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Analyse lexicale de l'histoire de la Nouvelle-France de Marc Lescarbot

Hamel, Amélie January 2007 (has links)
No description available.
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Analyse lexicale de l'histoire de la Nouvelle-France de Marc Lescarbot

Hamel, Amélie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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The canadian bourgeoisie, 1729-1748 : character, composition and functions

Nish, Cameron 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Le Richelieu, route militaire de la Nouvelle-France

Milot, Victor J. 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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La permanence de la refondation dans l'imaginaire et l'identitaire politiques des Canadiens : de la Nouvelle-France au Canada moderne (1663-1867)

Trépanier, Anne 11 April 2018 (has links)
La rencontre entre les différents éléments mémoriels et historiques des Canadiens prend place de façon cyclique pour faire émerger ou renaître un réfèrent identitaire. Ce réfèrent ne saurait être fixe dans la longue durée en ce qui concerne sa couleur, autrement dit, sa qualité. La permanence de la refondation est liée à l'existence dans la longue durée de quatre pôles structurants, accueillant des formes d'expressions variables : le péril, l'appartenance, l'excentration et la rénovation de l'héritage. La perpétuelle quête d'équilibre entre ces éléments, mise à l'épreuve au cours d'événements mentalitaires, constitue la tension qui nous permet de poser la thèse de la refondation comme résultante et comme permanence de l'imaginaire et de l'identitaire politiques du groupe historique canadien. Il est possible de mettre en relief le tracé particulier de l'idée de refondation dans l'histoire, au Canada, entre 1663 et 1867, en s'attachant aux «textes-événements» qui contribuent à renommer ou redéfinir l'imaginaire et l'identitaire politiques du groupe canadien. En posant comme hypo événements successifs la reconstruction matérielle de la Nouvelle-France, l'Acte de Québec, les Rébellions des Patriotes, l'Union des Canadas et le projet de Confédération, nous suivons un parcours d'histoire politique qui soutient la quête marginale des Canadiens pour la reconquête symbolique de leur identité. Déclinée sur le topos du gain et de la perte, en regard d'idée de refondation, l'identité canadienne va gagner en imaginaire politique ce qu'elle perd en pratiques identitaires, jusqu'à ce que l'identitaire politique accepte le métissage complexe imposé par les événements mentalitaires. Ce passage légitime la lecture historique et contribue à définir la représentation de soi du groupe canadien, en permettant le développement de l'imaginaire de la non-contradiction entre l'être et le devenir et son inscription dans le monde, partagée et définie par les notions de frontière et d'altérité. La mise au jour de ce réseau complexe de tensions constitue l'apport principal de notre thèse à l'historiographie du Canada et du Québec. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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La correspondance de madame Bégon

Landels, Isabel 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Champlain et les historiens francophones du Québec : les figures du père et le mythe de la fondation

Avignon, Mathieu d' 11 April 2018 (has links)
Lorsqu'on pense à la fondation de Québec et de la Nouvelle-France, un nom vient immédiatement à l'esprit : Champlain. À travers l'ensemble de ses récits de voyages (et dans les épîtres les introduisant) et plus particulièrement dans la Première Partie de son édition de 1632, qui comporte une réédition partielle des textes de ses éditions antérieures de 1603, de 1613 et de 1619, Champlain rapporte les faits qu'il juge marquants et construit du même coup une représentation de son propre personnage et un récit de la fondation. En éditant en 1632 une synthèse des récits de ses publications précédentes, il retranche les noms de ses anciens collaborateurs et amis, en particulier ceux de François Gravé et de Pierre Dugua, deux autres "fondateurs" de Québec et de la Nouvelle-France, il passe du "nous" au "je" et s'attribue le rôle du fondateur, incarnant l'archétype du colonisateur français et catholique en Nouvelle-France. Champlain est pleinement conscient que, au moment même de leur parution, ses récits de voyages sont des écrits "fondateurs" : au même titre que les cartes qu'ils contiennent, ils confirment la "découverte/conquête" du territoire et la fondation d'une colonie française sur les rives du fleuve Saint-Laurent. Écrits fondateurs aussi d'une histoire et d'une historiographie nouvelles : avec les écrits de ses contemporains (Lescarbot, Sagard, les Jésuites), les récits de Champlain figurent parmi les premiers textes de notre historiographie, vers lesquels les historiens ont dû et doivent encore de nos jours se tourner pour comprendre les origines et la fondation de la Nouvelle-France, du Canada français, du Québec et de la nation québécoise, du Canada, de l'Amérique française. Cette thèse étudie le travail d'écriture et de réécriture de Champlain, l'utilisation de ses récits par les historiens, les différentes figures du "père", de même que les récits alternatifs de la fondation ou des origines du Québec. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Sans différends, point d'harmonie : les règlements de conflit à Montréal aux XVIIe et XVIIIe siècles

Paul, Josianne 24 February 2011 (has links)
Situé à la croisée de l’histoire et de la criminologie, ce travail a voulu se mettre à hauteur d’homme afin de comprendre comment les habitants de Montréal aux XVIIe et XVIIIe siècles géraient les situations conflictuelles potentiellement criminalisables auxquelles ils devaient faire face. Pour ce faire, un cadre théorique original a été élaboré à partir de la notion de situation-problème proposée par le criminologue Louk Hulsman. Cette approche interdisciplinaire a permis de déterminer qu’en milieu colonial la notion de crime ne fut jamais clairement définie. Pour la population, l’identification d’actes criminels se faisait à partir des valeurs chrétiennes, de même que par les interdits identifiés par l’État. Le concept de crime et sa gestion étaient des construits sociaux qui s’adaptaient aux besoins des colons et de l’administration royale. De ce fait, deux types de situation-problème existaient. D’une part, il y avait celles opposant les habitants entre eux, qu’il est possible de nommer situations-problèmes d’origine privée, et d’autre part, il y avait celles confrontant l’État à la désobéissance de ces sujets, lesquelles peuvent être qualifiées de situations-problèmes d’origine étatique. Les situations-problèmes d’origine privée naissaient dans la vie quotidienne et tournaient autour des valeurs sociales fondamentales qu’étaient l’honneur, la famille, le travail, la subsistance et la propriété. Pour résoudre leurs querelles, les colons avaient recours à divers modes de règlement de conflit, tel que la conciliation, la compensation ou les sanctions pénales. Pour leur part, les situations-problèmes d’origine étatique se produisaient lorsque les colons ne respectaient pas les limites imposées par l’État, lequel utilisait exclusivement le mode pénal pour les sanctionner. Il ressort de cette étude qu’en Nouvelle-France la justice n’était pas un phénomène purement institutionnel et que les colons faisaient la distinction entre le sentiment de justice et les services que pouvaient leur offrir les institutions judicaires présentes sur le territoire de la juridiction royale de Montréal. À partir des différents modes de résolution de conflit disponibles, les habitants, de même que l’administration royale, cherchaient d’abord et avant tout à atteindre la satisfaction durable des parties impliquées afin de maintenir l’harmonie sociale.
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Sans différends, point d'harmonie : les règlements de conflit à Montréal aux XVIIe et XVIIIe siècles

Paul, Josianne 24 February 2011 (has links)
Situé à la croisée de l’histoire et de la criminologie, ce travail a voulu se mettre à hauteur d’homme afin de comprendre comment les habitants de Montréal aux XVIIe et XVIIIe siècles géraient les situations conflictuelles potentiellement criminalisables auxquelles ils devaient faire face. Pour ce faire, un cadre théorique original a été élaboré à partir de la notion de situation-problème proposée par le criminologue Louk Hulsman. Cette approche interdisciplinaire a permis de déterminer qu’en milieu colonial la notion de crime ne fut jamais clairement définie. Pour la population, l’identification d’actes criminels se faisait à partir des valeurs chrétiennes, de même que par les interdits identifiés par l’État. Le concept de crime et sa gestion étaient des construits sociaux qui s’adaptaient aux besoins des colons et de l’administration royale. De ce fait, deux types de situation-problème existaient. D’une part, il y avait celles opposant les habitants entre eux, qu’il est possible de nommer situations-problèmes d’origine privée, et d’autre part, il y avait celles confrontant l’État à la désobéissance de ces sujets, lesquelles peuvent être qualifiées de situations-problèmes d’origine étatique. Les situations-problèmes d’origine privée naissaient dans la vie quotidienne et tournaient autour des valeurs sociales fondamentales qu’étaient l’honneur, la famille, le travail, la subsistance et la propriété. Pour résoudre leurs querelles, les colons avaient recours à divers modes de règlement de conflit, tel que la conciliation, la compensation ou les sanctions pénales. Pour leur part, les situations-problèmes d’origine étatique se produisaient lorsque les colons ne respectaient pas les limites imposées par l’État, lequel utilisait exclusivement le mode pénal pour les sanctionner. Il ressort de cette étude qu’en Nouvelle-France la justice n’était pas un phénomène purement institutionnel et que les colons faisaient la distinction entre le sentiment de justice et les services que pouvaient leur offrir les institutions judicaires présentes sur le territoire de la juridiction royale de Montréal. À partir des différents modes de résolution de conflit disponibles, les habitants, de même que l’administration royale, cherchaient d’abord et avant tout à atteindre la satisfaction durable des parties impliquées afin de maintenir l’harmonie sociale.
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Sans différends, point d'harmonie : les règlements de conflit à Montréal aux XVIIe et XVIIIe siècles

Paul, Josianne 24 February 2011 (has links)
Situé à la croisée de l’histoire et de la criminologie, ce travail a voulu se mettre à hauteur d’homme afin de comprendre comment les habitants de Montréal aux XVIIe et XVIIIe siècles géraient les situations conflictuelles potentiellement criminalisables auxquelles ils devaient faire face. Pour ce faire, un cadre théorique original a été élaboré à partir de la notion de situation-problème proposée par le criminologue Louk Hulsman. Cette approche interdisciplinaire a permis de déterminer qu’en milieu colonial la notion de crime ne fut jamais clairement définie. Pour la population, l’identification d’actes criminels se faisait à partir des valeurs chrétiennes, de même que par les interdits identifiés par l’État. Le concept de crime et sa gestion étaient des construits sociaux qui s’adaptaient aux besoins des colons et de l’administration royale. De ce fait, deux types de situation-problème existaient. D’une part, il y avait celles opposant les habitants entre eux, qu’il est possible de nommer situations-problèmes d’origine privée, et d’autre part, il y avait celles confrontant l’État à la désobéissance de ces sujets, lesquelles peuvent être qualifiées de situations-problèmes d’origine étatique. Les situations-problèmes d’origine privée naissaient dans la vie quotidienne et tournaient autour des valeurs sociales fondamentales qu’étaient l’honneur, la famille, le travail, la subsistance et la propriété. Pour résoudre leurs querelles, les colons avaient recours à divers modes de règlement de conflit, tel que la conciliation, la compensation ou les sanctions pénales. Pour leur part, les situations-problèmes d’origine étatique se produisaient lorsque les colons ne respectaient pas les limites imposées par l’État, lequel utilisait exclusivement le mode pénal pour les sanctionner. Il ressort de cette étude qu’en Nouvelle-France la justice n’était pas un phénomène purement institutionnel et que les colons faisaient la distinction entre le sentiment de justice et les services que pouvaient leur offrir les institutions judicaires présentes sur le territoire de la juridiction royale de Montréal. À partir des différents modes de résolution de conflit disponibles, les habitants, de même que l’administration royale, cherchaient d’abord et avant tout à atteindre la satisfaction durable des parties impliquées afin de maintenir l’harmonie sociale.

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