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Contemporary Mothering and the Provision of Children’s Active Outdoor Play

Clark, Emily 06 May 2019 (has links)
Children’s active outdoor play (AOP) is an unstructured physical activity that takes place outdoors during a child’s free time. Despite its association with health and well-being benefits (e.g. increases levels of physical activity, improves psychosocial skills), growing evidence suggests that children are playing less outdoors in comparison to previous generations (Clements, 2004; Witten et al., 2013). This trend is generating a number of studies aiming to examine its decline. Parents, especially mothers, are identified as significant actors in increasing children’s opportunities for AOP in order to prevent adverse health and developmental outcomes. Although parents have an important role in socializing children to leading healthy lifestyles, few studies have documented their difficulties in providing children with opportunities for AOP. Drawing on a Foucauldian approach, this qualitative study focuses on the social, cultural, and structural factors that shape children’s opportunities for AOP within the family context and examines the salient factors of contemporary motherhood that impact children’s AOP. Twenty-one mothers from the Ottawa-Gatineau region took part in an in-depth semistructured interview. The analysis shows that many aspects of contemporary mothering and the multiple roles occupied by mothers make it difficult to provide opportunities for AOP. A key finding is that mothers struggle to prioritize children’s AOP due to discursive conflicts that stem from their roles as risk managers, time managers, and screen time managers. Results provide crucial data for future initiatives aimed at increasing children’s levels of physical activity within a family setting. By focusing on the lived experiences of mothers, this study provides recommendations to promote AOP despite the challenges of contemporary family life.
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“All work and no play … ?” : a critical investigation of an emerging public health discourse on children’s play.

Alexander, Stephanie 10 1900 (has links)
Dans de nombreuses sociétés industrialisées, une grande valeur est attribuée au jeu des enfants, principalement parce que le jeu est considéré comme étant une composante essentielle de leur développement et qu’il contribue à leur bonheur et à leur bien-être. Toutefois, des inquiétudes ont récemment été exprimées au regard des transformations qui s’opèrent dans le jeu des enfants, notamment en ce qui a trait à la réduction du temps de jeu en plein air. Ces transformations ont été attribuées, en grande partie, à une perception de risques accrus associés au jeu en plein air et à des changements sociaux qui favorisent des activités de loisirs plus structurées et organisées. L’inquiétude concernant la diminution de l’espace-temps accordé au jeu des enfants est d’ailleurs clairement exprimée dans le discours de la santé publique qui, de plus, témoigne d’un redoublement de préoccupations vis-à-vis du mode de vie sédentaire des enfants et d’une volonté affirmée de prévention de l'obésité infantile. Ainsi, les organisations de santé publique sont désormais engagées dans la promotion du jeu actif pour accroître l'activité physique des enfants. Nous assistons à l’émergence d’un discours de santé publique portant sur le jeu des enfants. À travers quatre articles, cette thèse explore le discours émergeant en santé publique sur le jeu des enfants et analyse certains de ses effets potentiels. L'article 1 présente une prise de position sur le sujet du jeu en santé publique. J’y définis le cadre d'analyse de cette thèse en présentant l'argument central de la recherche, les positions que les organisations de santé publique adoptent vis-à-vis le jeu des enfants et les répercussions potentielles que ces positions peuvent avoir sur les enfants et leurs jeux. La thèse permet ensuite d’examiner comment la notion de jeu est abordée par le discours de santé publique. L'article 2 présente ainsi une analyse de discours de santé publique à travers 150 documents portant sur la santé, l'activité physique, l'obésité, les loisirs et le jeu des enfants. Cette étude considère les valeurs et les postulats qui sous-tendent la promotion du jeu comme moyen d’améliorer la santé physique des enfants et permet de discerner comment le jeu est façonné, discipliné et normalisé dans le discours de santé publique. Notre propos révèle que le discours de santé publique représente le jeu des enfants comme une activité pouvant améliorer leur santé; que le plaisir sert de véhicule à la promotion de l’activité physique ; et que les enfants seraient encouragés à organiser leur temps libre de manière à optimiser leur santé. Étant donné l’influence potentielle du discours de santé publique sur la signification et l’expérience vécue du jeu parmi les enfants, cette thèse présente ensuite une analyse des représentations qu’ont 25 enfants âgés de 7 à 11 ans au regard du jeu. L’article 3 suggère que le jeu est une fin en soi pour les enfants de cette étude; qu'il revêt une importance au niveau émotionnel; et qu'il s’avère intrinsèquement motivé, sans but particulier. De plus, l’amusement que procure le jeu relève autant d’activités engagées que d’activités sédentaires. Enfin, certains enfants expriment un sentiment d'ambivalence concernant les jeux organisés; tandis que d’autres considèrent parfois le risque comme une composante particulièrement agréable du jeu. De tels résultats signalent une dissonance entre les formes de jeux promues en santé publique et le sens attribué au jeu par les enfants. Prenant appui sur le concept de « biopédagogies » inspiré des écrits de Michel Foucault, le quatrième article de cette thèse propose un croisement des deux volets de cette étude, soit le discours de santé publique sur le jeu et les constructions du jeu par les enfants. Bien que le discours de la santé publique exhortant au «jeu actif» soit reproduit par certains enfants, d'autres soulignent que le jeu sédentaire est important pour leur bien-être social et affectif. D’autre part, tandis que le « jeu actif » apparait, dans le discours de santé publique, comme une solution permettant de limiter le risque d'obésité, il comporte néanmoins des contradictions concernant la notion de risque, dans la mesure où les enfants ont à négocier avec les risques inhérents à l’activité accrue. À terme, cet article suggère que le discours de santé publique met de l’avant certaines représentations du jeu (actifs) tandis qu’il en néglige d’autres (sédentaires). Cette situation pourrait donner lieu à des conséquences inattendues, dans la mesure où les enfants pourraient éventuellement reconfigurer leurs pratiques de jeu et les significations qu’ils y accordent. Cette thèse n'a pas pour but de fournir des recommandations particulières pour la santé publique au regard du jeu des enfants. Prenant appui sur la perspective théorique de Michel Foucault, nous présentons plutôt une analyse d’un discours émergeant en santé publique ainsi que des pistes pour la poursuite de recherches sur le jeu dans le domaine de l’enfance. Enfin, compte tenu des effets potentiels du discours de la santé publique sur le jeu des enfants, et les perspectives contemporaines sur le jeu et les enfants, la conclusion offre des pistes de réflexion critique. / In many industrialised societies a high value is attributed to children’s play, mainly because it is deemed an essential component of childhood development and due to the conviction that play contributes to children’s happiness and well-being. However, concerns have arisen about the changing patterns of, and declines in, children’s play, especially outdoors. These have largely been attributed to increasing perceptions of risk in outdoor play and to societal changes popularising more structured and organised activities. Recently, the concerns about declining play, the mounting preoccupation with children’s sedentary ‘lifestyles’, and the focus on childhood obesity prevention have converged in public health discourses, and public health organisations have begun to promote active play as a way to increase children’s physical activity. What appears to be emerging is a public health discourse on children’s play. Through four articles, this thesis explores the emerging public health discourse on play and examines some of its potential effects. Article 1 is a position paper and provides a frame for the thesis findings. It presents the central argument of the research, outlines the emerging positions that public health organisations are taking on play and also discusses how these positions may be problematic for children’s play. The thesis then discursively examines how the notion of play is being taken up by public health. Article 2 addresses this uptake through a discursive analysis of 150 public health documents addressing children’s health, physical activity, obesity, leisure and play. This article examines what values and assumptions underlie the promotion of play for children’s physical health and analyses how play is being shaped, disciplined and normalised in the public health discourse. It shows that within the public health context, play is viewed as a productive health activity for children, and that pleasure is drawn on to promote physical activity. Furthermore, children also appear to be encouraged to self-govern their leisure time for it to be health promoting. Concerned with how the public health discourse may be shaping the way children engage and construct their own meanings and experiences of play, this thesis also examined the photographic and narrative constructions of play among 25 children 7 to 11 years old. Children’s photographs and narratives about play were analysed in Article 3. Children in this study suggested that importantly, play for them was an end in itself; that it was primarily emotionally important, intrinsically motivated and purposeless. This runs through all of the findings of the article, which suggest that enjoyable play is both active and inactive, that some children have a sense of ambivalence regarding scheduled forms of play, and that risk is sometimes considered an especially pleasurable component of play. These findings point to a dissonance between the forms of play promoted in public health and the meanings attributed to play by children. Drawing on the Foucault-inspired analytical concept of biopedagogies, the fourth article in this thesis places the two components of this study in dialogue (i.e., Canadian public health discourse on play and children’s constructions of play). The findings suggest that while the public health discourse around ‘active play’ is taken up and reproduced by some children, other children highlight sedentary play as important for social and emotional well-being. Indeed, while ‘active play’ is deemed a solution to the risk of obesity within the public health discourses, it also embodies contradictions regarding risk in play for children, which children appear to have to negotiate. This article suggests that the public health discourse appears to enable some representations of play (i.e., active) and obscure others (i.e., sedentary), and that this may be having the unintended consequence of reshaping and narrowing the meanings that children attribute to their own play. This thesis does not aim to provide directions for how play ought to be better addressed in public health. Rather, drawing on the critical work of Michel Foucault, this thesis presents an analysis of the emerging public health discourse on play. This work underscores relevant areas upon which public health ought to further critically reflect, particularly with respect to research concerning children. Importantly, considering the possible effects of this discourse on children’s play, this thesis concludes by emphasising the contingency of the current perspectives on play.
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“All work and no play … ?” : a critical investigation of an emerging public health discourse on children’s play

Alexander, Stephanie 10 1900 (has links)
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Mulheres saudáveis : biopedagogias de gênero em articulações com discursos da promoção da saúde na estratégia de saúde da família

Jandrey, Circe Maria January 2015 (has links)
En partant de la perspective de l’existence d’articulations entre deux importantes politiques publiques brésiliennes - Stratégie de Santé de la Famille (ESF) et Politique Nationale de Promotion de la Santé (PNaPS) – et du fait de la centralité que leurs discours assument dans le contexte contemporain du pays, la présente étude investigue et analyse des pédagogies utilisées pour la gouvernance de conduites de sujets et de leurs familles, en vue de la promotion de soins de santé. Réalisée dans une unité du réseau public de services d’assistance en matière de santé à Porto Alegre, État du Rio Grande do Sul, elle consiste en une recherche d’inspiration ethnographique et s’appuie sur des références dans les domaines des Études Culturelles, des Études de Genre et de Santé Publique, dans ses approches vis-à-vis des théorisations de l’analyse discursive, proposée par Michel Foucault. Pour la production des données empiriques, une observation participative a été produite, dans des groupes dont les activités étaient dirigées vers la Promotion de la Santé (PS) envers des utilisateurs de l’unité de santé. Les enregistrements des moments d’observation ont été réalisés par l’intermédiaire de l’instrument journal de bord et l’analyse du matériel produit offre la possibilité d’argumenter sur le fait que les activités suivies configurent des articulations biopolitiques entre Soins de Base en Matière de Santé (APS), Stratégie de Santé de la Famille et Politique Nationale de Promotion de la Santé. Elles configurent donc, des instances pédagogiques proposées afin d’énoncer, éduquer et réguler des familles d’utilisateurs de services d’APS/ESF – par-dessus tout, les femmes de ces familles. Des instances qui assument, en particulier, des perspectives de genre. Dans ce sens, les pratiques discursives d’éducation/promotion de santé analysées opèrent sous la condition de pédagogies (biopédagogies) et, dans le cadre d’une compréhension amplifiée, en tant que biopédagogies de genre. Elles constituent des stratégies d’exercice du pouvoir sur la vie des populations (biopouvoir), de façon à ce que les corps (spécialement les féminins) soient mieux gouvernés, en les rendant plus sains et de plus grande longévité. J’assume, tout au long des analyses des matériels de terrain, que des biopédagogies jouent un rôle central dans les exercices de biopouvoir contemporain, du fait qu’elles contribuent au disciplinement individuel des sujets et à la régulation de populations, en les normalisant en tant qu’autonomes et capables de choisir le plus « adéquat » pour ce qui a été diffusé en tant que vie « saine ». Dans le contexte des articulations biopolitiques étudiées, des femmes sont positionnées en tant que principales partenaires des services de promotion de la santé des familles. / Desde a perspectiva da existência de articulações entre duas importantes políticas públicas brasileiras – Estratégia de Saúde da Família (ESF) e Política Nacional de Promoção da Saúde (PNaPS) – e pela centralidade que seus discursos assumem no contexto contemporâneo do país, o presente estudo investiga e analisa pedagogias utilizadas para governamento de condutas de sujeitos e suas famílias com vistas à promoção de cuidados em saúde. Realizado numa unidade da rede pública de serviços assistenciais de saúde em Porto Alegre/RS, constitui-se como pesquisa de inspiração etnográfica e está apoiado em referenciais dos campos dos Estudos Culturais, Estudos de Gênero e de Saúde Pública em suas aproximações às teorizações da análise discursiva proposta por Michel Foucault. Para a produção dos dados empíricos, houve observação participante em grupos cujas atividades estivessem direcionadas à Promoção da Saúde (PS) com usuários da unidade de saúde. Os registros dos momentos de observação se efetivaram por intermédio do instrumento diário de campo, e a analítica do material produzido possibilita argumentar que as atividades acompanhadas conformam articulações biopolíticas entre Atenção Primária à Saúde (APS), Estratégia de Saúde da Família e Política Nacional de Promoção da Saúde. Configuram, então, instâncias pedagógicas propostas para enunciar, educar e regular famílias usuárias de serviços de APS/ESF – sobretudo, as mulheres dessas famílias. Essas instâncias assumem, sobremaneira, perspectivas de gênero. Nesse sentido, as práticas discursivas de educação/promoção de saúde analisadas operam à condição de pedagogias (biopedagogias) e, numa compreensão ampliada, como biopedagogias de gênero. Conformam estratégias de exercício do poder sobre a vida de populações (biopoder), para que corpos (especialmente, os femininos) sejam mais bem governados, tornando-se mais saudáveis e longevos. Assumo, no decorrer das análises dos materiais de campo, que biopedagogias ocupam uma função central nos exercícios do biopoder contemporâneo, por contribuírem ao disciplinamento individual dos sujeitos e à regulação de populações, normalizando-os como autônomos/as e capazes de eleger o mais ‘adequado’ para o que tem sido veiculado como vida ‘saudável’. No contexto das articulações biopolíticas estudadas, mulheres são posicionadas como principais parceiras dos serviços para promover a saúde das famílias. / From the perspective of the existing links between two major Brazilian public policies - Family Health Strategy (ESF) and the National Health Promotion Policy (PNaPS) - and the importance that their discourse has taken on in the contemporary context of the country, this paper investigates and analyzes the pedagogies used to govern the behavior of subjects and their families in order to promote health care. Executed at one of the public health assistance service units in Porto Alegre/RS, it was organized as a study inspired by ethnographic research and is supported by references from the fields of Cultural Studies, Gender Studies, and Public Health in their approaches to the theory of discourse analysis, proposed by Michel Foucault. For the production of empiric data, there was participant observation in groups whose activities were directed toward Health Promotion (PS) with the users of the healthcare unit. The records of the observations were done using a field diary tool, and the analysis of the material that was produced enables one to argue that the monitored activities shape bio-politic connections between Primary Health Care (APS), the Family Health Strategy, and the National Health Promotion Policy. Therefore, they are pedagogical forums for enunciating, educating, and regulating families that are users of the APS/ESF – especially the women in these families. Forums that exceedingly take on gender perspectives. In this sense, the health education/promotion discursive practices that were analyzed operate as pedagogies (bio-pedagogies), and with an enlarged understanding, as gender bio-pedagogies. They shape the strategies for exercising power over the lives of people populations (biopower) so that bodies (especially female) are better governed, becoming healthier and living longer. I assume, throughout the analyses of the field material, that the bio-pedagogies hold a central function in the exercise of contemporary bio-power due to their contribution to the individual disciplining of the subjects and the regulation of populations, normalizing them as autonomous and capable of choosing the most "appropriate" path to what has been propagates as a “healthy” life. In the context of the examined bio-political articulations, women are positions as the main partners of the services to promote family health.
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Pedagogia das vivências corporais : educação em saúde e culturas de corpo e movimento

Caballero, Raphael Maciel da Silva January 2015 (has links)
A possibilidade de produzir-se ações promotoras de saúde vem sendo muito incentivada nas últimas décadas, em especial pela introdução da Estratégia Global Alimentação, Atividade Física e Saúde, difundida pela Organização Mundial da Saúde. Um desafio à Educação em Saúde se coloca, então: levar a Educação ao encontro biopolítico com a medicina, repercutindo biopedagogias na sociedade ou usar da Educação para, por meio da crítica dos estudos culturais, problematizar a promoção da saúde e pensar uma pedagogia das práticas corporais implicada com a vida em aberto da invenção de si e de mundo. Nesse sentido, ganhou espaço perscrutar a Atenção Básica, não as clínicas da recuperação de obesos, hipertensos, diabéticos e sedentários ou os hospitais e casas geriátricas. A Atenção Básica, como a Educação Básica, congrega/compila ações e serviços que dizem respeito à estruturação da vida, cidadania e política humana em sociedades letradas e protegidas pela saúde pública. A problematização então proposta como tese inventariou a emergência do enunciado “práticas corporais, promoção da saúde e atenção básica”, projetado no Brasil, a partir de meados da primeira década dos anos 2000, quando atingiríamos a “saúde para todos”, segundo professou a primeira conferência internacional de cuidados primários em saúde (tarefa para a atenção básica); inventariou a literatura brasileira sobre práticas corporais (ocupação da área científica da Educação Física) e inventariou a normatividade em atenção básica, promoção da saúde e práticas corporais (ordenamento do Sistema Único de Saúde) para “mergulhar” no fazer cotidiano da saúde em territórios de vida (bairros, comunidades, localidades: saúde da família). A metodologia do inventário serviu para perscrutar 192 trabalhos trazidos à IV Mostra Nacional de Atenção Básica/Saúde da Família, realizada em 2014. Lia-se a justificativa e encontrava-se a expressão biopolítica, lia-se os objetivos e encontrava-se uma biopedagogia da “boa forma”, lia- se a metodologia e encontrava-se a convenção do mexa-se, do agite-se, do coloque-se em movimento. Contudo, lia-se o relato propriamente dito e seus resultados. Nos resultados vinha sempre algo de inusitado, algo de fora das regras ou do escopo inicial, um cochicho. Uma narrativa no interior dos relatos os deixava “vibráteis”, assim, categorizar, classificar ou ordenar seria eliminar a força viva presente no cotidiano como uma especial pedagogia corporal da atenção básica. Essa pedagogia não aparecia meramente “curativa”, era “educativa”, não restabelecedora de uma saúde do corpo em movimento, mas produtora de atos na cultura pelo movimento. Sem medicalização ou pedagogização da produção de movimento/exercício físico, embora uma discursividade biomedicalizadora e biopedagógica. Na experiência da leitura “cartográfica”, pululavam “coisinhas” da paisagem, os modos de fazer, os vários fazedores, os múltiplos motivos do fazer, as mudanças de percurso, a introdução de inusitados. O que entrou em causa foram as experiências que auxiliam o acesso à saúde de modo implícito, nosso corpo como sede de sensações. As experiências nos permitiram enunciar uma “pedagogia das vivências corporais”, ação da atenção básica que rivaliza com as biopedagogias e a biomedicalização, ainda que tais rastros escorram fartamente dos discursos profissionais. / The possibility of producing health promoting actions has been strongly encouraged in the last decades, especially by the introduction of the Global Strategy on Diet, Physical Activity and Health, disseminated by the World Health Organization. A challenge to health education is then set: bringing education to a biopolitical encounter with medicine, reverberating biopedagogies in the society or using education, by means of the critique of cultural studies, to problematize health promotion and thinking a pedagogy of the body practices implicated with the life left open of the invention of the self and the world. In this sense, the investigation of primary health care has gained space, instead of clinics for the recovery of obese, hypertensive, diabetic, and sedentary people, or even hospitals and nursing homes. Primary health care, just like K-12 education, gathers/compiles actions and services related to life, citizenship, and human politics in societies that are literate and protected by public health. The problematization that was proposed as a dissertation made an inventory of the emergence of the statement “body practices, health promotion, and primary health care”, projected in Brazil, from the mid-2000s, when we would achieve “health for all”, according to what was claimed in the first international primary health care conference (a task for the primary health care); of the Brazilian literature on body practices (occupation of the scientific field of Physical Education); and of the normativity in primary health care, health promotion, and body practices (an ordering of the Brazilian National Health System – SUS) to “immerse” in the quotidian doing of health in life territories (neighborhoods, communities, townships: family health). The methodology of the inventory served to investigate 192 experiences taken to the IV National Exhibition of Primary Health Care/Family Health, developed in 2014. When reading the event’s rationale, a biopolitical expression was found; when reading its goals, a biopedagogy of the “good shape” was found; when reading its methodology, the convention of the wriggle, squirm, put yourself in movement was found. However, what was read were the report itself and its outcomes. In the outcomes, there was always something unique, something out of the rules or the initial scope, a whisper. An account within the reports made them “vibratile”; thus, categorizing, classifying or ordering would mean to eliminate the live force present in the quotidian as a special corporeal pedagogy of the primary health care. This pedagogy did not emerge merely as “curative”, it was “educational”, not reestablishing health of the body in movement, but like a producer of acts in the culture by the movement. Without medicalization or pedagogization of the movement/physical exercise production, although, a biomedicalizing and biopedagogic discursivity. In the experience of the “cartographic” reading, “little things” from the landscape, the ways of doing, the distinct doers, the multiple reasons of doing, the changes of path, the introduction of unique aspects abounded. What was considered were the experiences that help the access to health in an implicit way, our body as the headquarters of sensations. The experiences allowed the enunciation of a “pedagogy of the corporeal experiences”, and action of primary health care that rivals with biopedagogies and biomedicalization, even though such tracks drain at large from the professional discourses. / La posibilidad de producir acciones promotoras de la salud se está incentivando en las últimas décadas, en especial mediante la introducción de la Estrategia Global sobre Régimen Alimentario, Actividad Física y Salud, difundida por la Organización Mundial de la Salud. Un desafío para la Educación en Salud se plantea de este modo: llevar la Educación al encuentro biopolítico con la medicina, lo que repercute en biopedagogías en la sociedad o usar la Educación para, a través de la crítica de los estudios culturales, discutir la promoción de la salud y pensar en una pedagogía de las prácticas corporales involucrada con la vida en la invención abierta de sí mismo y del mundo. En este sentido, ganó espacio el hecho de indagar en la Atención Básica, no las clínicas de recuperación de obesos, hipertensos, diabéticos y sedentarios o en los hospitales y residencias geriátricas. La Atención Básica, como la Educación Básica, reúne/compila acciones y servicios relativos a la estructuración de la vida, la ciudadanía y la política humana en sociedades letradas y protegidas por la salud pública. Así, la problematización propuesta como tesis hizo un inventario de la emergencia en el enunciado “prácticas corporales, promoción de la salud y atención básica”, diseñado en Brasil a partir de mediados de la primera década del año 2000, cuando alcanzaríamos la “salud para todos”, según profesó la primera conferencia internacional de cuidados primarios de la salud (tarea para la atención básica); hizo un inventario de la literatura brasileña sobre prácticas corporales (ocupación del área científica de la Educación Física) e hizo un inventario de la normativa en atención básica, promoción de la salud y prácticas corporales (ordenamiento del Sistema Único de Salud) para “sumergirse” en el quehacer cotidiano de la salud en los territorios de vida (barrios, comunidades, localidades: salud de la familia). La metodología del inventario sirvió para analizar 192 trabajos llevados a la IV Muestra Nacional de Atención Básica/Salud de la Familia, celebrada en el año 2014. Se podía leer la justificación y se encontraba la expresión biopolítica, se leían los objetivos y se encontraba una biopedagogía de la “buena forma”, se leía la metodología y se encontraba la convención del muévase, agítese, póngase en movimiento. Sin embargo, se lía el relato propiamente dicho y sus resultados. En los resultados había siempre algo de inusitado, algo fuera de las reglas o del objetivo inicial, un murmullo. Una narrativa dentro de los informes los hizo “vibrar”, por lo que, categorizar, clasificar u ordenar eliminarían la fuerza viva presente en la vida diaria como una especial pedagogía corporal de la atención primaria. Esta pedagogía no aparecía meramente como “curativa”, era “educativa”, no restablecedora de una salud del cuerpo en movimiento, aunque productora de actos en la cultura por el movimiento. Sin medicalización o pedagogización de la producción del movimiento/ejercicio físico, a pesar de un discurso biomedicalizador y biopedagógico. En la experiencia de la lectura “cartográfica”, pululaban “pequeñas cosas” del paisaje, las formas de hacer, los diferentes hacedores, los múltiples motivos del hacer, los cambios de recorrido, la introducción de inusitados. Lo que entró en cuestión fueron las experiencias que ayudan al acceso a la salud de un modo implícito, nuestro cuerpo como sede de sensaciones. Las experiencias nos permitieron enunciar una “pedagogía de las vivencias corporales”, acción de la atención básica que compite con las biopedagogías y la biomedicalización, aunque tales rastros se desprendan plenamente de los discursos profesionales.
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Mulheres saudáveis : biopedagogias de gênero em articulações com discursos da promoção da saúde na estratégia de saúde da família

Jandrey, Circe Maria January 2015 (has links)
En partant de la perspective de l’existence d’articulations entre deux importantes politiques publiques brésiliennes - Stratégie de Santé de la Famille (ESF) et Politique Nationale de Promotion de la Santé (PNaPS) – et du fait de la centralité que leurs discours assument dans le contexte contemporain du pays, la présente étude investigue et analyse des pédagogies utilisées pour la gouvernance de conduites de sujets et de leurs familles, en vue de la promotion de soins de santé. Réalisée dans une unité du réseau public de services d’assistance en matière de santé à Porto Alegre, État du Rio Grande do Sul, elle consiste en une recherche d’inspiration ethnographique et s’appuie sur des références dans les domaines des Études Culturelles, des Études de Genre et de Santé Publique, dans ses approches vis-à-vis des théorisations de l’analyse discursive, proposée par Michel Foucault. Pour la production des données empiriques, une observation participative a été produite, dans des groupes dont les activités étaient dirigées vers la Promotion de la Santé (PS) envers des utilisateurs de l’unité de santé. Les enregistrements des moments d’observation ont été réalisés par l’intermédiaire de l’instrument journal de bord et l’analyse du matériel produit offre la possibilité d’argumenter sur le fait que les activités suivies configurent des articulations biopolitiques entre Soins de Base en Matière de Santé (APS), Stratégie de Santé de la Famille et Politique Nationale de Promotion de la Santé. Elles configurent donc, des instances pédagogiques proposées afin d’énoncer, éduquer et réguler des familles d’utilisateurs de services d’APS/ESF – par-dessus tout, les femmes de ces familles. Des instances qui assument, en particulier, des perspectives de genre. Dans ce sens, les pratiques discursives d’éducation/promotion de santé analysées opèrent sous la condition de pédagogies (biopédagogies) et, dans le cadre d’une compréhension amplifiée, en tant que biopédagogies de genre. Elles constituent des stratégies d’exercice du pouvoir sur la vie des populations (biopouvoir), de façon à ce que les corps (spécialement les féminins) soient mieux gouvernés, en les rendant plus sains et de plus grande longévité. J’assume, tout au long des analyses des matériels de terrain, que des biopédagogies jouent un rôle central dans les exercices de biopouvoir contemporain, du fait qu’elles contribuent au disciplinement individuel des sujets et à la régulation de populations, en les normalisant en tant qu’autonomes et capables de choisir le plus « adéquat » pour ce qui a été diffusé en tant que vie « saine ». Dans le contexte des articulations biopolitiques étudiées, des femmes sont positionnées en tant que principales partenaires des services de promotion de la santé des familles. / Desde a perspectiva da existência de articulações entre duas importantes políticas públicas brasileiras – Estratégia de Saúde da Família (ESF) e Política Nacional de Promoção da Saúde (PNaPS) – e pela centralidade que seus discursos assumem no contexto contemporâneo do país, o presente estudo investiga e analisa pedagogias utilizadas para governamento de condutas de sujeitos e suas famílias com vistas à promoção de cuidados em saúde. Realizado numa unidade da rede pública de serviços assistenciais de saúde em Porto Alegre/RS, constitui-se como pesquisa de inspiração etnográfica e está apoiado em referenciais dos campos dos Estudos Culturais, Estudos de Gênero e de Saúde Pública em suas aproximações às teorizações da análise discursiva proposta por Michel Foucault. Para a produção dos dados empíricos, houve observação participante em grupos cujas atividades estivessem direcionadas à Promoção da Saúde (PS) com usuários da unidade de saúde. Os registros dos momentos de observação se efetivaram por intermédio do instrumento diário de campo, e a analítica do material produzido possibilita argumentar que as atividades acompanhadas conformam articulações biopolíticas entre Atenção Primária à Saúde (APS), Estratégia de Saúde da Família e Política Nacional de Promoção da Saúde. Configuram, então, instâncias pedagógicas propostas para enunciar, educar e regular famílias usuárias de serviços de APS/ESF – sobretudo, as mulheres dessas famílias. Essas instâncias assumem, sobremaneira, perspectivas de gênero. Nesse sentido, as práticas discursivas de educação/promoção de saúde analisadas operam à condição de pedagogias (biopedagogias) e, numa compreensão ampliada, como biopedagogias de gênero. Conformam estratégias de exercício do poder sobre a vida de populações (biopoder), para que corpos (especialmente, os femininos) sejam mais bem governados, tornando-se mais saudáveis e longevos. Assumo, no decorrer das análises dos materiais de campo, que biopedagogias ocupam uma função central nos exercícios do biopoder contemporâneo, por contribuírem ao disciplinamento individual dos sujeitos e à regulação de populações, normalizando-os como autônomos/as e capazes de eleger o mais ‘adequado’ para o que tem sido veiculado como vida ‘saudável’. No contexto das articulações biopolíticas estudadas, mulheres são posicionadas como principais parceiras dos serviços para promover a saúde das famílias. / From the perspective of the existing links between two major Brazilian public policies - Family Health Strategy (ESF) and the National Health Promotion Policy (PNaPS) - and the importance that their discourse has taken on in the contemporary context of the country, this paper investigates and analyzes the pedagogies used to govern the behavior of subjects and their families in order to promote health care. Executed at one of the public health assistance service units in Porto Alegre/RS, it was organized as a study inspired by ethnographic research and is supported by references from the fields of Cultural Studies, Gender Studies, and Public Health in their approaches to the theory of discourse analysis, proposed by Michel Foucault. For the production of empiric data, there was participant observation in groups whose activities were directed toward Health Promotion (PS) with the users of the healthcare unit. The records of the observations were done using a field diary tool, and the analysis of the material that was produced enables one to argue that the monitored activities shape bio-politic connections between Primary Health Care (APS), the Family Health Strategy, and the National Health Promotion Policy. Therefore, they are pedagogical forums for enunciating, educating, and regulating families that are users of the APS/ESF – especially the women in these families. Forums that exceedingly take on gender perspectives. In this sense, the health education/promotion discursive practices that were analyzed operate as pedagogies (bio-pedagogies), and with an enlarged understanding, as gender bio-pedagogies. They shape the strategies for exercising power over the lives of people populations (biopower) so that bodies (especially female) are better governed, becoming healthier and living longer. I assume, throughout the analyses of the field material, that the bio-pedagogies hold a central function in the exercise of contemporary bio-power due to their contribution to the individual disciplining of the subjects and the regulation of populations, normalizing them as autonomous and capable of choosing the most "appropriate" path to what has been propagates as a “healthy” life. In the context of the examined bio-political articulations, women are positions as the main partners of the services to promote family health.
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Pedagogia das vivências corporais : educação em saúde e culturas de corpo e movimento

Caballero, Raphael Maciel da Silva January 2015 (has links)
A possibilidade de produzir-se ações promotoras de saúde vem sendo muito incentivada nas últimas décadas, em especial pela introdução da Estratégia Global Alimentação, Atividade Física e Saúde, difundida pela Organização Mundial da Saúde. Um desafio à Educação em Saúde se coloca, então: levar a Educação ao encontro biopolítico com a medicina, repercutindo biopedagogias na sociedade ou usar da Educação para, por meio da crítica dos estudos culturais, problematizar a promoção da saúde e pensar uma pedagogia das práticas corporais implicada com a vida em aberto da invenção de si e de mundo. Nesse sentido, ganhou espaço perscrutar a Atenção Básica, não as clínicas da recuperação de obesos, hipertensos, diabéticos e sedentários ou os hospitais e casas geriátricas. A Atenção Básica, como a Educação Básica, congrega/compila ações e serviços que dizem respeito à estruturação da vida, cidadania e política humana em sociedades letradas e protegidas pela saúde pública. A problematização então proposta como tese inventariou a emergência do enunciado “práticas corporais, promoção da saúde e atenção básica”, projetado no Brasil, a partir de meados da primeira década dos anos 2000, quando atingiríamos a “saúde para todos”, segundo professou a primeira conferência internacional de cuidados primários em saúde (tarefa para a atenção básica); inventariou a literatura brasileira sobre práticas corporais (ocupação da área científica da Educação Física) e inventariou a normatividade em atenção básica, promoção da saúde e práticas corporais (ordenamento do Sistema Único de Saúde) para “mergulhar” no fazer cotidiano da saúde em territórios de vida (bairros, comunidades, localidades: saúde da família). A metodologia do inventário serviu para perscrutar 192 trabalhos trazidos à IV Mostra Nacional de Atenção Básica/Saúde da Família, realizada em 2014. Lia-se a justificativa e encontrava-se a expressão biopolítica, lia-se os objetivos e encontrava-se uma biopedagogia da “boa forma”, lia- se a metodologia e encontrava-se a convenção do mexa-se, do agite-se, do coloque-se em movimento. Contudo, lia-se o relato propriamente dito e seus resultados. Nos resultados vinha sempre algo de inusitado, algo de fora das regras ou do escopo inicial, um cochicho. Uma narrativa no interior dos relatos os deixava “vibráteis”, assim, categorizar, classificar ou ordenar seria eliminar a força viva presente no cotidiano como uma especial pedagogia corporal da atenção básica. Essa pedagogia não aparecia meramente “curativa”, era “educativa”, não restabelecedora de uma saúde do corpo em movimento, mas produtora de atos na cultura pelo movimento. Sem medicalização ou pedagogização da produção de movimento/exercício físico, embora uma discursividade biomedicalizadora e biopedagógica. Na experiência da leitura “cartográfica”, pululavam “coisinhas” da paisagem, os modos de fazer, os vários fazedores, os múltiplos motivos do fazer, as mudanças de percurso, a introdução de inusitados. O que entrou em causa foram as experiências que auxiliam o acesso à saúde de modo implícito, nosso corpo como sede de sensações. As experiências nos permitiram enunciar uma “pedagogia das vivências corporais”, ação da atenção básica que rivaliza com as biopedagogias e a biomedicalização, ainda que tais rastros escorram fartamente dos discursos profissionais. / The possibility of producing health promoting actions has been strongly encouraged in the last decades, especially by the introduction of the Global Strategy on Diet, Physical Activity and Health, disseminated by the World Health Organization. A challenge to health education is then set: bringing education to a biopolitical encounter with medicine, reverberating biopedagogies in the society or using education, by means of the critique of cultural studies, to problematize health promotion and thinking a pedagogy of the body practices implicated with the life left open of the invention of the self and the world. In this sense, the investigation of primary health care has gained space, instead of clinics for the recovery of obese, hypertensive, diabetic, and sedentary people, or even hospitals and nursing homes. Primary health care, just like K-12 education, gathers/compiles actions and services related to life, citizenship, and human politics in societies that are literate and protected by public health. The problematization that was proposed as a dissertation made an inventory of the emergence of the statement “body practices, health promotion, and primary health care”, projected in Brazil, from the mid-2000s, when we would achieve “health for all”, according to what was claimed in the first international primary health care conference (a task for the primary health care); of the Brazilian literature on body practices (occupation of the scientific field of Physical Education); and of the normativity in primary health care, health promotion, and body practices (an ordering of the Brazilian National Health System – SUS) to “immerse” in the quotidian doing of health in life territories (neighborhoods, communities, townships: family health). The methodology of the inventory served to investigate 192 experiences taken to the IV National Exhibition of Primary Health Care/Family Health, developed in 2014. When reading the event’s rationale, a biopolitical expression was found; when reading its goals, a biopedagogy of the “good shape” was found; when reading its methodology, the convention of the wriggle, squirm, put yourself in movement was found. However, what was read were the report itself and its outcomes. In the outcomes, there was always something unique, something out of the rules or the initial scope, a whisper. An account within the reports made them “vibratile”; thus, categorizing, classifying or ordering would mean to eliminate the live force present in the quotidian as a special corporeal pedagogy of the primary health care. This pedagogy did not emerge merely as “curative”, it was “educational”, not reestablishing health of the body in movement, but like a producer of acts in the culture by the movement. Without medicalization or pedagogization of the movement/physical exercise production, although, a biomedicalizing and biopedagogic discursivity. In the experience of the “cartographic” reading, “little things” from the landscape, the ways of doing, the distinct doers, the multiple reasons of doing, the changes of path, the introduction of unique aspects abounded. What was considered were the experiences that help the access to health in an implicit way, our body as the headquarters of sensations. The experiences allowed the enunciation of a “pedagogy of the corporeal experiences”, and action of primary health care that rivals with biopedagogies and biomedicalization, even though such tracks drain at large from the professional discourses. / La posibilidad de producir acciones promotoras de la salud se está incentivando en las últimas décadas, en especial mediante la introducción de la Estrategia Global sobre Régimen Alimentario, Actividad Física y Salud, difundida por la Organización Mundial de la Salud. Un desafío para la Educación en Salud se plantea de este modo: llevar la Educación al encuentro biopolítico con la medicina, lo que repercute en biopedagogías en la sociedad o usar la Educación para, a través de la crítica de los estudios culturales, discutir la promoción de la salud y pensar en una pedagogía de las prácticas corporales involucrada con la vida en la invención abierta de sí mismo y del mundo. En este sentido, ganó espacio el hecho de indagar en la Atención Básica, no las clínicas de recuperación de obesos, hipertensos, diabéticos y sedentarios o en los hospitales y residencias geriátricas. La Atención Básica, como la Educación Básica, reúne/compila acciones y servicios relativos a la estructuración de la vida, la ciudadanía y la política humana en sociedades letradas y protegidas por la salud pública. Así, la problematización propuesta como tesis hizo un inventario de la emergencia en el enunciado “prácticas corporales, promoción de la salud y atención básica”, diseñado en Brasil a partir de mediados de la primera década del año 2000, cuando alcanzaríamos la “salud para todos”, según profesó la primera conferencia internacional de cuidados primarios de la salud (tarea para la atención básica); hizo un inventario de la literatura brasileña sobre prácticas corporales (ocupación del área científica de la Educación Física) e hizo un inventario de la normativa en atención básica, promoción de la salud y prácticas corporales (ordenamiento del Sistema Único de Salud) para “sumergirse” en el quehacer cotidiano de la salud en los territorios de vida (barrios, comunidades, localidades: salud de la familia). La metodología del inventario sirvió para analizar 192 trabajos llevados a la IV Muestra Nacional de Atención Básica/Salud de la Familia, celebrada en el año 2014. Se podía leer la justificación y se encontraba la expresión biopolítica, se leían los objetivos y se encontraba una biopedagogía de la “buena forma”, se leía la metodología y se encontraba la convención del muévase, agítese, póngase en movimiento. Sin embargo, se lía el relato propiamente dicho y sus resultados. En los resultados había siempre algo de inusitado, algo fuera de las reglas o del objetivo inicial, un murmullo. Una narrativa dentro de los informes los hizo “vibrar”, por lo que, categorizar, clasificar u ordenar eliminarían la fuerza viva presente en la vida diaria como una especial pedagogía corporal de la atención primaria. Esta pedagogía no aparecía meramente como “curativa”, era “educativa”, no restablecedora de una salud del cuerpo en movimiento, aunque productora de actos en la cultura por el movimiento. Sin medicalización o pedagogización de la producción del movimiento/ejercicio físico, a pesar de un discurso biomedicalizador y biopedagógico. En la experiencia de la lectura “cartográfica”, pululaban “pequeñas cosas” del paisaje, las formas de hacer, los diferentes hacedores, los múltiples motivos del hacer, los cambios de recorrido, la introducción de inusitados. Lo que entró en cuestión fueron las experiencias que ayudan al acceso a la salud de un modo implícito, nuestro cuerpo como sede de sensaciones. Las experiencias nos permitieron enunciar una “pedagogía de las vivencias corporales”, acción de la atención básica que compite con las biopedagogías y la biomedicalización, aunque tales rastros se desprendan plenamente de los discursos profesionales.
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Mulheres saudáveis : biopedagogias de gênero em articulações com discursos da promoção da saúde na estratégia de saúde da família

Jandrey, Circe Maria January 2015 (has links)
En partant de la perspective de l’existence d’articulations entre deux importantes politiques publiques brésiliennes - Stratégie de Santé de la Famille (ESF) et Politique Nationale de Promotion de la Santé (PNaPS) – et du fait de la centralité que leurs discours assument dans le contexte contemporain du pays, la présente étude investigue et analyse des pédagogies utilisées pour la gouvernance de conduites de sujets et de leurs familles, en vue de la promotion de soins de santé. Réalisée dans une unité du réseau public de services d’assistance en matière de santé à Porto Alegre, État du Rio Grande do Sul, elle consiste en une recherche d’inspiration ethnographique et s’appuie sur des références dans les domaines des Études Culturelles, des Études de Genre et de Santé Publique, dans ses approches vis-à-vis des théorisations de l’analyse discursive, proposée par Michel Foucault. Pour la production des données empiriques, une observation participative a été produite, dans des groupes dont les activités étaient dirigées vers la Promotion de la Santé (PS) envers des utilisateurs de l’unité de santé. Les enregistrements des moments d’observation ont été réalisés par l’intermédiaire de l’instrument journal de bord et l’analyse du matériel produit offre la possibilité d’argumenter sur le fait que les activités suivies configurent des articulations biopolitiques entre Soins de Base en Matière de Santé (APS), Stratégie de Santé de la Famille et Politique Nationale de Promotion de la Santé. Elles configurent donc, des instances pédagogiques proposées afin d’énoncer, éduquer et réguler des familles d’utilisateurs de services d’APS/ESF – par-dessus tout, les femmes de ces familles. Des instances qui assument, en particulier, des perspectives de genre. Dans ce sens, les pratiques discursives d’éducation/promotion de santé analysées opèrent sous la condition de pédagogies (biopédagogies) et, dans le cadre d’une compréhension amplifiée, en tant que biopédagogies de genre. Elles constituent des stratégies d’exercice du pouvoir sur la vie des populations (biopouvoir), de façon à ce que les corps (spécialement les féminins) soient mieux gouvernés, en les rendant plus sains et de plus grande longévité. J’assume, tout au long des analyses des matériels de terrain, que des biopédagogies jouent un rôle central dans les exercices de biopouvoir contemporain, du fait qu’elles contribuent au disciplinement individuel des sujets et à la régulation de populations, en les normalisant en tant qu’autonomes et capables de choisir le plus « adéquat » pour ce qui a été diffusé en tant que vie « saine ». Dans le contexte des articulations biopolitiques étudiées, des femmes sont positionnées en tant que principales partenaires des services de promotion de la santé des familles. / Desde a perspectiva da existência de articulações entre duas importantes políticas públicas brasileiras – Estratégia de Saúde da Família (ESF) e Política Nacional de Promoção da Saúde (PNaPS) – e pela centralidade que seus discursos assumem no contexto contemporâneo do país, o presente estudo investiga e analisa pedagogias utilizadas para governamento de condutas de sujeitos e suas famílias com vistas à promoção de cuidados em saúde. Realizado numa unidade da rede pública de serviços assistenciais de saúde em Porto Alegre/RS, constitui-se como pesquisa de inspiração etnográfica e está apoiado em referenciais dos campos dos Estudos Culturais, Estudos de Gênero e de Saúde Pública em suas aproximações às teorizações da análise discursiva proposta por Michel Foucault. Para a produção dos dados empíricos, houve observação participante em grupos cujas atividades estivessem direcionadas à Promoção da Saúde (PS) com usuários da unidade de saúde. Os registros dos momentos de observação se efetivaram por intermédio do instrumento diário de campo, e a analítica do material produzido possibilita argumentar que as atividades acompanhadas conformam articulações biopolíticas entre Atenção Primária à Saúde (APS), Estratégia de Saúde da Família e Política Nacional de Promoção da Saúde. Configuram, então, instâncias pedagógicas propostas para enunciar, educar e regular famílias usuárias de serviços de APS/ESF – sobretudo, as mulheres dessas famílias. Essas instâncias assumem, sobremaneira, perspectivas de gênero. Nesse sentido, as práticas discursivas de educação/promoção de saúde analisadas operam à condição de pedagogias (biopedagogias) e, numa compreensão ampliada, como biopedagogias de gênero. Conformam estratégias de exercício do poder sobre a vida de populações (biopoder), para que corpos (especialmente, os femininos) sejam mais bem governados, tornando-se mais saudáveis e longevos. Assumo, no decorrer das análises dos materiais de campo, que biopedagogias ocupam uma função central nos exercícios do biopoder contemporâneo, por contribuírem ao disciplinamento individual dos sujeitos e à regulação de populações, normalizando-os como autônomos/as e capazes de eleger o mais ‘adequado’ para o que tem sido veiculado como vida ‘saudável’. No contexto das articulações biopolíticas estudadas, mulheres são posicionadas como principais parceiras dos serviços para promover a saúde das famílias. / From the perspective of the existing links between two major Brazilian public policies - Family Health Strategy (ESF) and the National Health Promotion Policy (PNaPS) - and the importance that their discourse has taken on in the contemporary context of the country, this paper investigates and analyzes the pedagogies used to govern the behavior of subjects and their families in order to promote health care. Executed at one of the public health assistance service units in Porto Alegre/RS, it was organized as a study inspired by ethnographic research and is supported by references from the fields of Cultural Studies, Gender Studies, and Public Health in their approaches to the theory of discourse analysis, proposed by Michel Foucault. For the production of empiric data, there was participant observation in groups whose activities were directed toward Health Promotion (PS) with the users of the healthcare unit. The records of the observations were done using a field diary tool, and the analysis of the material that was produced enables one to argue that the monitored activities shape bio-politic connections between Primary Health Care (APS), the Family Health Strategy, and the National Health Promotion Policy. Therefore, they are pedagogical forums for enunciating, educating, and regulating families that are users of the APS/ESF – especially the women in these families. Forums that exceedingly take on gender perspectives. In this sense, the health education/promotion discursive practices that were analyzed operate as pedagogies (bio-pedagogies), and with an enlarged understanding, as gender bio-pedagogies. They shape the strategies for exercising power over the lives of people populations (biopower) so that bodies (especially female) are better governed, becoming healthier and living longer. I assume, throughout the analyses of the field material, that the bio-pedagogies hold a central function in the exercise of contemporary bio-power due to their contribution to the individual disciplining of the subjects and the regulation of populations, normalizing them as autonomous and capable of choosing the most "appropriate" path to what has been propagates as a “healthy” life. In the context of the examined bio-political articulations, women are positions as the main partners of the services to promote family health.
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Pedagogia das vivências corporais : educação em saúde e culturas de corpo e movimento

Caballero, Raphael Maciel da Silva January 2015 (has links)
A possibilidade de produzir-se ações promotoras de saúde vem sendo muito incentivada nas últimas décadas, em especial pela introdução da Estratégia Global Alimentação, Atividade Física e Saúde, difundida pela Organização Mundial da Saúde. Um desafio à Educação em Saúde se coloca, então: levar a Educação ao encontro biopolítico com a medicina, repercutindo biopedagogias na sociedade ou usar da Educação para, por meio da crítica dos estudos culturais, problematizar a promoção da saúde e pensar uma pedagogia das práticas corporais implicada com a vida em aberto da invenção de si e de mundo. Nesse sentido, ganhou espaço perscrutar a Atenção Básica, não as clínicas da recuperação de obesos, hipertensos, diabéticos e sedentários ou os hospitais e casas geriátricas. A Atenção Básica, como a Educação Básica, congrega/compila ações e serviços que dizem respeito à estruturação da vida, cidadania e política humana em sociedades letradas e protegidas pela saúde pública. A problematização então proposta como tese inventariou a emergência do enunciado “práticas corporais, promoção da saúde e atenção básica”, projetado no Brasil, a partir de meados da primeira década dos anos 2000, quando atingiríamos a “saúde para todos”, segundo professou a primeira conferência internacional de cuidados primários em saúde (tarefa para a atenção básica); inventariou a literatura brasileira sobre práticas corporais (ocupação da área científica da Educação Física) e inventariou a normatividade em atenção básica, promoção da saúde e práticas corporais (ordenamento do Sistema Único de Saúde) para “mergulhar” no fazer cotidiano da saúde em territórios de vida (bairros, comunidades, localidades: saúde da família). A metodologia do inventário serviu para perscrutar 192 trabalhos trazidos à IV Mostra Nacional de Atenção Básica/Saúde da Família, realizada em 2014. Lia-se a justificativa e encontrava-se a expressão biopolítica, lia-se os objetivos e encontrava-se uma biopedagogia da “boa forma”, lia- se a metodologia e encontrava-se a convenção do mexa-se, do agite-se, do coloque-se em movimento. Contudo, lia-se o relato propriamente dito e seus resultados. Nos resultados vinha sempre algo de inusitado, algo de fora das regras ou do escopo inicial, um cochicho. Uma narrativa no interior dos relatos os deixava “vibráteis”, assim, categorizar, classificar ou ordenar seria eliminar a força viva presente no cotidiano como uma especial pedagogia corporal da atenção básica. Essa pedagogia não aparecia meramente “curativa”, era “educativa”, não restabelecedora de uma saúde do corpo em movimento, mas produtora de atos na cultura pelo movimento. Sem medicalização ou pedagogização da produção de movimento/exercício físico, embora uma discursividade biomedicalizadora e biopedagógica. Na experiência da leitura “cartográfica”, pululavam “coisinhas” da paisagem, os modos de fazer, os vários fazedores, os múltiplos motivos do fazer, as mudanças de percurso, a introdução de inusitados. O que entrou em causa foram as experiências que auxiliam o acesso à saúde de modo implícito, nosso corpo como sede de sensações. As experiências nos permitiram enunciar uma “pedagogia das vivências corporais”, ação da atenção básica que rivaliza com as biopedagogias e a biomedicalização, ainda que tais rastros escorram fartamente dos discursos profissionais. / The possibility of producing health promoting actions has been strongly encouraged in the last decades, especially by the introduction of the Global Strategy on Diet, Physical Activity and Health, disseminated by the World Health Organization. A challenge to health education is then set: bringing education to a biopolitical encounter with medicine, reverberating biopedagogies in the society or using education, by means of the critique of cultural studies, to problematize health promotion and thinking a pedagogy of the body practices implicated with the life left open of the invention of the self and the world. In this sense, the investigation of primary health care has gained space, instead of clinics for the recovery of obese, hypertensive, diabetic, and sedentary people, or even hospitals and nursing homes. Primary health care, just like K-12 education, gathers/compiles actions and services related to life, citizenship, and human politics in societies that are literate and protected by public health. The problematization that was proposed as a dissertation made an inventory of the emergence of the statement “body practices, health promotion, and primary health care”, projected in Brazil, from the mid-2000s, when we would achieve “health for all”, according to what was claimed in the first international primary health care conference (a task for the primary health care); of the Brazilian literature on body practices (occupation of the scientific field of Physical Education); and of the normativity in primary health care, health promotion, and body practices (an ordering of the Brazilian National Health System – SUS) to “immerse” in the quotidian doing of health in life territories (neighborhoods, communities, townships: family health). The methodology of the inventory served to investigate 192 experiences taken to the IV National Exhibition of Primary Health Care/Family Health, developed in 2014. When reading the event’s rationale, a biopolitical expression was found; when reading its goals, a biopedagogy of the “good shape” was found; when reading its methodology, the convention of the wriggle, squirm, put yourself in movement was found. However, what was read were the report itself and its outcomes. In the outcomes, there was always something unique, something out of the rules or the initial scope, a whisper. An account within the reports made them “vibratile”; thus, categorizing, classifying or ordering would mean to eliminate the live force present in the quotidian as a special corporeal pedagogy of the primary health care. This pedagogy did not emerge merely as “curative”, it was “educational”, not reestablishing health of the body in movement, but like a producer of acts in the culture by the movement. Without medicalization or pedagogization of the movement/physical exercise production, although, a biomedicalizing and biopedagogic discursivity. In the experience of the “cartographic” reading, “little things” from the landscape, the ways of doing, the distinct doers, the multiple reasons of doing, the changes of path, the introduction of unique aspects abounded. What was considered were the experiences that help the access to health in an implicit way, our body as the headquarters of sensations. The experiences allowed the enunciation of a “pedagogy of the corporeal experiences”, and action of primary health care that rivals with biopedagogies and biomedicalization, even though such tracks drain at large from the professional discourses. / La posibilidad de producir acciones promotoras de la salud se está incentivando en las últimas décadas, en especial mediante la introducción de la Estrategia Global sobre Régimen Alimentario, Actividad Física y Salud, difundida por la Organización Mundial de la Salud. Un desafío para la Educación en Salud se plantea de este modo: llevar la Educación al encuentro biopolítico con la medicina, lo que repercute en biopedagogías en la sociedad o usar la Educación para, a través de la crítica de los estudios culturales, discutir la promoción de la salud y pensar en una pedagogía de las prácticas corporales involucrada con la vida en la invención abierta de sí mismo y del mundo. En este sentido, ganó espacio el hecho de indagar en la Atención Básica, no las clínicas de recuperación de obesos, hipertensos, diabéticos y sedentarios o en los hospitales y residencias geriátricas. La Atención Básica, como la Educación Básica, reúne/compila acciones y servicios relativos a la estructuración de la vida, la ciudadanía y la política humana en sociedades letradas y protegidas por la salud pública. Así, la problematización propuesta como tesis hizo un inventario de la emergencia en el enunciado “prácticas corporales, promoción de la salud y atención básica”, diseñado en Brasil a partir de mediados de la primera década del año 2000, cuando alcanzaríamos la “salud para todos”, según profesó la primera conferencia internacional de cuidados primarios de la salud (tarea para la atención básica); hizo un inventario de la literatura brasileña sobre prácticas corporales (ocupación del área científica de la Educación Física) e hizo un inventario de la normativa en atención básica, promoción de la salud y prácticas corporales (ordenamiento del Sistema Único de Salud) para “sumergirse” en el quehacer cotidiano de la salud en los territorios de vida (barrios, comunidades, localidades: salud de la familia). La metodología del inventario sirvió para analizar 192 trabajos llevados a la IV Muestra Nacional de Atención Básica/Salud de la Familia, celebrada en el año 2014. Se podía leer la justificación y se encontraba la expresión biopolítica, se leían los objetivos y se encontraba una biopedagogía de la “buena forma”, se leía la metodología y se encontraba la convención del muévase, agítese, póngase en movimiento. Sin embargo, se lía el relato propiamente dicho y sus resultados. En los resultados había siempre algo de inusitado, algo fuera de las reglas o del objetivo inicial, un murmullo. Una narrativa dentro de los informes los hizo “vibrar”, por lo que, categorizar, clasificar u ordenar eliminarían la fuerza viva presente en la vida diaria como una especial pedagogía corporal de la atención primaria. Esta pedagogía no aparecía meramente como “curativa”, era “educativa”, no restablecedora de una salud del cuerpo en movimiento, aunque productora de actos en la cultura por el movimiento. Sin medicalización o pedagogización de la producción del movimiento/ejercicio físico, a pesar de un discurso biomedicalizador y biopedagógico. En la experiencia de la lectura “cartográfica”, pululaban “pequeñas cosas” del paisaje, las formas de hacer, los diferentes hacedores, los múltiples motivos del hacer, los cambios de recorrido, la introducción de inusitados. Lo que entró en cuestión fueron las experiencias que ayudan al acceso a la salud de un modo implícito, nuestro cuerpo como sede de sensaciones. Las experiencias nos permitieron enunciar una “pedagogía de las vivencias corporales”, acción de la atención básica que compite con las biopedagogías y la biomedicalización, aunque tales rastros se desprendan plenamente de los discursos profesionales.

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