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Relatives infinitives et constructions apparentées en anglaisSimonin, Olivier Cotte, Pierre. January 2007 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Linguistique : Paris 4 : 2007. / Titre provenant de l'écran titre. 308 références bibliographiques.
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Infinitival syntax : infinitivus pro participio as a repair strategy /Schmid, Tanja. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Linguistique--Institut für Linguistik-Germanistik, Universität Stuttgart, 2002. / Bibliogr. p. 237-245.
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Les compléments infinitifs et gérondifs des verbes de perception en portugais brésilien /De Araujo Rodrigues, Patricia, January 2006 (has links)
Thèse (D. en linguistique)--Université du Québec à Montréal, 2006. / En tête du titre: Université du Québec à Montréal. Bibliogr.: f. [252]-262. Publié aussi en version électronique.
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L'éternel infinitif de narration françaisEnglebert, Annick January 1993 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'infinitif complément d'un verbe, d'un adjectif, d'un nom. Ecriture d'un fragment de grammaireLablanche, Anne 17 December 2007 (has links) (PDF)
Le but de cette thèse est de construire un fragment de grammaire du français rendant compte de la syntaxe de l'infinitif dans le cadre des grammaires d'arbres polychromes (GAP).<br />La thèse se compose de deux parties. La première concerne l'étude des problèmes que pose l'infinitif. L'infinitif, comme un verbe, a des compléments et le constituant qu'il forme avec ses compléments peut être lui aussi un complément d'un verbe, d'un nom, d'un adjectif. Ce que les grammaires traditionnelles traduisent en parlant d'une double nature : il possède à la fois des propriétés nominales et verbales. D'où une difficulté spécifique pour faire entrer la syntaxe de l'infinitif dans un modèle formel qui puisse se prêter au traitement automatique. Nous appelons constituant infinitif l'unité composée d'un verbe infinitif et de ses compléments. Il est expliqué pourquoi ce terme est préféré à celui de « proposition subordonnée infinitive ».<br />La seconde partie aborde l'analyse syntaxique des constituants infinitifs en GAP et s'organise autour des contextes dans lesquels apparaît l'infinitif (un verbe, un nom, un adjectif). Le choix d'une représentation en GAP permet de mettre à l'épreuve ce formalisme et de montrer l'intérêt qu'il y a de séparer les fonctions syntaxiques des catégories. Ainsi peut-on rendre compte des cas où un constituant d'une catégorie non nominale occupe une position en général occupée par un nom.<br />Ce travail aura permis, en s'intéressant à la question de la syntaxe de l'infinitif, en partant d'une réinterrogation de certaines études en provenance des grammaires traditionnelles, de parvenir à l'enrichissement d'un formalisme élaboré dans la perspective du TAL.
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Analyse formelle et conceptuelle des formes verbales du français contemporain : A la croisée du passé simple et de l'imparfait, du futur et du conditionnel, les concepts "+/-potentiel" et "+/-défini".Camussi-Ni, Marie-Armelle 11 December 2006 (has links) (PDF)
L'analyse formelle des variantes fléchies du verbe à l'indicatif aboutit à la mise en évidence de la combinaison de deux morphèmes [Ø/(±R)] et [Ø/ai/a]. C'est ainsi que le conditionnel et le futur se différencient des autres temps de l'indicatif par la présence du (+R)- dont on peut postuler qu'il est commun également à l'infinitif- mais se distinguent l'un de l'autre par l'opposition ai/a, opposition qui différencie également l'imparfait du passé simple en se combinant au (–R). <br />Ce constat éclaire de façon nouvelle la relation qui se construit entre les différents « temps » du mode indicatif. En effet, la prise en compte d'une opposition supplémentaire conduit à réinterroger la prédominance de la temporalité dans les analyses des « temps » de l'indicatif au profit d'une déconstruction de la combinaison des valeurs. Cette analyse permet alors de rendre compte de la diversité des effets de sens tout en évitant l'atomisation des explications temporelles, modales, aspectuelles au gré des occurrences. <br />La première partie de la thèse s'articule autour de la relation entre cette analyse morphologique et les différentes analyses formelles du futur et du conditionnel qui ont pu être menées auparavant.<br />Dans un second temps, se nourrissant de la confrontation avec les analyses conceptuelles existantes de l'infinitif, du passé simple, de l'imparfait, du futur et du conditionnel, elle explore le versant sémantique de l'hypothèse de l'existence d'un morphème ±R qui se combine avec un autre morphème a/ai. Hypothèse qui oblige, d'une part, à caractériser la valeur sémantique du morphème dénoté par ±R et c'est le concept ±potentiel qui lui sera associé, d'autre part, à redéfinir l'opposition imparfait/passé simple puisque c'est cette même opposition qui se retrouve dans le couple futur/conditionnel. C'est le trait ± défini qui sera proposé.<br />La prise en compte de la combinaison de ces deux traits sémantiques permet de déjouer la complexité d'énoncés dont la richesse n'a d'égal que la variété.
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Recherches comparatives sur l'origine casuelle des infinitifs du grec ancien (-ein, -men, -menai, -nai)Vanseveren, Sylvie January 1997 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Tense and control interpretations in to + gerund-participle and to + infinitive complement constructions with verbs of agreementWendland, Irene 23 April 2018 (has links)
Ce mémoire est une étude sémantico-pragmatique du verbe agree et de dix autres verbes de consentement. Dans l’ensemble il porte sur la complémentation verbale de l’anglais avec l’infinitif et le gérondif. Par l’entremise d’un corpus de données attestées, nous expliquons les divers effets de sens et les principes qui sous-tendent l’usage des structures ‘verbe principal + complément’ avec l’infinitif et le gérondif comme compléments de verbes comportant une idée de consentement, soit accede, accept, acquiesce, assent, concede, concur, conform, consent, subscribe et yield. Plus particulièrement, les problèmes de temporalité et de contrôle sont examinés. Les contributions du sens grammatical du complément, du sens lexical du verbe principal, et le sens ajouté par le contexte sont tous des facteurs déterminants dans la compréhension et l’explication des constructions faisant l’objet de l’étude. L’analyse est fondée sur les hypothèses proposées par Duffley (2000; 2006; 2014). / This thesis is a semantico-pragmatic study of the verb agree and ten other verbs of agreement with the English verbal complements to + infinitive and to + gerund-participle. Together with agree, the other verbs expressing the notion of agreement, i.e. accede, accept, acquiesce, assent, concede, concur, conform, consent, subscribe and yield are studied through the analysis of a corpus of attested usage to explain the various expressive effects and the principles underlying the use of the structure ‘main verb + complement.’ The general problems of tense and control are addressed. The interaction between the grammatical meaning, the lexical meaning and the pragmatic understanding from the larger context plays a defining role in the understanding and explanation of the verb + complement constructions examined. The analysis is based on the hypotheses in Duffley (2000; 2006; 2014) of the contribution of these parameters to the overall message conveyed.
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La représentation des événements dans les domaines non temporalisésSoare, Elena 15 November 2013 (has links) (PDF)
Ce dossier rassemble la majeure partie de ma recherche entre la fin de ma thèse (2002-2003) et le moment actuel. Mes efforts ont été consacrés à l'étude des domaines verbaux qui ne contiennent pas des marques de finitude, autrement dit des domaines verbaux non finis ou non temporalisés. Il s'agit de toute forme verbale ou dérivée de verbe qui ne présente pas de flexion temporelle ni d'accord personnel, mais en revanche peut présenter des marques d'aspect. C'est une particularité bien connue par exemple pour l'infinitif : faire vs. avoir fait, mais qui caractérise également, comme je le montre à travers les études réunies par le présent dossier, certains noms déverbaux (comme le supin nominal roumain) et participes, qui constituent le point central de mes recherches. Le mémoire de synthèse est décliné en 6 chapitres, dont le chapitre final présente les conclusions et les perspectives de recherche. Dans chacune des parties, sont présentés et discutés les résultats des travaux réunis dans le volume d'annexes. Après un chapitre d'entrée en la matière, qui présente les problématiques, le Chapitre 2 est consacré à la question de la catégorisation et du changement catégoriel dans la grammaire. L'absence de temps et de marques personnelles s'associe en effet à une indétermination catégorielle qui est le propre des domaines participiaux. C'est par la problématique des catégories lexicales que j'ai choisi de commencer cette présentation de mes contributions à la recherche linguistique. Les domaines sur lesquels je me concentre dans ma recherche mettent à défi toute théorie lexicaliste de la catégorisation, en raison de la variété des choix de propriétés mixtes qu'ils incarnent. Je plaide donc en faveur d'une théorie souple des catégories, dans une approche syntaxique à la formation des mots, où la catégorisation est le résultat de niveaux fonctionnels dédiés, donc en dernier lieu de l'environnement syntaxique. Le chapitre propose également une théorie générale des participes comme des domaines tronqués qui incluent une lacune, et à partir desquels on peut construire des domaines plus ou moins réduits, de structures et interprétations diverses. Les Chapitres 3 et 4 sont consacrés à la thématique des nominalisations. à savoir, les noms déverbaux comme construction ou assemblage, qui à travers les langues prennent des formes diverses, parfois dépourvues de marque explicite de nominalisation (à savoir des suffixes comme -age ou -tion), apparaissant donc comme des nominalisations de formes participiales ou même des formes fléchies. Les nominalisations sont également des domaines mixtes, réunissant dans une même projection des propriétés verbales et des propriétés nominales, ce qui leur a valu un intérêt constant dans la théorie linguistique. Menant ma recherche dans une perspective comparative, je formule des hypothèses inter-linguistiques notamment sur la question des propriétés aspectuelles des nominalisations, hypothèses qui par la suite se sont vu confirmer et élargir, prenant une portée paramétrique. Enfin, un retour sur le comportement des déverbaux en français s'est imposé, qui remet en question certains résultats et demande un élargissement de la perspective. Les propriétés essentielles que considère prioritairement sont l'aspect, la projection des arguments et leur nécessaire interaction. Etant donné qu'il s'agit de domaines où le temps n'est pas projeté, mais qui sont tout de même proches de la phrase, la présence de traits aspectuels est de manière logique une première possibilité d'explication du haut degré de " verbalité " de certaines nominalisations. J'ai surtout contribué à montrer que les nominalisations les plus verbales ont une structure complexe, et certaines, une interprétation pluriactionnelle (supin roumain). Mes hypothèses et généralisations sont raffinées en élargissant typologiquement les données au domaines germanique et slave. J'ai également contribué à une classification plus fine de l'ensemble des déverbaux en montrant dans quelles conditions les dénotations événementielles devaient correspondre à une structure interne de type verbal (étude sur les noms 'agentifs' en -eur). Enfin, la thématique peu étudiée des nominalisations d'état est également abordée. La présentation des résultats de mes recherches est insérée dans un aperçu de l'évolution de cette thématique au sein de la théorie grammaticale, vu que ce sujet, par l'intérêt qu'il a suscité, est un prisme excellent pour étudier l'histoire de la grammaire générative elle-même. Le Chapitre 5 est consacré à un pan plus ancien et en même temps moins développé de mes recherches, mais qui a une importance cruciale pour mon projet de recherche à partir de maintenant. Il s'agit des formes verbales non-finies comme l'infinitif et les participes, qui entrent dans des constructions de nature verbale comme des périphrases ou les structures prédicatives de type relative réduite ou constructions facile-à. Dans mes travaux sur les relatives infinitivales, (du type maison à vendre) menée de façon comparative sur les données du roumain, du français et de l'italien, je montre que ces constructions sont des relatives réduites à interprétation modale. J'étudie dans le détail la structure fonctionnelle de ces relatives, articulée sur une tête Pred vers laquelle se déplace le nominal le plus proche actif syntaxiquement. Cette analyse est étendue aux constructions de type facile à contenter, et je montre que la différence entre les infinitifs argumentaux et prédicatifs dans les langues romanes est celle entre des phrases complètes et des phrases réduites : les premières ont une position sujet et un trait EPP satisfait ; se qualifiant donc comme des " phases fortes ", tandis que les infinitives à lacune objet, construites par une opération de mouvement, n'ont pas ces propriétés, et se comportent comme des " phases faibles ". Cette distinction est corrélée à la nature des catégories fonctionnelles proposée pour rendre compte de ces propriétés. La dernière partie du chapitre est dédiés à la structure et à l'interprétation des participes et infinitifs dans les périphrases modo-aspectuelles et la complémentation non finie. Cette partie de ma recherche a son origine dans une section de ma thèse, portant sur les constructions avec a fi 'être' et a avea 'avoir' + supin en roumain. J'entreprends une étude des constructions avec auxiliaire et structure réduite participiale ou non finie (PredP), dans le but d'éclaircir les différents éléments qui contribuent à l'interprétation, et cela en comparaison avec mes autres recherches sur les nominalisations. L'évolution de ma recherche ainsi esquissée à travers mon document de synthèse peut se reconstruire à travers les travaux réunis dans le volume d'annexes. J'y ai inclus des travaux très " précoces ", publiés juste après la thèse et qui reprenaient des questions laissées ouvertes par celle-ci, jusqu'à des articles très récents et des projets en cours. Les publications sont regroupées en même temps par thèmes (nominalisations - prédications non finies) et chronologiquement dans la mesure du possible. On peut remarquer au fil des articles que les idées fortes qui ont jalonné ma recherche étaient présentes in nuce dans les travaux " précoces " et continuent d'être élaborés jusqu'à prendre une forme pleinement articulée dans les travaux récents ; c'est le cas par exemple des patrons nominaux et verbaux dans la nominalisation, de l'analyse pluriactionnelle du supin nominal, mais aussi de l'analyse des relatives réduites. Ce sont également des soucis de cohérence théorique de l'ensemble qui ont mené à développer des thématiques nouvelles comme l'analyse des noms d'agent.
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The infinitive and the gerund-participle as complements of verbs of riskArseneau, Maryse 16 April 2018 (has links)
Ce mémoire, puisant à même certains principes de la linguistique cognitive et de la psychomécanique du langage, porte sur la complémentation verbale de l'anglais avec l'infinitif et le gérondif. Par l'entremise d'un corpus de données attestées, nous expliquons les divers effets de sens et les principes qui sous-tendent l'usage des structures 'verbe principal + complément' avec l'infinitif et le gérondif comme compléments de verbes comportant une idée de risque, soit risk, venture, adventure, hazard, chance, dare, face, jeopardize, endanger et imperil. Plus particulièrement, les problèmes de temporalité et de contrôle sont examinés. Trois paramètres permettent d'expliquer les effets de sens 'et le contraste entre les structures à l'étude : 1) le sens grammatical du complément, 2) sa fonction en relation avec le verbe principal, et 3) le sens lexical du verbe principal. L'analyse des deux premiers paramètres est fondée sur les hypothèses proposées par Duffley (2000 ; 2006).
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