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L'esthétique relationnelle : une étude de cas : les actions artistiques de Sylvie Cotton

Fullum-Locat, Geneviève January 2007 (has links) (PDF)
Cette recherche propose une enquête sur cinq oeuvres de Sylvie Cotton réalisées à Montréal entre 1998 et 2006. Cette recherche démontre que ces dernières relèvent de la théorie de l'« esthétique relationnelle », une pratique artistique en arts visuels où la rencontre fait office d'oeuvre; théorie formulée en 1998 par le théoricien de l'art Nicolas Bourriaud et rééditée en 2002 dans l'ouvrage Esthétique relationnelle. Cette enquête met de l'avant le thème de la communauté dans trois actions artistiques et, le thème de la relation interpersonnelle, dans deux autres. Elle définit, pour chacune des cinq actions, le « modèle de socialité » en relevant les notions de collaboration et de proximité. Pour ce faire, elle exhibe le caractère social et communicatif de la rencontre entre l'artiste et le participant comme faisant indéniablement partie du tissu de l'oeuvre. Elle relève les attraits tactiles et kinesthésiques de la rencontre. De plus, cette recherche établit un rapprochement entre l'art et la vie comme principe fondamental du processus artistique en démontrant comment s'opère le modelage de l'oeuvre par l'entremise du participant. Cette recherche fut élaborée par une enquête exhaustive recueillant le témoignage de l'artiste, son intention, et celui de 16 participants. Nous les avons interrogés sur la façon dont ceux-ci on perçu leur collaboration et proximité au projet artistique. Ce travail d'enquête demeure la trace conservée de ces actions qui, sans ça, seraient vouées à l'oubli à cause de leur caractère éphémère. En définitive, cette recherche démontre que le caractère participatif de l'oeuvre constitue le lien social par lequel se construit l'oeuvre. Ces expériences artistiques qui véhiculent le « modèle de socialité » émettent une limite envers l'élaboration d'une possible communauté, car celles-ci exigent la collaboration soutenue entre les participants et l'intention de l'artiste. Puisque ces actions laissent beaucoup de place à la spontanéité et à l'imprévu, l'intention initiale de l'artiste devient arbitraire dans le jeu des rencontres. En contrepartie, la relation interpersonnelle agit, elle, comme principe même du lien social car, c'est grâce à ce lien que l'oeuvre prend réellement forme. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sylvie Cotton, Esthétique relationnelle, Art et public.
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Les pratiques relationnelles au Québec reconsidérées en fonction des réseaux d'échanges : la ville contemporaine et l'économie

Gosselin-Turcotte, Gabrielle 01 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour objectif principal de reconsidérer les enjeux théoriques et pratiques de l'art relationnel en ciblant la question de la relation et en l'analysant en lien avec les réseaux d'échanges à la base de la société contemporaine : l'espace de la ville et l'espace de l'économie. Dans un premier temps, nous abordons des pratiques qui réintroduisent des situations d'échanges conviviales et engagées dans la ville contemporaine. Ce faisant, les artistes problématiseraient la généralisation des transactions économiques et la solitude qui définissent l'expérience urbaine actuelle et permettraient l'ouverture d'espaces où le lien social serait (ré)activé. Dans un deuxième temps, nous analysons des œuvres qui reposent sur l'aménagement d'espaces interstitiels où sont testés de nouveaux usages de l'espace. En détournant ce qui définit la ville et en y réintégrant des situations d'échanges inédites, ces tactiques résisteraient à la spectacularisation de la ville surmoderne. Dans un troisième temps nous étudions un cas de figure unique où l'artiste s'immisce dans le réseau des relations économiques pour en subvertir le fonctionnement dans le but de pervertir et d'anticiper sa destruction. Plus encore, il s'agirait de réintroduire du dissensus et de l'indécidabilité dans l'espace de l'économie pour résister au consensus et à la surdétermination de l'expérience contemporaine. En définissant les pratiques relationnelles comme des tactiques de résistance, nous démontrons que les enjeux des œuvres se situent au-delà des principes d'utopie et de consensus auxquels Nicolas Bourriaud a rattaché toute la question de l'art relationnel. Nous contribuons également à clarifier ce que nous entendons par « art relationnel » au Québec. Notre étude se fonde sur l'analyse d'œuvres d'artistes québécois où s'exprime de manière particulièrement significative un rapport au réseau d'échanges comme le démontrent les œuvres de Devora Neumark, Massimo Guerrera, Rachel Echenberg, SYN, Jean-François Prost, Michel de Broin et Mathieu Beauséjour. Pour la plupart, ces artistes ont été considérés comme des exemples forts des pratiques relationnelles au Québec. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art au Québec, art relationnel, art et ville, art et économie, réseau d'échange, don, tactique, résistance.
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Fred Forest: catalogue raisonné (1963-2008)

Lassignardie, Isabelle 26 March 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse est une étude de l'œuvre de l'artiste Fred Forest à travers le catalogue raisonné de ses travaux réalisés entre 1963 à 2008. Il s'agit de saisir les divers aspects pratiques et théoriques déployés par l'artiste : dans le cadre d'un art dit sociologique prenant le quotidien et l'ordinaire comme matériau d'observation, terrains d'action et d'animation ; par la formulation d'une esthétique de la communication dont l'objectif est la mise en évidence des médiums et technologies employées ; dans l'usage des médias de masse et des moyens de communication et de diffusion de l'information comme supports des œuvres ; de l'événement et de la communication comme parties intégrantes de la démarche artistique ; à travers les notions de participation et d'implication des récepteurs dans les dispositifs des œuvres.
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La relation comme espace de négociation entre soi et l'autre : étude des pratiques relationnelles

Leblanc, Véronique January 2009 (has links) (PDF)
À partir de l'observation de pratiques artistiques relationnelles, ce mémoire vise à la fois à identifier la relation comme un enjeu majeur de l'art actuel et à la définir comme concept opératoire pour l'analyse critique de ces pratiques en fonction de leur spécificité. Cette recherche est fondée sur la réévaluation de deux cadres conceptuels: d'une part, la théorie esthétique développée par Nicolas Bourriaud dans l'Esthétique relationnelle (1998) et, d'autre part, la problématique de l'in situ, qui est considérée comme un ancrage historique pour l'analyse des pratiques relationnelles. Proposant de revenir au fondement de la relation pour la définir comme espace de négociation entre soi et l'autre, cette étude permet de considérer les pratiques relationnelles en dehors de l'emprise conceptuelle exercée par l'Esthétique relationnelle de Nicolas Bourriaud. Elle propose également, à partir d'une conception anthropologique de la relation, de dépasser une analyse des pratiques relationnelles qui a souvent été effectuée en fonction de la notion d'in situ en histoire de l'art, en insistant sur la nécessité de considérer qu'un glissement s'opère, du site à la relation, quant à l'ancrage de l'art dans le champ social. La contribution de ce mémoire est de pointer la nature conflictuelle de la relation comme fondement d'une analyse critique des pratiques relationnelles, à partir d'exemples qui explorent la relation comme expérience vécue, en fonction de son altérité et de son effectivité. Cette recherche s'appuie sur cinq études de cas, afin de montrer qu'envisager la relation comme espace de négociation fait émerger de nouvelles questions, directement liées à la rencontre entre des individus. Par l'exploration de la relation à partir d'une reconnaissance de sa dimension hétérogène et conflictuelle, les pratiques de Devora Neumark, de Raphaëlle de Groot, de David Dupont, d'ATSA et d'Artur Zmijewski, sont étudiées dans la mesure où elles mettent en oeuvre des situations d'altérité qui contribuent à redéfinir la notion d'identité et à repenser l'idée de communauté en plus d'être investies d'une dimension intrinsèquement politique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art relationnel, Art d'intervention, In situ, Artur Zmijewski, Action terroriste socialement acceptable (ATSA), David Dupont, Devora Neumark, Raphaëlle de Groot.
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Positions historiques de Fluxus : projets et objets artistiques à travers quelques études de cas

Seraiocco, Nadia January 2009 (has links) (PDF)
Cet essai s'inspire des diagrammes de Georges Maciunas et des corrélations qu'il a ainsi établies sur les filiations artistiques de Fluxus. Ces oeuvres, comme les entrevues que Maciunas a accordées aux médias, ont déterminé la perception que nous avons aujourd'hui de cette entité artistique. Nous référons donc à plusieurs endroits aux articles de journaux et aux entrevues parues dans la période où Maciunas était vivant, car ceux-ci viennent confirmer que Maciunas a proposé une certaine histoire de Fluxus et qu'elle a été adoptée. Nous questionnerons donc certains acquis au sujet de Fluxus, dont l'idée que ces artistes étaient des « misfits » dans leur époque. Nous revisitons l'histoire du XXe siècle, inspirés par les liens que Maciunas effectue dans ses diagrammes. Puis, nous mettons en contexte les théories des contemporains de Fluxus, comme celles des historiens et commentateur plus récents qui ont élaboré de nouvelles emprises, parfois relationnelles, parfois contextuelles, sur ces oeuvres au départ dites conceptuelles. En croisant les différentes sources aux oeuvres de Fluxus, il se dégage un portrait de ce regroupement d'artistes qui fait ressortir leur attachement à l'avant-garde artistique du XXe siècle tout comme l'influence qu'ils ont eue sur l'évolution de l'art conceptuel, puis de l'art relationnel et contextuel. Nous en concluons que Fluxus s'est imposé comme façon de faire et continue aujourd'hui à nourrir la réflexion sur ce qu'est l'art. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Fluxus, George Maciunas, Yoko Ono, Avant-garde, Art conceptuel, Art relationnel, Art contextuel, Art du XXe siècle.
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Palais de Tokyo – Monument der moderne kunstpolitik und ästhetik im 20. und 21. Jahrhundert / Palais de Tokyo – Monument of Modernity Art Politics and Aesthetics in the 20th and 21st centuries

Fellmann, Benjamin 09 December 2016 (has links)
Projeté pour des musées nationaux et municipaux d’art moderne à l’occasion de l’exposition universelle de 1937, le Palais de Tokyo à Paris est aujourd’hui un centre d’art contemporain international, connu aussi en lien à l’esthétique relationnelle proposée par son cofondateur (avec Jérôme Sans) Nicolas Bourriaud. Une étude de sa genèse jusqu'au site contemporain manquait jusqu’alors. En se fondant sur des expositions centrales et des vastes matériaux d’archives de la politique et administration des Beaux-Arts, cette étude traite dans un premier temps des pensées et institutions l’occupant dès sa conception : MNAM (1937-1977), conception du Centre Pom-pidou, Musée d’Art et d’Essai (1977-1986), Institut des Hautes Études en Arts Plastiques (IHE-AP, 1988-1990) préfiguration d’Orsay, Maison de la Photographie (1984-1993), projet du Palais des Images/Palais du Cinéma (1984-1998, avec Cinémathèque, FÉMIS, BIFI), puis Site de créa-tion contemporaine (2002-). Dans un deuxième temps nous présentons son rôle en tant que mo-nument de la pensée du rôle de l’art dans la société: Dès sa genèse dans le contexte d’un échan-ge international sur les musées modernes des années trente, jusqu’au débats contemporains d’une esthétique politique, notamment de l’art relationnel, du discours de l’art participatif, du « New Institutionalism » et l’esthétique philosophique. L'étude se propose aussi d'apporter une compréhension générale de la genèse de l’esthétique relationnelle et ses critiques principales. Le Palais de Tokyo est conçu comme monument, espace d’une mémoire sociale de l’art selon Aby Warburg et un cadre théorique s’appuyant sur Walter Benjamin, qui informe de son rôle décisif dans le développement de critères formels de la théorie sociale de l’art au 20ème et 21ème siècle. / Projected for national and municipal museums of modern art on the occasion of the 1937 world fair, the Palais de Tokyo in Paris today is an international centre of contemporary art, known, too, by virtue of relational aesthetics brought forward by its co-founder (with Jérôme Sans) Nicolas Bourriaud. A monographic study of its genesis up to the contemporary site was yet mis-sing. This study examines the thought and projects that occupied it, based on central exhibitions and vast materials from the archives of cultural politics and arts administration: National Muse-um of Modern Art (1937-1977), the conception of the Centre Pompidou, Musée d’Art et d’Essai (1977-1986), Institut des Hautes Études en Arts Plastiques (IHEAP, 1988-1990), préfiguration d’Orsay, Maison de la Photographie (1984-1993), a project for Palais des Images/Palais du Ci-néma (1984-1998, with Cinémathèque, FÉMIS, BIFI), Site de création contemporaine (2002-). The study also focuses on its role as monument of the thinking of art’s function in society, from the context of an international exchange on modern museums in the thirties, up to contemporary debates of political aesthetics, particularly of relational art, the discourse of participatory art, ‘New Institutionalism’ and philosophical aesthetics. The study also provides a global view on the genesis of relational aesthetics and its principal critiques. Thus, the Palais de Tokyo is consi-dered as monument, a space of social memory of art following Aby Warburg and a theoretical frame based on Walter Benjamin, informing on its crucial role in the development of formal criteria of theories of art’s social role in the 20th and 21st centuries.
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L’empreinte d’une expérience performative en littérature : le cas de Sophie Calle et de Miranda July

Guilmaine, Anne-Marie 12 1900 (has links)
Le présent mémoire propose de croiser les démarches de deux auteures et artistes contemporaines, Sophie Calle et Miranda July, dont les quatre œuvres à l’étude – Douleur exquise (2003), Aveugles (2011), Rachel, Monique (2012) de Calle et Il vous choisit (2013) de July – se fondent sur des expériences en amont de l’écriture qui mobilisent le corps même des auteures, les engagent dans une action concrète et, bien souvent, dans des interactions avec autrui. Cet art de la contrainte, cet art action qui devient le sédiment de leurs écrits s’inscrit dans la filiation hypothétique des théories du philosophe pragmatique John Dewey et de celles de l’artiste Allan Kaprow – l’un des premiers à réfléchir l’art de la performance. L’écriture intermédiale qu’elles pratiquent – ce jeu de relations entre différents médias au sein même de l’œuvre – permet à la fois de réactiver la valeur performative de l’expérience qui a impulsé la création littéraire et d’embrayer une expérience de lecture qui devient elle-même performative. Exemplaires d’une esthétique relationnelle, polyphoniques dans les voix qui s’expriment, les quatre ouvrages du corpus donnent à sentir le bruissement d’une communauté. Il s’agit d’une littérature interdisciplinaire et intersubjective, mais surtout performative dans son questionnement incessant sur le pouvoir de l’art pour transformer la vie. / This master’s thesis proposes to establish a dialogue between the practices of two contemporary writers and artists, Sophie Calle and Miranda July. The four studied pieces of work – Calle’s Douleur exquise (2003), Aveugles (2011) and Rachel, Monique (2012) and July’s Il vous choisit (2013) – are based on concrete experiences occurring beforehand, prior to the act of writing itself. Those experiences mobilize the body of the writers engaging them in a real action and often in interactions with other people. This form of action art becomes the foundations of their writing and could be linked to the theories of pragmatic philosopher John Dewey and artist Allan Kaprow – one of the first to develop a reflexion on performance art. The intermedial writing that Calle and July practice as a game of relations between different medias in the same work allows both artists to revive the performative value of the experience. It impulses the writing and initiates a reading experience which itself becomes performative. Exemplary of a relational aesthetic, polyphonic in the voices that are expressed, the studied body of work reveals glimpses of community to feel and experiment. It is a literature that is interdisciplinary and intersubjective but primarily performative in its constant questioning of art’s capacity to transform life.

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