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Le rôle du public dans l'évènement théâtral à Paris au XVIIIe siècle

Proulx, Audrey January 2016 (has links)
À Paris, au XVIIIe siècle, le théâtre se propage dans l’ensemble des couches sociales. Il devient un outil privilégié pour diffuser les nouvelles idées de l’époque. Les spectateurs deviennent alors le centre d’attention des créateurs autant pour les auteurs dramatiques, que pour les acteurs. C’est l’évolution de cette interaction qui nous a intéressé : comment, par sa présence, le public a pu influencer les représentations ; mais aussi à l’inverse, comment ce théâtre a pu modifier le comportement de certains spectateurs. Afin de comprendre l’ensemble des aspects de cette relation, nous avons divisé notre mémoire en quatre sections. La diversité des profils sociaux des spectateurs qui se sont déplacés vers les salles ainsi que la multiplication des types de salles de spectacle qu’ils ont fréquentées tout au long du siècle seront abordées dans un premier temps. Par la suite, nous analyserons les particularités de la confrontation des attentes des spectateurs et des visés des créateurs. Ensuite, quels étaient les dispositifs mis à la disponibilité des créateurs pour répondre aux espérances du public, mais aussi y trouver leur gain ! Pour terminer, nous présenterons l’impact de la représentation sur le public une fois qu’il a quitté la salle de spectacle.
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Apologie, archive et pratique de la scène au XVIIe siècle. Étude et édition critiques du Théâtre françois de Samuel Chappuzeau (1674) / Apology, archive and practice of the scene in 17th century. Critical study and edition of Le Théâtre François of Samuel Chappuzeau

Rejichi, Rim 07 June 2011 (has links)
Avec le Théâtre françois, Samuel Chappuzeau rend hommage aux comédiens et révèle tout un pan mal connu du théâtre français. Après la mort de Molière et avec la fondation du théâtre Guénégaud, l’auteur dévoile les conditions de la vie matérielle des acteurs et de l’organisation des troupes. Témoin privilégié d’un compendium d’événements, il entreprend de décrire les us et coutumes de cette catégorie socioprofessionnelle en cours de constitution et participe ainsi à la querelle de la moralité du théâtre. En outre, il élabore la première histoire du théâtre et fait ainsi entrer le théâtre dans le champ de la littérature. Grâce à cet ouvrage, le théâtre acquiert sa dignité comme activité, spectacle et genre littéraire. / In Le Théâtre François, Samuel Chappuzeau celebrated its actors and actresses and unveiled largely unfamiliar aspects of 17th century French theatre. His book described how actors concretely lived and how troupes were organized after Molière's death and the Comédie-Française's foundation; as a privileged witness of such eventful years, he described the ways and customs of that emerging social group, and thus took part in the controversy about whether theatre was immoral or not. Besides, by writing the first history of French theatre, he allowed it to enter the field of literature. Le Théâtre François qualified French theatre as an occupation, as an entertainment, and as a literary genre.
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Les pièces rivales des répertoires de l’Hôtel de Bourgogne, du Théâtre du Marais et de l’Illustre Théâtre : deux décennies de concurrence théâtrale parisienne (1629-1647) / Rival plays from the repertoires of the Hôtel de Bourgogne, the Théâtre du Marais and the Illustre Théâtre : two decades of Parisian theatrical competition (1629-1646)

Blondet, Sandrine 07 December 2009 (has links)
L’année 1629 voit la sédentarisation parallèle des deux troupes théâtrales parisiennes, celle du Théâtre du Marais, dirigée par Charles Le Noir, et la Troupe Royale, locataire du prestigieux Hôtel de Bourgogne. Ces deux compagnies – auxquelles se joint ponctuellement, en 1644-1647, l’Illustre Théâtre de Molière et des Béjart – se livrent une concurrence serrée, qui passe notamment par l’usage du doublage dramatique : deux pièces, composées par deux dramaturges différents, mais fondées sur le même sujet, sont présentées, à quelques semaines ou mois d’intervalle, sur deux scènes parisiennes distinctes. Les deux premières décennies de cette Guerre des théâtres présentent quarante et un doublons dramatiques de ce type. L’investigation s’attache d’abord à les replacer dans le contexte de leur création : au carrefour des thèmes dramatiques contemporains et de la rivalité théâtrale, les pièces jumelles épousent les courants du répertoire, qu’elles contribuent simultanément à alimenter, au gré de thématiques prédominantes : l’univers romanesque de la piraterie, la rivalité fraternelle, la thématique de l’Innocence persécutée, la figure de l’Illustre héroïne, parangon de vertu ou odieuse furie, et le théâtre lui-même, que la concurrence prend pour objet au sein de pièces qui figurent ses types (le Capitan), son univers quotidien (le Paris de 1640), ou encore ses plus grands succès (Le Cid, notamment). Cette section historique de l’enquête fait simultanément apparaître les correspondances qui se tissent non seulement entre les pièces jumelles, mais également avec le reste de la production contemporaine : le rival n’est pas toujours celui qu’on croit. La suite de l’étude s’attache aux modalités du fonctionnement de la concurrence. En premier lieu, celle-ci ne peut faire l’économie d’une publicité affichée, qui lui assure l’aura nécessaire à son efficacité et en fait bénéficier les pièces qu’elle soutient. L’investigation prend ensuite pour objet les enjeux dramaturgiques et scénographiques des pièces rivales. Les premiers sont l’affaire stricte des dramaturges, dont le rapport à l’Histoire ou la Fable se complique de celui qu’ils entretiennent avec leur rival. La perspective scénographique tente enfin de déterminer quels aspects du spectacle chaque troupe entend faire valoir, dans l’entreprise toujours éphémère de susciter le plaisir théâtral. / In the year 1629, two Parisian theatre companies settled down at the same time: the company of the Théâtre du Marais, led by Charles Le Noir, and the Troupe Royale, resident of the renowned Hôtel de Bourgogne. These two companies – which were sometimes joined by the Illustre Théâtre de Molière et des Béjart in 1644-1647 – were engaged in a fierce competition, mostly revealed by the common practice of twin plays : two plays, written by two different playwrights, but dealing with the same subject, were presented, at an interval of a few weeks or of a few months in two different Parisian theatres.Over the first two decades of this theatre War, forty-one dramatic twin plays were performed. The study first consists in explaining the context of their creation: with the combination of the theatrical themes of the time and the theatrical rivalry, the twin plays adopted the trends of the repertoire, and enriched them at the same time, through these main themes : the fabulous world of piracy, brotherly rivalry, the recurrent theme of persecuted Innocence, the figure of the Illustrious heroin, either a paragon of virtue or an odious shrew, and theatre itself, a subject chosen by the rivals for the plays which presented its great figures (le Capitan), its surroundings (Paris in 1640), or its greatest achievements (Le Cid, mainly). This historical part of the study simultaneously reveals the similarities between the twin plays and also their link with the other plays of the time : the rivals are not always the ones you would expect.What follows in the study deals with how this competition took place. Primarily, deliberate advertising was a key notion because it gave the prestige it needed to reach its goal and the plays it supported benefited from it. Then, the study focuses on the stakes in the dramatic and scenographic arts in rival plays. Dramaturgy was the business of playwrights only. Their relation to the Story or Fable was also influenced by their relationship with their rival. Finally, scenography was meant to choose the aspect of the show each company would focus on, whose aim always was theatrical enjoyment, short-lived as it may be.
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Les "comédiens-poètes" en France du XVIIe siècle / The French actors-authors in XVIIth century

Nishida, Shikiko 29 January 2015 (has links)
Nous comptons au total vingt-deux « comédiens-poètes », dont deux sont des femmes, entre le dernier tiers du XVIe siècle jusqu’à la fondation de la Comédie-Française en 1680, soit une période de cent ans environ. Afin de comprendre la naissance puis la montée en puissance de cette pratique d’écriture propre aux comédiens, nous commençons à étudier les conditions de création des pièces de Châteauvieux et Hardy au début du siècle. Dans la première partie, nous étudions l’apparition de cette pratique chez les comédiens parisiens dans les années 1640 à travers Desfontaines et Montfleury. Dans la deuxième partie, nous mettons en lumière l’importance du rôle des commandes et des institutions lors de l’émergence des comédiens-poètes itinérants dans les années 1650 et 1662, à travers des recherches archiviques qui nous révèlent les rapports entre Des Carreaux, Dorimond et Rochefort, comédiens-poètes contemporains de Molière, et les commanditaires de fêtes en province. Dans la troisième partie, toujours selon la même méthode, nous suivons principalement l’activité de Dorimond, Rosidor et Rochefort, dans les années 1660. Nous examinons la concurrence qui se joue entre eux à La Haye et à Bruxelles concernant la création de leurs propres pièces et la reprise de pièces d'auteurs, en particulier celles à machines. Dans l’épilogue, nous mettons en lumière la singularité des habitudes de composition chez les comédiens-poètes, qui sont tout à fait différentes de celle des auteurs, à travers l’analyse des ouvrages de Villiers, Madeleine Béjart, La Thorillière, tous comédiens-poètes occasionnels, et nous perçons à jour le secret de la rapidité de composition des comédiens-poètes en général. / We count in total twenty-two actors-authors, including two women, from the last third part of the XVIth century until the creation of la Comédie-Française in 1680, so upon a hundred years period of time. To understand the birth and then the rising of this actors’ very writting way, we start to study in the prologue Chateauvieux and Hardy’s plays’ first productions’ conditions at the beginning of the century. In the first part, we study the emergence of this practice among parisian actors around 1640 through Desfontaines and Montfleury. In the second part, we light up the important role of plays made to order as well as the institutions while strolling actors-authors emerging in 1650 and 1662. To that purpose we use archivic methods revealing us relationships between Des Carreaux, Dorimond and Rochefort, three contemporaneous actors-authors of Molière, and also provincial parties’ sponsors. In the third part, still with archives’help, we mainly follow Dorimond, Rosidor and Rochefort’s activities around 1660. We study the competition between them in La Haye and Bruxelles regarding their own plays’s first productions as well as authors’plays revival, especially plays with stage effects. In the epilogue, we light up the specificity of the actors-authors writting way, quite different from the authors’way, through the analysis of Villiers, Madeleine Béjart, La Thorillière’s works, all chance actors-authors, and we find out the writting swiftness of actors-authors generally speaking.
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C’est là que l’on joue la comédie : les Casas da Ópera en Amérique Portugaise au XVIIIe siècle / It’s there where comedies are performed : the Casas da Ópera in Portuguese America during the 18th century / É lá que se representam comédias : as Casas da Ópera na América Portuguesa no século XVIII

De Moraes Marreco, Rosana 10 December 2010 (has links)
La présente thèse doctorale propose l’étude de l’activité théâtrale développée dans les premiers théâtres permanents construits en Amérique Portugaise au long du XVIIIe et dans les premières décennies du XIXe siècle, en mettant l’accent sur les idéalisateurs des Casas da Ópera et les moyens de financement utilisés dans l’édification et l’entretien de celles-ci, le répertoire mis en scène, les artistes composant les compagnies théâtrales, les spectateurs et les possibilités de sociabilité établies dans l’espace théâtral et les modèles architectoniques qui ont inspiré la construction des bâtiments théâtraux au cours de la période mentionnée. Ces cinq axes principaux soulignent l’approche interdisciplinaire qui a orienté nos études, dans un souci de contribution à une plus complète compréhension de notre sujet de recherche. / This thesis discusses key aspects of theatrical activity in the public, permanent opera houses constructed in Portuguese America during the 18th and early 19th centuries. It focuses on the practicalities of running an opera house in the New World, such as raising finance for a theatre’s construction and maintenance, and choosing the repertoire to be staged within it, as well as the people behind these institutions - the impresarios of the Casas da Ópera, the artists they hired to perform with their companies, and the audiences they served -. A consideration of contemporary and historical European theatre-building provides the architectural context for the design and construction of the Casas da Ópera in this period. These major strands of discussion form an integrated, interdisciplinary approach in order to illuminate the history of the management, usage, design, and construction of these highly important and engaging buildings. / A presente investigação propõe o estudo da actividade teatral desenvolvida nos teatros públicos permanentes construídos na América Portuguesa ao longo do século XVIII e primeiras décadas do século XIX, com ênfase na importância dos idealizadores das Casas da Ópera coloniais, dos meios financeiros utilizados para a construção e manutenção dos teatros, do repertório representado, dos artistas integrantes das companhias permanentes, do público e das possibilidades de socialização estabelecidas dentro do espaço teatral, para além dos modelos arquitectónicos que teriam inspirado a construção das Casas da Ópera no período mencionado. Esses cinco eixos principais enfatizam a leitura interdisciplinar que guiou nossas investigações, no intuito de contribuir a uma compreensão mais abrangente do nosso objecto de estudo.
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Le théâtre et le pouvoir au XVIIe siècle : le patronage en question / The theater and the power in the seventeenth century : the question of patronage

Chen, Jie 02 September 2015 (has links)
Nous avons étudié dans ce travail les manières concrètes dont s’expriment les rapports entre le pouvoir et le théâtre au XVIIe siècle, époque où cet art était déjà associé au principe de diffusion de masse lui permettant de s’épanouir indépendamment du mécénat. Étant donné que le théâtre est à la fois une pratique et une littérature, notre enquête a été menée en deux temps. Nous nous sommes d’abord intéressés aux comédiens professionnels dont la plupart ont formé des troupes portant le nom d’un grand personnage. Cette réalité qui semble a priori évidente est pourtant révélatrice. L’histoire de la troupe royale de l’Hôtel de Bourgogne en constitue un excellent exemple. D’autres troupes de moindre importance peuvent, elles aussi, entretenir des rapports étroits avec leurs protecteurs. C’est par exemple le cas des comédiens du Grand Condé auxquels nous avons consacré la suite de nos réflexions. Mais la plupart du temps, ces troupes ambulantes ne sont pas à proximité de leurs bienfaiteurs. Elles sont plutôt en contact avec d’autres instances de pouvoir, le pouvoir municipal notamment. C’est ainsi que le premier volet de notre travail s’achève sur deux études de cas consacrées à Dijon et à Bruxelles, deux destinations favorites des troupes. Après avoir étudié les comédiens, notre investigation se poursuit en se focalisant sur les auteurs de théâtre. La question des rapports entre les dramaturges et les protecteurs s’inscrit dans un vaste sujet qu’est le patronage littéraire en général. Nous avons essayé de l’illustrer à travers l’exemple du patronage de Richelieu, précédé d’une enquête préliminaire sur la question des dédicaces qui a servi tout notre second volet. / We studied in this work the concrete ways in which are expressed the relations between the power and the theater in the seventeenth century, when this art was already associated with the principle of mass distribution which allows it to flourish regardless of patronage. As the theater is both a practice and a literature, our investigation was conducted in two stages. We are primarily interested in professional actors, most of whom have formed theatre troops bearing the name of a powerful man. This reality seems a priori obvious is nevertheless revealing. The history of the Royal troupe of Hôtel de Bourgogne is a prime example. Other smaller companies maintain also close relations with their protectors. This is for example the case of the theater troop of Great Condé that we studied. But most of the time, these touring companies are not close to their patrons. Rather, they are in contact with other bodies of power, especially the municipal power. Thus the first part of our work ends with two case studies on Dijon and Brussels, two favorite destinations of theater troops. After studying the actors, our investigation continues by focusing on playwrights. The question of relations between playwrights and patrons is part of a vast subject that is the literary patronage in general. We tried to illustrate it through the example of the patronage of Richelieu, preceded by a preliminary inquiry into the question of dedication who served our whole second part.

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