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Les Amérindiens à l'arrivée des Blancs et les débuts de l'effritement de leur civilisation

Parent, Raynald 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Conceptions et expériences des hommes amérindiens ayant vécu des incidents de violence conjugale au Québec

Ellington, Lisa 23 April 2018 (has links)
La violence conjugale est une problématique sociale très répandue au sein des peuples autochtones (Jones, 2008). Malgré ce constat, les travaux de recherche sur le sujet ne sont pas légion et ont été majoritairement réalisés auprès de femmes ou d’intervenants, le discours des hommes étant éclipsé par la perception qu’ont les chercheurs de la problématique. Cette recherche vise alors à rendre compte de l’expérience et du point de vue des hommes amérindiens ayant vécu des incidents de violence conjugale au Québec. L’analyse de contenu des neuf entrevues réalisées suggère la nécessité de considérer l’interaction dynamique et l’influence mutuelle de différents facteurs (historiques, environnementaux, individuels et culturels) qui façonnent les conceptions de la violence conjugale et les logiques d’action des hommes amérindiens. Ce mémoire met également en lumière la diversité des rôles joués par ces derniers lors des incidents, qu’ils soient les instigateurs et/ou les victimes, à travers les différents types de violence dans lesquels ces rôles s’inscrivent (violence conjugale situationnelle ou terrorisme conjugal).
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Mécanismes de connectivité fonctionnelle : un exemple avec le bison des plaines en milieu forestier

Dancose, Karine 17 April 2018 (has links)
La connectivité de l'habitat est un déterminant important de la répartition spatiale des animaux. Cette connectivité dépend de leurs comportements face aux diverses composantes de l'habitat. Notre étude évalue les mécanismes de connectivité fonctionnelle chez les bisons sauvages. Nous avons déterminé que la sélection du prochain pré visité était influencée par ses caractéristiques intrinsèques (p. ex. disponibilité des plantes) et son accessibilité (p. ex. distance). Les bisons atteignaient le prochain pré sous l'influence de la persistance directionnelle et en orientant leurs déplacements vers les trouées forestières et le pré d'arrivée. De plus, la connectivité fonctionnelle variait durant l'année. Par exemple, ils préféraient des prés offrant davantage de biomasse végétale en hiver. Notre approche permet de quantifier la probabilité d'utilisation des prés et d'établir le chemin probable pour les atteindre. Ceci permet, en retour, de définir la connectivité fonctionnelle des prés, une étape nécessaire pour mieux comprendre la connectivité du paysage.
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A fatherly eye, two Indian agents on Georgian Bay, 1918-1939

Brownlie, Robin January 1996 (has links) (PDF)
No description available.
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Influence des corridors routiers et des coupes sur les déplacements hivernaux de la Martre d’Amérique en forêt boréale aménagée

Frouin, Hermann 18 April 2018 (has links)
L’exploitation forestière implique la mise en place d’un dense réseau de routes. Au Canada, 15 000 km de nouvelles routes forestières sont construites annuellement, s’ajoutant ainsi à la fragmentation causée par l’exploitation de 6 100 km2 de forêt par an. De plus, la structure de la végétation proche des routes forestières est souvent différente de celle rencontrée ailleurs, ce qui pourrait influencer les comportements d’approvisionnement de la faune et ses déplacements. Les ouvertures du couvert forestier pourraient par conséquent affecter les patrons de déplacement de la faune, mais cette conséquence est peu documentée. Nous avons évalué le comportement de déplacement de la Martre d'Amérique (Martes americana) en réponse aux lisières forestières créées par les routes et les coupes, à la Forêt Montmorency, forêt d’enseignement et de recherche de 66 km2 localisée au nord de la ville de Québec, Canada. Durant 3 hivers, 84.6 km de pistes de martre ont été suivies à raquettes et géoréférencées par GPS. La répartition des pistes de Martre d’Amérique était indépendante de la proximité des lisières de routes et de coupe. Par contre, les martres avaient tendance à se déplacer de façon parallèle aux lisières, en lien avec l’occurrence plus élevée de ses deux principales proies, l’Écureuil roux (Tamiasciurus hudsonicus) et le Lièvre d’Amérique (Lepus americanus), à proximité des lisières de routes et de coupes. Cette association entre les proies et les lisières était elle-même associée aux changements de végétation à proximité des lisières. En conclusion, des attributs de végétation des lisières pourraient expliquer à la fois le patron de distribution des proies et indirectement, les déplacements des martres. / Large-scale forestry fills boreal landscapes with roads and clearcuts. In Canada alone, 15,000 km of new forestry roads are built annually, adding to habitat fragmentation caused by the logging of 6 100 km2 of forest annually. Furthermore, vegetation near forestry roads often differs from vegetation elsewhere, and may influence animal foraging and other movements. Gaps in the forest cover may therefore affect species distribution patterns, but underlying mechanisms are unknown most of the time. We asked whether and how American marten (Martes americana) respond to forest edges adjoining roads and clearcuts at the Montmorency Research Forest, a 66-km2 area north of Quebec City, Canada. We followed 84.6 km of marten tracks by snowshoe over 3 winters, and recorded their location with high-resolution GPS receivers. The distribution of marten tracks was independent of distance to road or clearcut edges. However, martens tended to move along edges, apparently because of the higher occurrence of prey (squirrels Tamiasciurus hudsonicus and hares Lepus americanus) near clearcut and road edges. High prey abundance near edges was itself associated to vegetation differences close to edges. I conclude that edge effects on vegetation affected prey distribution, which in turn affected marten movements.
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La place des langues autochtones à l'adoption du projet de loi C-91 : analyse critique du discours à visée décoloniale

Boily, Ann-Sophie 29 September 2022 (has links)
La majorité des langues autochtones au Canada est en grave situation de dévitalisation et plusieurs sont à risque de disparaitre. Elles portent pourtant avec elles des savoirs, des croyances et des traditions riches et uniques. Depuis longtemps les peuples et les communautés autochtones travaillent à la préservation et à la transmission de leurs langues. Elles revendiquent reconnaissance et soutien depuis les années 1970, mais il faudra attendre cinquante ans pour que le gouvernement fédéral tente une réponse. Adopté le 21 juin 2019, le projet de loi C-91 devenu la Loi sur les langues autochtones se veut un premier pas vers leur protection, promotion et maintien. Répondant à trois appels à l'action de la Commission de vérité et réconciliation, elle vise aussi à amender certaines injustices historiques. Cette recherche questionne et analyse la place des langues autochtones dans ce contexte où leur statut précaire s'arrime à une situation coloniale continuelle, à une hégémonie linguistique et à des « efforts » de réconciliation par l'État. Au carrefour de la sociolinguistique critique, de l'analyse critique du discours et des approches décoloniales, je propose une analyse linguistique des propos tenus à la Chambre des communes dans le cadre des débats portant sur le projet de loi C-91. L'analyse de la nomination et de l'utilisation des langues autochtones montre des avancées considérables quant à la place qu'elles y prennent, surtout en termes de visibilité, d'audibilisation et de valorisation des langues elles-mêmes, de leur diversité et de leur histoire. Or, les langues autochtones sont aussi instrumentalisées pour servir un « spectacle de réconciliation », lequel bénéficie surtout des intérêts allochtones et étatiques. En fin de compte, les langues et les revendications linguistiques autochtones sont aujourd'hui présentes au Parlement parce qu'elles sont nommées par des représentantes de l'État, mais elles n'y sont pas pour autant entendues réellement. / In Canada, most Indigenous languages are currently in danger of extinction, though they carry rich and unique knowledges, beliefs, and traditions. Indigenous peoples and communities have long worked for the preservation and transmission of their languages. Their claims for recognition and support date back to the 1970s, but the federal government only issued a legislative response fifty years later. Adopted on June 21th of 2019, Bill C-91, An Act respecting Indigenous Languages, represents a first step towards the protection, promotion and maintenance of Indigenous language in Canada, as well as a direct response to three of the 94 Truth and Reconciliation Commission's calls to action. This research aims to question and analyze the place of Indigenous languages in this context, where their precarious status is tied to ongoing colonialism, linguistic hegemony, and reconciliation « efforts » by the State. Mobilizing conceptual and methodological tools from critical sociolinguistics, critical discourse analysis, and decolonial approaches, I linguistically analyze parliamentary debates leading to the adoption of Bill C-91, focusing on the naming and the use of Indigenous languages. The analysis shows progress has been made in terms of making Indigenous languages —as well as their diversity and history— visible and valued in Parliament. It also shows Indigenous languages ultimately serve a « spectacle of reconciliation », which contributes to non-Indigenous and State interests. Finally, Indigenous languages and claims are present today at Parliament for they are named by representatives of the State, but they remain to be truly heard.
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La place des langues autochtones à l'adoption du projet de loi C-91 : analyse critique du discours à visée décoloniale

Boily, Ann-Sophie 29 September 2022 (has links)
La majorité des langues autochtones au Canada est en grave situation de dévitalisation et plusieurs sont à risque de disparaitre. Elles portent pourtant avec elles des savoirs, des croyances et des traditions riches et uniques. Depuis longtemps les peuples et les communautés autochtones travaillent à la préservation et à la transmission de leurs langues. Elles revendiquent reconnaissance et soutien depuis les années 1970, mais il faudra attendre cinquante ans pour que le gouvernement fédéral tente une réponse. Adopté le 21 juin 2019, le projet de loi C-91 devenu la Loi sur les langues autochtones se veut un premier pas vers leur protection, promotion et maintien. Répondant à trois appels à l'action de la Commission de vérité et réconciliation, elle vise aussi à amender certaines injustices historiques. Cette recherche questionne et analyse la place des langues autochtones dans ce contexte où leur statut précaire s'arrime à une situation coloniale continuelle, à une hégémonie linguistique et à des « efforts » de réconciliation par l'État. Au carrefour de la sociolinguistique critique, de l'analyse critique du discours et des approches décoloniales, je propose une analyse linguistique des propos tenus à la Chambre des communes dans le cadre des débats portant sur le projet de loi C-91. L'analyse de la nomination et de l'utilisation des langues autochtones montre des avancées considérables quant à la place qu'elles y prennent, surtout en termes de visibilité, d'audibilisation et de valorisation des langues elles-mêmes, de leur diversité et de leur histoire. Or, les langues autochtones sont aussi instrumentalisées pour servir un « spectacle de réconciliation », lequel bénéficie surtout des intérêts allochtones et étatiques. En fin de compte, les langues et les revendications linguistiques autochtones sont aujourd'hui présentes au Parlement parce qu'elles sont nommées par des représentantes de l'État, mais elles n'y sont pas pour autant entendues réellement. / In Canada, most Indigenous languages are currently in danger of extinction, though they carry rich and unique knowledges, beliefs, and traditions. Indigenous peoples and communities have long worked for the preservation and transmission of their languages. Their claims for recognition and support date back to the 1970s, but the federal government only issued a legislative response fifty years later. Adopted on June 21th of 2019, Bill C-91, An Act respecting Indigenous Languages, represents a first step towards the protection, promotion and maintenance of Indigenous language in Canada, as well as a direct response to three of the 94 Truth and Reconciliation Commission's calls to action. This research aims to question and analyze the place of Indigenous languages in this context, where their precarious status is tied to ongoing colonialism, linguistic hegemony, and reconciliation « efforts » by the State. Mobilizing conceptual and methodological tools from critical sociolinguistics, critical discourse analysis, and decolonial approaches, I linguistically analyze parliamentary debates leading to the adoption of Bill C-91, focusing on the naming and the use of Indigenous languages. The analysis shows progress has been made in terms of making Indigenous languages --as well as their diversity and history-- visible and valued in Parliament. It also shows Indigenous languages ultimately serve a « spectacle of reconciliation », which contributes to non-Indigenous and State interests. Finally, Indigenous languages and claims are present today at Parliament for they are named by representatives of the State, but they remain to be truly heard.
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Les terres amérindiennes dans le régime seigneurial : les modèles fonciers des missions sédentaires de la Nouvelle-France

Boily, Maxime 11 April 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur les terres octroyées par les autorités françaises aux Amérindiens. En effet, le Roi de France et ses représentants ont attribué des titres fonciers aux Autochtones afin de favoriser leur intégration permanente au sein des grands centres de colonisation. Différents enjeux ont justifié l'implantation de groupes autochtones près des colons. Ce projet ambitieux a donné lieu à la création de titres fonciers pour les Amérindiens. L'exercice consiste à examiner l'ensemble de ces concessions dans le but de dresser les statuts fonciers des terres amérindiennes dans le régime seigneurial. Comment s'est articulé ce processus d'octroie de terre pour les Amérindiens, quels sont les enjeux pour le Roi, les missionnaires et les Autochtones ? Comment s'est construite la politique française de distribution de terre en faveur des Amérindiens ? Voilà ce que ce mémoire propose, une aventure qui nous mène d'abord à Sillery, à Trois-Rivières et sur l'île d'Orléans pour se rendre ensuite dans les environs de Montréal à la Prairie de la Madeleine, au Sault-Saint-Louis et ensuite sur l'île de Montréal et au lac des Deux-Montagnes. Sans oublier l'aventure abénaquise, derniers Amérindiens à s'installer dans la colonie, d'abord à Sillery puis au Sault de la Chaudière pour migrer ensuite vers les terres des seigneuries de Saint-François et de Bécancour.
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L'interprétation de l’intérêt général par les juridictions constitutionnelles et administratives : perspectives comparatives des droits ancestraux au Québec et des droits d'usage collectifs en Guyane française

Lahkim, Kawtar 23 February 2021 (has links)
Au Canada comme en France, la notion d’intérêt général est investie d’un rôle important en droit public. Cet outil politique et normatif permet aux pouvoirs législatifs, règlementaires et judiciaires de justifier, par l’application d’une rationalité particulière, l’atteinte aux droits ancestraux au Canada au moment où, en France, il est érigé en fondement de toute action publique. Nous constatons, d’ailleurs, que nous soyons au Québec ou en Guyane française, que derrière les critères avancés par les juges pour justifier cet état du droit s’opère une logique reflétant la confrontation d’une multitude d’intérêts au sein d’une communauté sociale, politique et économique pensée dans un cadre étatique. Ceci se réalise au détriment des peuples autochtones qui se voient encore dépossédés de leurs terres malgré leur légitimité historique sur les territoires concernés. Dans une approche comparative, nous verrons, d'abord, comment les juges, sur la base d’un exercice dit de conciliation entre les intérêts de la société canadienne ou québécoise et ceux des autochtones, avancent une rationalité autour de l’intérêt général qui reconduit vraisemblablement les mécanismes coloniaux d’accaparement des ressources au Canada, et remet en cause les discours de réconciliation. Ensuite, en France, nous verrons comment la satisfaction d’intérêts nationaux, pensés en Métropole, accordent encore aujourd’hui des prérogatives disproportionnées aux pouvoirs publics qui ne permettent ni la reconnaissance des droits territoriaux des peuples autochtones en Guyane française, selon leurs points de vue, ni une protection adéquate. À travers cette étude, il est possible de conclure à une dépossession continuelle sous souveraineté française ou canadienne et de l’inadéquation des deux modèles, non par manque de moyens, mais par l’usage de rationalités inadaptées à l’objectif de réconciliation, de réparation ou de restitution. Sans possibilité pour les minorités légitimes sur le territoire de remettre en cause, a priori et a posteriori, les valeurs morales et le processus décisionnel entourant un acte décisoire étatique sur le territoire, les décisions des juges de droit public continueront à ne représenter le droit que comme un instrument de légitimation de tels actes. / In Canada as in France, the notion of general interest has an important role in public law. This political and normative tool allows the legislative, regulatory and judicial powers to justify, by the application of a particular rationality, the infringement of ancestral rights in Canada, when in France, it is established as the basis of all public action. We note, moreover, whether we are in Quebec or in French Guyana, that behind the criteria put forward by the judges to justify this state of the law, a logic operates reflecting the confrontation of a multitude of interests in the within a social, political and economic community conceived within a state framework. This is done to the detriment of indigenous peoples who are still dispossessed of their lands despite their historical legitimacy in the territories concerned. In a comparative approach, we will see how the judges, on the basis of an exercise known as of reconciliation between the interests of Canadian or Quebec society and those of the natives, advance a rationality around the general interest which renews the mechanisms of colonialism grabbing resources in Canada, and calls into question the rhetoric of reconciliation. In France, we will see how the satisfaction of national interests, thought in France, still today grant disproportionate prerogatives to the public authorities which neither allow the recognition of the territorial rights of the indigenous peoples in French Guiana, according to their points of view, nor adequate protection. Through this study, it is possible to conclude that there is a continual dispossession under French or Canadian sovereignty and the inadequacy of the two models, not for lack of means, but through the use of rationalities unsuited to the objective of reconciliation, repair or restitution. Without the possibility for the legitimate minorities on the territory to question, a priori and a posteriori, the moral values and the decision-making process surrounding a state decision-making act on the territory, the decisions of the judges of public law will continue to represent the law only as an instrument to legitimize such acts.
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Effets de la taille du groupe sur la sélection de l'habitat à plusieurs échelles spatio-temporelles par le bison des plaines (Bison bison bison)

Fortin, Marie-Ève 12 April 2018 (has links)
L'objectif de cette étude consistait à déterminer dans quelle mesure des changements dans la taille du groupe influencent la sélection des ressources à plusieurs échelles spatiotemporelles chez le bison des plaines (Bison bison bison) du parc national de Prince Albert, Saskatchewan. Nous avons évalué la sélection de l'habitat à trois échelles spatiales au cours de l'été 2005 et de l'hiver 2006. Nos résultats ont révélé que la répartition spatiale du bison à chacune des échelles spatiales était influencée à la fois par des facteurs abiotiques (e.g., route, couvert de neige, pente) et biotiques (e.g., biomasse et espèce végétale), et que l'effet de ces facteurs variait en fonction de l'abondance des individus. Notre étude suggère que la sélection de l'habitat par le bison des plaines est un processus influencé par les compromis entre l'acquisition des ressources de haute qualité, les coûts associés aux déplacements et le risque de prédation, et ce, à différentes échelles spatiales. De plus, les résultats mettent en évidence que la nature de ces compromis change en fonction de la taille du groupe. / This study had for objective to evaluate whether habitat selection by plains bison (Bison bison bison) in Prince Albert National Park (Saskatchewan) was influenced by group size at multiple spatio-temporal scales. We evaluated habitat selection at three spatial distinct scales during summer 2005 and winter 2006. Our results revealed that both abiotic (e.g., road, snow cover, slope) and biotic (e.g., biomass of plants, plant species) factors influenced the spatial distribution of bison at each of the three spatial scales, and that the effects of these factors on resource selection changed with the abundance of individuals. Our study suggests that pattern of habitat selection by bison is affected by trade-offs between the intake of high-quality resources, movement costs and predation risk at different spatial scales. Moreover, our results showed that the nature of the trade-offs varies with group size.

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