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How does what's bred in the bone come out in the flesh? : Devora Neumark's interventions and the concept of fleshKiriloff, Vera. January 2005 (has links)
This thesis examines seven of Devora Neumark's artistic interventions that activate an embodied transfer or continuity of knowledge. I am inspired by phenomenologist Maurice Merleau-Ponty's notion of "the flesh of the world," that is the element enabling a reversibility between subject and object, specifically with regard to the body. Neumark draws from a repertoire of her everyday activities like crocheting or peeling beets to make a stew. She resituates the activity from one which is traditionally practiced in the private sphere of the home, often undervalued, to one which critically engages passersby in various urban settings. I study the repetitive capacities of these everyday activities, how they are negotiated in the public sphere, and how they remain (re)productively in the flesh through body-to-body transmission. Flesh becomes the operative concept in this thesis and activates a phenomenology in Neumark's interventions that goes beyond Merleau-Ponty's and which engages with both aesthetic and socio-political questions.
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How does what's bred in the bone come out in the flesh? : Devora Neumark's interventions and the concept of fleshKiriloff, Vera. January 2005 (has links)
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L'art actuel québécois et la vie quotidienne, trois études de cas : BGL, Jean-François Prost et Devora NeumarkHudon-Laroche, Annie January 2008 (has links) (PDF)
Le mémoire qui suit porte sur les relations entre l'art actuel québécois et la vie quotidienne. Nous cherchons à étudier plus particulièrement les modes d'appréhension de la vie quotidienne des pratiques artistiques de BGL, de Jean-François Prost et de Devora Neumark. La proximité de ces pratiques avec l'espace quotidien engendre une modification des paramètres traditionnels, non seulement de création mais également, de réception des oeuvres et des interventions. Ces dernières misent sur l'exploration de
l' « indécidabilité », de la mouvance et des « entre-deux » pour engendrer des manières inédites d'envisager l'espace quotidien. Leurs oeuvres et leurs interventions créent des rapprochements et des mises à distance, par rapport à la vie quotidienne, qui remettent en question la vision homogénéisée et standardisée du monde contemporain. Nous étudierons, dans un premier temps, le contexte de création des oeuvres et des interventions, nous mettrons l'accent sur
« l'expérience sociale du quotidien ». Deux caractéristiques prédominantes du monde contemporain, l'excès et le paradoxe, nous permettront, par la suite, d'analyser les transformations de ce dernier. Nous étudierons la façon dont les artistes actuels investissent l'espace quotidien au moyen de tactiques. Ces
« manières de faire » mettent l'accent sur la mobilité en se jouant des frontières et de la rigidité des normes sociales. Les tactiques artistiques permettent à BGL, à Prost et à Neumark d'appréhender la vie quotidienne de manière autre, d'une part, en explorant et en activant des «mi-lieux» et d'autre part, en adoptant une posture artistique similaire à celle de la figure théorique du nomade. Ensuite, les études de cas seront analysées en fonction des notions de rituel et de jeu. Ces notions, aux fondements de la
« socialité », nous permettront d'analyser de manière plus spécifique les relations qui se tissent entre l'individu et le collectif lors des pratiques artistiques. Ces dernières permettent aux artistes d'instaurer des rapports ambigus à l'espace quotidien par le biais de « l'agir mimétique ». Enfin, à la lumière de ces études de cas, nous verrons que les oeuvres et les interventions contribuent à allier le corps physique et le corps social, en générant des relations qui sont autant locales que globales. Les oeuvres et les interventions touchent ainsi le récepteur par le biais de la médiation corporelle, tout en s'inscrivant dans le réseau de pensée qu'est « l'écologie cognitive ». Les agencements, créés par les relations esthétiques, contribuent également à rapprocher les oeuvres et les interventions de questions d'ordre politique et éthique. Ainsi, les pratiques artistiques de BGL, de Jean-François Prost et de Devora Neumark constituent des points de rencontres éphémères autant poétiques, qu'effectifs qui, en privilégiant l'altérité, esquissent les traits d'une communauté ouverte et plurielle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art actuel, Art québécois, BGL, Jean-François Prost, SYN, Devora Neumark, Mouvance, Altérité, Communauté, Vie quotidienne.
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La relation comme espace de négociation entre soi et l'autre : étude des pratiques relationnellesLeblanc, Véronique January 2009 (has links) (PDF)
À partir de l'observation de pratiques artistiques relationnelles, ce mémoire vise à la fois à identifier la relation comme un enjeu majeur de l'art actuel et à la définir comme concept opératoire pour l'analyse critique de ces pratiques en fonction de leur spécificité. Cette recherche est fondée sur la réévaluation de deux cadres conceptuels: d'une part, la théorie esthétique développée par Nicolas Bourriaud dans l'Esthétique relationnelle (1998) et, d'autre part, la problématique de l'in situ, qui est considérée comme un ancrage historique pour l'analyse des pratiques relationnelles. Proposant de revenir au fondement de la relation pour la définir comme espace de négociation entre soi et l'autre, cette étude permet de considérer les pratiques relationnelles en dehors de l'emprise conceptuelle exercée par l'Esthétique relationnelle de Nicolas Bourriaud. Elle propose également, à partir d'une conception anthropologique de la relation, de dépasser une analyse des pratiques relationnelles qui a souvent été effectuée en fonction de la notion d'in situ en histoire de l'art, en insistant sur la nécessité de considérer qu'un glissement s'opère, du site à la relation, quant à l'ancrage de l'art dans le champ social. La contribution de ce mémoire est de pointer la nature conflictuelle de la relation comme fondement d'une analyse critique des pratiques relationnelles, à partir d'exemples qui explorent la relation comme expérience vécue, en fonction de son altérité et de son effectivité. Cette recherche s'appuie sur cinq études de cas, afin de montrer qu'envisager la relation comme espace de négociation fait émerger de nouvelles questions, directement liées à la rencontre entre des individus. Par l'exploration de la relation à partir d'une reconnaissance de sa dimension hétérogène et conflictuelle, les pratiques de Devora Neumark, de Raphaëlle de Groot, de David Dupont, d'ATSA et d'Artur Zmijewski, sont étudiées dans la mesure où elles mettent en oeuvre des situations d'altérité qui contribuent à redéfinir la notion d'identité et à repenser l'idée de communauté en plus d'être investies d'une dimension intrinsèquement politique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art relationnel, Art d'intervention, In situ, Artur Zmijewski, Action terroriste socialement acceptable (ATSA), David Dupont, Devora Neumark, Raphaëlle de Groot.
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