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Faut-il réparer les ruptures de la coiffe des rotateurs des sujets de plus de 60 ans ? Etude prospective randomisée de 127 cas avec contrôle clinique et iconographique à 1 an /

Dezaly, Charles Molé, Daniel. January 2009 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine : Nancy 1 : 2009. / Titre provenant de l'écran-titre.
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Résultats à long terme de la chirurgie décompressive de l'espace sous acromial sous arthroscopie étude rétrospective de 227 acromioplasties avec un recul moyen de 10, 7 ans /

Gosselin, Olivier. Molé, Daniel. January 2003 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine : Nancy 1 : 2003. / Thèse : 03NAN11029. Titre provenant de l'écran-titre.
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Arthroscopy of the temporomandibular joint

Holmlund, Anders. January 1987 (has links)
Thesis (doctoral)--Karolinska Institutet, 1987. / Extra t.p. with thesis statement inserted. Includes bibliographical references.
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Arthroscopy of the temporomandibular joint

Holmlund, Anders. January 1987 (has links)
Thesis (doctoral)--Karolinska Institutet, 1987. / Extra t.p. with thesis statement inserted. Includes bibliographical references.
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Le complexe scapho-lunaire, un nouveau concept !un autre regard sur l'instabilité du carpe

Van Overstraeten, Luc 01 December 2014 (has links)
Les buts de cette thèse sont les suivants :préciser les critères de datation d’une lésion ligamentaire scapho-lunaire instable ;analyser l’apport de l’imagerie par résonance magnétique (IRM) dans le diagnostic lésionnel des ligaments extrinsèques du carpe ;étudier l’apport de l’arthroscopie en particulier dans la classification de l’instabilité prédynamique scapho-lunaire et dans le testing des ligaments extrinsèques ;isoler une éventuelle nouvelle structure anatomique stabilisatrice du carpe ;et enfin évaluer à court terme les résultats de la capsulodèse à l’intercarpien dorsal selon Viegas. Trois critères arthroscopiques sont décrits et analysés statistiquement sur 100 arthroscopies, pour dater le traumatisme responsable d’une lésion ligamentaire instable du carpe. La turbidité du liquide synovial (T0 à T4), l’infiltration synoviale hémorragique (S0 à S2) et l’état du cartilage (C0 à C4) sont corrélés au délai post-traumatique. La turbidité et l’infiltration synoviale hémorragique sont les plus significatives (p < 0.001). La corrélation entre le grade de chondropathie et le délai post-traumatique est également significative (p < 0.01). L’infiltration synoviale est le caractère prédictif le plus puissant. La combinaison des trois critères renforce la prédictibilité. Il est dès lors possible de confirmer l’anamnèse, de préciser s’il s’agit d’une lésion instable aiguë ou subaiguë (moins de six semaines), ou chronique récente (six semaines à trois mois) ou chronique ancienne (plus de trois mois), ou encore de documenter un état antérieur inconnu du patient. Les ligaments extrinsèques du poignet peuvent être examinés de façon précise par IRM. Deux études, l’une sur poignets indemnes, l’autre rétrospective sur poignets pathologiques, ont permis de préciser le système d’imagerie et le mode d’utilisation les plus efficaces dans l’examen de ces ligaments. L’analyse de ces structures anatomiques fines aux directions obliques et courbes est optimalisée par l’utilisation d’un appareil de résonance magnétique à haute résolution, et par des séquences spécifiques permettant l’obtention de coupes infra-millimétriques. La reconnaissance des ligaments extrinsèques est améliorée par l’injection intra-articulaire ou intraveineuse de produit de contraste. Les découvertes de l’IRM sont corrélées aux informations cliniques et à l’arthroscopie. Les deux études montrent l’intérêt de l’IRM à haute résolution pour déterminer précisément la localisation, la dimension et l’étendue des lésions des ligaments extrinsèques dorsaux et palmaires radio-carpiens et ulno-carpiens impliqués dans le carpe. L’expérience future et des corrélations IRM/arthroscopie sont nécessaires pour définir la place de l’imagerie par résonance magnétique dans la mise au point des patients présentant des lésions traumatiques du poignet. La classification de l’European Wrist Arthrosocpy Society (EWAS) ordonne l’instabilité arthroscopique scapho-lunaire en quatre stades selon l’importance de l’ouverture de l’interligne scapho-lunaire. Elle précise le stade III de la classification de Geissler en distinguant l’élargissement du côté palmaire (IIIa), celui du côté dorsal (IIIb) ou l’élargissement complet (IIIc). Une étude arthroscopique cadavérique a précisé l’implication lésionnelle des ligaments extrinsèques sur le type d’instabilité scapho-lunaire. Quatre séries de coupes séquentielles ont été réalisées, distinguant deux groupes (selon des sections de ligaments palmaires ou dorsaux). La série est courte et l’analyse statistique n’est pas significative, mais il existe des tendances :la section des parties palmaire et intermédiaire du ligament interosseux scapho-lunaire (SLIOL) et des ligaments extrinsèques palmaires (radio-scapho-capitatum RSC) et radio-lunaire long (LRL)) cause un élargissement arthroscopique palmaire ( stade IIIa) ;la section supplémentaire de la partie dorsale du SLIOL aggrave l’instabilité arthroscopique (stade IIIc) sans aucune modification radiologique. La section combinée de la partie dorsale du SLIOL et du ligament intercarpien dorsal (DIC) produit un élargissement arthroscopique dorsal (stade IIIb) ;la section supplémentaire de la partie palmaire du SLIOL aggrave l’instabilité arthroscopique ( stade IIIc ) sans modification radiologique. La section combinée de tout le SLIOL, des extrinsèques palmaires et du DIC induit une instabilité arthroscopique (stade IV) et des modifi cations radiologiques. Lorsque tout le SLIOL est sectionné, il est nécessaire de sectionner au moins un ligament palmaire et un ligament dorsal extrinsèque pour obtenir un stade IV. Une méthode systématique de testing arthroscopique des ligaments extrinsèques du carpe est décrite. La plupart des ligaments extrinsèques du carpe sont accessibles à la palpation de leur portion endoarticulaire (RSC, LRL, radio-lunaire court (SRL), ulno-lunaire (UL), ulno-triquetral (UL), radiocarpien dorsal (RCD), triquétro-capitatum (TC), scapho-trapézien (ST), DIC). Une majorité d’entre eux peut être examinée en vision directe par portes arthroscopiques dorsales ou ulnaire. Une gradation lésionnelle de ces ligaments extrinsèques est décrite en fonction de la tension et de la continuité de leurs fibres. Le septum capsulo-scapho-lunaire dorsal (DCSS) est un épaississement capsulaire dorsal qui relie le rebord dorsal de la crête articulaire carpienne du radius, se dirige distalement et s’insère sur la partie dorsale du ligament interosseux scapho-lunaire, sur le scaphoïde et sur le lunatum. Une étude athroscopique cadavérique a montré que la section sélective du DCSS produisait une dissociation arthroscopique scapho-lunaire constante mais aucune modification radiologique du carpe. Elle a permis de conclure que le DCSS joue un rôle de stabilisateur scapho-lunaire dont la lésion entraîne une instabilité prédynamique. L’étude clinique présentée compare les données préopératoires et postopératoires de vingt-cinq poignets opérés de capsulodèse à l’intercarpien dorsal selon Viegas entre 2006 et 2010. Il s’agit d’une capsulodèse réalisée à ciel ouvert qui semble respecter l’isométrie ligamentaire du poignet. Tous les patients ont été évalués arthroscopiquement avant de bénéficier du geste. La laxité scapho-lunaire correspondait dans trois cas à une laxité grade 2 de Geissler, dans seize cas à une laxité grade 3 et dans six cas à une laxité grade 4. Le recul moyen était de 20 mois (13 – 45 mois). L’évaluation clinique au dernier recul a noté une mobilité en arc de flexion extension de 109° et en inclinaison radio-ulnaire de 66°. La force de poigne était de 27,9 kgf. La douleur à l’EVA était à 2,7 et le score PRWE de 43,8. Radiographiquement, le diastasis scapho-lunaire de face a été mesuré à 1,88mm, l’angle scapho-lunaire à 54°. Le recul est évidemment trop court pour estimer la pérennité de l’efficacité de cette capsulodèse. A la revue, le patient avait repris toutes ses activités sans symptomatologie dans onze cas, avec inconfort dans neuf ou présentait une certaine incapacité dans trois cas. Sur ces trois mauvais résultats, deux ont évolué vers l’arthrose et ont été repris. L’instabilité scapho-lunaire, qu’elle soit aiguë ou chronique, reste une problématique difficile. Il faut informer les soignants de première ligne mais aussi la population sur l’évolution sournoise de certaines entorses :retour à l’indolence en quelques mois mais décompensation silencieuse et arthrose invalidante et handicapante après quelques années ou décennies. Le patient victime d’une entorse du poignet est en droit d’obtenir en urgence un traitement adapté qui peut éviter plus tard une catastrophe professionnelle et/ou sociale. Des critères diagnostiques sont désormais disponibles pour dater le traumatisme responsable de l’entorse et donner l’âge de l’instabilité. L’embrochage articulaire en période traumatique aiguë (ou subaiguë) permet d’obtenir une cicatrisation anatomique et stable des lésions ligamentaires. La stabilité scapho-lunaire paraît donc dépendre de l’intégrité non seulement du ligament interosseux (SLIOL) mais également des ligaments extrinsèques palmaires et dorsaux et des attaches capsulaires dont certaines comme le DCSS peuvent être différenciées en véritables structures anatomiques. Il s’agit là d’un véritable complexe scapho-lunaire (CSL) dont l’atteinte des composants peut être documentée par l’imagerie et le caractère instable précisé par l’arthroscopie. L’imagerie progresse. L’arthroscanner reste le golden standard de l’évaluation radiologique des ligaments interosseux. L’arthro IRM permet d’investiguer les ligaments extrinsèques du carpe et de documenter leurs lésions. L’arthroscopie donne une approche différente des structures stabilisatrices du carpe et en particulier des composantes du CSL par rapport aux méthodes diagnostiques conventionnelles d’imagerie. L’étude morphologique des ligaments interosseux et extrinsèques reste limitée à la surface des portions strictement intra-articulaires, mais l’analyse peut se compléter par un testing précis et spécifique de chaque ligament. Une nouvelle classification de l’instabilité scapho-lunaire prédynamique permet d’orienter le diagnostic des lésions ligamentaires extrinsèques associées. Des études de corrélations clinico-radio-arthroscopiques pourraient participer à l’évaluation de tests cliniques spécifi ques des éléments constitutifs du complexe scapho-lunaire. La capsulodèse dorsale selon Viegas qui renforce la partie dorsale du ligament interosseux scapho-lunaire reconstruit également le septum capsuloligamentaire dorsal. Elle améliore à court terme l’instabilité scapho-lunaire. <p><p><p>The goals of this thesis are to determine the criteria for dating an unstable scapholunate ligament tear; to assess the use of magnetic resonance imaging (MRI) for the diagnosis of lesions of the extrinsic ligaments; to study the use of arthroscopy particularly for predynamic scapholunate instability and the testing of extrinsic ligaments; to possibly describe a new anatomical structure of carpal stabilisation; and finally, to evaluate with short follow-up the results of Viegas’s capsulodesis. Three arthroscopic criteria for dating wrist trauma causing unstable carpal ligament lesion are described and recorded in 100 arthroscopies, then subjected to statistical analysis. The turbidity of synovial fluid (T0 to T4), the hemorrhagic synovial infiltration (S0 to S2) and the state of the cartilage (C0 to C4) are correlated to the duration post trauma. The turbidity and the haemorrhagic synovial infi ltration are the most significant predictive criteria (p < 0.001). The correlation between the degree of chondropathy and posttraumatic delay is also significant (p < 0.01). The synovial infiltration has the most predictive value. The combination of three criteria increases predictivity. It is then possible to confirm the history, to determine whether it is an acute or subacute (less than 6 weeks) unstable lesion, recent chronic (6 weeks to 3 months) or old chronic (more than 3 months), or to record a pre-existing lesion. The extrinsic ligaments of the wrist can be accurately assessed by MRI scan. Two retrospective studies specified the image system and the most efficient procedure to investigate these ligaments. Imaging of these thin structures with an oblique and curved course is better performed using a three-dimensional MRI with high resolution and specific sequences with infra-millimetric cuts. The visualisation of pathologic extrinsic ligaments is improved with MRI arthrography or use of contrast. The MRI findings are correlated to clinical and arthroscopic findings. Both studies showed the benefit of high-resolution MRI to determine the site, dimensions and extent of the extrinsic ligamentous lesions of the carpus. Further study and correlations of MRI with arthroscopy are necessary to determine the exact place of MRI in the management of wrist sprains. The European Wrist Arthroscopy Society (EWAS) sequence classifies the arthroscopic scapholunate instability in four stages according to the scapholunate gap.It divides the stage III of Geissler’s classification into volar widening (IIIa), dorsal widening (IIIb) and complete widening (IIIc). An arthroscopic cadaveric study was done to describe the impact of extrinsic ligament lesions on the type of scapholunate instability. Four sequential series of cuts were performed, distinguishing two different groups: volar ligament cuts and dorsal cuts. The series is small and the statistical analysis is not significant, however, a pattern emerged: cutting the volar and proximal scapholunate interosseous ligament (SLIOL) with the radioscapholunate ligament (RSL) and long radiolunate ligament (LRL) provoked a stage IIIA instability. The additional sectioning of the dorsal SLIOL increased the arthroscopic instability (stage IIIC) with no radiological change. Cutting the dorsal SLIOL with dorsal intercarpal ligament (DIC) provoked a dorsal arthroscopic scapholunate gap (stage IIIb); the additional sectioning of all SLIOL, volar extrinsic ligament and DIC caused an arthroscopic instability (stage IV) as well as radiologic changes. In addition to complete SLIOL sectioning, the section of at least one volar ligament and one dorsal ligament was required to cause a stage IV. A systematic method of arthroscopic testing of extrinsic carpal ligaments is described. Most extrinsic ligaments are accessible to the palpation of their intraarticular part (RSC, LRL, short radiolunate (SRL), ulnolunate (UL), ulnotriquetral (UL), dorsal radiocarpal (RCD), triquetrocapitate (TC), scaphotrapezial (ST), and DIC)). They can be almost all be directly viewed through dorsal or ulnar portals. A classification of extrinsic ligament lesions is described according to the tension and the continuity of the fibres. The dorsal capsuloligamentous scapholunate septum (DCSS) is a thickening of the dorsal capsule, the dorsal intercarpal ligament (DIC), and the scapholunate interosseous ligament (SLIOL) with attachments to scaphoid and lunate. An arthroscopic and fluoroscopic study has shown that the selective cutting of DCSS provoked a constant arthroscopic scapholunate change but no radiologic change. This structure appears to play a role in the stability of the scapholunate joint. The preoperative and postoperative findings of 25 patients operated using the open Viegas’ capsulodesis between 2006 and 2010 were compared. Before the procedure, the Geissler’s laxity grade was determined using arthroscopy for all patients: three cases had a grade 2, 16 cases with a grade 3 and six cases a grade 4. The mean follow-up was 20 months (13 to 45). The last clinical evaluation showed a flexion-extension range of 109° and a range of inclination of 66°. The grip strength was 27.9kgf on average; the EVA 2.7 and the PRWE score 43.8. On X-ray, the scapholunate gap was 1.88 mm on average and the scapho-lunate angle, 54°. The follow up is obviously too short to appreciate the radiological improvement following this capsulodesis. At final review, the patients returned to all activities without symptom in 11 cases, with disconfort in nine cases, difficulties in two cases and with disability in three cases. Among these three bad results, two were re-operated fore degenerative arthritis. Scapholunate instability whether acute or chronic remains a difficult problem. Firstline carers and the general population should be informed about the progressive deterioration of some tears: return to a pain free status after a few months but silent collapse and disabling osteoarthritis after a few decades. The patient suffering from a wrist sprain is entitled to appropriate emergency treatment, which can avoid later professional and/or social disability. Diagnostic criteria are now available to date the causative trauma and to determine the age of the instable lesion. K-wire fixation in the acute or subacute phase can achieve anatomic and stable scarring of a ligament injury. Scapholunate stability depends not only on the integrity of the interosseous ligament (SLIOL) but also on extrinsic volar and dorsal ligaments and capsular attachments. Some of them, like the DCSS, are real anatomical structures. They constitute a true scapholunate complex (SLC). A lesion of any of its components can be documented using X-ray and the resulting instability with the arthroscopy. Imaging technology is in continuous progress. CT Arthrography remains the golden standard for assessment of the interosseous ligaments. MRI arthrography can show lesions of the extrinsic carpal ligaments. Arthroscopy offers a different approach to stabilizers of the carpus and particularly to the components of SLC compared to conventional imaging methods. Morphological study of the extrinsic and interosseous ligaments is limited to the surface of their intraarticular portions, but the analysis can be enhanced by accurate and specific assessment of each ligament. A new classification of predynamic arthroscopic scapholunate instability can help diagnose associated extrinsic ligament injuries. Clinical, radiological and arthroscopic correlations can help to develop clinical tests for SLC components. Symptomatic reducible chronic scapholunate instability can be improved by dorsal capsulodesis. Strengthening the dorsal part of SLIOL according. / Doctorat en Sciences médicales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Contrôle arthroscanographique et échographique des sutures de la coiffe des rotateurs de l'épaule étude prospective de 30 cas avec contrôle clinique et iconographique à 3 mois et 1an /

George, Thierry Coudane, Henry January 2007 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine : Nancy 1 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre.
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Approches arthroscopiques et description de l'anatomie articulaire normale du carpe et du tarse chez le bovin adulte

Lardé, Hélène 04 1900 (has links)
Les approches arthroscopiques et l’anatomie normale des articulations antébrachiocarpienne, carpienne moyenne et tarsocrurale n’ont jamais été décrites spécifiquement chez les bovins. Notre étude avait pour buts de définir les abords chirurgicaux et de décrire l’anatomie arthroscopique de ces trois articulations. Deux carpes et deux tarses issus du cadavre frais d’une vache adulte ont été injectés avec un mélange de latex, puis disséqués afin de déterminer les sites arthroscopiques d’intérêt. Par la suite, l’arthroscopie des articulations antébrachiocarpienne et carpienne moyenne (approche dorsale) et de l’articulation tarsocrurale (approches dorsale et plantaire) a été réalisée sur six cadavres frais de vaches adultes ne présentant ni boiterie ni distension articulaire avant leur euthanasie. Les approches dorsolatérale et dorsomédiale des articulations antébrachiocarpienne et carpienne moyenne ont été réalisées de part et d’autre de l’extenseur radial du carpe. Les structures observées étaient le radius distal, les os radial, intermédiaire, ulnaire, II et III fusionnés et IV du carpe, ainsi que des ligaments palmaires. Les approches dorsolatérale et dorsomédiale de l’articulation tarsocrurale ont été réalisées latéralement au long extenseur des doigts et médialement au troisième péronier respectivement. Les approches plantarolatérale et plantaromédiale ont été réalisées latéralement au fléchisseur latéral des doigts et latéralement au fléchisseur médial des doigts respectivement. Les structures observées étaient le tibia distal, les trochlées proximale et plantaire du talus, le processus coracoïde du calcanéus, l’articulation fibulo-calcanéenne et des ligaments articulaires. Quelle que soit l’articulation, l’approche latérale était préférée à l’approche médiale. L’arthroscopie du carpe et du tarse pourra être proposée dans un contexte hospitalier comme outil diagnostique, thérapeutique et pronostique des maladies articulaires bovines. / Arthroscopic approaches and normal anatomy of the antebrachiocarpal, middle carpal and tarsocrural joints have not been specifically described in cattle. Our study aimed to determine surgical approaches and to describe the arthroscopic anatomy of these three joints. Two carpi and two tarsi from the fresh cadaver of an adult cow were injected with a latex mixture and dissected to determine the arthroscopic sites of interest. Thereafter, arthroscopic evaluation of the antebrachiocarpal and middle carpal joints (dorsal approach) and tarsocrural joint (dorsal and plantar approaches) was performed on six fresh cadavers of adult cows exhibiting neither lameness nor joint distension prior to their euthanasia. Dorsolateral and dorsomedial approaches of the antebrachiocarpal and middle carpal joints were performed on either side of the extensor carpi radialis. Observed structures were the distal radius, the radial, intermediate, ulnar, fused second and third and fourth carpal bones, as well as palmar ligaments. Dorsolateral and dorsomedial approaches of the tarsocrural joint were performed laterally to the extensor digitorum longus and medially to the peroneus tertius respectively. Plantarolateral and plantaromedial approaches were performed laterally to the flexor digitorum lateralis and laterally to the flexor digitorum medialis respectively. Observed structures were the distal tibia, proximal and plantar trochleae of the talus, the coracoid process of the calcaneus, the fibulocalcaneal joint and intra-articular ligaments. Whatever the joint, the lateral approach was preferred to the medial one. Arthroscopy of the carpus and tarsus may be offered in a hospital setting as a diagnostic, therapeutic and prognostic tool for bovine joint diseases.
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La fonction musculaire au niveau de la hanche chez les patients présentant un conflit fémoro-acétabulaire symptomatique / Hip muscle function in patients with symptomatic femoroacetabular impingement

Casartelli, Nicola 27 March 2014 (has links)
Le conflit fémoro-acétabulaire (femoroacetabular impingement, FAI) est une pathologie mécanique de la hanche qui peut causer des douleurs et limitations fonctionnelles. Le but de cette thèse était d’étudier la fonction musculaire au niveau de la hanche chez des patients présentant un FAI symptomatique. La fonction musculaire de la hanche a été évaluée, dans un premier temps, chez des patients avant qu’ils ne subissent une opération. Ces patients démontraient un déficit de force qui pourrait être expliqué par de l’inhibition musculaire. Cependant, ce déficit de force n’était pas associé à une plus grande fatigabilité musculaire. Dans un deuxième temps, les altérations de force musculaire ont été évaluées chez des patients ayant subi une arthroscopie de la hanche. Après l’opération, les patients récupéraient un niveau de force normal au niveau de tous les groupes musculaires de la hanche excepté les fléchisseurs. Le cas d’un joueur de hockey sur glace ayant subi une chirurgie ouverte aux deux hanches pour traiter un FAI bilatéral a aussi été décrit. On a démontré que la déhiscence de la bandelette iléo-tibiale pouvait survenir après chirurgie, empêcher l’augmentation de force musculaire des abducteurs de la hanche, et retarder la reprise du sport. Enfin, un protocole d’évaluation du taux de développement de la force normalisé, variable permettant d’estimer l’inhibition musculaire de la hanche, a été proposé chez des sujets sains. La fiabilité et reproductibilité des résultats ont été montrées au niveau des adducteurs, rotateurs externes, et fléchisseurs de la hanche. Ces résultats montrent que ces patients ont une fonction musculaire altérée au niveau de la hanche, qui est toutefois récupéré après une opération. / Femoroacetabular impingement (FAI) is a pathomechanical process of the hip joint, which could lead to hip pain and functional disability. Aim of this thesis was to investigate hip muscle function in patients with a symptomatic FAI. Hip muscle function was first investigated before patients underwent any surgical treatment for managing FAI. It was shown that they present with reduced hip muscle strength (i.e., muscle weakness), probably due to hip muscle inhibition. Nevertheless, hip muscle weakness was not associated with exaggerated hip muscle fatigue. Hip muscle strength recovery was then evaluated in a series of patients after hip arthroscopy to treat FAI. These patients demonstrated a good recovery for all hip muscle groups, except for hip flexors. The case of a professional ice hockey player who underwent bilateral hip open surgeries for treating bilateral FAI was also documented. This report showed that iliotibial band dehiscence could occur after hip open surgery, thereby preventing hip abductor strength increase during rehabilitation and delaying the return to sport. In addition, the assessment of the rate of force development scaling factor for the hip muscles was evaluated in a group of healthy adults. This parameter seems to be promising for the evaluation of hip muscle inhibition. The testing protocol was feasible and reproducible for hip adductors, external rotators and flexors. Taken as a whole, these findings show that patients with symptomatic FAI demonstrate an impaired hip muscle function, which is however mainly resolved after surgical treatment.

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