• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 205
  • 15
  • 14
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 258
  • 146
  • 88
  • 55
  • 49
  • 47
  • 47
  • 43
  • 39
  • 39
  • 36
  • 34
  • 29
  • 26
  • 26
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Recherches sur le statut social du forgeron dans la littérature grecque (d'Homère à la fin de l'époque classique)

Berthiaume, Guy 11 April 2018 (has links)
Ce mémoire est constitué de deux parties de longueur inégale, que des raisons de présentation matérielle ont réunies. La première partie, qui est en fait le premier chapitre, répond à la question fort simple de savoir précisément quel artisan est désigné par le terme grec chalkeus, que l'on traduit traditionnellement par "forgeron". Le but de la seconde partie est de déterminer quelle v estime était réservée aux forgerons par la société grecque et d'identifier les autres membres du corps social qui se voyaient considérés de la même façon, c'est-à-dire qui partageaient la même position, le même statut, dans la hiérarchie de l'estime sociale. Nous avons utilisé, pour ce faire, l'appareil conceptuel mis au point par Roland Mousnier, tel qu'on le retrouve dans (D Les hiérarchies sociales de 1450 à nos jours . A ce sujet, quelques précisions peuvent être utiles au lecteur: on sait que la majeure partie de l'ouvrage en question est consacrée à l'élaboration d'une typologie et d'une classification des différentes sociétés dites d'ordres. Malgré l'intérêt que présente cette élaboration pour 1 'histoire sociale de l'antiquité, nous n'y avons guère puisé, car notre projet n'était pas de démontrer que la société grecque, à une époque donnée, correspondait à un des types dégagés par R. Mousnier. Ce que nous avons retenu de l'ouvrage, c'est la notion que dans toute société il existe différentes échelles de (4) stratification, dont l'une est l'échelle du statut social C'est donc dire que la société grecque, quel que soit le modèle avec lequel on choisit de l'étudier, société de classes, d'ordres, etc..., a connu une telle hiérarchie. C'est donc sans préjuger de l'importance de la hiérarchie du statut social par rapport aux autres échelles, économique, légale, etc..., que nous avons mené nos recherches. Deux facteurs font que 1'on ne trouvera pas, dans les quatre chapitres qui traitent du statut social, l'application de la même méthode à quatre reprises: tout d'abord le corpus de documentation lui-même, qui impose dans une large mesure les techniques d'enquête, et, en second lieu, l'état des connaissances, l'historiographie, qui permet de ne pas reprendre certaines démonstrations et qui en rend d'autres nécessaires. C'est pourquoi il nous a fallu répondre à des questions différentes dans chacun de nos chapitres. Ainsi, à propos de la société homérique, nous avons tenté de voir s'il existait un seul statut pour tous les démiurges et si le chalkeus, qui n'est pas expressément nommé démiurge, partageait l'estime attachée à ce statut. Les poèmes d'Hésiode ne nous permettant pas de nous livrer à une étude aussi systématique, nous avons essayé d'évaluer dans quelle mesure il y avait rupture entre l'attitude de notre poète à l'égard des métiers techniques et de leurs praticiens et celle d'"Homère". Dans la littérature du Ve siècle on retrouve peu d'allusions explicites aux métallurgistes, mais on sait qu'ils peuvent être appelés cheirônaktes (artisans) et qu'ils peuvent être comptés au nombre de ceux qui exercent un métier banausos (mécanique). L'étymologie du premier de ces termes contenant une nuance méliorative et le second étant employé en mauvaise part, il s'est agi de voir si cheironax avait gardé son sens originel, et ce que cette concurrence des appellations pouvait nous permettre de saisir de l'estime réservée aux artisans dans les deux aires géographiques (Athènes et l'Asie mineure) où on la retrouve. Enfin, pour le IVe siècle, la documentation nous a forcé à réduire notre étude à la société athénienne. Sachant qu'à cette époque le cas du forgeron est solidaire de celui de l'ensemble des artisans, nous nous sommes d'abord demandé dans quelle mesure il existait un statut d'artisan, différent de celui des paysans et des marchands. Ensuite, le mépris des philosophes pour les tâches mécaniques ayant déjà été analysé, nous avons cherché à savoir si ce mépris se retrouvait dans d'autres types de textes (plaidoyers et comédies) et, en dernier lieu, si le peuple partageait cette attitude de dédain. Ce sont donc les réponses à ces questions que l'on trouvera dans ce mémoire. Réponses toujours partielles et parfois conjecturales, que les textes littéraires permettent d'apporter. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
12

Les animaux dans l'économie d'Argilos, Grèce, du VIIe siècle au IVe siècle avant notre ère: une étude archéozoologique

Colangelo, Patrizio January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
13

Les gladiateurs dans l'Orient grec : particularismes locaux, environnement social et représentations / Gladiators in the Greek East : local particularities, social environment and representations

Ducros, Méryl 09 December 2017 (has links)
Les combats de gladiateurs sont les spectacles les mieux documentés du monde romain. Depuis l'ouvrage de Louis Robert (Les gladiateurs dans l'Orient Grec, Paris, 1940), qui rassemble un corpus épigraphique et iconographique très intéressant, aucune nouvelle synthèse n'a été proposée sur les gladiateurs en Orient, alors que les découvertes ont été très nombreuses, notamment en ce qui concerne les stèles funéraires. Le but de cette thèse sera de mettre en avent cette nouvelle pratique sociale apparue en Orient avec la conquête romaine à travers un catalogue de sources exhaustifs partant des travaux déjà effectués par Louis Robert, étoffés des découvertes postérieures afin d’établir une étude complète du phénomène. / This paper will aim to put forward new social practices emerged in the Oriental province especially in Greece and Asia Minor with the Roman conquest through a phenomenon common to all of the Empire: The gladiatorial combat. After a quick introduction about the gladiator fight’s origin and its importance in the Roman West, this reasoning will highlight the presence of gladiators through epigraphic corpus and varied iconographic and study the importance of gladiatorial evidence in this geographical area, and finally analyse the consequences of gladiator fights’ introduction for the people of these regions of the empire. Those modifications are the result of a deliberate regional policy introduced by the Roman authorities in connection with the imperial cult.
14

Les représentations de la forêt en Grèce ancienne : usages et imaginaires de l'espace boisé dans la littérature épique

Noëll, Nicolas January 2006 (has links) (PDF)
La forêt a joué un rôle important pour la civilisation occidentale. Jusqu'à la Révolution Industrielle elle fut un réservoir d'énergie avec son bois indispensable tant aux constructions qu'à l'artisanat. Mais la forêt a aussi fasciné ou horrifié l'imaginaire de l'Occident. Des forêts enchantées et nourricières aux forêts maléfiques, elle n'a jamais cessé d'être un lieu travaillant l'imagination. En Grèce ancienne, alors qu'elle fait partie des marges de la cité, elle semble à l'écart de ce qui a donné à l'Hellénisme ses lettres de noblesse, à savoir la cité urbanisée. Mais la forêt est ambiguë. Si elle abrite les monstres et les animaux sauvages, elle abrite aussi le divin, et certains bois sont sacrés. Elle offre généreusement aux hommes du bois, des fruits et du gibier, nous rappelant l'Âge d'or d'où le travail est exclu. Ainsi, dans ce mémoire nous avons cherché ce que l'on peut connaître de la forêt en Grèce ancienne à partir d'Homère et d'Hésiode, pour dégager les diverses représentations de ce lieu. À partir d'une recherche de vocabulaire sur les mots de la forêt, et en traitant ces données aux niveaux mythologique, religieux, économique et anthropologique, nous avons pu mettre en évidence cinq représentations de la forêt dans la littérature épique: la forêt maternelle des commencements, la forêt complice, la forêt comme image de l'autre monde, la forêt hostile et la forêt-passage. Finalement, deux lignes de pensée semblent opérer dans ces représentations. L'une centrée sur la religion vitaliste pré-olympienne où l'homme est partie intégrante de la nature, l'autre toute entière dépendante de la conception olympienne du monde où l'homme est dans la société culturelle, se distinguant des dieux et des animaux. La forêt est un espace grâce auquel nous accédons à la « pensée sauvage » de la Grèce, mais elle est aussi un lieu naturel qui permet aux sociétés de s'affirmer, en s'y opposant, comme lieux uniques de la civilisation. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Forêt, Bois, Civilisation grecque, Mythologie grecque.
15

Figures féminines de la mort en Grèce ancienne : une cohérence dans la diversité

Laflamme, Mélanie 03 1900 (has links) (PDF)
La mythologie grecque compose avec un grand nombre de figures qui renvoient à la mort. Dans cet ensemble, il y a une figure mâle, Thanatos, qui est l'incarnation du trépas. À côté de ce personnage masculin se trouvent plusieurs figures féminines. Il y a d'abord les Moires, trois femmes qui tissent le fil représentant la vie de chaque être, la troisième étant responsable de le couper. Puis il y a une série de monstres féminins qui présentent un visage bien particulier en figurant une mort brutale et violente. Cinq d'entre eux retiennent notre attention, à savoir la Gorgone Méduse, les Sirènes, les Harpyes, les Kères et la déesse Hécate, avec son cortège. Ce mémoire a pour but l'étude de toutes ces figures mythiques, afin de mieux saisir la conception de la mort des Grecs de l'Antiquité. Il s'agit, dans un premier temps, de revenir sur les diverses pratiques et croyances entourant la mort dans la Grèce antique, et dans un deuxième temps, de présenter la figure mâle, Thanatos, ainsi que les monstres féminins. L'analyse de leurs profils respectifs nous permettra de comprendre leurs rôles, et surtout de voir en quoi les figures féminines se dissocient de Thanatos. Nous verrons que Thanatos n'est qu'un convoyeur et que les Moires constituent une exception parmi les figures féminines, leur office assurant l'ordre du monde. Quant aux créatures hybrides, dont la féminité peut paraître parfois déviante, elles causent des morts inattendues, douloureuses et cruelles. Elles représentent, en fait, des morts exceptionnelles, des décès qui n'ont rien de naturel. Ce sont des morts hors-normes dont le contexte correspond, dans plusieurs cas, à des situations connues du monde ancien. Nous verrons également que lorsque ces figures féminines frappent, le défunt se voit privé de sépulture, et par conséquent, de son statut de mort. Les règles d'usage ne sont pas respectées, d'où une mort non codifiée et sans gloire, qui a pour effet de faire basculer la victime dans l'oubli. Cette analyse nous aura permis de mettre un peu d'ordre dans ces figures diverses, en plus de développer une vue d'ensemble qui révèle, en fin de compte, un panorama de figures de Mort s'organisant en un tout cohérent. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, Antiquité, Mythologie, Mort, Féminin
16

Les animaux dans l'économie d'Argilos, Grèce, du VIIe siècle au IVe siècle avant notre ère: une étude archéozoologique

Colangelo, Patrizio January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
17

Le bon traitement et le retour du combattant vaincu : des conséquences méconnues de la guerre chez les Grecs

Bourgeois, Cathy 17 April 2018 (has links)
La guerre chez les Grecs a suscité l'intérêt de nombreux chercheurs. Les principales guerres, les tactiques de combat et de défense, les enjeux politiques et économiques de certaines guerres ont été à maintes reprises analysés, mais la situation des vaincus fut peu étudiée et en particulier celle des combattants. Or, le résultat des guerres sur ses principaux acteurs, à savoir les combattants, est un aspect essentiel d'une analyse complète de la guerre chez un peuple. Ce mémoire propose donc d'éclairer le cas des combattants vaincus à la suite de batailles rangées ou de sièges entre cités grecques. Il sera question des nombreux traitements qu'ils pouvaient subir et de leur statut particulier. Nous verrons aussi que les combattants étaient bien souvent rapatriés, et ce, de diverses manières. Les motifs incitant les Grecs à agir de la sorte envers des combattants grecs vaincus seront par la suite évoqués. Parmi eux se trouveront des motifs politiques, militaires et économiques, mais également des motifs religieux et moraux qui semblent avoir été très influents dans le traitement des prisonniers.
18

Cos et Calymna, 205-200a. C. : esprit civique et défense nationale

Baker, Patrick 11 April 2018 (has links)
Plusieurs documents épigraphiques permettent d'étudier avec quelque détail comment les îles de Cos et de Calymna ont organisé la défense de leur territoire entre 205 et 200. Il s'agit de souscriptions publiques faisant appel à un effort général de la population, et de décrets en l'honneur de citoyens particulièrement dévoués. Or les deux conflits successifs auxquels les deux îles furent mêlées dépassaient des enjeux locaux: le premier, appelé «guerre crétoise» à cause de la participation de plusieurs cités de Crète, avait comme instigateur le roi de Macédoine, Philippe V; le second vit intervenir la flotte macédonienne elle-même. L'ensemble des événements est bien connu. L'objet de cette recherche est d'abord d'étudier dans quelle mesure Cos et Calymna, alors alliées à la puissante cité de Rhodes, furent actrices, figurantes ou victimes d'un conflit dépassant leurs frontières, ensuite comment leur esprit civique, encore bien vivant, leur permit d'organiser efficacement leur défense. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
19

Analyse et définition d'une institution des cités grecques hellénistiques : la sympolitie par incorporation ou l'union politique de deux communautés civiques autonomes (IVe au Ier siècle a.C.)

Bolduc, Marie 13 April 2018 (has links)
Les recherches sur la sympolitie par incorporation présentent des problèmes qui ont, jusqu'à présent, restreint son étude. D'abord, les épigraphistes ont proposé plusieurs études spécifiques sans offrir un examen complet du phénomène ou expliquer son implication pour les poleis hellénistiques, faute de considérer globalement les sources signalant les fusions de deux cités. En outre, la polysémie de sumpoliteuô et de sumpoliteia introduit un biais dans la dénomination des réalités connues par les sources puisque les termes caractérisent autant les Etats fédéraux (koina) que les unions de cités. Enfin, les similitudes entre la sympolitie par incorporation, le synoecisme et l'isopolitie ont ajouté à la confusion et à l'identification des moyens adoptés par les cités pour établir des relations interétatiques. Processus distinct du synoecisme et de l'isopolitie, semblable dans ses fondements aux concepts qui édifiaient les koina, la sympolitie par incorporation était une fusion politique de deux communautés civiques autonomes. Elle s'actualisait par l'obtention de la citoyenneté pour les ressortissants de la cité incorporée et par la participation active de ces derniers dans les institutions de la cité d'accueil. Elle engendrait une cité ayant deux pôles implantés dans une chôra composée par les territoires des poleis impliquées. L'entité souveraine comprenait un centre urbain principal, celui de la cité qui imposait sa citoyenneté et son modèle civique, et un établissement secondaire, qui intégrait politiquement sa voisine, mais dont la vie locale se maintenait à travers certaines institutions de l'ancienne cité. La sympolitie consolidait la situation des cités dans le contexte difficile de la période hellénistique, secoué par des rivalités incessantes entre cités, États fédéraux et royaumes. La possession de territoires, la défense d'acquis matériels ou territoriaux, le maintien de l'indépendance, l'accès aux ressources étaient autant de motivations menant au partenariat. Les poleis restructuraient leur défense et coordonnaient leurs activités économiques, ce qui était au coeur des unions. La sympolitie apportait des solutions aux difficultés des cités par des initiatives concrètes et pacifiques, en créant des communautés fortes comptant un nombre accru de soldats citoyens, des structures défensives renforcées, des zones exploitables augmentés et des ressources supplémentaires pour les partenaires.
20

Le dieu de la médecine Asclépios dans la Périégèse de Pausanias : original ou représentatif de son époque?

De Vries, Martina 11 1900 (has links) (PDF)
Le dieu de la médecine, Asclépios, est généralement présenté comme un héros thessalien divinisé au cours des siècles. Parmi ses plus grands sanctuaires, on trouve ceux d'Épidaure, de Pergame et de Cos. Le dieu atteint son âge d'or au cours des IIe et IIIe siècles ap. J.-C. Il est par ailleurs un personnage complexe. Toutefois, à la lecture des dix livres de la Description de la Grèce ou Périégèse de Pausanias, écrite au IIe siècle ap. J.-C., nous faisons face à l'image d'un dieu tout-puissant n'ayant connu aucun changement au fil du temps. Pausanias semble avoir une vision figée d'Asclépios, bien que très respectueuse du grand dieu. Cette vision semble avoir été représentative de son époque : la Seconde Sophistique, courant littéraire du IIe siècle ap. J.-C., proposait le retour à une religion grecque très proche de celle de l'époque classique. Par contre, Pausanias est original en ce qu'il relate la version messénienne du mythe d'Asclépios – version que nous n'avons que rarement croisée chez un autre auteur - nous laissant avec l'impression qu'il devait exister deux divinités nommées Asclépios : un héros divinisé de la cité de Messène et le dieu médecin connu à travers l'Empire romain. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Grèce antique, IIe siècle ap. J.-C., Mythes, Asclépios, Pausanias.

Page generated in 0.0296 seconds