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Deuil et co-création dans l'œuvre de Denise DesautelsBelanger, Alisa January 2004 (has links)
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Deuil et co-création dans l'œuvre de Denise DesautelsBelanger, Alisa January 2004 (has links)
This thesis analyzes the relationship between collaboration and learning to cope with grief in Denise Desautels' poetic works. It shows that this writing strategy influences the representation of mourning and contributes to the learning process, which is characterized by a constant oscillation between opposing poles, such as life and death, the past and present, the self and other, the private and public realms, as well as art and writing. The thesis further demonstrates that Desautels' development of an interdisciplinary approach gives rise to a community of the bereaving and enables the poetic subject to distance herself from melancholy in order to foster a new aim toward happiness. It concludes that the mourning process never reaches completion, but is constantly renegotiated.
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ouvrir fermer / les portes Suivi de Les pouvoirs mémoriels de l'objet dans Le saut de l'ange de Denise DesautelsCaillé, Anne-Renée 04 1900 (has links)
[O]uvrir fermer / les portes, la première partie de ce mémoire, est un projet de poésie, divisé en cinq sections, qui allie le vers libre et la prose. Le sujet poétique essaie d'animer et de ranimer son "récit", son "histoire", entre autres par le rappel fragmentaire d'événements ou de lieux, la redite de paroles déjà échangées et, par l'adresse et l'apostrophe rétroactives. Derrière une énonciation piétinante, une tendance à la répétition, derrière une rythmique à la fois fuyante et brisée se trouve un questionnement: que dire et comment le dire? Que nommer et comment le nommer? Si le ton du projet est lyrique et intimiste, il veut aussi chercher à se positionner face aux variations existantes du lyrisme. La seconde partie, Les pouvoirs mémoriels de l'objet dans Le saut de l'ange de Denise Desautels, est un essai qui s'intéresse aux rapports auratiques et mémoriels (G. Didi-Huberman) entre l'écriture et les objets d'art (six sculptures de la série Island de Martha Townsend) qui accompagnent le recueil Le saut de l'ange de la poète québécoise Denise Desautels. / [O]uvrir fermer / les portes, the first part of this M.A. Thesis is a poetic project, divided in five sections, that combine free verse and poetic prose. The poetic subject tries to animate and reanimate fragments of her "story" by recalling memories of events or places, by repeating past conversations or by retroactively addressing thoughts. Behind a repetitive voice and behind a rythm that is at once fast or broken, we can find a reflexion: what and how can we say? What and how can we name? While the project's tone is lyrical and intimist, ouvrir fermer / les portes tries to take position facing the multiple variations of lyrism. The second part, the essay Les pouvoirs mémoriels de l'objet dans Le saut de l'ange de Denise Desautels, studies "auratic" and memorial (G. Didi-Huberman) connections between writing and the works of art (six sculptures of Island from artist Martha Townsend) that accompany the collection Le saut de l'ange by Quebec poet Denise Desautels.
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ouvrir fermer / les portes Suivi de Les pouvoirs mémoriels de l'objet dans Le saut de l'ange de Denise DesautelsCaillé, Anne-Renée 04 1900 (has links)
[O]uvrir fermer / les portes, la première partie de ce mémoire, est un projet de poésie, divisé en cinq sections, qui allie le vers libre et la prose. Le sujet poétique essaie d'animer et de ranimer son "récit", son "histoire", entre autres par le rappel fragmentaire d'événements ou de lieux, la redite de paroles déjà échangées et, par l'adresse et l'apostrophe rétroactives. Derrière une énonciation piétinante, une tendance à la répétition, derrière une rythmique à la fois fuyante et brisée se trouve un questionnement: que dire et comment le dire? Que nommer et comment le nommer? Si le ton du projet est lyrique et intimiste, il veut aussi chercher à se positionner face aux variations existantes du lyrisme. La seconde partie, Les pouvoirs mémoriels de l'objet dans Le saut de l'ange de Denise Desautels, est un essai qui s'intéresse aux rapports auratiques et mémoriels (G. Didi-Huberman) entre l'écriture et les objets d'art (six sculptures de la série Island de Martha Townsend) qui accompagnent le recueil Le saut de l'ange de la poète québécoise Denise Desautels. / [O]uvrir fermer / les portes, the first part of this M.A. Thesis is a poetic project, divided in five sections, that combine free verse and poetic prose. The poetic subject tries to animate and reanimate fragments of her "story" by recalling memories of events or places, by repeating past conversations or by retroactively addressing thoughts. Behind a repetitive voice and behind a rythm that is at once fast or broken, we can find a reflexion: what and how can we say? What and how can we name? While the project's tone is lyrical and intimist, ouvrir fermer / les portes tries to take position facing the multiple variations of lyrism. The second part, the essay Les pouvoirs mémoriels de l'objet dans Le saut de l'ange de Denise Desautels, studies "auratic" and memorial (G. Didi-Huberman) connections between writing and the works of art (six sculptures of Island from artist Martha Townsend) that accompany the collection Le saut de l'ange by Quebec poet Denise Desautels.
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.Lamontagne, Lydia 11 January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.Lamontagne, Lydia 11 January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.
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Posthumes, inventaire ; suivi de, Fragments et photos exhumés du garde-robe, un archivageFortin, Anne-Marie 05 1900 (has links) (PDF)
Composé de deux parties, le mémoire « Posthumes. Inventaire » suivi de « Fragments et photos exhumés du garde-robe, un archivage » s'intéresse à la consignation de souvenirs d'enfance rattachés à un événement traumatique. Il cherche à saisir de quelle façon un adulte arrive à consigner sa mémoire lorsque, dans l'enfance, on l'a tenu à l'écart d'un événement traumatisant. Dans un premier temps, la partie de création du mémoire offre, sous forme de fragments, une accumulation de souvenirs qui, à l'image d'un album photos, dresse le portrait d'une enfance marquée par le suicide d'un proche. À travers les souvenirs relatés, la narratrice retrouve et expose des lieux et des situations de son enfance dont le sens est teinté par le suicide de la conjointe de son père. La seconde partie, quant à elle, est constituée d'un dossier d'accompagnement offrant un éclairage théorique sur l'œuvre de création. Dans cette partie, l'auteure présente et explique sa démarche de création, tant sur le plan de la forme que de la méthode de travail, tout en définissant les diverses influences et réflexions qui ont mené à la rédaction du mémoire de création.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Souvenirs, mémoire, enfance, suicide, traumatisme, filiation, fragments, perte, famille, deuil, Louise Bourgeois, Mélanie Gélinas, Denise Desautels.
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.Lamontagne, Lydia 11 January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.Lamontagne, Lydia January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.
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