception de soi. Les données issues de cette étude ainsi que leur analyse et interprétation suggèrent que la recherche d'une plus grande reconnaissance sociale prend la forme d'une lutte pour l'acceptation sociale. Ainsi, malgré un discours thérapeutique mettant de l'avant les principes d'auto-détermination et d'autonomie, il apparaît que, dans la trajectoire des personnes avec des problèmes de santé mentale, le poids du stigmate et de certaines normes sociales joue un rôle fort important qu'on ne peut se permettre d'ignorer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : rétablissement, stigmatisation, santé mentale, identité, exclusion, marginalisation, normes sociales

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