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Facteurs associés à l’aveu d’agresseurs sexuels lors d’entrevues d’enquête

Girard, Samuel 10 1900 (has links)
À ce jour, peu est encore connu sur les facteurs individuels, délictuels et situationnels permettant de prédire l’aveu d’agresseurs sexuels. Ceci pose particulièrement problème sachant que leur taux d’aveu est plus faible que les auteurs d’autres crimes et que cet aveu constitue souvent la seule preuve de culpabilité à leur égard. Une étude de cas-témoins a été privilégiée afin (1) d’identifier les facteurs associés à l’aveu et (2) d’en établir un modèle multivarié permettant de mieux comprendre la passation à l’aveu d’agresseurs sexuels en contexte d’entrevue d’enquête. Soixante-dix-huit hommes adultes ayant été reconnu coupables d’agression sexuelle ont été recrutés au Centre régional de réception, un établissement correctionnel fédéral situé au Québec (Canada), et divisés en deux groupes (c.-à-d. confesseurs vs non-confesseurs). Les résultats obtenus sont les premiers à mettre en valeur l’apport que peuvent avoir les facteurs situationnels relatifs à l’enquête (p. ex. type de preuve, consultation d’un avocat, cadre physique de l’interrogatoire) dans l’aveu d’agresseurs sexuels spécifiquement. Les résultats appuient également le fait qu'une approche intégrée de l'aveu, c’est-à-dire qui tiendrait à la fois compte des facteurs individuels, délictuels et situationnels, est à favoriser afin de mieux comprendre ce qui pousse les auteurs d'agressions sexuelles à avouer en contexte d'entrevue d'enquête. Les modèles de régression obtenus et leurs facteurs explicatifs seront discutés en lien avec leur incidence sur les pratiques policières en contexte d’entrevue d’enquête. / Much is still yet unknown of individual, offense and situational factors allowing to predict sexual offenders’ confession to their crime. This is particularly worrying given that sexual offenders’ confession rate is lower compared to other type of offenders and that their confession is often the sole evidence available. A case-control study was chosen to (1) identify factors associated to confession, and (2) elaborate a multivariate model helping to better understand sexual offenders’ decision to confess during an investigative interview. Seventy-eight adult males convicted of sexual aggression were recruited at the Regional Reception Centre, a federal correctional facility located in Quebec (Canada), and divided into two groups (i.e. confessors vs non-confessors). The obtained results were the first to highlight the contribution of situational factors pertaining to the investigation (e.g. type of evidence, consultation of a lawyer, setting of the interrogation room) in sex offenders’ confession specifically. The results also support an integrative approach to confession that would take into account individual, offense and situational factors in order to better understand what makes sexual offenders confess in an investigative interview. The regression models and the predictor variables within them are further discussed in relation to their implications for police practices in the interrogation room.
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Effet des chiens de soutien sur la réticence, le stress et la fatigue/inattention des enfants qui divulguent une agression sexuelle ou physique lors d’une entrevue d’enquête policière

Côté, Élie 03 1900 (has links)
Thèse de doctorat présentée en vue de l'obtention du doctorat en psychologie - recherche intervention, option psychologie clinique (Ph.D.) / La présence de chiens de soutien lors d’entrevues d’enquête policière a connu un grand engouement au Canada où il est de plus en plus fréquent de voir des chiens accompagner des enfants victimes d’actes criminels. Bien que cet ajout fasse l’objet d’un capital de sympathie certain, les effets de leur utilisation dans ce contexte sont peu connus et il apparaît important d’évaluer davantage les impacts de cet accompagnement afin de s’assurer que le chien favorise bel et bien la collaboration des enfants et améliore leur expérience de l’entrevue d’enquête. Ainsi, l’objectif de cette thèse est d’examiner l’effet des chiens de soutien sur le stress, la fatigue et l’inattention, et la réticence des enfants à divulguer une agression sexuelle (AS) ou physique (AP) lors d’une entrevue d’enquête policière. Le premier article emploie un devis de recherche quasi-expérimental avec groupe contrôle afin d’examiner l’effet de la présence d’un chien de soutien et des interactions avec celui-ci sur la réticence des enfants rencontrés en entrevue d’enquête policière, en contrôlant pour l’effet potentiel du soutien de l’enquêteur et de l’âge de l’enfant sur la réticence. Quatre- vingt-onze entrevues d’enquête effectuées auprès d’enfants âgés de 3 à 15 ans faisant la divulgation d’une AS ou d’une AP ont été transcrites et codifiées avec des mesures observationnelles des comportements de l’enfant et du chien, notamment la réticence, les commentaires au sujet du chien et les contacts physiques avec ce dernier. Parmi celles-ci, 46 entrevues se sont déroulées en présence d’un chien de soutien et 45 se sont déroulées sans chien. Les résultats ne révèlent pas de différence significative entre les deux groupes quant au total de comportements de réticence, bien que les enfants accompagnés d’un chien manifestent significativement plus de digression (introduction de propos hors sujet à la conversation lorsque l’enquêteur questionne l’enfant sur les événements faisant l’objet de l’enquête). De plus, les enfants qui interagissent plus fréquemment avec le chien et qui formulent plus de commentaires à son sujet manifestent plus de signes de réticence, et ce, même lorsque la relation est contrôlée pour le soutien offert par l’enquêteur. Aucun lien n’est observé entre la durée totale d’interaction physique entre l’enfant et le chien et la réticence. Le deuxième article examine l’effet de la présence d’un chien de soutien et des interactions avec celui-ci sur le stress et la fatigue/inattention des enfants lors de l’entrevue d’enquête. Pour ce faire, le devis de recherche et la méthodologie utilisée sont les mêmes que le ceux du premier article. Les résultats ne montrent pas de différence significative entre les enfants accompagnés d’un chien et ceux non accompagnés quant aux manifestations de stress et de fatigue/inattention. Parmi le groupe d’enfants avec chien, le risque que les enfants manifestent du stress est significativement plus grand lorsque la fréquence des verbalisations liées au chien et la durée des interactions physiques augmentent. De plus, le risque que les enfants manifestent des signes de fatigue ou d’inattention est significativement plus grand lorsque la fréquence des verbalisations liées au chien et la fréquence des interactions physiques augmentent. Les résultats des deux études permettent de nuancer l’hypothèse selon laquelle la présence d’un chien favoriserait l’attention et susciterait moins de stress et de réticence chez des enfants lorsqu’ils sont rencontrés en entrevue d’enquête. Les articles qui composent cette thèse sont novateurs puisqu’ils sont les premiers à évaluer l’effet des chiens de soutien sur les verbalisations de réticence, d’anxiété, de la fatigue et l’inattention des enfants à l’aide d’une mesure observationnelle rigoureuse. Les contributions cliniques, théoriques et empiriques de la thèse sont discutées selon les résultats des deux articles. Les forces et limites des études et les avenues de recherche futures sont mises en évidence. Étant donné le peu d’effet observé des chiens de soutien dans cette thèse sur les comportements de l’enfant, il apparaît prématuré d’énoncer des recommandations cliniques. Il en ressort l’importance de mieux documenter les effets des chiens comme mesure de soutien aux enfants pendant l’entrevue d’enquête afin de s’assurer que cet outil est aidant et adapté au contexte. / Using emotional support dogs during police investigative interviews is a recent practice in Canada where it is more frequent to see facility dogs accompany child victims of criminal acts. While this intervention is decidedly an indicator of sympathy capital, its effects in this context are relatively unknown and it is important to further examine the impact of facility dogs in order to make sure that it’s use increases children’s collaboration and improves their experience of police investigative interviews. Thus, the objective of this thesis is to examine the effect of the presence of a facility dog, as well as dog-child interactions, on children disclosing a sexual (SA) or physical abuse (PA) during police investigative interviews. The first article examines the effect of the presence of and interactions with a facility dog on children’s reluctance during police investigative interviews, while considering the potential effect of investigator support. Ninety-one investigative interviews conducted with children aged 3 to 15 years disclosing a SA or PA were transcribed and coded for using observational measures of child and dog behavior. Among interviews, 46 were conducted in the presence of a facility dog while 45 interviews were conducted without a dog. Results reveal no significant group differences in terms of children’s overall reluctance, though the children accompanied by a dog showed significantly more digressions (introduction of off-topic remarks in the interview when the interviewer asks the child about the events under investigation). Children who interacted with the dog more frequently and who made more comments about the dog showed more signs of reluctance, even after accounting for investigator support. No link was observed between reluctance and the total duration of dog-child physical interactions. The second article examines the effect of the presence of and interactions with a facility dog on children’s stress, and fatigue/inattention during police investigative interviews. To do so, the same method used outlined in the first article was used. Results show no significant difference in children’s stress and fatigue/inattention as a function of the dog’s presence. Among children accompanied by a dog, the odds of children expressing signs of stress were significantly greater when the frequency of verbal interactions and the duration of physical interactions with the dog increased. Regarding child fatigue and inattention, the odds of children expressing signs of fatigue/inattention were significantly greater when the frequency of verbalizations related to the dog and of physical interaction increased. Practical and empirical contribution of the thesis will be discussed according to the results of the articles. Results of this thesis aim to ensure that emotional support measures employed during legal proceedings are useful, adapted and supported by evidence. Moreover, the articles are the first to explore the effect of facility dogs on children's verbalizations of resistance, stress, fatigue/inattention using an observational measure. Studies’ strengths and methodological limitations are to be discussed. Concerning future directions, it remains important to further assess the effects of using dogs during investigative interviews with children. Ultimately, this knowledge will allow formulating recommendations as to the best support tools and optimal practices for investigators working with children suspected of being abused in order to promote their collaboration and improve their emotional experience during the investigative interview.
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Disclosure of Child Sexual Abuse : Impact of Interviewers’ Attitudes & Children's Collaboration during Forensic Interviews

Lewy, Jennifer 12 1900 (has links)
L’agression sexuelle (AS) commise envers les enfants est un sujet complexe à enquêter et les allégations reposent souvent exclusivement sur le témoignage de l’enfant. Cependant, même quand l’enfant divulgue une AS, il peut être réticent à révéler certains détails personnels et gênants de l’AS à un étranger. Étant donné qu’il n'est pas toujours possible d'obtenir le consentement de filmer et qu’il est relativement difficile de mesurer l’attitude non verbale de l’enfant et celui de l’enquêteur au cours des entrevues d’investigations, cette recherche a été novatrice dans sa création d’échelles verbales de telles attitudes. Afin de déterminer la corrélation de l’attitude des enquêteurs et la collaboration des enfants, 90 entrevues d’enfants âgés de 4 à 13 ans ont été analysées. Les entrevues ont été enregistrées sur bande audio, transcrites et codifiées à l'aide des sous-échelles verbales d'attitudes soutenantes et non-soutenantes des enquêteurs ainsi que d’attitudes de résistance et de coopération de la part de l'enfant. La proportion des détails sur l’AS fournie par les enfants a également été calculée. Afin de comparer les entrevues avec et sans le protocole du National Institute of Child Health and Human Development (NICHD), une MANCOVA, contrôlant pour l’âge de l’enfant et la proportion de questions ouvertes, démontre tel qu’attendu que les entrevues avec le protocole obtiennent plus de détails fournis à la suite des questions ouvertes que les entrevues sans le protocole. Cependant, aucune différence ne ressort quant aux attitudes de l’enfant et celle de l’enquêteur. Afin de trouver le meilleur prédicteur de la quantité de détails dévoilés par les enfants, une analyse de régression multiple hiérarchique a été faite. Après avoir contrôlé pour l'âge de l’enfant, l’utilisation du protocole et la proportion de questions ouvertes, la résistance de l’enfant et l’attitude non-soutenante de l’enquêteur expliquent 28 % supplémentaire de la variance, tandis que la variance totale expliquée par le modèle est de 58%. De plus, afin de déterminer si la collaboration de l’enfant et l’attitude de l’enquêteur varient en fonction de l’âge des enfants, une MANOVA démontre que les enquêteurs se comportent similairement, quel que soit l'âge des enfants. Ceci, malgré le fait que les jeunes enfants sont généralement plus réticents et coopèrent significativement moins bien que les préadolescents. Finalement, une régression multiple hiérarchique démontre que le soutien de l'enquêteur est le meilleur prédicteur de la collaboration des enfants, au-delà des caractéristiques de l'enfant et de l’AS. Bien que l’utilisation du protocole NICHD ait permis des progrès considérables dans la manière d’interroger les enfants, augmentant la proportion de détails obtenus par des questions ouvertes/rappel libre et amplifiant la crédibilité du témoignage, l’adhésion au protocole n’est pas en soi suffisante pour convaincre des jeunes enfants de parler en détail d’une AS à un inconnu. Les résultats de cette thèse ont une valeur scientifique et contribuent à enrichir les connaissances théoriques sur les attitudes de l'enfant et de l'enquêteur exprimées lors des entrevues. Même si les enquêteurs de cette étude offrent plus de soutien aux enfants résistants, indépendamment de leur âge, pour promouvoir la divulgation détaillée de l’AS, de meilleures façons de contrer les attitudes de résistance exprimées par les jeunes enfants et une minimisation des attitudes non-soutenantes lors des entrevues sont nécessaires. / Child Sexual Abuse (CSA) is a complex subject to investigate and an alleged victim’s disclosure is crucial as it may be the only substantial evidence for investigators to establish their case. However, even when CSA is revealed, children may be reluctant to reveal personal and often embarrassing details to a stranger during a forensic interview. As it is not always possible to obtain consent to film and it is relatively hard to measure children’s and interviewers’ non-verbal attitudes during forensic interviews, this doctoral dissertation was innovative in its creation of verbal scales of such attitudes. In order to determine whether interviewers’ attitudes correlates with children’s collaboration during forensic interviews, 90 children ranging from 4 to 13 years of age were analysed. Interviews were audio taped, transcribed and then codified using verbal subscales of interviewers’ supportive and non-supportive attitudes as well as children's cooperative and reluctant attitudes. The proportion of details provided by the children in regards to the SA was calculated. To determine if differences exist between National Institute of Child Health and Human Development (NICHD) Protocol and Non-Protocol interviews, a MANCOVA was conducted controlling for children’s age and the proportion of open-ended questions. As expected Protocol interviews obtained significantly more details from open-ended prompts than Non-Protocol interviews. However, it showed no differences according to children’s and interviewer’s attitudes. To find the variable that has the greatest impact on the quantity of detail disclosed by children, a hierarchical multiple regression analysis was conducted. After controlling for children’s age, NICHD Protocol and proportion of open-ended questions which are known to increase the quantity of details disclosed; children’s reluctance and interviewers’ non-supportive attitudes contributed to an additional 28% of the variance, when the total variance explained by the model as a whole was 58%. Moreover, to determine whether children’s collaboration and interviewers’ attitudes vary according to the child’s age-group a MANOVA was conducted. It revealed that interviewers behaved similarly irrespective of children’s age, even though younger children were generally more reluctant and cooperated significantly less than pre-adolescents. Finally, to determine which variables regarding child and SA characteristics, as well as interviewers’ attitudes, will have a greater chance at predicting children’s collaboration, a hierarchical multiple regression analysis was conducted. It showed that an interviewer’s support was a stronger correlating variable than children’s and SA characteristics in predicting children’s collaboration. While we believe that the development of the NICHD Protocol has enabled considerable progress in the way children are interviewed leading to more details obtained from free recall strategies, and thus leading to more credible testimonies. However, adherence to the Protocol is simply not sufficient to convince young reluctant children to talk in details about the SA to a stranger. This dissertation results have great scientific value as it enhances the theoretical underpinnings of the attitudes expressed by both the child and the interviewer during forensic interviews. Although, interviewers in this study did offer more support to reluctant children, regardless of their age, researchers need to find better ways to deal with young children’s reluctance as well as encourage practitioners to minimize non-supportive attitudes.

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