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Le théâtre congolais contemporain édité en langue française : contenus idéologiques / The congolese contemporary theater edited in french : ideological content

Mumbal'Ikie, Namupot Mas 14 September 2010 (has links)
Notre dissertation poursuit deux objectifs : faire un inventaire ds pièces de théâtre congolaises éditées en langue française de 1965 à 1997 ; étudier la matière contenue dans ces pièces et les motivations des dramaturges à travers les thèmes soulevés. Cette recherche nous incite à nous poser des questions ci-après : Que nous propose le théâtre congolais dans une conjoncture contraignante et rivée sur les préoccupations essentiellement économiques et où les efforts de l'homme concourent à trouver des solutions adéquates pour se libérer politiquement et économiquement? Que peut-il aux mieux-être des Congolais? Son impact sur leur comportement ? Ses perspectives d'avenir ? Pourquoi le théâtre ? Pourquoi le théâtre congolais contemporain édité en langue française ? Pourquoi les contenus idéologiques? Nous voudrions saisir la substance, les idées véhiculées dans ce théâtre. Car, sa matière constitue la quintessence et la substantifique moelle de notre dissertation. Les contenus idéologiques expliquent les motivations des dramaturges. Ils projettent par conséquent les différents enseignements et réflexions. La thèse décortique la philosophie, les idées tant politiques, sociales, culturelles qu'économique que renferme ce théâtre. Nous sommes persuadé que sa pratique, ses enseignements et ses réflexions apporteront, mutatis mutandis, de grands changements au sein des sociétés congolaises croupissant dans une misère indescriptible. Changements et reconversion des mentalités devant contribuer par ricochet à la reconstruction de la République démocratique du Congo, notre cher pays / Our esay has two objectives : make an inventory of plays published in French Congo in 1965-1997 ; study the material in these parts and motivations of playwrights through the themes raised. This research leads us to ask ourselves the following questions : What we propose the congolese theater in an environment binding and riveted on essentially economic concerns and where human efforts contribute to finding appropriate solutions to free themselves politically and economically? What can the well-being of the congolese? Its impact on their behavior? His future? Why theater ? Why congolese contemporary theater edited in french ? Why the ideological content? We take the substance, the ideas conveyed in this theater. For his material is the very substance and quintessence of our essay. The ideological content explain the motivations of playwrights. The plan accordingly different teachings and reflections. The thesis dissects the philosophy, ideas, political, social, cultural and economic contained in this theater. We are confident that his practice, his teachings and reflections bring, mutatis mutandis, major changes in congolese companies wallowing in misery indescribable. Changes and change of attitude in tum should contribute to the reconstruction of the democratic republic of Congo, our dear country
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L'immigration congolaise en France : entre crises et recherche d'identité /

Douma, Jean-Baptiste. January 2003 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Sociol.--Paris X, 2000. / En appendice, choix de documents. Bibliogr. p. 319-331. Index.
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Réglement des litiges individuels en droits belge et congolais du travail

Beya, Siku 18 January 2005 (has links)
Dans le règlement des litiges individuels, les droits belge et congolais du travail gagneraient en effectivité en l’absence du recours au juge. Tel est le sujet de notre thèse. Deux facteurs en justifient la vérification : d’une part, la priorité que la législation du travail réserve aujourd’hui à la question de l’emploi ; et d’autre part, l’intérêt croissant de nos jours pour les modes alternatifs de règlement des litiges individuels. Envisagée en droits belge et congolais du travail, la réflexion théorique, qui y occupe une place importante, y est menée à renfort d’illustrations tirées dans ces deux droits. En donner un résumé, c’est présenter un exposé synthétique du point de vue y développé autant qu’indiquer le chemin parcouru pour l’asseoir. Si, en règle, celui-ci, « démarche universitaire » oblige, passe par des détours que nécessite la vérification du sujet énoncé au titre de thèse, c’est autant faire preuve de synthèse que de les faire coïncider aux parties qui en constituent, si l’on peut dire, la charpente. Notre travail comprend deux parties : la première porte sur la notion de litige individuel en droits civil et du travail ; la seconde a trait à l’office du juge en cas de litiges individuels en droit du travail. Cette division de notre ouvrage emporte un préjugé : elle implique qu’en soi les litiges individuels n’ont pas partie liée avec le recours au juge. Ce qui, en somme, est dans la ligne du point de vue que nous y défendons. Parler de la notion de litige, d’abord, en droit civil se recommande dans la mesure où cette branche du droit est considérée comme la charte fondamentale des rapports qui se forment entre hommes, abstraction faite de leur profession. L’optique ainsi choisie augure d’une notion de litige individuel large et de sa portabilité en droit du travail ; sauf, bien sûr, à en donner la mesure dans cette branche du droit. Faute d’une théorie générale des litiges, on peut évoquer leurs sens courants. Si ceux-ci sont à décliner dans la mesure où ils entretiennent une synonymie entre la notion de litige et les initiatives qui s’y associent, c’est, en revanche, l’élément de fond dont celles-ci ne sont qu’une manifestation qu’il faut considérer pour identifier la notion de litige. A cette fin, la doctrine de droit civil qui l’analyse comme condition de la transaction se révèle pertinente : elle l’assimile à « un doute générateur d’une incertitude psychologique qui détermine les parties litigantes à y mettre fin, c’est-à-dire à supprimer ce que la situation peut avoir, en fait, d’aléatoire ou d’incertain ». La liaison, mais aussi implicitement, le distinguo, que cette doctrine établit ainsi entre le litige, objet de la transaction, et le doute qu’il génère dans l’exercice et la jouissance des droits sont à ce point étroits qu’aux yeux d’aucuns, et selon la jurisprudence, les deux notions se confondent. C’est fort de ce point de vue que nous retenons que « avoir un litige », ou comme on dit, « être en litige », c’est être en mal d’exercer un droit ou d’en jouir. Pour valoir, cette formule définitoire, participant d’une logique des droits et obligations clairement définis doit être soumise à un test de faisabilité. Double test, en somme, auquel convient, d’une part, la prédominance d’une logique de l’intérêt dans le droit civil d’aujourd’hui, et, d’autre part, une survivance de la solidarité clanique dans la société congolaise, qui, toutes les deux y infusent une logique aux antipodes de ses postulats traditionnellement individualistes. Test doublement réussi, tant il s’avère que cette logique, qu’illustre notamment la montée en puissance du principe général de bonne foi, ne participe en soi que d’une condition de validité de l’exercice et de la jouissance d’un droit : elle tient de l’impératif de solidarité que requiert la vie en société et n’est guère source de conflictualité. Si la dimension collective que cette logique tend à imprimer au droit civil semble un développement récent, elle est, en revanche, le propre du droit du travail comme le vérifie la logique, à la fois, statutaire et institutionnelle, dans laquelle s’inscrit sa mise en œuvre. Logique statutaire, en ce que la nature d’ordre public et impérative de l’essentiel de la législation du travail, assorti de la sanction de nullité, induit la reconnaissance, dans le chef des salariés, d’un seuil minimum de droits intangible. Dans la même optique, il faut mentionner la récurrence du modèle contractuel de travail à durée indéterminée en cas de violation des normes que prescrivent divers régimes d’emploi. Cette manière, curative, du droit du travail de pourvoir à son application profile une identité collective des salariés. Elle fait de la notion de contrat de travail le critère qui, tel un sésame, leur permet d’accéder à quelque droit que leur confère leur état. A cette logique statutaire s’associe une logique institutionnelle, qui va primant l’autonomie collective dans la relation de travail salarié. En témoignent la préséance donnée aux normes émargeant de l’autonomie collective dans la hiérarchie des sources de droit du travail, la plénitude de compétence reconnue aux commissions paritaires en matière de travail, l’intégration automatique des clauses normatives individuelles des conventions collectives dans les contrats de travail. Cette complexité de la logique, qui caractérise les droits belge et congolais du travail, nous incline à affirmer que la notion de litige individuel y implique une quête d’effectivité du statut de salariés à la quelle pourvoit l’autonomie collective. Cette allégation, en lien avec la notion de litige individuel, qui se distingue de quelque initiative qu’elle commande, tel l’exercice d’un action judiciaire, évoquée en droit civil, est un premier jalon dans la vérification de notre thèse. - Et si, partant, le règlement des litiges individuels n’était plus judiciaire en droits belge et congolais du travail ? Cette interrogation est la trame principale de la seconde partie de notre thèse. Et, pour autant que les propos que nous y tenons s’apparentent à une analyse critique des règles sur base desquelles le juge opère, elle coïncide à un discours qui va stigmatisant les limites posées à son office et les contraintes procédurales sous lesquelles il ploie. Ce discours, nous ne pouvons en faire état sans au préalable présenter le cadre dans lequel le juge accomplit son office ; cadre qui, balisé, signale une espèce de « suspicion légitime » dont celui-ci fait l’objet dès lors qu’il s’agit de régler les litiges individuels en droit du travail. En effet, au-delà de la diversité des formes d’organisation des juridictions du travail se profile une identité dans leurs principes recteurs : priorité donnée à la conciliation préalable ; participation des partenaires sociaux à la juridiction. Ces principes ne vont pas sans perpétuer l’éthique en vigueur dans les institutions à l’origine des juridictions du travail : concilier d’abord, ne juger que le cas échéant. Se pose, dès lors, la question de savoir ce qui, en réalité, détermine les litigants à recourir au juge. Recourir au juge implique au préalable un choix, c’est-à-dire deux alternatives réalisables l’une à défaut de l’autre : entamer une action judiciaire en est une ; ne pas l’entamer en est une autre qui, tout autant que la première, est une expression de la liberté. Reste que le choix effectué dans tel ou tel sens participe d’un délibéré préalable et qu’il est dès lors possible de comprendre l’attitude des litigants face au juge en considérant les éléments qui y interfèrent. C’est à ce niveau que les syndicats jouent un rôle important : d’abord, parce que, le plus souvent, ce sont les salariés, en tant qu’individus, qui sont parties au litige ; ensuite, parce que l’attitude concrète des syndicats dans le domaine judiciaire est influencée par la sensibilité ouvrière face au juge. La pratique syndicale implique donc quelque stratégie face au juge ; cette métaphore militaire, belliciste, s’entendant de « l’art de faire évoluer une armée sur un théâtre d’opérations jusqu’au moment où elle entre en contact avec l’ennemi ». Deux stratégies correspondent à ce choix : d’une part, l’évitement du juge, stratégie défensive de l’acquis social à laquelle contribuent la représentation du droit et du juge dans la doctrine syndicale ainsi qu’une mentalité « photosynthétique » qui reprouvent lenteurs et rituels judiciaires ; et, d’autre part, le recours judiciaire, stratégie offensive, conséquence de l’inefficacité de la concertation sociale qu’illustre, notamment, la « processualisation » des conflits collectifs en droit belge du travail. Les deux stratégies se recommandent, respectivement, de la dogmatique syndicale et d’un pragmatisme judiciaire. Modèles théoriques d’interprétation d’un fait, elles ne sont guère une transcription de la réalité : elles s’entendent des types idéaux, sortes de prismes réfléchissants à travers lesquels celle-ci peut être comprise. Les stratégies vantées auraient une telle valeur heuristique qu’elles n’éludent pas la question de l’efficacité de l’office du juge. Le juge est-il compétent ? Posée autrement, cette question revient à celle de savoir si le juge, eu égard à ses pouvoirs, est apte à pourvoir à l’effectivité du droit du travail en cas de litiges individuels. Franchement, le juge l’est-il lorsque, par exemple, malgré la qualification d’une relation contractuelle en une relation de travail salarié et la reconnaissance subséquente au travailleur de la qualité de salarié, il ne peut contraindre la personne qui l’emploie à conclure un contrat de travail ? Certes, il allouera une indemnité compensatoire, puisque telle est la règle de droit, intangible, s’agissant d’une obligation de faire. Mais pour autant que, et cela fait, le droit à une certaine sécurité de l’emploi qu’implique le statut de salariés aura été effectif ? On peut en douter. C’est qu’en règle, le juge ne dispose que d’une maîtrise restreinte du contentieux : il ne connaît que de l’objet de la demande. Ce qui lui revient c’est d’appliquer aux faits soumis à son appréciation la règle de droit exacte ; la détermination de la demande relevant du pouvoir des litigants ; il ne peut suppléer aux motifs que ceux-ci invoquent qu’en se fondant sur ceux dont il est régulièrement saisi ; sauf bien sûr lorsqu’il y va d’une question d’ordre public ou en cas d’erreurs ou de fraudes. A cette limite fonctionnelle posée à son office s’associe celle qu’impliquent les règles procédurales. Prescrites à peine de nullité, celles-ci commandent un déroulement spécifique, limité de l’action qui amène nécessairement à une conclusion déterminée », à savoir le jugement. Dès lors figent-elles juges et litigants dans un rôle précis et vont, de la sorte, amplifiant, dans leur chef, une logique de confrontation à l’opposé de l’objectif de résorption des litiges auquel elles sont en soi vouées comme l’indique, dans la pratique judiciaire, la dévaluation de la tentative de conciliation obligatoire préalable qu’à la qui va vite les litigants déclinent pour se livrer aux débats judiciaires. Doublement limité, comme nous venons de relever, l’office du juge se réduit alors à celui de garde fou de l’utilisation déloyale par certains plaideurs des règles de procédure ; son rôle ne consistant finalement qu’à filtrer la demande : au fond, il n’est que de peu d’apport dans le règlement des litiges. Ne serait-il pas inintéressant d’envisager d’autres mécanismes de leur prise en charge intégrale par un tiers qui se dispense des contraintes qui pèsent sur lui ? La souplesse du processus auquel il apportera son expertise, le large pouvoir d’instruction dont il disposera, l’originalité des pistes de solution qu’il proposera seront autant d’atouts de son efficacité. C’est à cette fin, que nous prônons le recours à la médiation comme mode de règlement des litiges individuels en droit du travail : processus confidentiel, librement consenti par les litigants qui recourent à un tiers dont le rôle est de les aider à élaborer eux-mêmes une entente équitable qui intègre leurs attentes respectives. Comme l’avoue Henri FUNCK, Président du tribunal du travail de Bruxelles : « (…) seules les parties (…), détiennent la clé de la solution à leur litige ; et les solutions elle-mêmes sont multiples. Un tiers attentif et bienveillant pour chacune des parties peut, en jouant comme le rôle de miroir, faciliter l’avènement de la solution ». De ce point de vue, les expériences de médiation que mènent, en Belgique, certains Tribunaux du travail, comme ceux de Bruxelles et de Verviers, ainsi que la Cour du travail d’Anvers, méritent d’être encouragées. L’espace social congolais est lui aussi un terrain propice à la pratique de la médiation, comme le montre son succès dans certains milieux : cercles des diamantaires, groupes charismatiques ou de prières, ou encore, sous l’instigation des associations luttant pour la défense des Droits de l’Homme, des organisations informelles chargées de trancher les litiges comme au marché Tomba dans la commune de Matete à Kinshasa. L’idéal serait toutefois que ces pratiques soient légalisées, comme elles le sont à l’étranger, notamment en France. Il faut alors souhaiter l’adoption de la proposition de loi déposée à cet effet au Parlement belge par les députés Clotilde NYSSENS et Christian BROTCORNE. Au législateur congolais de prendre lui aussi une telle initiative.
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Crise de l'État et migrations : la diaspora congolaise-zaïroise en Suisse, 1980-2005 /

Bagalwa Mapatano, Jules Maps. January 2007 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Institut universitaire d'études du développement, IUED--Genève. / Bibliogr. p. 557-584. Index.
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Les écrivains du Congo-Zaïre : approches d'un champ littéraire africain /

Djungu-Simba Kamatenda, Charles, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Philosophie et lettres--Université d'Anvers, 2004. Titre de soutenance : L'institution littéraire au Congo-Zaïre, morphologie du champ littéraire congolais, 1939-2004. / 2008 d'après la déclaration de dépôt légal. Bibliogr. p. 311-315. Index.
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La religion et l'intégration sociale dans le contexte de l'immigration : le cas de la communauté congolaise à Québec /

Vita, Ndugumbo. January 2002 (has links)
Thèse (M. A.)--Université Laval, 2002. / Bibliogr.: f. [184]-197. Publié aussi en version électronique.
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Evolutions, usages et usagers des médias « communautaires » des Congolais (ex. Zaïrois) en Belgique, France et Grande-Bretagne. / Developments, uses and users of the media "community" of Congo (ex.Zaïrois) in Belgium, France and Britain.

Ilunga Kasambay, Casimir 12 December 2011 (has links)
Les médias communautaires constituent bien un phénomène de notre époque. Leur création est récente. Ce phénomène est une conséquence d’un déficit en information concernant les pays d’origine des immigrés. Au nombre de ces médias communautaires, il y a les médias de la diaspora congolaise. Ces médias évoluent à l’ombre des médias « traditionnels ». Mais en les observant, on remarque malheureusement qu’ils ont, à quelques exceptions près, une existence précaire. Cette précarité ne leur permet pas de jouer leur rôle de véhiculer les messages horizontalement et verticalement. Les raisons de ce « rendez-vous manqué » sont diverses. Elles vont de la production à la réception de ce produit médiatique ainsi que de l’environnement dans lequel il évolue. Tout en souscrivant entièrement à la théorie de la réception active dont la parfaite illustration est, dans notre recherche, cette désaffection volontaire du public, nous reconnaissons aussi que dans une situation de pénurie et/ou de précarité, la presse a tendance à fonctionner avec l’élite dont elle rapporte les nouvelles. Dans cette situation, les organes de presse, dans ce cas les médias communautaires n’atteignent pas la masse malgré qu’ils se veulent des moyens de communication de masse. La culture du public influant sur sa consommation, cette presse ainsi élitiste finit par se couper de la masse. On assiste à la formation des ghettos marqués par la sous-consommation des médias à l’ombre de sociétés de grandes civilisations où on connaît la surconsommation médiatique. / Pas de résumé en anglais
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Transformation des pratiques de solidarité chez des familles originaires de la République démocratique du Congo (RDC) immigrées à Montréal

Habimana, Pélagie 06 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche explore comment s'articulent et s'actualisent les solidarités familiales au sein des familles immigrantes. Il s'agit d'une recherche qualitative effectuée auprès de huit immigrants en provenance de la République Démocratique du Congo, légalement établis sur le territoire canadien et ayant des membres de la famille restés au Congo ou résidant ailleurs dans le monde. Afin de faire sens de l'évolution et de la transformation de ces solidarités familiales, un cadre théorique a été développé autour des concepts de solidarité, de lien social, d'individualisme. Ancré dans une perspective interactionniste, ce cadre permet de rendre compte des tensions entre les désirs d'autonomie et la nécessité de solidarité, du rôle de la reconnaissance et de la filiation dans le développement et la transformation des pratiques de solidarité familiale. Par le biais d'une entrevue semi structurée, les participants à la recherche ont partagé leur quotidien en rapport avec l'entraide familiale dans un contexte migratoire ou transnational. L'analyse des résultats révèle que, comme l'a d'ailleurs souligné Laaroussi (2001), l'immigration ne met pas un terme à la solidarité et entraide familiale. Celle-ci se matérialise de différentes façons : appels téléphoniques, messages électroniques, échange de cadeaux, support financier, encouragement ou conseil et voyage. Cette entraide familiale tient compte de la réalité de ses familles dans le pays d'accueil et dans leur pays d'origine. Quant au sens donné à la solidarité, il est à comprendre en tenant compte de la trajectoire migratoire de chaque participant. La grande motivation derrière le maintien des liens de solidarité entre les familles dispersées est le maintien de l'identité familiale et la peur d'être isolé car un jour il sera question de retour au bercail. Bien que volontaire, cette entraide est vécue comme une obligation, voire un fardeau, pour certains qui au lieu de s'en soustraire cherchent à l'adapter à leurs besoins en la rendant plus élective, sélective et conviviale. Au centre des préoccupations des participants se trouvent la transmission de la valeur de solidarité familiale et la qualité des interactions entre les membres de la famille et les membres de la société d'accueil. Tous s'accordent pour réitérer l'importance de transmettre cette valeur aux générations futures tout en étant conscient que cette transmission ne vise pas la reproduction de l'identique, mais tient compte de la réalité de la société dans laquelle ils évoluent. L'analyse des résultats se termine par une conclusion qui reprend les thèmes principaux du mémoire et qui présente une réflexion personnelle sur différentes pistes de recherche qui resteraient à poursuivre. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Immigration, solidarité, famille, lien social, individualisme, interactionnisme.
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Médias et conflits en RDC :Analyse des déterminants du traitement de l’information par les radios locales, nationales et internationales

N'Sana Bitentu, Pierre 29 October 2019 (has links) (PDF)
La présente recherche examine la couverture médiatique du conflit armé qui a opposé les Forces armées de la RDC à la rébellion du 23 mars dans la province du Nord Kivu, entre mai 2012 et novembre 2013. Au regard des stratégies diverses d’enrôlement des médias et de contrôle des contenus journalistiques mises en place par les belligérants, (pressions, intimidations, séductions, menaces, etc.), la thèse s’intéresse, en particulier, à la manière dont ces différents facteurs propres au système médiatique congolais ou générés par le contexte spécifique de ce conflit ont déterminé la construction des récits journalistiques diffusés par des radios locales, nationales et internationales sur le déroulement de cette guerre. Il s’est agi de voir les contenus journalistiques auxquelles les auditeurs congolais ont été confrontés et de cerner les dynamiques et logiques qui ont conduit à leur élaboration. L’étude s’appuie sur une démarche triangulatoire qui a permis d’analyser, de manière complémentaire, deux types de matériaux :des corpus radiophoniques, prélevés auprès d’un échantillon de cinq radios (Kivu One et VBR de Goma, Top Congo FM et Radio Okapi de Kinshasa, RFI émettant depuis Paris) et des entretiens semi-directifs réalisés avec dix-neuf journalistes, explorant les conditions dans lesquelles les récits diffusés ont été produits. Elle croise un axe géographique, les implantations des médias étudiés étant différentes, et un axe diachronique, en se focalisant sur trois phases distinctes (début, milieu et fin du conflit). L’examen effectué sur le corpus radiophonique a mis en lumière l’existence d’une multiplicité des pratiques journalistiques que la recherche s’est attachée à qualifier :journalisme « surveillé », « assiégé », « occupé », « effacé », « embarqué », « distancié », « patriotique », « de paix », « du vainqueur » « de communication » … Les entretiens ont permis de mieux comprendre les déterminants qui ont conduit les journalistes à ces pratiques, c’est-à-dire un ensemble de facteurs, ancrés à la fois dans l’environnement sociétal, dans des dynamiques internes aux entreprises médiatiques, dans des commodités professionnelles ou dans des expériences personnelles de vie. L’analyse combinée des récits journalistiques diffusés et des discours des journalistes actualise, dans le contexte congolais, un ensemble d’interrogations portant sur la couverture journalistique des conflits :tension entre responsabilité professionnelle et responsabilité citoyenne ;limitations liées aux moyens disponibles et aux conditions sécuritaires ;poids des connexions financières ou politiques au sein des rédaction ;interventions directes des belligérants dans le secteur médiatique ;possibilité et modalités de la neutralité du journaliste, en particulier lorsque ce dernier est originaire du pays en conflit et qu’il réside dans la région où se déroulent les combats. Journalistes et radios ayant développé des réponses pratiques différenciées à ces interrogations, la thèse en souligne et examine l’impact sur les récits médiatiques diversifiés proposés au public congolais. / Doctorat en Information et communication / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Analyse des difficultés scolaires rencontrées par des élèves immigrés d'origine congolaise dans le système éducatif belge

Kakoma-N'dusu Wa Bashanga, Jean-Baptiste January 2001 (has links)
Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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