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Substanz und Qualität : ein Beitrag zur Interpretation der plotinischen Traktate VI 1, 2 und 3 /

Wurm, Klaus. January 1973 (has links)
Dissertation--Philosophische Fakultät--Münster, 1968. / Bibliogr. p. 265-273. Index.
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Subsistence et métaphysique de la personne humaine chez Thomas d’Aquin / Subsistence and metaphysics of the human person in Thomas Aquinas

Charenton, Sylvain 16 January 2012 (has links)
Ce travail interroge la constitution d’une métaphysique de la personne humaine dans la pensée de Thomas d’Aquin. Si on s’accorde généralement à reconnaître que la réflexion thomasienne sur la personne a eu une influence décisive sur la compréhension moderne de l’homme comme personne, on constate également que l’expression personne humaine n’est pas familière de l’Aquinate et ne fait l’objet d’aucun développement particulier dans son œuvre. En effet, l’approche métaphysique de la personne humaine dans le corpus thomasien est logée dans les textes théologiques dans lesquels Thomas, suivant une démarche analogique, définit la personne divine en conservant l’affinité avec l'homme. Ce travail de conceptualisation, à la charnière de la théologie et de l’anthropologie, s’inscrit dans le sillage de la thématique chrétienne de l’homme image de Dieu. Dans le monde latin, les diverses composantes de cette riche tradition se rassemblent à la fin du VIe siècle autour de la figure de Boèce. Au détours des analogies sur les mystères de la Trinité et du Christ, Thomas est conduit à repenser la métaphysique de la substance et de la subsistence, héritage de la traduction de la notion grecque d'hypostase effectué par Boèce. Au bout du compte, ces analogies n’aboutissent pas seulement à une métaphysique de la personne subsistant dans la nature humaine, elles fondent ultimement une véritable métaphysique de la personne humaine en définissant une manière humaine de subsister. / This work examines the formation of a metaphysics of the human person in the thought of Thomas Aquinas. On one side it is generally agreed that the Thomistic thought on the person had a decisive influence on the modern understanding of man as a person, on the other side the term human person is not familiar of Aquinas and not subject to any particular development in his work. Indeed, the metaphysical approach of the human person in the Thomistic corpus is found in the theological texts in which Thomas defines the divine person maintening the affinity with man. This work of conceptualization deals with the Christian theme of man image of God using the analogy. In the Latin world, the various components of this rich tradition come together in the late sixth century around the figure of Boethius. From analogies on the mysteries of the Trinity and of Christ, Thomas is led to rethink the metaphysics of substance and subsistence inherited from the translation of the Greek notion of hypostasis made by Boethius. Ultimately, these analogies do not lead only to a metaphysics of the person subsisting in human nature, they found a true metaphysics of the human person by defining a human subsisting way.
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Subsistence et métaphysique de la personne humaine chez Thomas d’Aquin / Subsistence and metaphysics of the human person in Thomas Aquinas

Chareton, Sylvain 16 January 2012 (has links)
Ce travail interroge la constitution d’une métaphysique de la personne humaine dans la pensée de Thomas d’Aquin. Si on s’accorde généralement à reconnaître que la réflexion thomasienne sur la personne a eu une influence décisive sur la compréhension moderne de l’homme comme personne, on constate également que l’expression personne humaine n’est pas familière de l’Aquinate et ne fait l’objet d’aucun développement particulier dans son œuvre. En effet, l’approche métaphysique de la personne humaine dans le corpus thomasien est logée dans les textes théologiques dans lesquels Thomas, suivant une démarche analogique, définit la personne divine en conservant l’affinité avec l'homme. Ce travail de conceptualisation, à la charnière de la théologie et de l’anthropologie, s’inscrit dans le sillage de la thématique chrétienne de l’homme image de Dieu. Dans le monde latin, les diverses composantes de cette riche tradition se rassemblent à la fin du VIe siècle autour de la figure de Boèce. Au détours des analogies sur les mystères de la Trinité et du Christ, Thomas est conduit à repenser la métaphysique de la substance et de la subsistence, héritage de la traduction de la notion grecque d'hypostase effectué par Boèce. Au bout du compte, ces analogies n’aboutissent pas seulement à une métaphysique de la personne subsistant dans la nature humaine, elles fondent ultimement une véritable métaphysique de la personne humaine en définissant une manière humaine de subsister. / This work examines the formation of a metaphysics of the human person in the thought of Thomas Aquinas. On one side it is generally agreed that the Thomistic thought on the person had a decisive influence on the modern understanding of man as a person, on the other side the term human person is not familiar of Aquinas and not subject to any particular development in his work. Indeed, the metaphysical approach of the human person in the Thomistic corpus is found in the theological texts in which Thomas defines the divine person maintening the affinity with man. This work of conceptualization deals with the Christian theme of man image of God using the analogy. In the Latin world, the various components of this rich tradition come together in the late sixth century around the figure of Boethius. From analogies on the mysteries of the Trinity and of Christ, Thomas is led to rethink the metaphysics of substance and subsistence inherited from the translation of the Greek notion of hypostasis made by Boethius. Ultimately, these analogies do not lead only to a metaphysics of the person subsisting in human nature, they found a true metaphysics of the human person by defining a human subsisting way.
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Critique de la vision phénoménologique / Kritik der phänomenologischen Vision / Criticising Phenomenological Vision

Dorn, René Sebastian 21 January 2015 (has links)
La Critique de la vision phénoménologique est une tentative de critique de la phénoménologie, à travers la Théorie Critique et la philosophie d’Emmanuel Lévinas, qui caractérise la phénoménologie comme une science eidétique. Nous proposons donc une bref histoire du concept de l’eidos, qui est compris comme un archétype idéal depuis le Platonisme. On aborde l’opposition du matérialisme et de l’idéalisme ancrée dans la Théorie des formes de Platon, l’hylémorphisme d’Aristote, et la Théorie matérialiste des simulacres de Lucrèce. La question substantielle : « matérialisme et/ou idéalisme » nous conduit aux principes de l’individuation, au formalisme et aux concepts de la réification. La phénoménologie de Husserl est née dans le Kulturkampf qui se caractérise par le déferlement du positivisme dans l’idéalisme. Sous cet angle, la phénoménologie est un certain tour de force idéaliste contre le positivisme. La phénoménologie essaie d’intégrer les courants contemporains de la philosophie allemande, et c’est ici et non en biologie que se situe la lutte pour la vie, selon Husserl. Le problème de la vision phénoménologique, en regard de la « race » comportant des significations qui ne sont pas particulièrement biologiques, est un problème qui remonte à Aristote. Selon lui, l’usage de l’eidos est aussi synonyme des catégories de genre et d’espèce. L’eidos d’Husserl inclut la conception d’Aristote, et se présente comme un moyen possible de construire un concept métaphysique de la race en dehors de la biologie. L’eidos en tant que type, tel qu’il est constitué dans la Lebenswelt, se caractérise finalement par la transformation de l’Umwelt en Heimwelt, dans lequel l’individu est passivement formé par la tradition, l’habitus, par terre et sang – un monde de la moyenne, de la « normalité ». Nous essayons de montrer, dans le processus de ce bouleversement irrationnel de la philosophie en Allemagne, le cas particulier et tragique du devenir de la phénoménologie de Husserl entre les mains de Heidegger, qui suggère une auto-limitation de la phénoménologie à la recherche d’un sens qui vise à l’unité du Dasein. Notre but ici est simple et radical : de même que Marx a montré que la philosophie de Hegel n’est rien d’autre que la collection des catégories de la philosophie bourgeoise en déclin, Lévinas et l’École de Francfort ont montré que la philosophie de Heidegger n’est rien d’autre qu’une poursuite de la philosophie hégélienne, mais à un niveau plus abstrait et aussi plus global. / This work is driven by the attempt to criticise Phenomenology with the help of Levinas. Similar to the Frankfurt School, he characterises it as a “vision of essences”. These eidetical essences are, and can never be fully absolute, not only because several movements of Hegelian Dialectics are refuted in submitting knowledge either to the imago of mere immanence, or to normative structures which are postulated as invariant like in certain versions of Neoplatonism, but because they function as an apriori of an eternally unfinished and fragmented Lebenswelt. Maybe it is to harsh to compare Husserl to the neoscholastic readings of Descartes and to the formalist interpretations of Kant. Husserl is well aware of the kinaesthetic foundations of consciousness and, contrary to Heidegger, he even promotes Spinozism in a certain phase of his which excels his adolescent fervour of Berkeley. Nevertheless, Husserl incorporates a subject-based, “monadic” transcendentalism, that paradoxically leads to the dissolution of subjective identity. Traditional reasoning itself is exfoliated to perfection in Heidegger afterwards. Husserl's halfhearted formalism ignores the materialist theory of the simulacrum by Lucretius. Heideggers philosophy widens this overseen aspect in calling the Eidos an Aussehen in referring to the Presocratics, but it despises any kind of method and finally flees in to poetry, maintaining its fatalist errors which it committed right form the start: this is why it gained the name of pseudo-concreteness. Cursed through a specific anti-sociological tendency caused by an anti-empiricist vision of history, their theories virtually (not conceptually) exclude the influences of society on philosophy: they are the end result of the era of Kulturkampf, in which idealism tried to battle positivism, naturalism and historicism. Husserl even defines this philosophical battle as the very struggle of existence. The formulation of the Eidos becomes performance. Aristotle used Eidos synonymous to genus and species. Hence the amplitudes of these philosophies foster the metaphysical standpoint of race, that got out of hand in the Nazi Era and even later on. The “topic” of blood and soil appears in Husserl's definition of Heimwelt and his Eurocentrism. Phenomenology is in no case to blame for National Socialism, and that it has very little to to with its causes. My work simply tries to make the same analogy that Marx had made for Hegel. It tries to describe, how two leading philosophers of the German Bourgeoisie are reproducing the categories of their surrounding society without even really observing it.
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A fraternidade entre alma do mundo e a almas individuais na filosofia de Plotino / La confrérie de l\'âme du monde et des âmes individuelles dans la philosophie de Plotin

Oliveira, Maria Eduarda Martins de 28 July 2010 (has links)
O objetivo desta investigação é demonstrar a identidade de origem entre alma do mundo e almas individuais, ressaltando a igualdade de patamar em que se encontram. Procura-se, com isso, combater uma visão persistente até os dias de hoje junto a alguns comentadores, segundo a qual as almas individuais seriam derivadas da alma do mundo. Nossa estratégia baseia-se em dois eixos centrais: em primeiro lugar, procuramos observar o que Plotino tem a dizer a respeito da questão, para, em seguida, observar a necessidade desta fraternidade entre as almas para a coerência da doutrina plotiniana da alma. Notamos, assim, a origem do problema no tratado IV 9 [8], demonstrando em seguida a posição de Plotino, através da análise dos oito capítulos iniciais do tratado IV 3 [27]. É aí que o filósofo enuncia claramente a fraternidade entre almas individuais e alma do mundo. A seguir, observamos as repercussões desta doutrina para o restante da teoria plotiniana da alma, em especial no que tange à autonomia da alma humana. Neste segundo momento de nosso exame, notamos, inicialmente, o caráter duplo do homem: por um lado, alma superior e divina, e, por outro lado, composto animado, pertencente à natureza. Em seguida, por meio do tratado III 1 [3], observamos a postulação das almas individuais como princípios causais, ao lado da alma do mundo. Com isto, o filósofo procura dar conta da possibilidade de liberdade humana e de atribuição de responsabilidade pessoal. A exigência de Plotino, porém, é a purificação da alma, com a qual sua verdadeira natureza é recuperada: essência inteligível. Somente assim é possível o pleno exercício da faculdade intelectiva. Deste modo, a alma individual, tendo sua fonte na Hipóstase Alma, é capaz de voltar-se para o superior e assimilar-se a Deus. Ao equiparar a alma individual a princípio causal garantidor da liberdade humana, Plotino impede que abdiquemos de nosso caráter divino. Embora seja dupla a constituição do homem, tal duplicidade não deve nos iludir quanto à nossa verdadeira identidade, residente no alto. / Le but de cette recherche est de démontrer l\'identité d´origine entre l\'âme du monde et les âmes individuelles, soulignant leur égalité de niveaux. On cherche, avec cela, combattre une vision persistante jusqu\' à aujourd\'hui chez quelques commentateurs, selon laquelle les âmes individuelles procéderaient de l\'âme du monde. Notre stratégie repose sur deux piliers: d\'abord, nous avons essayé d\'observer ce que Plotin a à dire sur la question, pour ensuite observer la nécessité de cette fraternité des âmes à la cohérence de la doctrine de l\'âme plotinienne. Nous avons remarqué, ainsi, l\'origine du problème au traité IV 9 [8], démontrant, après, la position de Plotin, à travers l\'analyse des huit premiers chapitres du traité IV 3 [27]. C\'est là que le philosophe énonce clairement la fraternité entre les âmes individuelles et l\'âme du monde. Ensuite, nous avons examiné les implications de cette doctrine pour le reste de la théorie plotinienne de l\'âme, en particulier en ce qui concerne l\'autonomie de l\'âme humaine. Au cours de cette deuxième partie de notre vérification, nous avons d\'abord remarqué le caractère double de l\'homme : d´une part, âme supérieure et divine, d\'autre part, composé animé, appartenant à la nature. Ensuite, à travers la consideration du traité III 1 [3], nous avons observé la postulation des âmes individuelles en tant que principes de causalité, à côté de l\'âme du monde. Avec ceci, le philosophe essaye de rendre compte de la possibilité de la liberté humaine et de l\'attribution de la responsabilité personnelle. L\'exigence de Plotin, cependant, est la purification de l\'âme, avec laquelle sa vraie nature est récupérée: essence intelligible. C\'est seulement à ce moment que le plein exercice des facultés intellectuelles est possible. Ainsi, l\'âme individuelle, ayant sa source dans l\'hypostase Âme, est en mesure de retourner vers le supérieur et de s\'assimiler à Dieu. En considérant l\'âme individuelle comme principe causal de la liberté humaine, Plotin empêche l´abdication de notre nature divine. Bien que ce soit double la constitution de l\'homme, une telle duplicité ne doit pas se faire d\'illusions sur notre véritable identité, demeurant au sommet.
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La structure ontologique-communautaire de la personne : aux sources théologiques et philosophiques du père Dumitru Staniloae / The ontological-communitarian structure of the person : to the theological and philosophical sources of Father Dumitru Stăniloae

Apintiliesei, Costin-Ciprian 07 November 2018 (has links)
Au regard des débats actuels polarisés autour du concept de « personne », cette recherche se donne comme but d’explorer l’approche du théologien orthodoxe Dumitru Stăniloae relative à la personne dans son versant anthropologique. À cet effet, le présent travail tâche d’une part de repérer et de révéler les éléments qui édifient sa réflexion de la personne, à savoir les composantes de la personnéité humaine, et d’autre part, les sources à la fois théologiques et philosophiques ayant inspiré et influencé de manière déterminante notre auteur. Expression d’une jonction de la théologie patristique orientale (byzantine) et de la pensée moderne, la personne comporte ainsi, chez Staniloae, une structure ontologique-communautaire, dont le pôle ontologique plonge ses racines dans l’héritage des Pères et le pôle relationnel ou communautaire, dans les avancées de la réflexion moderne : associée à l’hypostase des anciens, la personne se définit comme mode de subsistance ou d’existence réelle de l’être, tandis qu’assimilée au sujet et au moi modernes, elle se présente comme facteur conscient et libre en relation d’amour avec autrui. Représentée donc comme subsistance en soi et existence en communion, la personne manifeste, chez notre auteur, l’aboutissement de toute une série de confluences : du passé et du présent, de l’Orient et de l’Occident, de la théologie et de la philosophie, de l’orthodoxie et des deux autres confessions chrétiennes. / Considering the current debates polarized around the concept of "person", this research aims to explore the approach of the orthodox theologian Dumitru Staniloae relative to the person in its anthropological side. In this purpose, the present work tries on one hand to identify and to reveal the elements which compose his reflection of the person, namely the components of the human personhood, and on the other hand, the theological and philosophical sources having inspired and influenced our author. As a junction of the oriental patristic theology and the modern thought, the person contains, at Staniloae, an ontological-communitarian structure. The ontological pole plunges its roots into the inheritance of the Fathers and the relational or communitarian pole, in the progress of the modern reflection: associated with the hypostasis, the person is defined as mode of subsistence or real existence of the being, whereas likened to the subject and to the modern I, it appears as conscious and free factor in relation of love with others. Thus represented as subsistence in itself and existence in communion, the concept of person is the outcome of a whole series of confluences: of the past and of the present, of the East and of the West, of the theology and of the philosophy, of the orthodoxy and of two other Christian confessions.
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De Mar Babaï le Grand à Mar Denkha IV : la Déclaration christologique commune assyro-catholique de 1994 / From Mar Babai the Great to Mar Denkha IV : the Assyrian-Catholic common christological declaration of 1994

Khoshaba, Philippe 06 July 2017 (has links)
La Déclaration christologique commune signée à Rome en 1994 entre l’Église catholique et l’Église assyrienne témoigne d’une volonté réelle de retour à la foi une et commune entre les deux Églises. Elle met un terme à une séparation datant du Ve siècle, lors des querelles christologiques entre les deux patriarches Nestorius et Cyrille d’Alexandrie. L’Église de l’Orient vit, depuis toujours, un double isolement : l’un géographique, politique et culturel car située jadis en dehors des frontières de l’Empire romain, et l’autre dogmatique et ecclésiologique dû à sa défense de maîtres œcuméniques condamnés tels Nestorius et Théodore de Mopsueste. Elle exploite des termes anthropologiques kyana (nature), qnoma et parsopa (personne), de la langue syriaque, à la base des controverses et des incompréhensions sur la personne une du Christ. Dans ce débat, le rôle de Mar Babaï le Grand, au VIIe siècle, est capital, car il donne, dans son livre Liber de Unione, une définition précise de ces termes et systématise la théologie syro-orientale. Il est à l’origine de la confession christologique : deux natures, deux qnomé en une personne. La Déclaration christologique de 1994, révèle au monde ce qui unit les deux Églises : la personne du Christ. Elle est le fruit d’un travail concerté du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens et de l’Église de l’Orient. Le désir de Mar Denkha IV, de signer un accord christologique avec Rome a rencontré celui d’André de Halleux, du côté catholique et de Mar Bawai Soro, du côté assyrien. Le Comité mixte assyro-catholique poursuit cette tâche en vue de l’unité, de 1995 à 2004, épaulé par la Fondation « Pro Oriente ». En 2005, le dialogue est suspendu avec le refus de la signature de l’accord sur les sacrements par les Assyriens. L’année 2007, laisse entrevoir une reprise possible du dialogue entre les deux partis. / The Common Christological Declaration signed in Rome in 1994 between the Catholic Church and the Assyrian Church testifies to a genuine desire for a return to the common faith between the two Churches. It puts an end to a separation dating from the 5th century, due to the Christological quarrels between the two patriarchs Nestorius and Cyril of Alexandria.The Church of the East has always had a double isolation: one geographical, political and cultural since it was formerly outside the borders of the Roman Empire, and the other dogmatic and ecclesiological due to its defense of ecumenical masters condemned such as Nestorius and Theodore de Mopsueste. It exploits the anthropological terms kyana (nature), qnoma and parsopa (person), of the Syriac language, at the basis of the controversies and misunderstandings on the one person in Christ. In this debate, the role of Mar Baba the Great in the seventh century is crucial, for in his book Liber de Unione he gives a precise definition of these terms and systematizes Syro-Oriental theology. He is at the origin of the Christological confession: two natures, two qnome in one person. The Christological Declaration of 1994 reveals to the world what unites the two Churches: the person of Christ. It is the result of a concerted effort by the Pontifical Council for the Promotion of the Unity of Christians and the Church of the East. The desire of Mar Denkha IV to sign achristological agreement with Rome met that of André de Halleux on the Catholic side and Mar Bawai Soro on the Assyrian side. The Assyro-Catholic Joint Committee continued this task with a view to unity, from 1995 to 2004, supported by the "Pro Oriente" Foundation. In 2005, the dialogue was suspended with the refusal of the Assyrians to sign the agreement on the sacraments. The year 2007, aims at resuming the dialogue between the two parties.

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