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Suggested teacher's manual supplement for complete utilization of tapes to accompany Parler et lire : a creative projectGoslee, Glenn Paul January 1967 (has links)
There is no abstract available for this thesis.
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J. L. Guez de Balzac et la prose française : contribution à l'étude de la langue et du style pendant la première moitié du XVII⁻ siècle /Guillaumie, Gaston, January 1977 (has links)
Thèse--Lettres--Paris, 1926. / Titre de couv. : "Guez de Balzac" Reprod. en fac-sim. de l'éd. de Paris, A. Picard, 1927. Bibliogr. p. 521-547. Index.
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La préposition "chiés" en ancien français : étude diachronique et synchronique basée sur un corpus de textes littéraires datant des X, XI, XII et XIIIe siècles /Lagerqvist, Hans, January 1993 (has links)
Thèse--Departement de langues romanes--Uppsala, 1993.
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Porovnání výkonnosti nejvýznamnějších rodin a linií ŠCHK - MěníkKubištová, Barbora January 2016 (has links)
The purpose of this dissertation was the evaluation of the influence of families on exterior and performance features of their offspring and the evaluation of lines which function in aristocratic breeding in Měník. Acquired data were separated into three databases and processed in Statistics 12 Soft program, through Analysis of Dispersion ANOVA. For purpose of this dissertation were chosen 8 ongoing families and two most significant stallions 1028 Manillon Rouge and 2626 Sahib Kubišta of the recent times. The best results shows the oldest family No. 1 Lecha - the founder 68 Lecha with 52 represented evaluated mares. Also family No. 2 Forma shows very good and balanced results the founder Forma with 20 represented evaluated mares. Results confirm positively importance of conservation of families in breeding. Long term homogeneous families demonstrably confirm the influence on evaluation of exterior indicators KVH, OH and Ohol which directly relate with health and efficiency of evaluated horses. I deal with evaluation of the 1028 Manillon Rouge stallion's influence in the second database. I rate here concretely his offspring and its influence in individual families which are processed in the first database. The result of this database is highly statistical demonstrated effect of sex performance features PK a ZZV. In this case mares have positive influence on exterior and performance features. Mutual influence of the offspring of the father 1028 Manillon Rouge and rated families was not statistically proven. The third database evaluates and mutually compares 1028 Manillon Rouge's and 2626 Sahib Kubišta's daughters. In this database was demonstrated statistical stallion's influence on their daughters again. Results with the biggest difference were demonstrated in the performance features ZZV. Positive influence on its daughters was proven by a stallion 1028 Manillon Rouge. Thanks to these results we can this stallion 1028 Manillon Rouge call as an innovator of breeding.
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Les représentations sociales de l'écriture et le rapport à l'écriture en langue étrangère : une approche didactique pour l'enseignement et l'apprentissage de l'écrit en FLE en milieu universitaire australienGuillot, Blandine 29 October 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse examine les notions de représentations sociales et de rapport à l'écriture (Barré-De Miniac 2000), situées dans un contexte plurilingue. Le premier enjeu de la thèse est de réinvestir ces notions issues de la didactique du français langue maternelle (LM) dans le contexte plurilingue d'un programme de français dans une université en Australie. Le deuxième enjeu est d'analyser l'évolution de la capacité scripturale des apprenants de la deuxième année à la quatrième année de français et de comparer la description de leurs processus d'écriture en LM et en langue étrangère (LE). L'objectif est de saisir l'activité scripturale dans ses dimensions psychologique, sociale et cognitive. L'analyse du topic (Berthoud 1996) réalisée sur le corpus discursif des enseignants (à partir d'entretiens individuels) montre les limites de la notion de rapport à l'écriture dans un contexte plurilingue et a permis de dégager une notion centrale dans cette situation d'enseignement : le rapport à la langue étrangère apprise. L'analyse du topic réalisée sur le corpus discursif des apprenants (groupes de discussion) indique que leur travail d'écriture en LE commence par celui des idées, et que le passage à l'écriture en LE s'avère un moment privilégié de prise de conscience des phénomènes langagiers par le fait que cet instant d'écriture active la connaissance de deux ou plusieurs langues. Cette situation de transition entre les langues, rendue plus aiguë par l'écriture, est rapprochée de la zone prochaine de développement (ZPD) de la théorie socioculturelle de Vygotski dans la mesure où sont mises en évidence l'élaboration de stratégies d'apprentissage et l'intériorisation de la langue dans ce travail de négociation. La comparaison des procédures d'écriture en LE et celles en LM indique que l'attention porte sur des points différents d'écriture selon le niveau de l'apprenant. L'analyse des données scripturales se subdivise en trois parties. Premièrement, sont extraits des consignes rédactionnelles les aspects qui renforcent la littératie en LE par l'écrit. Deuxièmement, les productions écrites proposent une autre entrée sur le rapport à l'écriture des apprenants. Analysées à partir d'une approche basée sur la linguistique systémique fonctionnelle de M. K. Halliday pour déterminer l'investissement des scripteurs dans leurs productions, elles démontrent un investissement différent du scripteur selon son niveau de langue. Enfin, l'analyse des annotations des lecteurs évaluateurs établit la continuité des topics élaborés au niveau discursif dans le corpus scriptural, et met en évidence que les annotations appuient surtout le rapport à la langue. L'analyse des données orales et scripturales dans un contexte plurilingue a permis d'observer le rapport à l'écriture par la saisie de la continuité du topic sur l'ensemble du corpus et contribue à préciser théoriquement la notion utilisée dans un contexte universitaire plurilingue par la mise en évidence des notions telles que le rapport à la langue, le rapport à l'apprentissage, et celle de passage entre les langues.
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Ponctuation et syntaxe dans la langue française médiévale. Étude d'un corpus de chartes originales écrites à Liège entre 1236 et 1291Mazziotta, Nicolas 21 December 2007 (has links)
%%%Un résumé mis en forme disponible dans les fichiers joints%%%
Nous avons commencé par faire le pari que la syntaxe pouvait expliquer la majorité des signes de ponctuation. Cette optique nous a guidé durant toute notre étude, dont le but était de répondre à la question:
«Comment, d'après ce qu'on peut observer dans les chartes écrites en français à Liège avant 1292, la ponctuation originale interagit-elle avec la syntaxe dans la langue française médiévale?»
Nous avons d'emblée positionné notre étude par rapport à la réflexion sur la ponctuation médiévale, osant le pari que la syntaxe peut servir de point de référence pour expliquer la plus grande partie de la ponctuation des chartes. Nous avons ensuite décrit la constitution du corpus.
Face à une pareille question, il n'était pas envisageable de commencer
immédiatement à dépouiller les documents: il nous fallait définir avec exactitude les différents concepts dont nous allions avoir besoin.
*** Première partie: modélisation ***
La première partie du travail a ainsi été consacrée à la définition, sur des bases empiriques, des concepts mobilisés. Partant du sens commun et des principes fondamentaux de l'analyse linguistique classique (tenant du structuralisme et du
fonctionnalisme), nous avons exploité les matériaux à notre disposition pour en dégager des notions, dans une approche inductive par son rapport aux faits, mais déductive par sa progression.
Ainsi, au chapitre 2, l'observation du tracé des unités graphiques sur le parchemin nous a amené à abstraire les catégories nécessaires à une modélisation de l'ensemble des unités de la langue écrite, pour lesquelles
nous proposons une terminologie neuve reflétant notre analyse. Nous avons
progressivement défini _langue écrite_, puis _scriptèmes_,
_grammèmes_, etc., progressant des unités les plus générales aux unités les
plus particulières. Ce n'est qu'à ce prix que nous avons pu enfin délimiter
exactement, le moins intuitivement possible, notre propre acception du mot _ponctuation_: «ensemble des
ponctogrammes d'une langue écrite spécifique}. Dans cette définition, le terme _ponctogramme_ désigne une
unité minimale de la langue écrite (_scriptème_) n'organisant pas l'espace (_grammème_), exprimant un contenu (_plérégramme_), ne dépendant pas matériellement d'une autre
unité (_autogramme_), construit à l'aide de traits qui ne se combinent
pas obligatoirement sur un même axe (_nébulogramme_) et non paraphrasable par d'autres unités significatives... Employer ce terme ne pouvait se faire qu'à la fin d'un exposé détaillé, passant en revue tous les hyperonymes impliqués.
De manière moins audacieuse du point de vue de la terminologie employée, nous avons également tenté d'exposer notre conception de la syntaxe (chapitre 3). À nouveau, c'est le corpus qui nous a servi de guide: une fois les phrases délimitées de manière empirique, toutes les structures syntaxiques ont été passées en revue, nommées et intégrées dans un système théorique fondé sur la notion, héritée d'Alain Lemaréchal, de _relation minimale_. Nous sommes parti de l'existence d'un lien sémantique entre les unités en présence et nous
avons caractérisé la manière dont ce lien était _spécifié_.
Nous croyons, au delà de l'intérêt pratique de cette première partie, que les concepts dégagés peuvent être jugés suffisamment généraux sinon pour
servir à la comparaison d'autres systèmes graphiques ou syntaxiques, du moins afin de constituer une base à leur description.
*** Deuxième partie: analyse des données***
Une fois les concepts définis et l'ensemble du corpus annoté, il a été envisageable de répondre à la question posée. Néanmoins, l'ensemble des données disponibles, de par sa nature
et son abondance, rendait l'approche traditionnelle -- ou plutôt _manuelle_
-- difficilement applicable. C'est pourquoi nous avons ouvert la seconde partie du travail en annonçant le recours à des méthodes plus outillées: les statistiques (introduites au chapitre 4).
Ces méthodes présentées, nous avons sélectionné six caractéristiques
morphosyntaxiques et positionnelles que nous avons jugées fondamentales pour décrire tous les constituants. Ces variables répondaient à six
questions: 1/ du point de vue de l'ordre linéaire des mots, le constituant est-il le premier de la structure qu'il sert à construire? 2/ le constituant est-il le dernier de la structure qu'il sert à construire? 3/ quelle est la nature et le niveau d'intégration syntaxique de la structure qui le contient? 4/ quelle
est la fonction du constituant? 5/ est-il de nature propositionnelle (mode personnel ou non)? 6/ est-il relaté? Nous avons ensuite pu mettre en relation les réponses à ces questions et la simple présence de ponctuation de part et d'autre
des constituants, sans tenir compte, dans un premier temps, de la forme des
ponctogrammes.
Pour ce faire, nous avons essentiellement employé les techniques statistiques les plus classiques en sciences humaines: l'analyse des tableaux de contingence à l'aide
du test du chi². Après avoir évalué la relation entre chacune des six variables et la ponctuation, nous avons constaté l'inefficacité de la
méthode, ce qui nous a conduit à en rechercher une autre, permettant d'envisager simultanément toutes les variables morphosyntaxiques et positionnelles, en particulier. Ces nouveaux dépouillements nous ont permis de repérer, au milieu de la masse de constituants inégalement marqués par la présence d'un ponctogramme, ceux dont le marquage ou le rejet du marquage avait la plus faible probabilité d'être dû au hasard. Ce qui est ressorti de cette première étape, où les données étaient réduites à une représentation très abstraite, c'est une liste de points forts concernant:
- la différence de fréquence entre le marquage de la phrase et celui des autres propositions;
- la spécificité du marquage d'un certain nombre de types d'arguments;
- le rejet manifeste du marquage du prédicat;
- la faible fréquence de marquage à la suite des relateurs;
- la forte présence de marquage devant les coordonnants.
Nous avons ainsi pu observer que la ponctuation n'était pas obligatoire, mais que sa présence était certainement liée à un contexte syntaxique spécifique.
Ensuite, ces grandes lignes ont pu être inspectées de manière plus concrète: pour chaque tendance qui le justifiait, nous avons évalué la probabilité que l'attraction ou la répulsion observée soit généralisée. Nous avons adopté la position
pragmatique selon laquelle toute tendance suffisamment fréquente pouvait être considérée comme générale si le fait de retirer les chartes qui la manifestaient de manière significative de l'échantillon ne changeait pas significativement la
probabilité d'attraction.
Il en est ressorti que la plupart des tendances observées étaient générales ou trop faiblement illustrées pour être évaluées de ce point de vue.
Par ailleurs, nous avons essayé de mettre en relation la ponctuation avec le contexte immédiat, ce qui nous a laissé observer que beaucoup de constituants étaient davantage, voire exclusivement marqués au contact d'autres constituants attirant également le marquage ou dans un contexte de coordination.
Cet examen détaillé des tendances mises en évidence au chapitre 5 permet en fin de compte de faire le tri parmi les tendances et de repérer celles
qui sont manifestement dues à l'entourage du constituant ou au document dans lequel il est attesté. En observant plus intuitivement les attestations, nous avons également pu repérer, comme nous nous y attendions, un certain nombre de tendances liées à des facteurs étrangers à la morphosyntaxe: la ponctuation de formules spécifiques au type discursif, celle des chiffres ou encore la présence d'un ponctogramme
devant les noms de personnes.
En outre, l'examen du détail des attestations nous a amené à proposer des révisions concernant le modèle d'analyse morphosyntaxique présenté au chapitre 3: 1/ il conviendrait que soient pris en compte les lexèmes
employés; 2/ la notion de la coordination pourrait être étendue à des groupements de constituants que nous n'avons pas considérés comme coordonnés; 3/ il serait peut-être profitable de considérer les coordonnants de la même manière que les autres relateurs. D'autre part, nous avons insisté sur le fait que l'analyse des structures en syntaxe immédiate gagnerait à être moins abstraite.
De cette étude de la fréquence du marquage est ressorti un ensemble
d'environnements propices à la présence de ponctuation.
À ce moment, il nous a été possible de réintroduire les considérations portant sur la _forme_ des ponctogrammes et d'employer l'_Analyse Factorielle des Correspondances_ (AFC) pour décrire les données. Nous avons effectué un tri croisé pour mesurer les associations entre la forme des ponctogrammes et la tendance au
marquage spécifique à la position où se trouvait ce ponctogramme (ce qui
incluait l'absence d'environnement attirant le marquage). Après une analyse exploratoire, nous avons complété notre étude par une série de
tests évaluant la probabilité que les regroupements entre la forme des
ponctogrammes et l'environnement dans lequel on les rencontre soit due au
hasard. Dans la majorité des cas observés, les contrastes mis en évidence par l'AFC correspondaient à des oppositions significatives.
L'étude détaillée de la forme a mené à la conclusion suivante: les ponctogrammes autres que <·> sont plus rares, et leur emploi paraît plus spécifique à un environnement donné. En d'autres termes: non seulement les scribes ne ponctuaient pas n'importe où, mais, en plus, ils n'employaient pas indifféremment les signes.
Les méthodes ne permettant pas de traiter de manière efficace les ponctogrammes peu attestés, nous les avons simplement commentés, laissant de côté les statistiques pour une étude plus philologique. Ces observations ont mené, d'une part, à la critique de la validité de la transcription: 1/ certaines distinctions entre les formes sont
peut-être superflues; 2/ certaines unités peuvent être confondues avec d'autres. D'autre part, la forme des ponctogrammes pose la question de la relation entre les ponctogrammes et le reste du système graphique.
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L'EXPRESSION DE LA CAUSE : ETUDE COMPAREE APPLIQUEE A UN CORPUS TRILINGUE (ANGLAIS, ARABE, FRANCAIS) /SELLAMI BAKLOUTI, AKILA. LEJOSNE, JEAN CLAUDE.. January 1998 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : LINGUISTIQUE : Metz : 1998. / 1998METZ004L. 163 ref.
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Sage et son réseau lexical en ancien français des origines au XIIIème siècle /Brucker, Charles. January 1979 (has links)
Thesis--Université de Nancy II. / "Etude historique, sémantique, stylistique et comparative du vocabulaire intellectuel et moral." Includes indexes. Includes bibliographical references (p. 1315-1371).
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Concordance des temps de l’indicatif en français et son transfert en lituanien / Tiesioginės kalbos laikų derinimo perteikimas į lietuvių kalbą / Transformation of sequence of tenses of direct language to LithuanianBagdanavičius, Ramūnas 09 August 2011 (has links)
Dans le présent travail il s’agira du mode de l’indicatif français, notamment de la concordance des temps de l’indicatif et son transfert vers le lituanien. Donc, l’objectif de notre mémoire est l’étude du système de l’indicatif du français et son transfert en lituanien. / Mūsų darbo tikslas yra išstudijuoti prancūzų kalbos tiesioginę nuosakos laikus ir jų vertimą į lietuvių kalbą. Kalbant apie tiesioginę nuosaką reikėtų pasakyti, kad vien šios nuosakos formos jau gali išreikšti laiko sąvoką. Taip pat reikėtų paminėti, kad specifinis prancūzų kalbos gramatikos bruožas yra laikų derinimas. Laikų derinimu vadiname atitikmenį, kuris reikalingas atliekamų veiksmų suvokimui ir chronologijai, kurie egzistuoja sudėtiniame sakinyje išdėstant veiksmažodžių laikus tarp pagrindinio ir šalutinio sakinio. Norint suprasti, kaip veikia laikų derinimo mechanizmas, reikia stebėti, kaip keičiasi šalutinio sakinio veiksmažodžiai, kada pakinta pagrindinio sakinio veiksmažodžių laikas. Taip galima išskirti dabarties ir praeities veiksmažodžių laikų derinimo planus. Vis tik nereikėtų suprasti laikų derinimo tik kaip metodo, kai šalutinio sakinio laikų vartojimas priklauso nuo pagrindinio sakinio laikų vartojimo. Laikų derinimo sąvoka yra daug platesnė. Sakykim, derinant pasakojimo laikus, reikia atkreipti dėmesį ne tik į atitinkamo laiko plano laikų derinimą, bet ir į pasakojimo prasmę, į tai, ką norima pasakyti. / Dans le présent travail il s’agira du mode de l’indicatif français, notamment de la concordance des temps de l’indicatif et son transfert vers le lituanien. Donc, l’objectif de notre mémoire est l’étude du système de l’indicatif du français et son transfert en lituanien.
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Le Préfixe re- : Tantôt empli, tantôt rempli de sensSebbfolk, Annie January 2017 (has links)
The paper reviews the prefix re- as it appears in the French language today. As a widely recurrent morpheme with a significance that sometimes completely separates the verb from its base and other times seems almost indiscernible, its properties can be hard to grasp for the non-native learner. While focusing on verbs that lack the common meaning of iteration that the prefix re- usually entails, the paper identifies thirteen lexical definitions of prefixed verbs that reference the base verb as synonymous. Of these thirteen instances, the paper attempts to distinguish the different qualities of the two verb pairs sentir and ressentir, and emplir and remplir respectively, by conducting a series of pragmatic researches. It arrives to the conclusion that the prefix re- presents a difference, if not in sense then in register or actuality, largely dependent of its context. However, said difference is sometimes so subtle that certain contexts allow for the use of either verb.
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